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nou§ de ce§ ieu. nes gens sau- tânt les feur de Ia saint- Jean on pou- vait croire au Pa- ra- ü!l
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en ce Pa' ys Chan- te nous si tu t' elr'sttu- viens, p0ur pâ§- §fr le raz dÊ §cin, le can-

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l-a peinr ct I' ennui, de l' automne à l' été, cn tr* vit qut au rythrne dm rnaréts
Ile Ia naissunce au grand sommeil règne le flambeau de la Yieille
On mèle la cannelle au parfum des chandelles,
On dira pour enrbara:iser la mort :.ioie aux trépassés
Car sur cette terre fidèle, les ârnts vttnt au ciel.

Quand le jnur s' achève au dessus dt la gràve sur la pierre écorchÉt dc l' île
On croit voir au lbnd de la brunrc {tûmlne tles t'eux qu' oil allunre
Ou la barque ensorcelée r;ui apparait
llenaçant ellc vient jeter là pour les naufragés
Et le noir habille la vie d*s femmes ilu pn1's.

La vie a rhangé sur le court chemin, du Nerrat à §aint-Corentin


()n ne rrste plus très longtcmps isold riu t:ontincnt
lIêure les anciens ne reviennent qu' au printemps
Et Ia mer a tourné Ie dos aux pêcheurs des temps nouYeaux
Illle entrainera les marins lnirt de l' île de §ein'.'

lv{çrie-Je anne Gahrielle 2

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