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Antonin avait toujours été passionné par le monde de la justice et de la sécurité.

Depuis son plus jeune âge, il était fasciné par la façon dont les enquêteurs
résolvaient les crimes les plus complexes.
Il passait des heures à regarder des films policiers et à jouer aux jeux de
détective avec ses amis.
Adolescent, il lisait tous les livres qu'il pouvait trouver sur les criminels
célèbres et les enquêtes résolues.
C'est cette passion qui l'a conduit à choisir sa voie professionnelle. Antonin
avait un objectif précis en tête : devenir inspecteur de police.

Pour réaliser son rêve, il a suivi des études de droit pour se préparer à ce métier
et a finalement intégré l'école de police.
Après avoir réussi brillamment ses examens, il a été affecté au commissariat du
13ème arrondissement de Paris, un quartier animé et cosmopolite
où il a travaillé dur pendant dix ans.

Au fil des années, Antonin s'est forgé une réputation d'enquêteur habile et
méthodique.
Il avait résolu de nombreux crimes et aidé de nombreuses victimes à obtenir
justice. Il travaillait souvent en collaboration avec ses collègues, en particulier
avec sa coéquipière Léa, une jeune femme dynamique et débrouillarde avec qui il
formait une équipe efficace. Ensemble, ils avaient élucidé de nombreuses affaires
difficiles.

Ce matin-là, Antonin était de retour au commissariat. Il avait un programme chargé


de travail, comme d'habitude.
Il avait plusieurs rapports à rédiger et des dossiers à trier. Il se servit un café
dans la machine à café et s'installa devant son ordinateur pour commencer sa
journée de travail.

Mais, comme souvent dans ce métier, une affaire soudaine et inattendue allait tout
bouleverser.
Antonin reçut un appel de son supérieur hiérarchique, le capitaine Dupont, qui lui
demanda de le rejoindre immédiatement dans son bureau.

Antonin était intrigué. Il se demandait quelle pouvait être cette affaire si


urgente et si mystérieuse.
Il se leva de son bureau et se dirigea vers le bureau du capitaine Dupont.

En entrant dans le bureau du capitaine, Antonin sentit immédiatement une certaine


tension. Le capitaine Dupont avait l'air grave et préoccupé.

"Bonjour Antonin. Assieds-toi."

"Bonjour capitaine. De quoi s'agit-il ?" demanda Antonin, inquiet.

"D'une affaire très louche qui vient d'arriver sur mon bureau ce matin."

Le capitaine Dupont sortit une enveloppe kraft qu'il posa sur la table.

"Cette enveloppe contient une clé USB que j'ai reçue par la poste ce matin. Elle
provient d'un expéditeur anonyme qui prétend avoir des informations sur un réseau
criminel très dangereux."

Antonin était choqué par les propos du capitaine Dupont. Il avait déjà entendu
parler de ce genre de trafic, mais il ne pensait pas qu'il puisse exister à Paris.

"Un réseau criminel ? Quel genre ?" demanda-t-il, incrédule.


"Un réseau qui s'occupe de trafic d'organes humains," répondit le capitaine Dupont
d'une voix grave.

Antonin sentit un frisson parcourir son corps.


Il n'avait jamais été confronté à une telle affaire auparavant, et il savait que
cela allait être difficile et éprouvant.

Il prit la clé USB de l'enveloppe et la connecta à son ordinateur.


Il y trouva une vidéo qui montrait un homme en train de parler à la caméra, caché
derrière un masque. L'homme prétendait faire partie de ce réseau criminel et disait
avoir des informations importantes à fournir en échange d'une protection policière.

Antonin et le capitaine Dupont regardèrent la vidéo avec attention.


Le capitaine semblait perplexe, mais Antonin pouvait voir la détermination dans ses
yeux.
Il savait que cette affaire allait être difficile à résoudre, mais il était
déterminé à faire tout ce qu'il pouvait pour arrêter ce réseau et les criminels qui
en faisaient partie.

"Nous allons enquêter sur cette affaire, Antonin. Je vais mettre à ta disposition
tous les moyens dont
tu as besoin pour y parvenir," dit le capitaine Dupont.

Antonin acquiesça silencieusement. Il était prêt à relever le défi, mais il savait


que cela allait être
une bataille difficile et dangereuse.

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