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Conception Des SI (SAYOUTI)
Conception Des SI (SAYOUTI)
Plan :
1. Introduction
Génie logiciel
Pourquoi Analyser, Concevoir et Modéliser?
Cycle de vie d’un logiciel
Système d’information dans l’entreprise
Méthode MERISE
2. Niveau conceptuel
Modèle Conceptuel de données (MCD)
Modèle Conceptuel de Communication (MCC)
Modèle Conceptuel de traitement (MCT)
3. Niveau logique
Modèle logique de données (MLD)
4. Niveau organisationnel
Modèle Organisationnel de Données (MOD)
Modèle Organisationnel de Traitement (MOT)
5. Niveau physique
Modèle Physique des Données (MPD)
6. Introduction à l’UML
3
Introduction
- Génie logiciel
Remarque :
Echéance : Atteindre la fin d'un délai qui avait été prévu pour la
réalisation d’une application ou projet. 4
Introduction
- Génie logiciel
Pour apporter une réponse à tous ces problèmes, le génie logiciel
s'intéresse particulièrement à la manière dont le code source d'un
logiciel est spécifié puis produit. Ainsi, le génie logiciel touche au
cycle de vie des logiciels :
o Étude de faisabilité
o Analyse des besoins :
o Besoins fonctionnels,
o Besoins non fonctionnels,
o Conception,
o Développement (Codage),
o Tests unitaires
o Intégration et tests
o Livraison
o Maintenance
5
Introduction
-Etude de faisabilité
Étude de faisabilité
o Faisabilité économique
o Faisabilité technique
– Risques de développement
– Disponibilité des ressources
– Technologie nécessaire
o Faisabilité légale
o Étude de faisabilité : aspects économiques
Analyse du rapport Coût/Bénéfice :
– Coût du système
– Bénéfices mesurables (en DH )
– Bénéfices non mesurables
• meilleure conception
• meilleures décisions marketing
• satisfaction accrue du client
L’analyse Coût/Bénéfice est souvent le moyen d’obtenir le feu
6
vert de la direction.
Introduction
- Analyse des besoins
Analyse des besoins
o Définition des besoins à différents niveaux d’abstraction :
– Besoins de l’utilisateur
– Besoins des composants
o Définition du système à réaliser avec le point de vue de l’utilisateur
et/ou du client
o Analyse des besoins : LE QUOI
o Conception : LE COMMENT
Le processus d’analyse
Processus de découverte, de raffinement, de modélisation et de
spécification
• Les utilisateurs/clients et les développeurs ont des rôles actifs
• Les utilisateurs ne sont pas satisfaits par un système bien conçu et
bien implémenté
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Introduction
- Analyse des besoins
o les parties prenantes de l’entreprise regroupent l’ensemble de
ceux qui participent à sa vie économique (salariés, clients,
fournisseurs, actionnaires), de ceux qui observent l’entreprise
(syndicats, ONG), et de ceux qu’elle influence plus ou moins
directement (société civile, collectivité locale). Les parties
prenantes sont toutes les personnes ayant un intérêt dans les
activités de l’entreprise.
9
Introduction
- Analyse des besoins
10
Introduction
- Analyse
o Bases de la communication
o Ecouter le client
o Préparer les réunions
– Connaissance du client et des contacts
– Lecture des documents disponibles
– Penser aux objectifs de la réunion
– Penser aux problèmes
– Être à l’heure
Indications à suivre
o Comprendre le problème avant de commencer à créer la
spécification des besoins
– Ne pas résoudre le mauvais problème
o Développer des prototypes des interfaces utilisateurs (IHM)
– Les interfaces utilisateurs déterminent souvent la qualité…
o Noter et tracer l’origine et les raisons d’un besoin
o Utiliser des vues multiples sur les besoins
– Réduit les risques de rater quelque chose
o Classer les besoins par priorité 12
Introduction
- Cahier des charges
14
Introduction
- Besoins fonctionnels/non fonctionnels
Besoins fonctionnels
• Validité :
aptitude d'un produit logiciel à remplir exactement ses fonctions,
définies par le cahier des charges et les spécifications.
• Fiabilité ou robustesse :
aptitude d'un produit logiciel à fonctionner dans des conditions
anormales.
• Extensibilité :
facilité avec laquelle un logiciel se prête à sa maintenance, c'est-à-
dire à une modification ou à une extension des fonctions qui lui sont
demandées.
17
Introduction
- Qualité du logiciel
• Réutilisabilité :
aptitude d'un logiciel à être réutilisé, en tout ou en partie, dans de
nouvelles applications.
• Compatibilité :
facilité avec laquelle un logiciel peut être combiné avec d'autres
logiciels.
• Efficacité :
Utilisation optimale des ressources matérielles.
• Portabilité :
facilité avec laquelle un logiciel peut être transféré sous différents
environnements matériels et logiciels.
• Vérifiabilité :
facilité de préparation des procédures de test.
18
Introduction
- Qualité du logiciel
• Intégrité :
aptitude d'un logiciel à protéger son code et ses données contre des
accès non autorisés.
• Facilité d'emploi :
facilité d'apprentissage, d'utilisation, de préparation des données,
d'interprétation des erreurs et de rattrapage en cas d'erreur
d'utilisation.
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Introduction
- Pourquoi modéliser?
Exemples de modèles :
• Modèle météorologique, modèle économique, modèle
démographique Modèles prédictifs
• Plans (exemple : la construction d'un immeuble) Modèles
conceptuels
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Introduction
- Pourquoi modéliser?
• Modéliser un système avant sa réalisation permet de mieux
comprendre le fonctionnement du système. C'est également un
bon moyen pour maîtriser sa complexité et d'assurer sa cohérence.
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Introduction
- Cycle de vie d’un logiciel
23
Introduction
- Cycle de vie d’un logiciel
24
Introduction
- Cycle de vie d’un logiciel
• Tests unitaires
ils permettent de vérifier individuellement que chaque sous-ensemble du
logiciel est implémenté conformément aux spécifications ;
• Intégration
l'objectif est de s'assurer de l'interfaçage des différents éléments (modules) du
logiciel. Elle fait l'objet de tests d'intégration consignés dans un document ;
• Documentation
vise à produire les informations nécessaires pour l'utilisation du logiciel et pour
des développements ultérieurs (guide utilisateur et guide technique)
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Introduction
- Cycle de vie d’un logiciel
• Mise en production
c'est le déploiement sur site (emplacement géographique) du logiciel ;
• Maintenance
elle comprend toutes les actions correctives (maintenance corrective) et
évolutives (maintenance évolutive) sur le logiciel.
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Introduction
- Modèle en cascade
27
Introduction
- Modèle en cascade
• Avantages
– Adapté aux logiciels ou les exigences sont bien connues et non sujettes à
modification
Fonctionnalités/attentes utilisateurs
Technologies utilisées
– Fonctionne très bien quand la qualité est plus importante que les coûts/délais
• Limites
– la vérification du bon fonctionnement du logiciel est réalisée trop tardivement
– Fort coût de correction des erreurs si elles sont découvertes tardivement
– Ne contient pas d’activités d’analyse de risque
– Ne gère pas explicitement les changements des spécifications
• Quand l’utiliser?
– Quand les besoins sont connus et stables
– Quand la technologie à utiliser est maîtrisée
• Exemples:
• Création d’une nouvelle version d’un produit existant
• Portage d’un produit sur une nouvelle plateforme 28
Introduction
- Modèle en V
e plus utilisé.
• Il s'agit d'un modèle en cascade dans lequel le développement du logiciel
et des tests sont effectués de manière synchrone.
• Le principe de ce modèle est que toute description d'un composant est
accompagnée de tests qui permettront de s'assurer qu'il correspond à sa
description.
• Ce modèle souffre toujours du problème de la vérification trop tardive du
bon fonctionnement du système.
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Introduction
- Modèle en V
• Avantages
– Force la documentation: une phase ne peut se terminer avant qu’un
document ne soit validé
– Le test est inhérent à chaque phase
• Les limites
– la vérification du bon fonctionnement du logiciel est réalisée trop
tardivement : Très couteux si les erreurs sont constatées
– Ne marche que si les exigences sont stables et le problème est connu
– Ne contient pas des activités d’analyse de risque
– Ne gère pas explicitement les changements des spécifications
• Quand l’utiliser?
– Quand le logiciel à développer à de très hautes exigences de qualité
– Quand les besoins sont connus à l’avance
– Les technologies à utiliser sont connues à l’avance
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Introduction
- Modèle en spirale
• Ce modèle met l'accent sur l'activité d'analyse des risques : chaque cycle
de la spirale se déroule en quatre phases :
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Introduction
- Modèle en spirale
Conception et
Spécification des
résolution des
contraintes et
problèmes
objectifs
1 Cycle 2
Cycle 1
1 2 2
4 3
3
4
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Introduction
- Modèle en spirale
• Avantages
• Identification des risques, impacts minimaux des risques sur le logiciel
• Fonctions critiques développées en premier
• Feedback rapide du client
• Une évaluation continue du logiciel
• Les limites
• L’évaluation des risques peut prendre beaucoup de temps
• Le modèle est très complexe
• La spirale peut s’éterniser
• Quand l’utiliser?
• Quand le prototypage est exigé
• Quand le risque est considérable
• Quand les spécifications ne sont pas stables
• Quand le produit implique de la recherche et de l’investigation
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Introduction
- Modèle par incrément
o Les noyaux, les incréments ainsi que leurs interactions doivent donc être
spécifiés globalement, au début du projet. Les incréments doivent être
aussi indépendants que possible, fonctionnellement, mais aussi sur le plan du
calendrier du développement.
o Les premiers incréments peuvent être des maquettes (jetables s’il s’agit juste
de comprendre les besoins des utilisateurs) ou des prototypes (réutilisables
pour passer au prochain incrément en les complétant et/ou en optimisant leur
implantation).
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Introduction
- Modèle par incrément
• Architecture évolutive
– Découpage fonctionnel en sous ensemble
– Développement des sous-ensembles par incrément
– (un incrément= 1 version). La première version constitue le noyau
– Les versions suivantes s’appuient sur l’existant et étendent l’architecture
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Introduction
- Modèle par incrément
Architecture stable
– La première version fournit une enveloppe complète
– Chaque nouvelle version fournit un ou plusieurs sous système en
respectant l’architecture
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Introduction
- Modèle par incrément
Avantages
– Une première version du logiciel est fournie rapidement
– Les clients peuvent ajouter des exigences à tout moments
– Chaque développement est moins complexe et donne un produit fonctionnel
– Possibilité de livraisons et de mises en service après chaque incrément
– Le client intervient à la fin de chaque incrément, il entre en relation avec le
produit très tôt
Limites
– Architecture stable: Réalisation trop complexe; difficile de concevoir une
architecture stable dès le début
– Exige une vision sur le produit fini pour pouvoir le diviser en incréments
– Difficulté de définir le nombre d’incréments
– Incréments réutilisables inadaptés
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Introduction
- Modèle par incrément
Quand l’utiliser?
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MERISE
Système d’Information
o La conception d'un système d'information n'est pas évidente car il faut réfléchir
à l'ensemble de l'organisation que l'on doit mettre en place. La phase de
conception nécessite des méthodes permettant de mettre en place un modèle
sur lequel on va s'appuyer.
39
MERISE
Système d’Information
40
MERISE
Système d’information dans l’entreprise
41
MERISE
Système d’information dans l’entreprise
42
MERISE
Système d’information dans l’entreprise
43
MERISE
Architecture d’un système d’information
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MERISE
Architecture d’un système d’information
45
Présentation de la méthode Merise
46
Présentation de la méthode Merise
48
Présentation de la méthode Merise
o L’étude détaillée (par projet) consiste d’une part à affiner (amèliorer) les
solutions conçues lors de l’étude préalable et d’autre part à rédiger, pour
chaque procédure à mettre en œuvre, un dossier de spécifications détaillé
décrivant les supports ainsi que les algorithmes associés aux règles de
gestion… A l’issue de cette étude, il est possible de définir le cahier des
charges ainsi que le fonctionnement détaillé du futur système, du point de
vue de l’utilisateur.
o La réalisation (par application) l’objectif est l’obtention des programmes
fonctionnant sur un jeu d’essais approuvés par les utilisateurs.
o La mise en œuvre se traduit par un changement de responsabilité:
l’équipe de réalisation transfère la responsabilité du produit à l’utilisateur.
Cette étape intègre en particulier la formation des utilisateurs. Après une
période d’exploitation de quelques mois, la recette définitive de l’application
est prononcée.
o La maintenance consiste à faire évoluer les applications en fonction des
besoins des utilisateurs, de l’environnement et des progrès technologiques.
49
Merise
Cycles d’abstraction de conception des SI
50
Merise
Cycles d’abstraction de conception des SI
51
Merise
Cycles d’abstraction de conception des SI
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Présentation de la méthode Merise
- Le niveau conceptuel
Définit
• Des activités
• Des choix de gestion
• Des informations
Indépendamment
• Des aspects organisationnels
• Des aspects techniques de mise en œuvre
Du point de vue
• Des traitements: objectif, résultat, règle de gestion, enchaînement
• Des données: signification, structure, liens
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Présentation de la méthode Merise
- Le niveau organisationnel
57
Présentation de la méthode Merise
- Le niveau physique
58
Présentation de la méthode Merise
- Les modèles
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Le niveau conceptuel
Modèle Conceptuel de données (MCD)
Modèle Conceptuel de Communication (MCC)
Modèle Conceptuel de traitement (MCT)
Modèle conceptuel de données (MCD)
Libellé FR Sens
Client de
Désigne la personne destinataire des factures
facturation
Client payeur Désigne la personne qui paye les factures
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Date Code
n°ss Nom Prénom sexe Adresse Ville Téléphone
naissance Postal
3, rue de la
171046734543621 Dupond Albert 10/04/1971 F 99999 Strasbourg 01 32145678
gare
Rue des
268065415498494 Durant Lise 18/06/1968 F 54000 Nancy 0345762345
Lilas
0345762345
268065415498494 Durant Lisa 18.06.1968 F 54000 Null
Erreur de Format
(pb de conformité)
Doublon Pb d’intégrité
Erreur de saisie (pb Absence de valeur 64
(pb d’unicité) référentielle
d’exactitude) (pb de complétude)
Modèle conceptuel de données (MCD)
Objectif du MCD
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Entité
Concept concret ou abstrait (un fait, un moment…) identifié du
monde réel caractérisé par un nom et une liste de propriétés.
Attribut (Entité)
Propriété d’une entité ou d’une association caractérisée par un nom et
un type élémentaire.
Est un élément d’une entité :
– a un nom unique,
– doit avoir un sens (donc une valeur) pour chacune des occurrences de l’entité.
Exemple
Client Entité
N_client
Nom Propriétés
Prénom
67
Modèle conceptuel de données (MCD)
Règle 1
Une propriété ne peut en aucun cas être partagé par plusieurs
entités/associations.
Règle 2
Une propriété est une donnée élémentaire, ce qui exclut des
données calculées ou dérivées.
Règle 3
Une entité et ses propriétés doivent être cohérents entre eux (i.e. ne
traitent qu’un seul sujet).
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Occurrence: entité
Exemple
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Identifiant: entité
Règle 4
Chaque entité possède au moins un identifiant, éventuellement
formé de plusieurs propriétés.
Exemple
Client
N°client Identifiant
Nom simple
Prénom
Adresse
70
Modèle conceptuel de données (MCD)
Exemple:
Entité avec identifiant composé
Appartement
N°Appt Identifiant
Adresse composé
Superficie
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Dictionnaire de données
Un dictionnaire de données définit les informations, entités et propriétés de
l'entreprise, et en les gérant au sein d'un MCD
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Dictionnaire de données
Il s'agit de recenser les différentes données, sachant que l'on distingue 3
types de données :
1. Données élémentaires :
Elles ne sont pas obtenues par calcul à partir d'autres données.
Exemple : On donne la quantité, le prix de l'article, calculer le coût total. La
quantité et le prix sont des données élémentaires
2. Données calculées:
Elles résultent d'un calcul effectué à partir d'autres données.
Exemple : Le coût total est une donnée calculée (= qte * prix unitaire ).
3. Données paramètres:
C'est une donnée qui ne prend qu'une unique valeur.
Exemple : L'entreprise s'appelle PVF. La donnée nom de l'entreprise est une
donnée qui ne prend qu'une seule valeur : PVF. Il s'agit donc d'une donnée
paramétrable.
73
Modèle conceptuel de données (MCD)
74
Modèle conceptuel de données (MCD)
Association
Lien logique entre entités dont le type est défini par un verbe et une
liste éventuelle de propriétés
Règle 5
Une propriété peut être placée dans une association uniquement
lorsqu’il dépend de toutes les entités liées par l’association.
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Association : exemple
Nom de l’association
Client Commande
N°client Effectuer N°Commande
Nom Date Date livraison
Prénom Commande Total commande
Adresse
Extrémités de
l’association
collection de
l’association
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Association : identifiant
Il est implicite !
– C’est un ensemble composé des identifiants de la collection de l’association.
Règle 6
La concaténation des identifiants des entités liés à une
association constitue l’identifiant de cette association (cet
identifiant n’est pas mentionné sur le modèle (il est implicite).
Exemple:
– l’identifiant de l’association « effectuer » est le couple (N° client, N° commande)
Client
Commande
N°client Effectuer N°Commande
Nom Date Commande
Prénom Date livraison
Adresse Total commande
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Exemple
– Un client peut effectuer de 0 à n commande, mais une commande ne
peut être effectuer que par un seul client
Remarques
– Une cardinalité maximale de 0 n’a pas de sens
– Si une cardinalité maximale est connu et vaut 2, 3 ou plus, alors nous
considérons qu’elle est indéterminée et vaut n
– Les cardinalités minimales qui valent plus de 1 sont modélisées par 1
Client Commande
N°client (0,n) Effectuer (1,1) N°Commande
Nom Date Commande
Prénom Date livraison
Adresse Total commande
80
Modèle conceptuel de données (MCD)
Client Commande
N°client (0,n) Effectuer (1,1) N°Commande
Nom Date Commande
Prénom Date livraison
Adresse Total commande
Sur l’extrémité client, le 0 signifie que le client peut ne pas être reliée à la commande
lors de sa création.
81
Modèle conceptuel de données (MCD)
Exemple:
Le client 1 effectue la commande 1
Le client 2 effectue la commande 2
La commande 1 est effectuée par le client 1
La commande 2 est effectuée par le client 2
Client Commande
N°client (0,n) Effectuer (1,1) N°Commande
Nom Date Commande
Prénom Date livraison
Adresse Total commande
82
Modèle conceptuel de données (MCD)
Entité1 Entité2
N°Entité 1 (0,n) Association (1,1) N°Entité 2
Nom Entité 1 Nom Entité 2
Prénom Entité 1 Attribut Prénom Entité 2
etc etc
Faux
83
Modèle conceptuel de données (MCD)
Entité1 Entité2
Faux
84
Modèle conceptuel de données (MCD)
Personne Livre
(0,n) Être l’auteur (1,n)
Nom Titre
Prénom Editeur
Adresse (0,n) Avoir critiqué (0,n)
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Modèle conceptuel de données (MCD)
Parent
Personne
(0,n) Être parent
N°
Nom
Prénom Enfant
Adresse
(1,n)
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Modèle conceptuel de données (MCD)
A (0,n) (0,n)
Association B
idA
idB
(0,n)
C
idC
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Modèle conceptuel de données (MCD)
N° Film
Titre
Durée
88
Modèle conceptuel de données (MCD)
On remplace l’association ternaire (ou n-aire) par une entité et on lui attribut
un identifiant
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Modèle conceptuel de données (MCD)
0,n
Créneau h
Film Projection 1,1 Avoir lieu 0,n
dans N°créneau
N°Film N°projection
Titre Date
Tarif
Durée Heure de début
1,1
Salle
Concerner Film
N°Salle
Capacité N°Film
0,n Titre
Durée
90
Contraintes intra-relations (CIF)
Relation binaire
Voiture Personne
(1,1) Appartenir (0,n)
Immatriculation CIN
Modèle
91
Contraintes intra-relations (CIF)
Exprime qu’à partir d’une occurrence d’une entité, lui correspond (au plus)
une seule occurrence de l’autre entité
- La cardinalité maximum = 1
- Et l’existence d’une dépendance. Ces relations seront couramment appelées
relations binaires fonctionnelles
92
Contraintes intra-relations (CIF)
93
Contraintes intra-relations (CIF)
94
Contraintes intra-relations (CIF)
95
Contraintes intra-relations (CIF)
96
Contraintes intra-relations (CIF)
97
Contraintes intra-relations (CIF)
– A retenir
99
Contraintes intra-relations (CIF)
100
Contraintes intra-relations (CIF)
101
Contraintes intra-relations (CIF)
Après décomposition
102
Contraintes intra-relations (CIF)
Après décomposition
103
Contraintes intra-relations (CIF)
Après décomposition
Entité spécifique
Liste des propriétés
spécifiques
105
Modèle Conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation
Spécialisation simple
Permet de modéliser, dans l’ensemble des occurrences d’une entité, des
sous-ensembles d’occurrences présentant des spécificités
Ces spécificités peuvent porter sur des propriétés, des relations ou des
appellations
L’entité sous-type hérite de toutes les propriétés de l’entité sur-type y
compris de son identifiant
Modèle conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation
107
Modèle conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation
Types de contraintes :
Pas de contraintes
Exclusivité
Totalité
Partition
108
Modèle conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation
109
Modèle conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation
Exemple
110
Modèle conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation
Exemple
111
Modèle conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation
Représentation graphique
112
Conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation Modèle
Généralisation
Les entités sous-types préexistent
Leur identification est indépendante de celle de l'entité sur-type
Généralisation= mise en facteurs communs de propriétés
Processus de perception qui va du particulier au général
113
Conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation Modèle
Restriction et sous types d’associations
Concernent la restriction de relations à des sous-types d’entités
Exemple :
on dispose de trois entités : EMPLOYE, CHEF_PROJET, et PROJET
CHEF_PROJET étant un sous-type de EMPLOYE.
A l’entité PROJET, peuvent être affectés des EMPLOYES (via une association travailler)
Plusieurs employés peuvent travailler sur un même projet, mais à un projet est affecté un
seul chef de projet
pour l’entité CHEF_PROJET, il y a une modification des cardinalités de l’association
travailler.
Un projet est gérée par un seul CHEF_PROJET, l’association gérer est une spécialisation de
l’association travailler
114
Modèle conceptuel de données (MCD)
Entités A retenir….
Règle 2 Pour chaque occurrence d’une entité, chaque attribut ne peut prendre
qu’une valeur
Règle 3 Un attribut ne peut en aucun cas être partagé par plusieurs entités/associations
Règle 4 Un attribut est une donnée élémentaire, ce qui exclut des données calculées ou
dérivées
Règle 5 Deux occurrences de l’entité ne pourraient avoir la même valeur pour leur
identifiant
115
Modèle conceptuel de données (MCD)
Associations
A retenir….
Règle 6 Un attribut peut être placé dans une association uniquement lorsqu’il dépend
de toutes les entités liées par l’association
Règle 7 La concaténation des identifiants des entités liés à une association constitue
l’identifiant de cette association (cet identifiant n’est pas mentionné sur le
modèle (il est implicite).
Règle 11 Une association binaire ne peut en aucun cas porter des cardinalités 1,1 des
deux extrémités !
116
Modèle conceptuel de données (MCD)
Client Facture
N° client Correspondre N° Facture
0,n 0,n
Nom Date
Prénom Adresse de facturation
Adresse de facturation
117
Modèle conceptuel de données (MCD)
Employé Adresse
1,n N°adresse
N° Employé
Nom Code postal
Employé Habiter Ville
Prénom Normaliser
Adresse principale
N°Employé 1,n
Adresse secondaire
Nom
N° tél domicile principale
Prénom
N° tél domicile
secondaire 1,n
N° portable Num tél
Posséder
N°num tél
1,n
type
118
Modèle conceptuel de données (MCD)
Commande Article
119
Modèle conceptuel de données (MCD)
Médecin
N°médecin
Nom
Prénom
Adresse
Spécialité 120
Modèle conceptuel de données (MCD)
Ecrivain
Ecrire
N°Ecrivain 0,n Ecrire
Nom
Prénom 0,n 0,n
Adresse
Personne Livre
121
Modèle conceptuel de données (MCD)
0,n 0,n
Jouer
Jouer en tant Jouer en tant Jouer en tant Jouer en tant Type
que joueur 1 que joueur 2 que coéquipier que coéquipier
1 2
1,1 0,1 1,n
Match de Tennis
Match de Tennis
N°Match
1,1 0,1
N°Match Type
Type
122
Modèle conceptuel de données (MCD)
Fournisseur
N°fournisseur
Nom 1,1
Prénom
Adresse Fournisseur
123
Modèle conceptuel de données (MCD)
- Types et sous types: spécialisation/généralisation
Spécialisation: Exemple
• La bibliothèque universitaire offre à ses adhérents la possibilité d’emprunter
des livres, des périodiques, etc
• Les adhérents de la BU sont soit des étudiants, soit des enseignants. Tous
les adhérents ont un numéro, un nom, un prénom, une adresse et un
numéro de téléphone
• Un adhérent enseignant a en plus la structure à laquelle il appartient (un
laboratoire, un département, etc), l’adresse de son bureau et enfin le
numéro de téléphone de son bureau. Un adhérent étudiant a une filière et
une année d’études
• Tous les documents de la bibliothèque ont un numéro, un titre et un éditeur.
Les livres ont comme propriétés supplémentaires le nom de l’auteur et le
nombre de pages
• Les dictionnaires sont comme propriétés supplémentaires le nombre de
définitions. Les périodiques ont comme propriétés supplémentaires le
nombre total d’auteurs
• Les thésards peuvent être à la fois étudiants et enseignants.
• Modélisez !!
124
Niveau conceptuel
126
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Organisation: Etape 1
127
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Organisation: Etape 2
Acteur
– Représenté par un cercle libellé par le nom de l’acteur
129
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Acteurs internes
130
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Acteurs externes
131
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Flux d’information
– Représenté par une flèche entre deux acteurs, étiquetée par le nom du
flux.
132
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Diagramme de contexte
– Le diagramme de contexte a pour but de représenter les flux
d'informations entre l'organisation et les acteurs externes selon une
représentation standard dans laquelle chaque objet port un nom :
• L'organisation est représentée par un rectangle ;
• Les acteurs externes sont représentés par des ellipses en pointillés ;
• Les flux d'information sont représentés par des flèches dont l'orientation
désigne le sens du flux d'information.
133
Modèle conceptuel de communication (MCC)
134
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Exemple
– Gestion des sinistres dans une société d’assurance. A l’arrivée d’une
déclaration de sinistre, on l’examine. Si la déclaration est recevable, on
demande l’avis d’un expert, sinon on notifie le refus à l’assuré. Au retour
de l’expertise et après réception de la facture du garage, on calcul le
montant du remboursement et on envoie le chèque au client.
– Liste des flux : déclaration, demande, avis, facture, refus, avis expert,
chèque
135
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Exemple
136
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Exemple
Lorsque le graphe comporte plusieurs acteurs internes on regroupes parfois
tous ces acteurs en une même entité (correspondant au SI à étudier) et on ne
garde que les flux en entrée et en sortie. C’est le graphe de flux contextuel.
137
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Exemple
A partir du graphe contextuel on peut lister tous les événements en entrée du
système (arrivée d’un flux sur un acteur interne) et tous les événements en
sortie (départ d’un flux sur un acteur interne vers un acteur externe). C’est
important pour caractériser le domaine d’études et pour la suite de l’analyse
Exemple:
138
Modèle conceptuel de communication (MCC)
Remarques
On ne s’intéresse ni à l’ordonnancement des flux ni aux activités des acteurs.
On fait abstraction de ces « détails »(pour le moment!)
On se limite aux flux informationnels en ignorant les flux matériels . (ex. dépôt
du véhicule)
Entre deux acteurs, il peut y avoir plusieurs flux dans le même sens s’ils sont
non simultanés, s’ils sont simultanés
Exemple
Les demandes d’ouverture du compte bancaire doivent suivre les règles de gestion
suivantes:
Règle1: Toute demande d’ouverture de compte doit faire l’objet d’un examen
préalable
141
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
Exemple
142
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
143
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
Notation graphique
C’est un stimulis pour le SI qui provoque une réaction. Il doit être détectable
par le SI
Opération
145
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
Synchronisation
Exemple: a ou (b et c)
146
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
Règles d’émission
Ex.
Les conditions d’émission portent souvent sur des cas d’anomalies (ex: une
rupture de stock)
147
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
Types d’événement
148
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
Construction du MCT
Jeton=occurrence d’événement
Construction du MCT
Etape 3: A partir du graphe des flux, établir la liste de tous les événements en
entrée et en sortie du SI
150
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
Exemple: Facturation
151
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
152
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
153
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
154
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
Problèmes de synchronisation
– Il faut simplifier les synchronisations.
Problèmes structurel
– Il faut éviter les chaînes d’opérations et les événements internes.
155
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
156
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
157
Modèle conceptuel de Traitement (MCT)
158
Niveau logique
Niveau logique
4. Dépendances fonctionnelles
5. Normalisation
Modèle logique de données (MLD)
Tables
Lorsque les données ont la même structure (par ex. renseignement
relatifs à un client), on peut alors les organiser en tables dans
lesquelles:
– Les colonnes décrivent les champs en commun
– Les lignes contiennent les valeurs de ces champs pour chaque enregistrement
Exemple
Une table est une relation comportant des lignes (tuples) et des
colonnes
Exemple:
E1 a, b et E2 c, d , sont deux ensembles
le produit cartésien est: E1 E2 (a, c), (a, d ), (b, c), (b, d )
l’ensemble R1 (a, c), (a, d ) est un sous ensemble de E1 E2 il
constitue une relation.
E1 E2 R1
Les éléments de la relation sont appelés des tuples.
a c
a d
b c
b d
Modèle logique de données (MLD)
-Terminologie
Attribut, et domaine
Attribut
Domaine
Exemple :
– Domaine= {Entier, réel, booléen, caractère}
Modèle logique de données (MLD)
-Terminologie
clef primaire
Les lignes d’une table sont uniqueil existe au moins une colonne
qui sert à identifier les lignes: il s’agit de la clef primaire de la table
clef primaire
clef primaire
une clef primaire est simple si elle est composée d’une seule
colonne
Exemple
– Client (N°, Nom, prénom, adresse)
– Appartement( N°, adresse, superficie)
Modèle logique de données (MLD)
-Terminologie
clef étrangère
clef étrangère
une ou plusieurs colonnes dans une table qui a pour but d’assurer une liaison
entre deux tables. La clef primaire de la première table est dupliquer dans la
deuxième. On l’appelle aussi clef externe (Foreign key)
Convention:
– On fait précéder par # la clef étrangère
Exemple
Clients Commandes
N° client N° commande
Nom client Date commande
Prénom client # N° client
Adresse client
Modèle logique de données (MLD)
-Terminologie
Remarques
Rq1: Une même table peut avoir plusieurs clefs étrangères mais une
seule clef primaire(éventuellement composée de plusieurs
colonnes)
Rq2: Une clef étrangère peut aussi être primaire (dans la même table)
Rq3: Une clef étrangère peut être composée (c’est le cas si la clef
primaire référencée est composée)
Rq5: Si une clef étrangère ne doit pas recevoir la valeur NULL, alors il
faut le préciser dans la description des colonnes
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
Schéma relationnel
– Les tables sont appelées relations
– Les liens entre les clefs étrangères et leur clefs primaires sont symbolisés par un
connecteur
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
Entité
Règle
Toute entité (dans un MCD) devient une table (dans un MRD) dans laquelle les
attributs deviennent les colonnes et l’identifiant de l’entité constitue la clef primaire
de la table
Client
se traduit par
Codcli
Nomcli
Adrcli
se traduit
par
Employé Département
numemp nudep
nomemp #nuemp
Employé (nuemp, nomemp) nomdep
Département (nudep, nomdep, #nuemp)
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
se traduit par une nouvelle table dont la clef primaire est composée des
identifiants des deux entités. Les éventuelles propriétés de l'association
deviennent les attributs de cette table.
Skieur Compétition
Nomski
0,n Classer 0,n
refcomp
spécialité rang datcomp
se traduit par
Classer ( #nomski, refcomp, rang)
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
Employé
Magasin
N° Employé
N°Agence
1.n Embaucher 1.1 Nom Employé
N° civique
Prénom employé
Rue
Salaire employé
Ville
Code postal
Employé
Magasin
N° Employé
N°Agence
Nom Employé
N° civique
Prénom employé
Rue
Salaire employé
Ville
Code postal #N° Agence
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
Entité-association
Entreprise
Salarie
N° Entreprise
N°Salarie
(0,1) Est directeur (0,1) NomE
NomS
Adresse
Prenom
Classe
No_classe
0,n
Matière
0,n Assure 0,n Professeur
No_matiere
codsalle No_prof
se traduit par
Assure ( #no_classe, no_matiere, no_prof, codsalle)
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
Association réflexive
Personne
N°matricule
Nom 0..*
Epouse Se marier
Prénom
Date mariage
0..*
Personne Se marier
N°matricule
#N° matricule 1 , #N° matricule 2
Nom
Date mariage
Prénom
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
L’héritage
L’héritage est traduit de 3 façons dans le modèle logique
E1
P1
P2
ES1 ES2
PS1 PS2
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
L’héritage
Première possibilité :
intégration des sous-types dans la relation sur-type (les sous-types
disparaissent). Avec un tel principe les propriétés spécifiques à chacun des
sous-types ne seront pas valorisées pour certaines occurrences de la
relation sur-type.
E1
P1
P2
ES1 ES2
PS1 PS2
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
L’héritage
• Seconde possibilité :
• Intégration des propriétés figurant dans le sur-type dans tous les sous types
(le sur-type disparaît). Cette solution entraîne une redondance importante
des données du sur-type si il n’y a pas exclusion entre les sous-types.
E1
P1
P2
ES1 (P1, P2, PS1)
ES2 (P1, P2, PS2)
ES1 ES2
PS1 PS2
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
L’héritage
• Troisième possibilité :
• Conservation de l’entité sur-type et des entités sous types. Dans chacune
des relations sous-types, l’identifiant de l’entité sur-type est intégré. Il
• est à la fois clé primaire de la relation et clé étrangère par rapport à l’entité
sur-type..
E1
P1
P2
ES1 (P1, P2, PS1)
ES2 (P1, P2, PS2)
ES1 ES2
PS1 PS2
Il est important de noter que quelque soit la solution adoptée, toute la puissance
portée par le concept d’héritage est perdue dans le modèle relationnel.
Modèle logique de données (MLD)
-Schéma relationnel d’une BD
L’héritage
• Exemple: Première possibilité
Exemple d’occurrences :
Personnel Internes
Numéro 1 - Annick Lassus (14/06/1999)
Nom 2 – Armelle Mundubeltz (20/09/2000)
Prénom Extérieur
3 – Bernadette Chaulet (CAP GEMINI)
Extérieur Interne
SSII DateEmbauche
L’héritage
• Exemple: Seconde possibilité .
Exemple d’occurrences :
Personnel Internes
Numéro 1 - Annick Lassus (14/06/1999)
Nom 2 – Armelle Mundubeltz (20/09/2000)
Prénom Extérieur
3 – Bernadette Chaulet (CAP GEMINI)
Extérieur Interne
SSII DateEmbauche
L’héritage
• Exemple: Troisième possibilité
Exemple d’occurrences :
Personnel Internes
Numéro 1 - Annick Lassus (14/06/1999)
Nom 2 – Armelle Mundubeltz (20/09/2000)
Prénom Extérieur
3 – Bernadette Chaulet (CAP GEMINI)
Les règles d’intégrité sont les règles que doivent vérifiés les données
contenues dans une base de données. Ces règles sont inhérentes au modèle
de données
Contrainte
d’entité
Contrainte imposant que toute relation possède une clef primaire et tout
attribut participant à cette clef primaire est non nul
Contrainte d’intégrité portant sur une relation R1, consistant à imposer que
la valeur connue d’un groupe d’attributs apparaisse comme valeur de clef
dans une autre relation R2
Lors d'une insertion d’une valeur dans une relation, la valeur des attributs
doit exister dans la relation référencée
Exemple:
– Insertion : Commande
– Contrainte: le client correspondant doit exister
Lors d'une suppression dans la relation référencée , les tuples référençant
ne doivent pas exister
– Exemple: la suppression d’un client entrainera la vérification qu’aucun client ne
référence une commande
Clients
Commandes
N° client
Nom client N° commande
Prénom client Date commande
Adresse client # N° client
Spécialisation
Solution 1 : Duplication des attributs du surtype dans les sous types
associés
Entité-association
Modèle relationnel
PERSONNE(n°personne,nom, age)
ETUDIANT(n°personne,niveau, nom, age)
ENSEIGNANT(n°personne, grade,nom,age)
Respecte la logique
Gestion des duplicatas
Utilisation des triggers pour propager les modifications d’une entité à une autre
Spécialisation
Solution 2 : On duplique la totalité du contenu du surtype dans les sous
types associés et on supprime les surtypes
Modèle relationnel
Simplifie la traduction
Redondance des données
Spécialisation
Solution 3 :
Entité-association Modèle relationnel
Modèle relationnel
Simplifie la traduction
Nécessite de gérer le fait que les attributs peuvent être nuls
Solution utilisable quand les entités spécialisées ne comportent pas beaucoup
d’attribut
Généralisation
Entité-association
Création d’un clé étrangère unique dans les entités sous types
Modèle logique de données (MLD)
-Dépendances fonctionnelles
Modèle relationnel de données normalisé
Un schéma relationnel normalisé doit répondre aux exigences minimales
suivante:
– Non redondance : un attribut n’appartient qu’une seule relation
– Cohérence : les attributs qui décrivent le même objet appartiennent à la même table
et dépendent chacun fonctionnellement et totalement de la clef primaire de la table
On mesure la qualité d’une relation par son degré de normalisation:
– La première forme normale, notée 1FN
– La deuxième forme normale notée 2FN
– La troisième forme normale, notée 3FN
– Forme normale de Boyce Codd, noté FNBC, etc
Modèle logique de données (MLD)
-Dépendances fonctionnelles
Plusieurs attributs peuvent apparaître dans la partie droite d’une DF. Dans
ce cas, il convient de considérer chaque DF en gardant la partie gauche et
en faisant intervenir un seul attribut dans la partie droite
Modèle logique de données (MLD)
-Dépendances fonctionnelles
Exemples
– RefProduitLibProduit est élémentaire
– (NumFacture, RefProduit)QtéFacturé est élémentaire (ni la référence produit seule, ni
le numéro de facture seul permettent de déterminer la quantité)
– (NumFacture, RefProduit)LibProduit n’est pas élémentaire puisque la référence du
produit suffit à déterminer le libellé
Modèle logique de données (MLD)
-Dépendances fonctionnelles
Dépendances fonctionnelles directes
Une DF ac est directe si elle n’est pas déduite par transitivité, c’est-
à-dire s’il n’existe pas de DF ab et bc
Exemple
Réflexivité
Transitivité
Si ab et bc sont des DF, alors ac est une DF.
Union
Si ab et ac sont des DF, alors a(b, c) est une DF.
Pseudo-transitivité
Si ab et (b, c)d sont des DF, alors (a,c)d est une DF.
Décomposition
Si a(b, c) est une DF, alors ab et ac sont des DF.
Modèle logique de données (MLD)
-Dépendances fonctionnelles
Fermeture
La fermeture F+ d’un ensemble de DF, F est l’ensemble des DF que l’on peut
obtenir par applications successives des axiomes d’Armstrong.
Exemple:
– AB et BC donc AC
– BC donc (B,D)(C,D) (essentiellement la transitivité et pseudo-transitivité)
Couverture minimale
Sous-ensemble minimum de DF élémentaires permettant de générer toutes les
autres.
Autre définition
– Ensemble minimum de dépendances, équivalent à la fermeture transitive
• peut ne pas être unique
Modèle logique de données (MLD)
-Dépendances fonctionnelles
Graphe des Dépendances fonctionnelles
R( A, B, C, D, E)
E->A, E->B, E->C, E-
>D C->D
Exemple:
R(A, B, C, D, E) vérifiant les hypothèses: E->A, E->B, E->c, c->D
E est l’identifiant de R
Modèle logique de données (MLD)
-Dépendances fonctionnelles
R (A, B, C, D, E, F, G)
Propriété
S’il existe la DM X-- >>Y alors il existe aussi X-- >>Z. On note : X-- >>Y|Z
Remarque
DF est un cas particulier de DM
Exemple
La relation cours (nomC, prof, livre) contient une DM : nomC-- >>Prof| livre
Modèle logique de données (MLD)
-Dépendances fonctionnelles
Dépendances fonctionnelles multivaluée (DM) : un autre exemple
Soit la relation Catalogue( N° Article, Taille, Couleur)
Hypothèse: il existe toutes les tailles et toutes les couleurs pour chaque
article.
Catalogue
N° Article Taille Couleur
Du faites des hypothèses, il existe une
1 38 Noir
DM :
1 40 Noir
N°Article-- >>Taille|Couleur
1 42 Noir
1 44 Noir
Chaque article existe pour chaque taille
1 38 Bleu
et toutes les couleurs et chaque article
existe pour chaque couleur et chaque 1 40 Bleu
taille. 1 42 Bleu
1 44 Bleu
Modèle logique de données (MLD)
-Normalisation
Première forme normale: 1FN
Une relation est 1FN si tous ses attributs sont atomiques (ne sont pas
décomposables)
Les tables relationnelles sont nativement toutes en 1FN, car les attributs de
type tableau ne sont pas autorisés au niveau de la BD
Modèle logique de données (MLD)
-Normalisation
Deuxième forme normale: 2FN
Une relation est en 2FN si elle est en 1FN, et si chaque colonne qui ne fait pas
partie d’une clef primaire dépend de la clef primaire
Exemples:
La relation Fournisseur (NF, NomProduit, NomF, Adresse, Tel, Prix) n’est pas en
2FN. La clef primaire est (NF, NomProduit) et NomF dépend d’une partie de la clef
(NFNomF)
Modèle logique de données (MLD)
-Normalisation
Exemple
– TÉLÉVISION (Marque, Modèle, ModeSon, Résolution)
– Il y a donc une DF entre "Modèle" et "ModeSon", ainsi qu’entre "Modèle" et
"Résolution"
– Il faudra donc diviser cette table en deux de la façon suivante :
– TÉLÉVISION (Marque, Modèle)
– MODÈLETV (Modèle, ModeSon, Résolution)
Modèle logique de données (MLD)
-Normalisation
Une relation est en 3FN si elle respecte la deuxième forme normale et si les
DF entre la clef primaire et les autres colonnes sont directes
– Aucune colonne ne faisant pas partie de la clef primaire ne dépend d’une autre
colonne ne faisant pas partie non plus de la clef primaire
• Les dépendances fonctionnelles entre deux colonnes ordinaires (ne faisant pas
partie de la clef) sont interdites
B, C OK A, B, C
Modèle logique de données (MLD)
-Normalisation
Comment normaliser 3FN?
Pour passer de 2FN à 3FN, il faut
– Diviser chaque table ne satisfaisant pas ce critère en deux tables. La nouvelle
table aura comme clef la colonne dont provient la dépendance et comme
colonnes, celles qui en dépendent.
Ou alors,
une relation est FNBC si
elle est FN3,
R(A, B, C)
Modèle logique de données (MLD)
-Normalisation
Exemple2
Exemple2 : suite
Avantage
– relations en FNBC
Inconvénients
– dépend de l'ordre selon lequel les DF sont traitées
– peut perdre des DF
– peut trop décomposer
Modèle logique de données (MLD)
-Normalisation
Avantages
– relations en FN3
– ne perd pas de DF
– ne perd pas d'information
Inconvénient
– peut trop décomposer
Modèle logique de données (MLD)
-Normalisation
La 4FN permet de séparer des faits multivalués indépendants qui auraient été
réunis dans une même relation
MOD siège
Modèle organisationnel de données (MOD)
Exemple (suite)
L'entrepôt ne s'occupe que de la livraison à partir des ventes et possède
un modèle sans contrat ni facture.
Exemple (suite)
Une agence n'effectue que les livraisons et les factures et a un modèle
sans contrat.
Lecture
Écriture
Création
Suppression
Point de départ
Procédure
Chaque opération conceptuelle du MCT est décomposée en un
ensemble de phases
Modèle organisationnel de traitement (MOT)
Phase
Exemple
Chaque jour à 16h le secrétariat exécute la phase saisie du dossier
de candidature
Liste des tâches: 1) saisie des données, 2) m.à.j du fichier
informatique ‘candidatures’, 3) classement du dossier papier
Modèle organisationnel de traitement (MOT)
Un lieu géographique
La nature du traitement
Manuel
Conversationnel (traitement unitaire immédiat),
Par lots ou batch (traitement différé d’un lot de données).
La période d’exécution: des contraintes de temps dues à
l’organisation sont introduites (date, duré….).
Ex: chaque jour à 17h, édition des factures.
Modèle organisationnel de traitement (MOT)
A retenir…
MOT= MCT + lieu + moment + nature
• Lieu:
– Qui exécute? Acteurs (MCC)
• Moment
– Quand exécute-t-on l’opération?
– Agencement temporel
• Nature
– Manuelle
– Automatique
– Interactive
Niveau physique
– Contraintes d'intégrité
Niveau physique
Contraintes d’intégrités
Contraintes d’intégrités
Montréal','Laval','Saint-Jérôme'))
Contraintes d’intégrités
Contraintes d’intégrités
Contraintes d’intégrités
Contraintes d’intégrités
Contraintes d’intégrités
• Ajout de contraintes
Diagramme de classe
Introduction à l’UML
Contraintes d’intégrités
• le diagramme de classes
Introduction à l’UML
UML
Merise
Classe
Entité
Identifiant
Attribut 1 Attribut 1
Attribut 2 Attribut 2
… …
Méthodes
Introduction à l’UML
UML
Merise
Méthodes
Introduction à l’UML
UML
Merise
Méthodes
Introduction à l’UML
UML
Merise
Méthodes
Introduction à l’UML
UML
Merise
Méthodes
Introduction à l’UML
A B
Enseignant
N° Enseignant
Méthodes
Agrégat
Association: héritage
• L’association d’héritage est employée d’abord pour assurer le respect d’une règle de
modélisation appelée la règle d’homogénéité.
Tous les attributs d’une entité sont pertinents à cette entité et éventuellement tous doivent
posséder une valeur.
Contre exemple
– Remarque 1: Transgression de la règle d’homogénéité
– Remarque 2: Certains employés ne sont pas syndiqués, notamment les employés
cadres
– Remarque 3: les occurrences de l’entité représentant des employés non syndiqués ne
pourront avoir de valeur pour No_syndiqué et Taux _cotisation_syndicale
Employé
No matricule
Nom
Prénom
No_syndiqué
Taux _cotisation_syndicale
Introduction à l’UML
Association: héritage
Employé
No matricule
Nom
Prénom
Employé
Employé_syndiqué
No_syndiqué
Taux _cotisation_syndicale
Introduction à l’UML
Association: héritage
Type d’association qui définit la structure d’une entité en fonction d’une autre.
Une entité appelée le supertype identifie les attributs communs, une autre
précise les attributs spécifiques à un sous-type de la première ; le sous-type
hérite à la fois des attributs, dont l’identifiant, et des associations de son supertype
270
Introduction à l’UML
Un cas d’utilisation est l’expression d’un service réalisé de bout en bout, avec
un déclenchement, un déroulement et une fin, pour l’acteur qui l’initie.
271
Introduction à l’UML
Chaque cas d'utilisation doit être documenté pour qu'il n'y ait
aucune ambiguïté concernant son déroulement et ce qu'il recouvre
précisément.
272
Introduction à l’UML
274
Introduction à l’UML
275
Introduction à l’UML
276
Introduction à l’UML
277
Introduction à l’UML
278
Introduction à l’UML
Cas d’utilisation 1
« include »
Cas d’utilisation 2
Acteur 1
279
Introduction à l’UML
280
Introduction à l’UML
281
Introduction à l’UML
« extend »
Cas d’utilisation 2
Utilisateur
Cas d’utilisation 1
Acteur 1
Cas d’utilisation 2
283
Introduction à l’UML
Retirer argent
avec ticket
Utilisateur <<Abstract>>
Ouvrir compte
285
TD n°2
286
Pr.Imane DAOUDI