CON
DES BALISHS HYPNOTIQUES
os contes sont universels
et les péripétivs
mnétaphoriques qui
Ios jalonnent guident les
muditeurs de préféronce et
1s lecteurs dans lour vie
De nombreux exemples
Hlustrent l'eflic
effets dans Ie
Dassen cui ona
Ucoouracones da nse, deslegends
desist Nowe sven dpe uncer
tain aomberdannces, da maniore pls
tempore quaescontn sat gE
tir Lecantecs naling. ane
ele dace < Ba hpi conte peut
reprint on ais us posseur dest
‘ins dan logue patient pat pian
tune parlo spear cmprendnetemonde
tyrone placa B6nésicte Flin
Tafesiieet asoupleaede allenic
ES ET SEMAPHORE
sr stent dosapprochesthirapeut i
{ts applique psiore stati
Iavieeourint
eo
tau goiter parcortsns he
rpentes comin aque Saloot Nhl
‘Detour los conter flea, quand ts
laps hypoth
Evelynefones Jonge Buea. Cons
ult bon datee tes posse
ttoeaoinsnini queda pirspetiees ne
Voll. os bitaies, ol appatenes
Pies et andinaion qui pout pos
Fase xed tana aration
\eunorsneo iadgueun dsm on'2
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Millon Beckson tsi des
Aionscnsorstionnlloe eels
ten! de oie tat decors
fu pation dane undue rapentigne
*Vinypnose sanstennse x, Seton Tic"?
“Molen exste des ugpsions
Av ellectdes suggestions hy pani
{Ces deratrom sont adcesdes ane"
enneon fit ehpose: + Lut hp
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Bitte tequenoselaconcerone
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epsempeot antec» else
ines Le Powe dos bites hope
fas p-28)-
Taare no mlaphoe, c'est ox
tales nc oun eoupe de nersdelewr
Caan, fn ce ofa psoe du sens
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Int comin, Pour eign Jsn6 a
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Gasper Losensprpto sudosco
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sure porno ute chase
nas sigan
agorie, nous tr
dot gece alo. gu signeautre», ctagorevin.qui voutdire« pare Lorapia Ericksoniana, attache, pour act
lor». Userd'uneallégorioeest donc em- verlarésiliencedu patient dintégrer dans
ployer des termes autiesquelostenmespu0- los métaphones!'aeceptation de la élite
presen parlant d'unechose. Valligorives- Iecontrble dosoaémotions,Lesonsdole es
primo uneautre chavo! poneabilite,'autodétoemination, Ia com
Michel Dafoursersfireau Polit Larous- —pession, latolorance,
se:Vallegorivest « unerepnasentation.tex- Jean-Philippe Vidal préconise ln qualité
pression d'une idée par une figure dotée du sosnariy, colonne vertabrale du réct
Catteibutssymboilquesou par une méta- Deux éléments majeurs fontent le scons:
hore développée (Allégories pour gué- si; )es persounuges ayant dea profouleur,
sir ot grand; p23) btlastructurescénariquscolérente. or
Lullégorie est une variantedelaméta- —néagrarame est pour lui un outil privilé
phorefilée. (Gvelyneosse].Clestun dis- gi6 de.cetle éeriture spéciique
‘ours A double sens Un scénario est un processus iacluant
des repenoe techniques
1. Donner un titre acerochour, inspirant
otillustrant la situation do la personne
“EvalyneJosse ditslleV’histoirothérapeu-2- Phare d isomorphism de la construc
tiquoen difteronetant des opsratnurs. Les thon. Mlontiflorquolqos éléments deter
indinnymmiestet les metaphoresmeroncer- minants dela situation, et faire le ehoix
nent pas que des styles Tinguistiques es- «un champ analogiqueen référence au
{STRUCTION D'UNE HISTOIRE
|ETAPHORIQUE
Transport @ une chose
dun nom qui
en désigne une auire
sontiallemont. Ellos sont aussi visuelles monde animal, celui des plantos, alae:
1s per ture, aux fer, des poesonnages legendai-
Ins contest les histoies faicant appel au ros, ot. Lin contexte habitual est dann
‘pouvotr desreprésentationsoniiques. La mais es poreonnages sont d¢rontes de leur
onstruction d'une histofremsiaphorique — viaquotidienne, coe’ provoxpiant des ten=
‘comme los imagas qui sont sugas
seffetueselus tes yocédés winblilites sions les uallis saushesgiels iste
taux processus primaires. Sanéterait li
Consuelo Casula, psychologuo, forme- 2-A\Uintésicurdu champ aralogiquechiis.
tice a laSeuolalolianadi IpnosiePsico- pour chaque élémant determinant deVhis-loitede référence wstconstmaite une strc-
ture arriere-plan.
4. Trowvor un fil conduetour qui traverse
lsdilferentes partiesdenistoire métapho-
ique, c'est-dive les prablames a réyler,
lesconflits, es ressources du sujet, et laré-
solution (c'estadirelasolutton twwuree b.
Uncheminement s'av'renécessaire pour
trouverune résolution, une sortiedu conflit
Iconduitversunenowvellevéritéinsaisis-
sableauparavant, Rienneserapliscomme
avant 11 aut renoace-a se racerecher at
une découve
con
TRUIRE LIMPACTT!
/APEUTIQUE
Pour le psychiatie argentia Jonge Bucay
impact d'une fable. dan conte ou dune
anecdote reste beaucoup plus longtemps
‘mprign6 chez los gens quedee explication;
intellectuelles. Le moitele éricksonien
Venvisage comme « une arne didactigue »
(Laisse-moi te raconter...les chomins do
Javie. p.9), Michel Dufour, pour construir:
cot impact,mixe et/ous'appuieat/ou s'ins
pire des récits ou contes en y ajoutant ses
patient fait
rte @ partir
de l’intérieur !
passé el faire évoluer lasituation, Parune
‘compréhension densenble, Mhistoize prond
valeur initiatiquedesolition, faceauconflit
interno, de la tonsion existant dans la vie
quotidienne.
9 Devenirconteur! Lv therapeute aves son
observation, son intuition, lo choix de sos
mots, accompagne desa voix le patient sur
doit
commencer par quelques phrasss types
«Hyadecela Dien longtemps,..»;« Quand
Stats tout pot... » Cos débuts induisent
lune deésorientation dans le temps,
D'oti viennentde tolles histoires meta:
phoriques ? Contes, fal es ou récite detou.
lochomin de sareconstiwetion. Leré
tes cultures, parfois fart anciennes mais
ponvant otreplusrécontos, sont lesocle de
tolles nerrations.
‘crits, tancis que Jean Touati, sur la base
unconto,rééerit Phistoite selon la situa:
tion du patient, les mots de celle-ci dant
alorsinlsenrellefot en couleur danse texte
Scrit, puis appuyds intontionnellomont
lors de sa lecture. Ces mots s'adzessent
Pineonscient du patient. Cotte métaphore
aura uneconnotation isomorphique, iasé:
ne technique de traitement the-
rapoatique dite « do r¢a
notique ».
Diautreshypnothérapeutes composent
aufurot 2 mesuredelaséance, Des atoliors
ee dan
struction hyp:
de contes thérapeutiquos apprennent &
adaptor lo contea chaque porsonneselon
ses symptOmes et sa personnalité, Des hyp:
nothérapeutes comine Evelyne Jesse pro-
cedent par tine mise en état hypnotique“du peticnt, puis insufflent l'histoire me
“aphoriqueen propusant un voyage qui est
‘une alléyorle, Cette auteure y Insere des
{gaggestions grice aux canaux sensoriel
en repérant pour chacun de ses patients
_soncanal privilégi¢.Colu-ci servina do pas
_gorvlle (dans une-concaption proche de
calle utilise en PNL) qui federe une al-
Jianco thérapeutique amonaat le pationt
fase sentir compris.
FACTION DES HISTOIRES ORIQUES
Suivant Michol Dufour, et en accord
‘avecl'epproche d'Erickson, 1a métaphore
thérapeutique dépotentislise, lors du pre
imier lempsde la transe hypnotique, lecer-
‘yeau gauche, ces!
conteur rejoindrait davantage le c6té in
dine le consent « he
Notre choix thérapeutiq
iti, la spontancite, lacreativite parle
biaiscdu cerveau deoit pouratteindveV'in-
feonscient »(Allégarins pou guerive gron-
tir, p. 32), Le corvean gauche peut alors
eondairement synthélisr le travail pra
labloment effects: « La métaphoreot al
Tegore sont probablement les plus effi-
feacvs dos tochniques qui font intervenie
Thérnisphéredcoit parce qu’ellesfonteppel
Gu processasimémedacquisition » (Wid.
P20), Linconseiont, «riche de possibili-
eset do solutions »(p.24).continue dali
| monter le consciont par un travail do ron:
forcement, Et les sation (on métapho:
res) contribuoront a graduellomont modi
fier les compartements problématiques.
ancrage d'un changement Iusufflé pen-
dant état hypnotique deviendra un otil
quill sera possiblederéactiver lorsque cela
sTavérera nécessaize. A son insu, le patient
ton état de conscience modifié pourra vi-
sualiser, se laisser aller ses bmotions, 8
toive
ss projections, 4 sos rivos, Dane’h
mstaphorique. le patient fait une décou-
verte a partir deVintériour |
En résumé, il exiote dans unehistoimms-
taphorique trois niveaux d’sction :
1) Gelui du message apparent, quiest le
nine adressée an
Haroulement de 1"
conscient,
tho
mine alors souerrainement et qui s‘adresse
2)Coluida message caché latent,
fixe sur une reprise du lien & soi..
ainconseient parsuggestion intor-contex-
tuello’. Ce message fait écho aux prob!
mes du pationt, ot favorise ds prises de
conscience qui engendrent des réamena-
gemonts paychiques,
3) Enfin des niveaux psychiquos égale-
mwa atteints parle message cach@, mals
quigont innecessiblos ax conscinat
CLINIQUE
Issued une fratrie de trois, Me™ P.estrane
jeune femme dans la quarantaine, céliba-
tniro, sans enfants. Apros uno paychothé
ropied inspiration pychanalvtiquededeuxsuas effect
cavec mol, pulsuneinterrup-
tion d'une duréesinnilair,ellesollicite de
nouveau une consulta
p. Lors de cello
cl. Mo Pest tenduo, quasiment figée, et
onto un visagecrispé. Ello commence par
oxprimor des angoisses diffuses, dis
qu'elle n'aurait pas fini le douil de sammére
déc6dn cing ans auparavant. La patiente
‘mo parle ensuitodos dorniars mois dean
‘502009 at du début de-2010, Devantsubie
‘uno ablation do la thyroide (suspicion de
at
‘eancor) on avril 2000 I'opération aura
‘nalomert lieuen novombrs 2009 alle sen:
gag0.0n juillos dans ung relation amoureuse
aveoun homme diveres ayant tris onfants,
le dauph
n s'en charg
ello-meme, etretrouver te chemin desis
ressources oubliges.
La psychothérapie préslable nous aa:
lige desentretiens préparaloires en ila
assez directement les afflictions. Desséar
os d’hypnase lui sont proposées
PR
rE SEAN
J"induis la transe par installation confor
table ducomps otaxespiration, Apes cet
ralayation initial, jp Pasi
dons-anso.
‘venir agréable, puis commence la lecture
Tune histoire métaphoriqueprise dans Al:
Ligorieapourguérivel grandie Joprenden
do manire systématique mes lectures de
ala place
du thérapeute.
puiseatameensoptombro une nouvelle
deson
formation professionnelle ast
bontraprige. En janvier 2010, la rencontre
amourouso eosolie par uncrupture.Dopt
fiw
quo, la fois parce qu’ella saat « effon
bio ,maisaussi pourpouvostmoncr’ bien
nsallo oat migo a mi-tompethérapou:
sa formotion. Ello dit vivroce mi-tempede
manidroeulpabilisée. Ne dernandent rien
Apersonne,clleapou regu deaoutien spon.
tané on retour. Les personnes qui consti
tuentson entourage ont été étomsdns de son
offondrement.
Notte choix thérapeutique se fis sur
tue rprise eu lions, quand tout lemonda
lalaiss Aeon tristonort. Apaisor ses toa.
sions internes par une recommexian avec
métophores dans ce méme livre pour I
séances suivantes dela thérapie. Lescontes
prialabloment énoneés, sont beaucoup
plus stracturés, ayant une mise on sciue
vaguo et ciblanto. Au début de chaque ol
igorio, Michel Dufour formule te sujet
Luaité et lusituotion Aésinée, permottant un
cortain discernement vis-A-viados choix
A offoctucr. En taiaon de conseils plocss
‘au début du livro, lnséloetion de "histoire
Alasocherehody iamertp. We}noas a été
inspiesw pare fait qae M%P. somblait atv
rotoumdo en arriére dans soe méeanismes
étonsifs (répétition dols ronconteeamou
reuse défaillante, abandon de Ia peiature
‘comme loisi,isoloment vis-b-viade side
‘ol du soutien des autres),Late peat ctreempop ten
tionsllenon pot actise des process
depen ptt omoponeare
“mieten de dcecher une
hutnanseativs lye oP. 78).
‘gps lednuphin em peronnags-
nope itn antonio
on be common potent enforin
‘lemon. Bans Paola a eoafaafon
‘owas Hat ire aleret venir son
idonsYoedon» Aquaum sa oeéan?
Maisteconlaeaerge ae
[eaaonionation dans letomps est
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nouvelles: On rcante gu mjourll
‘ida de partes ides de nowveasts
ont teutionast ppl sos
« papillons »
‘ingot ompeusté ala PNL ge sign
Ties conde, menor 1a détton so
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les discasstons soa actullsan a4 r6-
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au fil du temps