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PROGRESSION BTS COM ISIFA 2009-2010

Lundi 19/10/2009

1. Le Hardware et les options de périphérique scan


Le matériel informatique (hardware, quincaillerie en anglais) est la partie physique,
essentiellement électronique.

1°) L’ORDINATEUR

Un ordinateur est constitué des composants suivants :

 Un ou des processeurs : CPU, Central Processing Unit, « Unité centrale de


traitement », c’est le composant essentiel d'un ordinateur qui interprète les instructions et
traite les données d'un programme.
 De la mémoire vive : ou mémoire RAM de l'anglais Random Access Memory
(mémoire à accès aléatoire), est la mémoire informatique dans laquelle un ordinateur place
les données lors de leur traitement (mémoire temporaire).
 De la mémoire morte : Mémoire du disque dur, ROM ou Read-Only Memory est une
mémoire non volatile, c’est-à-dire une mémoire qui ne s’efface pas lorsque l’appareil qui la
contient n’est plus alimenté en électricité.
 Des bus informatiques pour relier le ou les processeurs aux mémoires et aux
périphériques.
 Une alimentation PC : bloc destiné à répartir l’électricité sur les différents composants
et périphériques.

Mais également d’interfaces de communication :


 Une carte mère (interconnexion des composants de l’ordinateur : système nerveux de
l’ordinateur).
 Une ou des cartes graphiques.
 Une ou des cartes d'acquisition.
 Une ou des cartes son.
 Une ou des cartes réseau
 Une ou des cartes Modem.
 Un clavier, une souris et autres périphériques.
 Un ou des disques durs.

2°) LE MICROLOGICIEL

Un micrologiciel, également désigné sous l'anglicisme firmware, ou parfois logiciel interne,


embarqué ou d'exploitation, est un logiciel (software en anglais) qui est intégré dans un
composant matériel.
le Basic Input Output System ou BIOS (système élémentaire d'entrée/sortie) est un ensemble
de fonctions, contenu dans la mémoire morte (ROM) de la carte mère servant à effectuer des
opérations élémentaires (écrire un caractère à l'écran, lire un secteur sur un disque, etc...). Le
terme est souvent utilisé pour décrire l'ensemble du « firmware » ou « microcode » (logiciel
embarqué) d'une carte mère. Le BIOS est presque toujours développé par le fabricant de cette
carte mère car il contient les routines élémentaires pour effectuer les opérations simples
d'entrée/sorties évoquées ci-dessus.
3°) PERIPHERIQUES

SCANNER : options de scan

-L’OCR : La reconnaissance optique de caractères (ROC) désigne les procédés


informatiques pour la traduction d'images de textes imprimés ou dactylographiés en fichiers
de texte. Le fichier scanné sera un document noir et blanc pouvant être récupéré par un
logiciel à reconnaissance de caractères.
- Détramage : En fonction du document à numériser, cocher ou non l'option détramage.
Il est impératif de cocher détramage si vous numérisez un document imprimé, par contre, dans
le cas d'un tirage photographique argentique, vous n'utiliserez pas l'option détramage.

Scan au trait : c’est un scan bitmap noir et blanc qui ne comporte pas de niveaux de gris
Scan en niveau de gris, nécessite beaucoup de lumière pour obtenir des dégradés et qui fait
par conséquent apparaître la transparence des feuilles :

Scan en niveau de gris Scan au trait

Mercredi 21/10/2009
2. Les bases de données

Une base de données (son abréviation est BD, en anglais DB, database) est une entité dans
laquelle il est possible de stocker des données de façon structurée et avec le moins de
redondance possible. Ces données doivent pouvoir être utilisées par des programmes, par des
utilisateurs différents. Ainsi, la notion de base de données est généralement couplée à celle de
réseau, afin de pouvoir mettre en commun ces informations, d'où le nom de base.
La gestion des bases de données
Afin de pouvoir contrôler les données ainsi que les utilisateurs, le besoin d'un système de
gestion s'est vite fait ressentir. La gestion de la base de données se fait grâce à un système
appelé SGBD (système de gestion de bases de données) ou en anglais DBMS (Database
management system). Le SGBD est un ensemble de services (applications logicielles)
permettant de gérer les bases de données, c'est-à-dire :

 permettre l'accès aux données de façon simple


 autoriser un accès aux informations à de multiples utilisateurs
 manipuler les données présentes dans la base de données (insertion, suppression,
modification)

3. LES LANGAGES INFORMATIQUES


A. Le Langage Script : Le PHP, L’Active Server Pages, Javascript

Définition : Un langage de script est un langage de programmation qui permet de manipuler


les fonctionnalités d'un système informatique configuré pour fournir à l'interpréteur de ce
langage un environnement et une interface qui déterminent les possibilités de celui-ci.

PHP est un langage interprété (un langage de script) exécuté du côté serveur (comme les
scripts CGI, ASP, ...) et non du côté client (un script écrit en Javascript ou une applet Java
s'exécute sur votre ordinateur...).
Ses principaux atouts sont :

-Une grande communauté de développeurs partageant des centaines de milliers d'exemples de


script PHP ;

-La gratuité et la disponibilité du code source (PHP est distribué sous licence GNU GPL) ;

-La simplicité d'écriture de scripts ;

-La possibilité d'inclure le script PHP au sein d'une page HTML (contrairement aux scripts
CGi, pour lesquels il faut écrire des lignes de code pour afficher chaque ligne en langage
HTML) ;
Origines du PHP
Le langage PHP a été mis au point au début d'automne 1994 par Rasmus Lerdorf. Ce langage
de script lui permettait de conserver la trace des utilisateurs venant consulter son CV sur son
site, grâce à l'accès à une base de données par l'intermédiaire de requêtes SQL. Ainsi, étant
donné que de nombreux internautes lui demandèrent ce programme, Rasmus Lerdorf mit en
ligne en 1995 la première version de ce programme qu'il baptisa Personal Sommaire Page
Tools, puis Personal Home Page v1.0 (traduisez page personnelle version 1.0).
Etant donné le succès de PHP 1.0, Rasmus Lerdorf décida d'améliorer ce langage en y
intégrant des structures plus avancées telles que des boucles, des structures conditionnelles, et
y intégra un package permettant d'interpréter les formulaires qu'il avait développé (FI, Form
Interpreter) ainsi que le support de mSQL. C'est de cette façon que la version 2 du langage,
baptisée pour l'occasion PHP/FI version 2, vit le jour durant l'été 1995. Il fut rapidement
utilisé sur de nombreux sites (15000 fin 1996, puis 50000 en milieu d'année 1997).
A partir de 1997, Zeev Suraski et Andi Gurmans rejoignirent Rasmus pour former une équipe
de programmeurs afin de mettre au point PHP 3 (Stig Bakken, Shane Caraveo et Jim
Winstead les rejoignirent par la suite). C'est ainsi que la version 3.0 de PHP fut disponible le 6
juin 1998. A la fin de l'année 1999 la version 4.0 de PHP, baptisée PHP4, est apparue. PHP en
est aujourd'hui à sa cinquième version.

ASP (Active Server Pages) est un standard mis au point par Microsoft en 1996 permettant de
développer des applications Web interactives, c'est-à-dire dont le contenu est dynamique.
Ainsi une page web ASP (fichier repérable par l'extension .asp) aura un contenu pouvant être
différent selon certains paramètres (des informations stockées dans une base de données, les
préférences de l'utilisateur, ...) tandis qu'une page web « classique » (dont l'extension est .htm
ou .html) affichera continuellement la même information.

Le Javascript est un langage de script incorporé dans un document HTML. Historiquement il


s'agit même du premier langage de script pour le Web. Ce langage est un langage de
programmation qui permet d'apporter des améliorations au langage HTML en permettant
d'exécuter des commandes (appelés Applet : en français une « appliquette » ou parfois une
« applette », est un logiciel qui s'exécute dans la fenêtre d'un navigateur web.du côté client,
c'est-à-dire au niveau du navigateur et non du serveur web). Ainsi le langage Javascript est
fortement dépendant du navigateur appelant la page web dans laquelle le script est incorporée,
mais en contrepartie il ne nécessite pas de compilateur, contrairement au langage Java, avec
lequel il a longtemps été confondu.
Javascript a été mis au point par Netscape en 1995. A l'origine, il se nommait LiveScript et
était destiné à fournir un langage de script simple au navigateur Netscape Navigator 2. Il a à
l'époque longtemps été critiqué pour son manque de sécurité, son développement peu poussé
et l'absence de messages d'erreur explicites rendant dure son utilisation. Le 4 décembre 1995,
suite à une association avec le constructeur Sun, Netscape rebaptise son langage Javascript
(un clin d'oeil au langage Java développé par Sun).
B. Les Langages de Marquage (HTML, XML)

Le HTML (« HyperText Mark-Up Language ») est un langage dit de « marquage » (de


« structuration » ou de « balisage ») dont le rôle est de formaliser l'écriture d'un document
avec des balises de formatage. Les balises permettent d'indiquer la façon dont doit être
présenté le document et les liens qu'il établit avec d'autres documents.
Le langage HTML permet notamment la lecture de documents sur Internet à partir de
machines différentes, grâce au protocole HTTP, permettant d'accèder via le réseau à des
documents repérés par une adresse unique, appelée URL.
Il est important de comprendre que le langage HTML est un standard, c'est-à-dire qu'il s'agit
de recommandations publiées par un consortium international : le World Wide Web
Consortium (W3C).

Le XML (entendez eXtensible Markup Language et traduisez Langage à balises étendu, ou


Langage à balises extensible) est en quelque sorte un langage HTML amélioré permettant de
définir de nouvelles balises. Il s'agit effectivement d'un langage permettant de mettre en forme
des documents grâce à des balises (markup).
Contrairement à HTML, qui est à considérer comme un langage défini et figé (avec un
nombre de balises limité), XML peut être considéré comme un métalangage permettant de
définir d'autres langages, c'est-à-dire définir de nouvelles balises permettant de décrire la
présentation d'un texte (Qui n'a jamais désiré une balise qui n'existait pas ?).
Voici les principaux atouts de XML :

 La lisibilité : aucune connaissance ne doit théoriquement être nécessaire pour comprendre un


contenu d'un document XML
 Autodescriptif et extensible
 Une structure arborescente : permettant de modéliser la majorité des problèmes informatiques
 Universalité et portabilité : les différents jeux de caractères sont pris en compte
 Déployable : il peut être facilement distribué par n'importe quels protocoles à même de
transporter du texte, comme HTTP

C. Le CSS : Les feuilles de style


Le concept de feuilles de style est apparu en 1996 avec la publication par le W3C d'une
nouvelle recommandation intitulée « Cascading StyleSheets » (feuilles de style en cascade),
notée CSS.
Le principe des feuilles de style consiste à dans un même document des caractéristiques de
mise en forme associées à des groupes d'éléments. Il suffit de définir par un nom un ensemble
de définitions et de caractéristiques de mise en forme, et de l'appeler pour l'appliquer à un
texte. Il est ainsi possible de créer un groupe de titres en police Arial, de couleur verte et en
italique.

Les feuilles de style vont permettre notamment :

-D'obtenir une présentation homogène sur tout un site en faisant appel sur toutes les pages à
une même définition de style.
-De permettre le changement de l'aspect d'un site complet entier par la seule modification de
quelques lignes.
-Des chargements de pages plus rapides.
-Un positionnement plus rigoureux des éléments.
4.LA PARTIE LOGICIELLE

RECONNAITRE LES PRINCIPAUX FORMATS


DE FICHIERS

Il n'est pas rare de rencontrer des formats de fichiers plus ou moins inconnus qui peuvent faire
appel à des logiciels particuliers. Les fichiers sont habituellement identifiés par leur nom et
leur extension (exemple : toto.mp3). C'est cette extension qui détermine le type de logiciel
utilisé pour créer le fichier et le ou les logiciels capables de le lire ou de l’exécuter. Vous
trouverez ici des informations sur les principaux formats de fichiers rencontrés, et les logiciels
pour les utiliser.

Les différentes extensions de fichiers :

 Contenant du texte .HTML .HTM .SHTM .SHTML .SGML .XML .ASP .PHP
.RTF
 .TXT .DOC .PDF .PS .EPS .TEX .DVI .XLS
 Images .PS .EPS .BMP .GIF .JPEG .JPG .PNG .TIFF .TIF
 Audio .AIFF .AIF .MID .MP3 .RA .RAM .WAV
 Vidéo .AVI .MOV .QT .MPEG .MPG .RA .VDO .VIV
 Multimédia .PPT .DIR .SWF
 Compression, archivage et encodage .ZIP .BIN .EXE .HQX .SIT .SEA .UUE
 Les extensions souvent recompressées (.ZIP) .GZ .TAR .Z

1. Documents contenant du texte

.DOC
Il s'agit du format du logiciel Microsoft Word très répandu sous Windows ou MacOS.
Cependant attention à la version de Word et au format que son auteur a utilisé pour générer ce
fichier binaire ou ASCII (American Standard Code for Information Interchange « Code
américain normalisé pour l'échange d'information » est la norme de codage de caractères en
informatique la plus connue et la plus largement compatible) car vous ne pourrez l'ouvrir que
si vous possédez une version au moins équivalente à la sienne : Word 2.0 vers Word 6 mais
vous ne pourrez pas ouvrir Word 6 vers Word 2.0. De plus la compatibilité Mac-PC nécessite
que vous possédiez les mêmes versions de Word dans les deux environnements.

Applications récentes à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Microsoft Word - Lotus Ami Pro -
Wordperfect.
.HTML .HTM .SHTM .SHTML (Hyper Text Markup Language)
C'est le format des pages Web. Le format HTML est un langage de description de mise en
pages.

Un fichier ASCII .HTML provient d'un site hébergé sur un serveur Unix et non pas sur un
serveur PC sous Windows .HTM. Quant au " S " signifiant "Secured" en anglais, il indique
que la page est sécurisée par un système de cryptage pour la confidentialité des infor

mations échangés avec le site (typiquement un n° de carte bancaire dans le cas d'un achat en
ligne).

Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Netscape Communicator/Navigator-


Microsoft Internet Explorer ou tout autre navigateur Internet.

Applications à utiliser pour éditer ces fichiers : tout éditeur de .TXT (Notepad,...) si l'on
connait le langage HTML - Editeur web : Adobe PageMill ou Golive - EvrSoft 1stPage2000 -
Netscape Composer - Microsoft Frontpage

.PDF (Portable Document Format)


Ce format binaire du logiciel Acrobat de Adobe est le plus répandu pour la diffusion de
documents professionnels sur l'Internet. Le visualiseur "Acrobat Reader" est gratuit,
téléchargeable librement sur le site de Adobe ou disponible dans les CD-Rom encartés dans
les magazines d'informatique. Vous avez tout intérêt à utiliser la dernière version pour une
consultation sans problème.

Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : - Acrobat Reader (gratuit, librement distribué)
et tous les logiciels de la gamme Adobe dans leurs versions les plus récentes : - Photoshop -
Illustrator - InDesign

Applications à utiliser pour créer ces fichiers : Adobe Acrobat - Microsoft Office.

.PS .EPS (PostScript)


Développé par Adobe, il s'agit d'un langage de typographie et de mise en page utilisé avec des
imprimantes conçues pour interpréter les codes PostScript. Ce langage est prédéfinit par des
fonctions et des commandes sur la structure et l'apparence du document pour l'impression.
Nous obtenons un gain de taille de fichiers et de transfert car c'est l'imprimante (Postscript)
qui transcrit le langage à la place de l'ordinateur, à nouveau disponible.

Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Illustrator - Freehand - QuarkXpress -


Pagemaker - Alladin GhostView (gratuit sur le site Web pour l'impression).

.RTF (Rich Text Format)


Ce format de documents texte ASCII normalisé avec mise en forme favorise l'échange entre
différents logiciels. Il est utilisé en cas de doute de compatibilité de version, de logiciel ou
d'environnement lors d'un échange de fichier texte simple.
Attention, votre mise en page et vos tableaux ne seront pas transcrits fidèlement. A réserver
donc aux documents simples (sinon utiliser Acrobat et son format PDF).
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : les traitements de texte en général.

.SGML .XML (Standard Generalized Markup Language, Extensible Markup


Language)
SGML est une norme internationale pour la représentation de documents textuels ASCII en
format électronique.
Pour information, le format HTML est un sous-ensemble simplifié de SGML, lui-même un
sous-ensemble du format XML. Actuellement très peu d'applications sont capables de créer et
d'interpréter ces fichiers.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers :
- Applications spécifiques de développement ; les navigateurs de dernière génération sont en
partie capables d'interpréter les fichiers .XML.

.ASP .PHP Ces formats de fichiers servent à gérer et à générer des pages HTML à la volée en
relation avec les informations du websurfeur ou de bases de données. Il s'agit de script intégré
dans des pages HTML. Vous les rencontrerez de plus en plus mais ils seront visualisables
comme des pages Web.

Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Navigateur Web

Applications à utiliser pour créer ces fichiers : Editeur texte (si on connait le langage) -
Logiciels de Développement professionnels

.TEX
De type ASCII, les documents "tek" sont utilisés pour la rédaction de textes scientifiques. Il
s'agit d'un langage de programmation à partir de paramètres prédéfinis pour lui confier les
opérations de mise en page et de typographie afin de se concentrer sur l'essentiel
l'information.

Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Latex - Ghostscript ou tout interpréteur
Postscript après transformation.

Applications à utiliser pour créer ces fichiers : tout éditeur de .TXT (Notepad,...) si l'on
connait le langage Tex-LaTex et le compilateur ou un éditeur Tex : AsTex - MikTex.

.DVI

Il s'agit de fichiers issus directement de la compilation des fichiers .TEX par un


éditeur/compilateur Tex ou LaTex. Ces fichiers peuvent servir ensuite de base pour des
formats Postscript ou Acrobat contenant des textes à caractère scientifique.

Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Latex - Astex - Yap (intégré à MikTex) -
DVIScop

.TXT
Par convention, cette extension correspond aux fichiers de texte ASCII en simple format
ASCII non formatés. Du fait de l'existence de variantes (accentuation, ...) ce format ne permet
pas une portabilité total et l'on lui préférera le format .RTF.

Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Tout éditeur de texte ou traitement de texte.

.XLS (Excel)
Format du tableur Excel de Microsoft, la compatibilité est la même qu'avec Word .

Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Excel - Lotus 123 (dernières versions) ou les
visionneuses gratuites de Microsoft.
2. Les Fichiers Images

.PS .EPS (PostScript)


De type ASCII ils sont utilisés avec les fichier contenant du texte de même extension.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : QuarkXpress - Pagemaker - Illustrator –
Freehand
Les caractéristiques : - c’est le format du RIP (Raster Image Processing) postscript
- universellement reconnu
- permet d’importer des tracés vectoriels de détourage
Les inconvénients : - il est le plus lourd en taille
- au flashage, le traitement postscript calcule toutes les informations de l’image y compris
celles qui sont invisibles dans le document

.BMP
Le format binaire "BitMaP" est lié intimement à Windows. Ce n'est donc pas un format à
privilégier pour les échanges inter-plateformes. De plus il est sans compression donc
gourmand en place pour les fichiers niveaux de gris, 16, 256 ou millions de couleurs.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Paint - Photoshop - Paint Shop Pro ou
généralement tout autre logiciel de traitement d'image fonctionnant sous PC.

.GIF (Graphic Interchange Format)


Ce format développé par CompuServe est basé sur l'algorithme de compression LZW
d'Unisys en binaire. Compacts, ces images sont limitées à un maximum de 256 couleurs. et
permettent la transparence et les images animées.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Navigateurs Internet - généralement tout
logiciel de traitement d'image. Il est donc essentiellement utilisé pour la reproduction de
pictogrammes sur internet.

.JPEG .JPG (Joint Photography Expert Group)


Très fréquent sur l'Internet, ces fichiers binaires sont très compacts grâce à son algorithme de
compression efficace (format de compression réduisant la palette des couleurs disponibles
mais n’influençant pas la perception visuelle). Lorsque vous créez ces fichiers, il est conseillé
de faire attention à ne pas trop compresser le fichier, sous peine de détériorer l'image. Le
format JPEG est utilisé de préférence pour des photos.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Navigateurs Internet - généralement tout
logiciel de traitement d'image.

.PNG (Portable Network Graphics)


Encore peu utilisé, ce format de fichier binaire est publique et devra remplacer le format GIF.
Il permet un compromis entre GIF et JPEG par une compression efficace et choix de la
résolution.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : tout logiciel de traitement d'images
professionnel.

.TIFF .TIF (Tagged Image File Format)


Ce format binaire utilise une compression sans perte pour l'archivage d'images surtout dans le
monde de l'édition et des arts graphiques en haute résolution et multi-plate-forme. Il est
recommandé pour la transportabilité sans perte.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : tout logiciel de traitement d'images
professionnel. Ses caractéristiques :
- il est rastérisé plus facilement
- la zone traitée se limite à la partie utilisée dans le document
- une image bitmap en TIFF devient transparente dans ses parties blanches
- il est imprimable à l’imprimante jet d’encre
- les masques créés en Photoshop sont exportables comme détourages en X-press. (Couche
alpha : on peut attribuer à une image un canal supplémentaire à ceux des couleurs, appelé
canal alpha, qui définit le degré de transparence des pixels de l'image)

5. L’OS (Operating System) : Système d’exploitation


Description du système d'exploitation

Rôles du système d'exploitation


Les rôles du système d'exploitation sont divers :

 Gestion du processeur : le système d'exploitation est chargé de gérer l'allocation du


processeur entre les différents programmes grâce à un algorithme d'ordonnancement. Le type
d'ordonnanceur est totalement dépendant du système d'exploitation, en fonction de l'objectif
visé.
 Gestion de la mémoire vive : le système d'exploitation est chargé de gérer l'espace mémoire
alloué à chaque application et, le cas échéant, à chaque usager. En cas d'insuffisance de
mémoire physique, le système d'exploitation peut créer une zone mémoire sur le disque dur,
appelée «mémoire virtuelle». La mémoire virtuelle permet de faire fonctionner des
applications nécessitant plus de mémoire qu'il n'y a de mémoire vive disponible sur le système.
En contrepartie cette mémoire est beaucoup plus lente.
 Gestion des entrées/sorties : le système d'exploitation permet d'unifier et de contrôler l'accès
des programmes aux ressources matérielles par l'intermédiaire des pilotes (appelés également
gestionnaires de périphériques ou gestionnaires d'entrée/sortie).
 Gestion de l'exécution des applications : le système d'exploitation est chargé de la bonne
exécution des applications en leur affectant les ressources nécessaires à leur bon
fonctionnement. Il permet à ce titre de «tuer» une application ne répondant plus correctement.
 Gestion des droits : le système d'exploitation est chargé de la sécurité liée à l'exécution des
programmes en garantissant que les ressources ne sont utilisées que par les programmes et
utilisateurs possédant les droits adéquats.
 Gestion des fichiers : le système d'exploitation gère la lecture et l'écriture dans le système de
fichiers et les droits d'accès aux fichiers par les utilisateurs et les applications.
 Gestion des informations : le système d'exploitation fournit un certain nombre d'indicateurs
permettant de diagnostiquer le bon fonctionnement de la machine.

Composantes du système d'exploitation


Le système d'exploitation est composé d'un ensemble de logiciels permettant de gérer les
interactions avec le matériel. Parmi cet ensemble de logiciels on distingue généralement les
éléments suivants :

 Le noyau (en anglais kernel) représentant les fonctions fondamentales du système


d'exploitation telles que la gestion de la mémoire, des processus, des fichiers, des entrées-
sorties principales, et des fonctionnalités de communication.
 L'interpréteur de commande (en anglais shell, traduisez «coquille» par opposition
au noyau) permettant la communication avec le système d'exploitation par l'intermédiaire d'un
langage de commandes, afin de permettre à l'utilisateur de piloter les périphériques en
ignorant tout des caractéristiques du matériel qu'il utilise, de la gestion des adresses
physiques, etc.
 Le système de fichiers (en anglais «file system», noté FS), permettant d'enregistrer les
fichiers dans une arborescence.

6. GESTION DE LA COULEUR DANS LA SUITE ADOBE


1. La synthèse additive = RVB (Rouge, Vert, Bleu)

Les couleurs intermédiaires sont reproduites en faisant varier l'intensité des faisceaux
lumineux.

Ce principe est utilisé pour la reconstitution des couleurs en télévision ou sur les écrans
d'ordinateurs. Les scanners utilisent également ce même principe.

2. La synthèse soustractive = CMJ (Cyan, Magenta, Jaune) + NOIR


Les nuances intermédiaires sont obtenues en faisant varier l'absorption des filtres.
Ce principe est essentiellement utilisé pour l'impression des couleurs. Dans la pratique,
comme les pigments ne sont pas parfaits, on leur adjoint une quatrième nuance, le noir.
Pour réaliser un document en quadrichromie, il faut donc utiliser la référence CMJN

3. Le modèle CIE Lab (commission Internationale de l’Eclairage)

La colorimétrie utilise 3 paramètres pour définir une couleur : la teinte, qui désigne en fait la
couleur (dans le cercle chromatique), la saturation, qui mesure la pureté de la couleur
(intensité des gris), et la luminosité, qui indique si une image est sombre ou claire (variation
d’intensité de la couleur). Ce sont sur ces 3 paramètres auxquels l'œil est sensible que s'appuie
la classification TSL.

Le système LAB, mis au point en 1976, est fondé sur une étude précise de la vision humaine,
est indépendant de tout procédé de reproduction et présente les couleurs réellement perçues
par l'œil humain. C'est le langage utilisé par des appareils de mesures tel que le
spectrophotomètre.

4. La correction des couleurs

Le RIP
-L’impression d’un document nécessite la transformation des informations numériques
(pixels, tracés ...) en trame d’impression. Ce processus de « rastérisation » est effectué par un
RIP (Raster Image Processing) propre à chaque type d’imprimante.
Le ripage se fait dans l’ordre suivant RVB→CIE Lab→CMJN

Spécificités logicielles :
Gestion des couleurs imprimables :
-Il est possible d’obtenir une prévisualisation CMJN avec ctrl+Y ou +Y.
-Les couleurs hors espace colorimétrique (non imprimables) sont signalées par un point
d’exclamation dans deux panneaux :
Le panneau d’information des couleurs (derrière CMJN)
Le sélecteur de couleurs (à droite de la nuance sélectionnée)
- Le panneau d’information des couleurs permet de passer le curseur sur l’écran et de
connaître la quantité et la qualité de chaque nuance de couleur (par exemple y a-t-il de la
couleur dans les blancs).

-L’option Image/réglages/Teintes/saturation (ctrl+U) permet d’augmenter ou réduire les


propriétés de teinte, saturation et luminosité des couleurs CMJN dans l’image (ne pas rester
en mode global).

Renforcer la netteté après un passage RVB à CMJN :


-Filtres/renforcement/accentuation, permettra d’accentuer le piqué de l’image à partir de 3
données :
Le gain : contraste entre deux pixels voisins
Le rayon (nombre de pixels voisins concernés par l’accentuation (utiliser 1 ou 2)
Le seuil : détermine la luminosité à prendre en considération pour 2 pixels voisins.
Divers :
Les niveaux de gris, les 2 Bitmap.
Les raccourcis clavier logiciels et de l’OS, la touche de contrainte.

Codage des pixels :


Le bit : 1 BIT équivaut à deux états, le noir et le blanc
2 bits 4 états (2 x 2), 3 bits 8 états (2 x 2 x 2) soit 23.
8 bits permettent donc 2 exposant 8 = 256 états différents, soit 256 couleurs.

La taille d’une image dépend de deux facteurs :


-La résolution de l’image en nombre de point par pouce ou centimètre (DPI : Dot Per Inch :
1Inch=2,4cm), plus elle est haute, meilleure est la qualité de l’image. Pour la définition écran
Internet : 72 DPI suffisent. Pour l’impression on préférera 300 DPI.
-La hauteur et la largeur de l’image généralement en cm (se converti en pixels en multipliant
le nombre de pixels par centimètre par la hauteur et largeur en centimètres).

Le poids de l’image est l’espace en Ko ou Mo que cette image occupera sur le disque dur de
l’ordinateur.

Ces données sont les propriétés de l’image on trouve ces informations dans photoshop dans:
Edition/Taille de l’image

Photoshop:

-Outils, options d’outils :

-outils de sélection:
Contour progressif arrondi les angles de la sélection en fonction de l’anti-aliasing qui sera
effectué (correspond au dégradé du contour progressif si l’on rempli la zone sélectionnée avec
de la couleur).

-Outil de déplacement:
Options de transfert, permet de déformer la sélection.
Outils d’alignement de la zone sélectionnée par rapport aux calques
L’accès à l’outil de déplacement peut se faire par raccourci en appuyant sur CTRL lorsque
que l’on est avec un outil de sélection.

5. OUTILS ET OPTIONS D’OUTILS PHOTOSHOP


-Outils, options d’outils :

-outils de sélection:
Contour progressif arrondi les angles de la sélection en fonction de l’anti-aliasing qui sera
effectué (correspond au dégradé du contour progressif si l’on rempli la zone sélectionnée avec
de la couleur).

Lundi 02/11/2009 et mercredi 04/11/2009


-Outil de déplacement:
Options de transfert, permet de déformer la sélection.
Outils d’alignement de la zone sélectionnée par rapport aux calques
L’accès à l’outil de déplacement peut se faire par raccourci en appuyant sur CTRL lorsque
que l’on est avec un outil de sélection.

-Baguette magique :
Tolérance, permet de régler les nuances de couleurs tolérées par la sélection de zone de
couleur effectuée.
Pixels contigus, permet de sélectionner uniquement les pixels de la couleur sélectionnée qui
se touchent.
Echantillonner tous les calques (cs2) permet de faire une sélection de couleur sur tous les
calques
Ajouter à la sélection (raccourci Maj+ outil)
Soustraire à la sélection (raccourci Alt+outil)
Sélectionner l’intersection

-Recadrage:
Option image premier plan : permet de recadrer et redimensionner la zone sélectionnée à la
taille de l’image de départ (donc contraint également le respect de ses proportions)

-L’outil tranche :
Cet outil permet de tracer des zones rectangulaires qui fixeront les limites de chaque image à
l'exportation.
Il s'utilise comme l'outil Rectangle de sélection, tracez un rectangle avec un cliqué-déplacé.
Pour créer une tranche de forme carrée, maintenez la touche MAJ enfoncée.
Si vous voulez plus de précision, vous pouvez créer une tranche autour d'une sélection précise
d'éléments.
Pour cela, il faut sélectionner les éléments en question puis Objet > Tranche > Créer d'après la
sélection.
Vous allez remarquer que le logiciel crée des zones automatiques autour de la première zone
que vous allez créer.
Ces zones vont remplir le reste de l'illustration de tranches pour que l'ensemble du design soit
découpé.

-Outil correcteur :
Déterminer avec Alt un point à partir duquel reproduire les couleurs… Permet une diffusion
entre la luminance et la chrominance des couleurs de la zone sélectionnée et de la zone sur
laquelle on va agir.
En mode superposition, permet d’obtenir un fondu entre les pixels copiés et ceux sur lesquels
on copie.

-Outil correcteur de tons directs :


Fonctionne à partir d’une zone déterminée avec l’outil correcteur, n’agit que sur les tons
directs

-Outil pièce :
Déterminer une zone de sélection à corriger soit avec l’outil pièce ou avec un outil de
sélection. Déplacer celle-ci vers une zone prendre en référence

-Outil pinceau/Crayon :
Possibilité de varier le flux (flux aérographe : force de projection de la couleur) et l’opacité
(transparence de la couleur) er le mode

Fenêtre de calques, gestion des nouveaux calques, des modes et des styles de calques

Lundi 09/11/2009 et Mercredi 11/11/2009 et Lundi 16/11/2009

-Outil tampon/Tampon de motif :


Déterminer avec Alt un point à partir duquel reproduire les couleurs…
Possibilité de varier le mode de reproduction (produit…), le flux et l’opacité, et la dureté (flou
autour de la zone reproduite).
Le tampon de motif est un pinceau motif…

-Outil forme d’historique et forme d’historique artistique :


Permet de revenir sur un tracé effectué présent dans l’historique en ciblant à quel moment
dans l’historique je veux intervenir

-Outil gomme/Gomme d’arrière plan/Gomme magique :


Gomme permet d’effacer en tenant compte de l’opacité du flux avec différentes formes
Gomme d’arrière plan permet d’effacer des couleurs (évité le détourage) sélectionnées avec
Alt en réglant les limites (discontigües, contigües, au contour), l’échantillonnage (une fois,
couleur de fond ou continu) et la tolérance.
La gomme magique permet de supprimer les pixels d’une même couleur en réglant la
tolérance.

-Outil dégradé/pot de peinture :


L’outil dégradé permet de réaliser des dégradés automatiques à l’intérieur d’une sélection
L’outil pot de peinture permet le remplissage d’une sélection en variant tolérance, opacité,
mode et motif de remplissage

-Outil goutte d’eau/Netteté/doigt :


L’outil goutte d’eau permet un étalement de la couleur comme si l’on y ajoutait de l’eau
L’outil Netteté augmente la précision de zones d’image mais détruit les pixels de couleur
L’outil doigt permet un étalement de la couleur de type doigt
Tous trois peuvent être réglés en intensité et mode

-Outil densité -/densité+/Eponge :


L’outil densité – réduit la netteté en éclaircissant les pixels
L’outil densité + rend l’image plus nette en assombrissant les pixels
Pour ces deux outils, Gamme : Détermine les pixels de l'image qui seront modifiés par l'outil.
Exposition : Permet de doser la quantité de l'effet appliqué.
L’outil éponge sature et désature les pixels, Mode : Saturer intensifie les couleurs en les
rendant plus brillantes, alors que Désaturer obscurcit les couleurs en les rendant plus ternes.

-Outil flèche blanche/flèche noire :


Agissent sur les tracés vectoriels, la flèche noire pour l’ensemble du tracé, la flèche blanche
sur un ou une série de points.

-Outil texte Horizontal/Vertical/Masque de texte :


Outil texte permet d’introduire des calques vectoriels avec du texte
Outil masque de texte permet de créer une zone de sélection en forme de texte (intérêt créer
un texte incrusté en copiant la zone sélectionnée à partir d’un calque ou il y a de la couleur
puis en double cliquant sur le calque de copie afin d’obtenir les effets d’ombre portée,
interne…)

Outil plume :
Permet les tracés vectoriels

Outil forme (ellipse, rectangle…) :


Permet le tracé de formes géométriques vectorielles.

Outil annotations/annotations audio :


Permet des commentaires non imprimables sur des zones de travail

Outil pipette/Mesure :
Outil pipette permet de prélever de la couleur dans l’image (accessible avec l’outil pinceau en
appuyant sur Alt)
Outil mesure, permet de mesurer des distances et de rétablir l’horizontalité d’une ligne à partir
de Edtion/rotation de la zone de travail/paramétrée

Outil Main :
Permet de naviguer dans l’espace de travail (raccourci barre d’espace)

Outil loupe :
Permet de grossir et diminuer la visualisation de l’espace de travail (raccourci CTRL+espace
pour loupe + et CTRL+Alt+espace pour loupe -)

Sélecteur de couleur

Mode Masque

Mercredi 18/11/2009 et Lundi 23/11/09

PAO
Filtre/Atténuation/Flou Gaussien
Filtre/Rendu Eclairage
Options de calque/ Lueur, Ombres
Sélection de plage de couleur
Sélection Modifier/ Contracter et Dilater.
Modification de la taille de la zone de travail : Image/Taille de la zone de travail

Expérimentation : Redimensionner à la hausse une image de « Gazon ». Prolonger l’image


dans la nouvelle zone créée.

Mode masque dit masque de sélection où masque rapide

Mode de visualisation fenêtre, plein écran, sans menu

-Sélection/généraliser, permet de généraliser une sélection de couleur aux couleurs identiques


dans l’image.

Nettoyage des images scannées :


-Sur une image scannée (brut de scan) N&B la correction des N&B se fait par
Image/réglages/courbes (ctrl+M), définir alors avec la pipette point blanc la couleur qui sera
le point de départ des blancs (toutes les teintes en dessous seront blanches) et définir avec la
pipette point noir le point de départ des noirs (tout ce qui est plus foncé sera noir).
3. Les Fichiers Audio
.AIFF .AIF (Audio Interchange File Format) ou .SND (SouND)
Relativement répandu sur l'Internet, il est très utilisé sur Mac et reconnu désormais par les
logiciels PC, ce qui le place comme le premier format d'échange multi-plateformes.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Sound Forge (PC) - Cool Edit pro (PC) -
Sound Edit (Mac) - Director et de manière générale tout logiciel professionnel de traitement
audio.

.MID (Music Instrument Digital Interface) Fichier binaire


normalisé pour transmettre des informations musicales entre instruments électroniques et
ordinateurs. De poids très faible, il convient parfaitement à un site Web mais la qualité de la
restitution est très variable selon la carte son.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Lecture directe avec le lecteur multimédia de
Windows ou le lecteur QuickTime sous Mac.
De manière générale, tout logiciel d'édition et de composition musical : Cubase - Cakewalk,
etc.

.MP3 (Moving Pictures Expert Group)


Ce format public sert pour la numérisation audio de qualité comparable au disque compact de
morceaux de musique issus généralement de CD Audio. La compression permet d'obtenir des
fichiers peu volumineux facilement échangeable tout en ayant une bonne qualité de son
(réduisant la palette des sons sans affecter la qualité d’écoute). Applications à utiliser pour
ouvrir ces fichiers: WMP, WinAmp (PC) et autre lecteurs Mac et PC.

.RA .RAM (Real Audio)


Ce format binaire propriétaire de séquences sonores et vidéo par l'Internet est qualité
satisfaisante, tout en se satisfaisant du débit (très) limité du réseau Internet.

Application à utiliser pour ouvrir ces fichiers : RealPlayer (shareware / commerciale)

.WAV (Waveform Audio File Format)


Ce format issu de Windows pour stocker des séquences sonores est le format propriétaire de
l'environnement Windows sur PC. Le .Wav s'est très largement répandu dans le milieu
professionnel pour cause de compatibilité.

Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Lecture directe avec le lecteur multimédia de
Windows ou le lecteur QuickTime sous Mac.
De manière générale, tout logiciel d'édition et de composition musical : Cubase - Cakewalk,
etc.

4. Les Fichiers Vidéo

Sur Internet les débits actuels RTC ne permettent pas pour trouver de longs métrages en son
numérique. Pourtant la vidéo se développe avec deux méthodes de visualisation soit en différé
après téléchargement, soit en direct pendant le téléchargement.

.AVI (Audio Video For Windows)


Format video de Windows.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Lecture directe avec le lecteur multimédia de
Windows. Cette extension, grâce au logiciel libre sert pour les fichiers vidéo compressés
notamment le format DivX permettant d'obtenir des fichiers peu volumineux facilement
échangeables tout en ayant une bonne qualité.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers :
Lecture directe avec le lecteur multimédia de Windows

.MPEG .MPG (Moving Picture Expert Group)


Groupe d’experts chargés de mettre au point un format de compression vidéo. Et, par
extension, les formats eux-mêmes (extension « .MPG » sous MS-DOS). On obtient de très
bons rapports de compression : de 50 à 200. Et c’est sans aucun rapport avec JPEG ni avec le
M-JPEG.
Dans le format MPEG, on distingue plusieurs méthodes d’encodage (compression et
décompression de données, qu’on appelle aussi codec), qui permettent d’optimiser le rapport
qualité/taille. De plus, la notion de définition est directement liée à la taille du fichier. Pour 10
minutes de vidéo, on constate:
• MPEG1 format 360 X 240 (pixels), environ 100 Mo/10 mn, appelé aussi format VCD (vidéo
CD)
• MPEG2 format 540 X 360 (pixels), environ 500 Mo/10 mn, appelé aussi format SVCD
(super vidéo CD)
• MPEG2 format 760 X 540 (pixels), environ 700 Mo/10 mn, appelé aussi format DVD
(digital versatil disk)
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers :
Lecture directe avec le lecteur multimédia de Windows ou le player QuickTime pour les Mac.

.MOV .QT (QuickTime Movie)


Développé par Apple, concurrent du .AVI de Windows, il est très répandu sur l'Internet et sur
toutes les plates-formes visant le statut de standard universel.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers :
Lecture directe avec le lecteur QuickTime.

.RA (Real Audio)


Format propriétaire pour la diffusion en direct de séquences sonores et vidéo par l'Internet.
Application à utiliser pour ouvrir ces fichiers : RealPlayer (version shareware ou
commerciale)

.VDO (VDO Live)


Format propriétaire pour la diffusion en direct de séquences vidéo par l'Internet.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : VDO player ou plug-in adapté.

.VIV (Video Active)


Format propriétaire pour la diffusion en direct de séquences vidéo par l'Internet. Ces fichiers
très compacts sont de qualité d'image médiocre.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : VIV player ou plug-in adapté.

5. Les Fichiers Multimédia

.PPT (PowerPoint)
Le format PowerPoint est devenu un standard pour les présentations assistées par ordinateur
imposé par Microsoft. Une projection effectuée sur PC pourra être relue sur Mac sous réserve
d'utiliser une version équivalente.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : PowerPoint ou visionneuse gratuite proposée
par Microsoft.

.DIR .DXR (Director)


Director s'est imposé pour la création de CD-Rom multimédia. Vous trouverez probablement
ce format de fichier dans sa version compressée .DXR plutôt que dans sa version DIR
(sources).
Application à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Director (vous pouvez utiliser la version Mac
ou PC pour ouvrir ces fichiers sous réserve que la version corresponde).

.SWF (ShockWave Flash)


Le format de fichier des animations Flash est très largement utilisées sur l'Internet et tend à
supplanter le format GIF. En effet elles sont moins gourmande en volume (gain de
chargement) et peuvent être sonorisées.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers :
Flash ou plug-in pour navigateur Internet.

6. Les Fichiers de Compression, d’Archivage, d’Encodage

Ces types de fichiers sont d'une très grande utilité pour les usagers de l'Internet. La fonction
de compression de fichiers consiste à réduire leur taille.
La fonction d'archivage, quant à elle, sert à regrouper plusieurs fichier, des répertoires, des
sous-répertoires et tout leur contenu sous un même fichier afin de pouvoir envyer le tout en
une fois.

.ZIP
Format de compression et d'archivage très utilisé dans le monde professionnel et sur l'Internet.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : WinZIP - Stuffit Expander ou équivalent.

.BIN
Encodage de fichiers pour Macintosh. Format 8 bits.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Stuffit Expander ou équivalent.

.EXE
Fichiers exécutables pour DOS ou Windows. Il s'agit de programmes proprement dits. On
trouve sur l'Internet des fichiers de ce type qui sont, en fait, des archives compressées auto-
extractible.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Aucune, car un fichier exécutable se lance de
lui-même !

.HQX (BinHex)
Avec un encodage ASCII de fichiers binaires, il sont très commun sur l'Internet pour les
fichiers destinés au Macintosh.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Stuffit Expander ou équivalent.

.SIT .SEA (Stuffit Archives, Sef-Extracting Archives)


Archivage de fichiers pour Macintosh, avec compression. Format propriétaire de Alladin
Systems.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Stuffit Expander ou équivalent.

.UUE (UUencoding)
Encodage ASCII (7 bits) de fichiers binaires très utilisés pour le transfert de fichiers (courrier
électronique et forums).
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Stuffit Expander ou équivalent

7. Les Extensions souvent recompressés (.ZIP)

Vous rencontrerez rarement ces extensions réservées essentiellement aux administrateurs


système sous UNIX.

.GZ (GNU ZIP)


Compression de fichiers pour la plate-forme UNIX.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : WinZIP - Stuffit Expander ou équivalent.

.TAR (Tape Archive)


Archivage de fichiers pour UNIX, sans compression.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : Décompresseur TAR.

.Z (Compress)
Compression de UNIX.
Applications à utiliser pour ouvrir ces fichiers : WinZIP - Stuffit Expander ou équivalent.

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