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COMENTAIRE COMPOSE

Le Bal de têtes, TR, 226-237

INTRODUCTION

 Démarche de l’auteur

Marcel Proust écrivait son œuvre A la Recherche du temps perdu (qui consiste en 7 volumes)
pendant 13 ans et son œuvre est restée encore inachevée.
Ces deux sous-titres « L’adoration perpetuelle » et le « Bal de têtes » qui composent l’actuelle «
matinée chez la princesse de Guermantes » sont esquissés dès 1909. Et ils n’ont été pas publié à
la première édition finale de cette œuvre.
En jouant avec les mots et en faisant des longues phrases Proust nous a emmené et invite dans
son monde des mémoires vécues.

 Situation de l’extrait

A ce moment du texte p.224 le Narrateur se trouve dans la bibliothèque et c’est le maître


d’hôtel qui vient d’interrompre ses pensées et de lui dire que le premier morceau était terminé et
qu’il peut entrer dans le salon. C’est en fait l’invitation du héros à une soirée qui deviendra
« matinée » chez le prince et la princesse de Guermentes. Les invités qu’il a connus auparavant
lui paressent tellement grimés qu’il se sent trouvé dans une pièce de théâtre qui va appeler « Le
Bal de tête »
Pour commencer on peut se poser la question pourquoi Le Bal de têtes1- pourquoi nommer
cette scène en utilisant ces mots? Tout d’abord Bal qui signifie une réunion où l’on danse, on
peut dire aussi où on vient masqué, costumé, travesti.
Donc il s’agit d’un événement qui inclus les masques- et ici comme on va s’assurer plus tard il
s’agissait des masques du Temps, soit de la métamorphose de chacun de nous, de changement
de corps et de visage qui est inévitable après certain temps. Et c’est le Narrateur qui se rend
compte du vieillissement de chacun parmi les participants de cet évènement- et à la fin lui-même.

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la synecdoque - une partie qui change le tout ?
 Structuration de l’extrait (les axes de lecture) avec explication

1) Mise en abyme le Narrateur annonce l’écriture de son oeuvre


1) L’atmosphère théâtrale
-L’art de déguisement
2) Changements plus profonds des caractères
- La description de m d’Argencourt comme un vieux mendiant
3) La vieillesse comme la conséquence principale du Temps passé
- Changements plus profonds des caractères
-L’effet de miroir
- La réalisation de son propre temps écoulé et l’arrivée de la vieillesse de la part
de Narrateur
- Le Narrateur se rend compte que cela était le sujet principal de son œuvre

Avant de commencer l’analyse on peut constater aussi que dans cette partie le Narrateur
relève les deux « visages », les deux « côtés » du Temps, c’est-à-dire :
1) Temps intérieur- que le héros « retrouve » en soi grâce à la mémoire involontaire
2) temps extérieur : dont il mesure l’écoulement sur des visages qui lui étaient familliers
depuis son adolescence

Pour commencer on peut noter que dans la première phrase de cet extrait (p.226) le
Narrateur a fait une référence sur un autre auteur, je cite « J’allais chercher à me rappeler les
pièces de Baudelaire à la base desquelles se trouve ainsi une sensation transposée…  » il parle
des sensations (on peut dire l’un des mots clés de cette œuvre en général) en évoquant un
écrivain français populaire et connu à cause du simple fait d’avoir écrit ses œuvres sur les
sensation vécues, éprouvées, senties.
Peu avant, sur la même page on peut apercevoir que le Narrateur mentionne les noms des autres
auteurs et œuvres comme Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand, les modeles de Sylvie de
Gerard de Nerval, ainsi que les poèmes de Beaudelaire- les œuvres où la sensation joue le rôle
principal dans le mécanisme de mémoire.
« …pour achever de me replacer dans une filiation aussi noble, et me donner par là l’assurance
que l’œuvre que je n’avais plus aucune hésitation à entreprendre méritait l’effort que j’allais lui
consacrer »
Donc on peut constater la mise en abyme où l’auteur Proust a écrit le désir de son héros
(Marcel) de se consacrer à l’écriture d’une œuvre basé sur les sensations. (qui, on peut supposer,
va être cette œuvre qu’on analyse aujourd’hui)
Ensuite, on continue, le Narrateur a averti le lecteur par les mots « je me trouvai tout à coup
dans le grand salon et au milieu d’une fête qui allait me sembler bien différente de celles
auxquelles j’avais assisté autrefois » sur la particularité de cet évènement par rapport aux autres.
On continue avec la page 227, la phrase « En effet, dès que j’entrai dans le grand salon, bien que
je tinsse toujours ferme en moi, au point où j’en étais, le projet que je venais de former, un coup
de théâtre se produisit qui allait élever contre mon entreprise la plus grave des objections. »
Alors le métaphore/ pas une metaphore « coup de théâtre » avec lequel le Narrateur compare
cette scène, on peut lier avec le titre même de cette scène « Le Bal » comme s’il s’agissait de
quelque chose dramatique et il y annonce la scène suivante qui va se dérouler. Une scène
vraiment dramatique où le Narrateur se trouve stupéfié par la faute de n’avoir pas à reconnu le
maitre de maison et les invités.
Je cite « Au premier moment je ne compris pas pourquoi j’hésitais à reconnaître le maître de
maison, les invités, et pourquoi chacun semblait s’être « fait une tête », généralement poudrée et
qui les changeait complètement.»
L’expression « fait une tête »  ??? se masquer, se déguiser ?
Les mots référant aux têtes des personnages « généralement poudrée » expriment la vieillesse
des personnages que l’auteur a décidé de nous présenter d’une manière esthetique et par une
sorte de « euphémisme ».
p.228 Argencourt en vieux mendiant
« À ce point de vue, le plus extraordinaire de tous était mon ennemi personnel, M. d’Argencourt,
le véritable clou de la matinée. Non seulement, au lieu de sa barbe à peine poivre et sel, il s’était
affublé d’une extraordinaire barbe d’une invraisemblable blancheur, mais encore (tant de petits
changements matériels peuvent rapetisser, élargir un personnage, et bien plus, changer son
caractère apparent, sa personnalité) c’était un vieux mendiant qui n’inspirait plus aucun respect
qu’était devenu cet homme dont la solennité, la raideur empesée étaient encore présentes à mon
souvenir et qui donnait à son personnage de vieux gâteux une telle vérité que ses membres
tremblotaient, que les traits détendus de sa figure, habituellement hautaine, ne cessaient de
sourire avec une niaise béatitude. »
p.231 Changements plus profonds des caractères
«  Poussé à ce degré, l’art du déguisement devient quelque chose de plus, une transformation
complète de la personnalité »
p.232 On peut voir la comparaison que le Narrateur a fait entre une genre theatral « féerie » et la
vie, je cite
« Alors la vie nous apparaît comme la féerie où on voit d’acte en acte le bébé devenir
adolescent, homme mûr et se courber vers la tombe. »
Ce qu’il faut mentionner dans cette analyse c’est l’échange conversationnel entre le Narrateur et
la duchesse de Guermantes p.233-234
« Ah ! me dit-elle, quelle joie de vous voir, vous mon plus vieil ami. »
Et c’est dans ce moment là que l’idée et la conscience de sa propre vieillesse commence d’être
examiné dans la tête du Narrateur.
Citat p.234 « Son plus vieil ami ! me dis-je, elle exagère ; peut-être un des plus vieux, mais suis-
je donc… » Ce sont les mots qui clochent, qui résonnent dans la tête de Narrateur.
La scène suivante va donner un peu de comédie dans cet extrait :
Je cite « À ce moment un neveu du prince s’approcha de moi : « Vous qui êtes un vieux Parisien
», me dit-il. Un instant après on me remit un mot. »
Ici on a une figure de style présente- la synecdoque, car le Narrateur a utilisé les mots « on me
remit un mot » au lieu de dire « une lettre » soit il a utilisé une partie au lieu de tout.
Et la scène suivante, qui va se dérouler, va contribuer encore un peu à son inquiétude et peut-être
la peur du Narrateur, que le lecteur peut éprouver en lisant ces lignes.
p.235 « Comme quelqu’un, entendant dire que j’étais souffrant, demanda si je ne craignais pas
de prendre la grippe qui régnait à ce moment-là, un autre bienveillant me rassura en me disant :
« Non, cela atteint plutôt les personnes encore jeunes. Les gens de votre âge ne risquent plus
grand-chose. »
C’est avec les mots « Les gens de votre âge » c’est la mise en relief sous-entendu d’exprimer et
de dire que le Narrateur (la personne à laquelle ces mots sont adressés) n’appartient plus à la
catégorie de jeunes gens.
Ensuite sur la même page on a un paragraphe où le Narrateur se rend compte de p.235 « Et on
assura que le personnel m’avait bien reconnu. Ils avaient chuchoté mon nom, et même « dans
leur langage », raconta une dame, elle les avait entendus dire : « Voilà le père » (cette
expression était suivie de mon nom). Et comme je n’avais pas d’enfant, elle ne pouvait se
rapporter qu’à l’âge. »

L’ECHANGE CONVERSATIONEL ENTRE MME DE GUERMANTES ET LE


NARRATEUR
p.236 Elle commence avec le passage qui, on peut dire, désigne un jeu de la psychologie
inversée.
« J’ai même pu voir, quand j’étais jeune fille, ajouta Mme de Guermantes, la duchesse de Dino.
Dame, vous savez que je n’ai plus vingt-cinq ans. » Ces derniers mots me fâchèrent : « Elle ne
devrait pas dire cela, ce serait bon pour une vieille femme. » Et aussitôt je pensai qu’en effet elle
était une vieille femme. Quant à vous, reprit-elle, vous êtes toujours le même. Oui, me dit-elle,
vous êtes étonnant, vous restez toujours jeune », expression si mélancolique puisqu’elle n’a de
sens que si nous sommes en fait, sinon d’apparence, devenus vieux. Et elle me donna le dernier
coup en ajoutant : « J’ai toujours regretté que vous ne vous soyez pas marié. Au fond, qui sait,
c’est peut-être plus heureux. Vous auriez été d’âge à avoir des fils à la guerre, et s’ils avaient
été tués, comme l’a été ce pauvre Robert (je pense encore souvent à lui), sensible comme vous
êtes, vous ne leur auriez pas survécu. »

Dans les mots « Elle ne devrait pas dire cela, ce serait bon pour une vieille femme. » Et aussitôt
je pensai qu’en effet elle était une vieille femme. » on constate le jeu de psychologie inverse
comme si en prononçant les mots Elle ne devrait pas dire cela, ce serait bon pour une vieille
femme- il s’est rendu compte de toute la gentillesse de son acte énoncé et a senti en soi la
sonnette de la vérité.
Et le Narrateur vient de conclure que exactement la même chose c’est passé à mme de
Guermentes car il dit , je cite « Oui, me dit-elle, vous êtes étonnant, vous restez toujours jeune »,
expression si mélancolique puisqu’elle n’a de sens que si nous sommes en fait, sinon
d’apparence, devenus vieux.  »
Et ensuite le Narrateur admet que ces mots ont lui fait du mal en disant « Et elle me donna le
dernier coup en ajoutant »
Donner le dernier coup- comme si elle l’avait giflé
Elle a ajouté je cite « J’ai toujours regretté que vous ne vous soyez pas marié  ».
Dans cette énoncé on peut apercevoir sous-entendu et implicite qu’il était trop tard pour
lui- pour le Narrateur de se marier ce que nous emmené jusqu’à la conclusion qu’il est
devenu vieux.
Encore une fois Proust voudrait pénétrer aux lois psychologiques, en commençant cette fois de
lui-même, de ses réactions et en apercevant l’effet de miroir.
p.236 « Car nous ne voyions pas notre propre aspect, nos propres âges, mais chacun, comme un
miroir opposé, voyait celui de l’autre. Et sans doute, à découvrir qu’ils ont vieilli, bien des gens
eussent été moins tristes que moi. Mais d’abord il en est de la vieillesse comme de la mort.
Quelques-uns les affrontent avec indifférence, non pas parce qu’ils ont plus de courage que les
autres, mais parce qu’ils ont moins d’imagination. »

 CONCLUSION
Pour conclure on peut dire que, comme dans toutes ses descriptions avant, l’auteur les a
faites d’une manière subjective. Il a vu son œuvre, pour la premiere fois d’une autre
perspective : que écrire du Temps passé comprend d’écrire de la vieillesse.
Cet extrait contient beaucoup de références aux autres auteurs français (Baudelaire,
Chateaubriand et Nerval) ainsi que étranger : il a comparé m d’Argencourt avec le roi de
Lyre- le personnage d’œuvre de Shakespeare.
Aussi pour conclure on peut dire que dans cette extrait on peut voir les elements de drame.
Mais comme toutes les autres parties, elle aussi caracteristique par la syntaxe de phrase assez
complexe suivie par un vocabulaire aussez divers et riche.

Le temps a passé aussi pour lui (le Narrateur) et c’est la duchesse de Guermantes et le jeune
Létourville qui l’obligent à le constater
p.234 L’arrivée et l’entrée du Bloch vieilli
Le Narrateur a le même âge comme Bloch ??
p.236 « Son angoisse en découvrant cette action destructrice du Temps au moment où je voulais
peindre dans une œuvre d’art des réalités extra-temporelles
p.237 Entière métamorphose de certains personnes comme mme Sazerat
p.238 « Maintenant je comprenais ce qu’était la vieillesse, découverte qui serait la matière même
de mon livre »
- en décrivant m. d’Argencourt il parle de soit-disant l’art de deguisement, et dans
quelle mesure il était possible au début de XXs de chager son apparence psysique (et
dans cette manière même les traits de son visage- la description de la barbe)
-Regnard (mise en abyme ?), « exagéré par Labiche » (qui est Labiche- et quand on
évoque un autre écrivain dans l’œuvre, c’est aussi mise en abyme ou ?)

-référence à l’œuvre de Shakespeare « roi Lear » ?? .. « qui se découvrait avec application


devant le plus médiocre salueur. »

-il le (d’Argencourt) compare avec général Dourakine (et ça c’est qui ?)

 « il me semblait que l’être humain pouvait subir des métamorphoses aussi complètes que
celles de certains insectes » la comparaison d’un être humain avec un animal soit insecte
- Proust écrit d’une manière ironique quand il s’agit de m. Argencourt « Mais je me tus,
je ne félicitai pas M. d’Argencourt d’offrir un spectacle qui semblait reculer les limites
entre lesquelles peuvent se mouvoir les transformations du corps humain. »

- Il compare ses personnages en utilisant la metaphore « des poupées »


-narrateur évoque le Temps

« quand a la femme dont M d’Argencourt avait été l’amant, elle n’avait pas beaucoup
changé, si l’on tenait compte du temps passé, c’est-à-dire que son visage n’était pas trop
complètement démoli pour celui d’un être qui se déforme tout le long de son trajet dans
l’abîme où il est lancé, abîme dont nous ne pouvons exprimer la direction que par des
comparaisons également vaines, puisque nous ne pouvons les emprunter qu’au monde de
l’espace, et qui, que nous les orientions dans le sens de l’élévation, de la longueur ou de
la profondeur, ont comme seul avantage de nous faire sentir que cette dimension
inconcevable et sensible existe. »

-la femme dont m Argencourt était amant- la référence pour La Prisonnière


-«  si l’on tenait compte du temps passé » pourquoi en italique ?
-Démoli ???
-tout le long de son trajet ? (Il veut dire quoi en employant le mot « trajet » ?)

-« Alors la vie nous apparaît comme la féerie où on voit d’acte en acte le bébé devenir
adolescent, homme mûr et se courber vers la tombe » p.232
La féerie – (c’est un genre theatral connu en France en XIXs) Spectacle, pièce de théâtre
qui met en scène des fées ou, plus généralement, des personnages magiques, surnaturels
(d’après le site : cnrtl.fr2)

- la phrase « Un instant après on me remit un mot » pour dire qu’il a reçu une lettre
- analyse de discours rapporté (des énonciations)

-opis Bloka

- axe de lecture : PEUR IMPLICITE DE VIEILLESSE ?


On peut apercevoir le sentiment implicite de peur de la vieillesse et de la douleur de
devenir conscient de ce fait spécialement chez le Narrateur.

- « Non, cela atteint plutôt les personnes encore jeunes. Les gens de votre âge ne risquent
plus grand-chose. »

2
Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales
Alors on ne connait pas le temps exacte quelle année cela s’est passé et on ne peut pas
savoir l’age de Narrateur mais il était surpris ? Il ne se voyait pas vraiment

- « Voilà le père » (cette expression était suivie de mon nom)


 PSICHOLOGIE INVERSE !!!
Proust était un très bon psychologue
« J’ai même pu voir, quand j’étais jeune fille, ajouta Mme de Guermantes, la duchesse de
Dino. Dame, vous savez que je n’ai plus vingt-cinq ans. » Ces derniers mots me fâchèrent
: « Elle ne devrait pas dire cela, ce serait bon pour une vieille femme. » Et aussitôt je
pensai qu’en effet elle était une vieille femme 3. « Quant à vous, reprit-elle, vous êtes
toujours le même. Oui, me dit-elle, vous êtes étonnant, vous restez toujours jeune »,
expression si mélancolique puisqu’elle n’a de sens que si nous sommes en fait, sinon
d’apparence, devenus vieux4. Et elle me donna le dernier coup en ajoutant : « J’ai
toujours regretté que vous ne vous soyez pas marié.
Au lieu de dire (au moins) « Quand vous allez se faire marier ? » elle lui a donné un coup
ou un gifle avec ces mots- en disant (tacitant, sous-entendu) « vous etes en retard pour
votre mariage »
Et cela est vraiment drole par rapport à la description de M d’Argencour. Une scene de
piece de theatre
A posle nastavlja da mu skace po rani/ stavlja mu so na ranu govoreci o potencijalnoj
djeci koja bi sad vjerovatno bila u ratu (mozemo zakljuciti da je imao najmanje 40
godina)

- « Et je pus me voir, comme dans la première glace véridique que j’eusse rencontrée,
dans les yeux de vieillards restés jeunes, à leur avis, comme je le croyais moi-même de
moi »
Konkretno govori kako je on sam sebe smatrao mladim!!!
-efekat ogledala! (sasvim psiholoska, introspektivna analiza kako sebe tako I drugih
pogleda na svijet I drustvo)
Axe de lecture: Le Narrateur se rend compte de Temps passé et du veillissement ?
Dans cet extrait on a la correalation entre le (passage du) temps et le vieillissemt
-le temps intérieure et le temps extérieure (le lien)
-le Temps (T majuscule) comme s’il s’agissait de qqch vive. Ou… qqn. Figure de style  ?
Personification  ?

*Dans la préface
-
-
-«  le heros ne vit plus dans le temps, le temps vit en lui »
3
odje
4
I ovdje
-la contradiction de la page 236-237 « Je découvrais cette action destructrice du
Temps… des realites extra-temporelles. »
- heros constate le vieillissement des invitees de la matinee
-p. XIX « la matiere de mon experience, laquelle serait la matiere de mon livre » il
mentionne qu’il a l’intention d’écrire cette œuvre (le meme comme dans les faux
moneyeaurs- mise en abyme  ??)

Qu’est ce que c’est inusuel dans le vocabulaire ?

-Défamiliarisation
-effet de transfert
- L’ambiguïté sémantique

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