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Interview de l'histoire « Lyre, le chemin des larmes versées »

E : Tout d'abord, peux-tu te présenter ?

D : Eh bien, c'est très dur de répondre à cette question. Ayant grandi seul, détaché de mes parents, je
me suis séparé de mon cursus scolaire très tôt, m'admettant à des occupations dont je ne suis pas fier.
Aujourd'hui encore, je regrette ces erreurs. Pourtant, j'essaye toujours de faire des choses qui me
plaisent, et qui m'apprennent, comme par exemple écrire, ou simplement réfléchir de mon jeune
vécu. Pouvoir comprendre de tout est la plus grande de mes passions quand je suis seul. C'est
comme un compromis entre les erreurs du passé et l'envie de mûrir, sauf que je ne resterai pas isolé
toute ma vie, que j'ai tout de même de vraies passions, et qu'aujourd'hui, je m'entends bien avec mes
parents. Qui sait, peut-être que je deviendrai un grand écrivain ! Haha.

E : Est-ce une nouvelle, un conte, à qui s'adresse le texte que tu as écrit ?

D : Ce n'est pas vraiment une nouvelle, car je pense que le scénario n'est pas assez développé. Ce
serait bien plus une grande rêverie que ce conte souhaiterait apporter. D'abord, parce que les
nouvelles sont beaucoup plus productives, détaillées, et simples à mes yeux. Pour le journal de St
Martin, j'ai décidé d'écrire ce qui me venait à l'esprit, donc je n'ai pas la prétention de penser que ce
conte pourrait se vendre. Par rapport à l'histoire, il n'y a pas de personnes visées. Pour être franc, je
ne sais pas à quel type de personne il pourrait plaire... Peut-être les grands enfants ? En tout cas, ça
ressemble vachement à un conte.

E : Y a t-il des éléments suggestifs dans ce texte ? Si oui, lesquels ?

D : Dans le cadre de l'histoire, il y a deux choses bien distinctes : Le rêve, et la réalité.


Quand elle ne dort pas, Lyre ne fait qu'écrire dans le sable, donc, je pense que toute la partie
restante du texte est élément de suggestion, comme on pourrait en attendre d'un rêve. Je pense que
c'est ça qui est vraiment intéressant dans ce texte. Un peu comme pour une mélodie faite de notes
totalement opposées.

E : Sinon, quelles sont tes sources d'inspirations ?

D : Ce sont mes rêves qui m'inspirent le plus. Qu'ils soient « physiques », ou immatériels. Je dois
avouer que la thérapie de St Martin m'a aussi beaucoup inspiré, dans le cas contraire, je n'aurais pas
écrit la même histoire selon les éléments choisis. Peut-être qu'au final, St Martin me fait beaucoup
rêver.

E : Ce texte a t-il une grande valeur à tes yeux ?

D : Pour l'instant, j'avoue me demander comment il sera lu par les autres. Mais je pense vraiment
qu'il prendra de la valeur avec le temps, ne serait-ce que pour moi.

E : Enfin, y aura t-il une suite à cette histoire, et/ou continueras-tu à écrire ?

D : J'y ai pensé, mais je ne pense pas. Comme il n'y a pas de suite à une nouvelle, il n'y a pas de
suite à un conte. Mais rien ne m'empêche de reprendre les éléments de l'histoire qui m'intéresseront
par la suite, pour en écrire une autre. Pour l'instant, j'ai d'autres projets... On verra bien !

Questions proposées par Étienne Robinet, pour Damien

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