Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Réalisé par :
Encadré par :
Ibtissam EL MSIYAH JAMAL EL MHAMDI
Meriem ELATIK
Sous le thème :
Abstract
Continuous progress in microelectronics technologies and sensor networks now makes it
possible to envisage the deployment of services on networks of interconnected intelligent
communicating objects: this is the vision of the Internet of Things. One of the wide areas of
application of Internet of Things or IOT technology is the agricultural field where the
purpose of this technology is to increase the productivity through remote monitoring and
decision-making based on real data.
In this context, this project consists of implementing an Internet of Things system for the
remote control of agricultural greenhouses by controlling the following climatic factors:
temperature and humidity thanks to specials sensors: DHT11, the HW103 soil moisture
sensor and the BMP280 temperature sensor and sending them via an MQTT broker installed
in the Raspberry card.
الملخص
إن التقدم المستمر في تقنيات اإللكترونيات الدقيقة وشبكات االستشعار يجعل من الممكن تصور نشر الخدمات على شبكات
هو المجال الزراعي حيث يكونIOT أحد المجاالت الواسعة لتكنولوجيا.IOT هذه هي نظرية:اتصال ذكية مترابطة
الغرض من هذه التقنية هو زيادة إنتاجية المحاصيل الزراعية من خالل المراقبة عن بعد واتخاذ القرار بنا ًء على البيانات
.الحقيقية
يتكون هذا المشروع من تنفيذ نظام إنترنت األشياء للتحكم عن بعد في الدفيئات الزراعية من خالل التحكم، في هذا السياق
مستشعرHW103 وDHT11 : درجة الحرارة والرطوبة بفضل أجهزة االستشعار الخاصة:في العوامل المناخية التالية
Raspberry المثبت في بطاقةMQTT وإرسالهما عبر وسيطBMP280 رطوبة التربة ومستشعر درجة الحرارة
4. Putty ----------------------------------------------------------------------------------------------- 33
5. Vnc Viewer --------------------------------------------------------------------------------------- 34
Conclusion :-------------------------------------------------------------------------------------------- 34
Chapitre 3 : réalisation et test -------------------------------------------------------------------------- 35
Introduction :------------------------------------------------------------------------------------------ 35
I. Partie software----------------------------------------------------------------------------------- 35
1. Configuration de la carte Raspberry ------------------------------------------------------- 35
1.1. Installation du système d’exploitation : ---------------------------------------------------------------------- 35
1.2. Détermination de l’adresse IP de la carte -------------------------------------------------------------------- 37
1.3. Connexion Ethernet de la carte avec le logiciel putty ------------------------------------------------------ 38
1.4. Installation du mosquitto et Node Red dans la carte ------------------------------------------------------- 39
M2M machine-to-machine
L'agriculture est un moyen de survie de l’humanité, c’est un processus par lequel les êtres
humains aménagent leurs écosystèmes et colorent le cycle biologique d’espèce domestique,
Elle revêt une importance économique et sociale indéniable au Maroc, avec une part autour de
38% dans l'emploi total au niveau national et environ 74% en milieu rural. Cette activité
contribue, par ailleurs, pour près de 13% du PIB, sachant que cette contribution est variable
selon les territoires. Pour certaines régions, le secteur agricole représente une part
prépondérante de l’activité économique.
L’objectif principal de notre travail est le mise en œuvre d’une application à la base de la
technologie IoT pour rendre l’agriculture et en particulier la culture en serre intelligente tout
en exploitant les nouvelles technologies d’ l’internet des objets notamment l’utilisation des
réseaux sans fils “Wifi” qui collecte les données de différents endroits et les envoyer vers une
interface d’affichage pour la prise de décision ; Les données collectées fournissent des
informations sur les différents états climatiques des serres agricoles dans le but de prendre la
décision convenable à chaque situation et contrôler le système.
Ce travail est réalisé dans le cadre de notre projet académique PFA en cycle d’ingénieur, qui
est structuré en trois chapitres :
Chapitre 1 : “Utilisation des objets connectés dans les serres agricoles“ : ce chapitre
présente une idée générale sur l'internet des objets, ses différentes technologies et
architectures ainsi que ses applications notamment dans le domaine de l'agriculture
intelligente ainsi qu’il parle également des serres agricoles ses principaux climatiques
et les différentes technologies utilisées.
Chapitre 2 : “ Structure matérielle et logicielle“ : ce chapitre présente une vision sur
l’étude conceptuelle avant de réaliser le prototypage en donnant une généralité sur les
outils matériels et logiciel utilisés.
Chapitre 3 :“ réalisation et test“ : Ce chapitre présente la partie réalisation et
exploitation avec la forme de la serre, la visualisation des données sur la fenêtre
Dashboard du Node Red .
Introduction :
Chaque année, nous entendons beaucoup de nouveaux termes, dont la plupart sont liés au monde
moderne et à la technologie. De la même manière, le terme « Internet des objets » est apparu
récemment, ce qui signifie la nouvelle génération d'Internet ou de réseau. Ce paradigme donne la
possibilité de se comprendre entre les appareils interconnectés entre eux via un protocole
Internet. Ces dispositifs comprennent des instruments, des capteurs, des actionneurs et divers
outils d'intelligence artificielle.
Cette technologie d’IoT a servi l’humanité dans divers domaines notamment le domaine agricole
d’où on contrôle les données climatiques des serres agricoles d’une manière intelligente et sur la
base des données on prend la décision convenable à chaque situation.
Ce chapitre est consacré à une étude générale des systèmes IoT pour comprendre ses
caractéristiques et ses applications ainsi qu’il présente des généralités su les serres agricoles ses
facteurs climatiques essentiels pour le développement de la plante et les composants importants
pour la gestion et le contrôle des paramètres climatiques.
2. Historique :
L'histoire de l'internet des objets commence en 1982 avec le premier objet connecté : un
distributeur automatique de boissons. Les capacités de cette machine intelligente lui permettent
de contrôler et de signaler son inventaire (ses inventeurs peuvent vérifier en ligne si leur boisson
préférée est en stock, même si elle est suffisamment froide). Les distributeurs automatiques
intelligents ne se sont pas vraiment propagés, mais ils laissent présager un avenir d'utilisation
industrielle massive d'appareils connectés, équipés de capteurs pour surveiller chaque aspect de la
chaîne d'approvisionnement et du processus de livraison.
Cependant, ce n'est qu'en 1999 que le terme "Internet des objets" a été inventé par le pionnier de
la technologie Kevin Ashton. Le livre "Quand les choses commencent à penser" du professeur du
MIT Neil Gershenfeld a été publié la même année, qui expliquait le concept de l'Internet des
objets et envisageait son rôle futur, mais n'utilisait pas le terme.
D'autres avancées technologiques nous ont propulsés dans le monde des objets connectés que
nous connaissons aujourd'hui.
La RFID (Radio-ID) est un système d'étiquetage utilisé pour suivre et classer des articles ou des
équipements. Traditionnellement, le système est utilisé dans l'industrie de la logistique (via des
puces) pour effectuer certaines tâches, telles que le suivi des conteneurs lors de leurs
déplacements dans le monde ou le contrôle du passage des pièces dans une chaîne de production.
Le suivi et le contrôle massifs d'appareils, de pièces ou d'objets jettent finalement les bases de
l'Internet des objets. Ashton a inventé le terme IoT alors qu'il travaillait dans le domaine de la
RFID.
Associant la RFID à Internet, la technologie machine-to-machine (M2M) permet aux machines
de se connecter et de communiquer entre elles sur un réseau et de prendre des décisions sans
intervention humaine.
Diverses autres technologies sans fil, associées à la disponibilité généralisée d'Internet à haut
débit et à des coûts de fabrication de plus en plus bas, ont contribué à la mise en place de
l'Internet des objets.
En 2008, l'Internet des objets avait parcouru un long chemin. À l'époque, Cisco a signalé que plus
de personnes que de personnes étaient connectées à Internet.
Malgré leurs humbles débuts, les technologies connectées promettent de révolutionner la société
d'une manière que nous ne pouvons même pas imaginer.[12]
Cependant, il n'existe pas d'architecture de référence standard unique pour l'IoT car elle englobe
plusieurs technologies. Cela signifie qu'il n'y a pas de modèle unique que toutes les
implémentations possibles peuvent suivre.[9]
basique et le plus largement accepté est une architecture IoT à quatre couches.[9]
L’étape initiale de tout système IoT englobe un large éventail d’objets qui agissent comme un
pont entre les mondes réel et numérique.
Leur forme et leur taille varient, des minuscules puces de silicium aux gros véhicules. Par leurs
fonctions, les objets IoT peuvent être divisés en groupes :
Capteurs : tels que sondes, jauges, compteurs et autres. Ils collectent des paramètres
physiques tels que la température ou l’humidité, les transforment en signaux électriques et
les envoient au système IoT. Les capteurs IoT sont généralement petits et consomment
peu d’énergie.
Actionneurs : traduisant les signaux électriques du système IoT en actions physiques. Les
actionneurs sont utilisés dans les contrôleurs de moteur, les lasers, les bras robotiques.
Machines et dispositifs : connectés à des capteurs et des actionneurs ou comme étant des
parties intégrantes.
Il est important de noter que l’architecture n’impose aucune restriction sur la portée de ses
composants ou leur emplacement. En effet la couche latérale peut inclure quelques objets
physiquement placées dans une pièce ou des myriades de capteurs et d’appareils répartis dans le
monde entier.[9]
C’est le travail de la couche réseau, elle connecte donc ces appareils à d’autres objets intelligents,
serveurs et appareils réseau. Elle gère également la transmission de toutes les données.
Les communications entre les appareils et les services cloud ou les passerelles impliquent
différentes technologies :
Ethernet : connecte des appareils IoT fixes tels que des caméras de sécurité et vidéo, des
équipements industriels installés en permanence.
Réseaux cellulaires : Les plus connus actuellement étant la 5G et la 4G, elles offrent un
transfert de données fiable et une couverture presque mondiale.
Il aussi existe deux normes cellulaires développées spécifiquement pour les objets
IoT. LTE-M (Long Term Evolution for Machines) permet aux appareils de communiquer
directement avec le cloud et d’échanger de gros volumes de données.
NB-IoT ou Narrowband IoT utilise des canaux basse fréquence pour envoyer de petits
paquets de données.
LPWAN (Low-power Wide-area Network) : a été créée spécifiquement pour les
appareils IoT. Cette technologie offre une connectivité sans fil longue portée avec une
faible consommation d’énergie avec une autonomie de plus de 10 ans. Nous vous
conseillons fortement de consulter notre comparatif sur les différentes technologies
LPWAN
WiFi : la technologie de réseau sans fil la plus populaire, convient parfaitement aux
solutions IoT gourmandes en données, faciles à recharger et à utiliser dans une petite
zone. Un bon exemple d’utilisation est celui des appareils domestiques intelligents
connectés au réseau électrique.
Il existe aussi d’autres technologies permettant la connectivité comme notamment le NFC (Near
Field Communication), le bluetooth ou le ZigBee.[9]
L’étape du composant d’accumulation de données fonctionne comme une plaque tournante entre
la génération de données basée sur les événements et la consommation de données basée sur les
requêtes.
Entre autres choses, l’étape définit si les données sont pertinentes pour les besoins de l’entreprise
et où elles doivent être placées.
L’objectif global étant de trier une grande quantité de données diverses et de les stocker de la
manière la plus efficace.
De même, les données collectées au niveau de la couche application sont reformatées ici pour
être envoyées au niveau physique afin que les appareils puissent les comprendre.
Ensemble, les étapes d’accumulation et d’abstraction des données masquent les détails du
matériel, améliorant ainsi l’interopérabilité des appareils intelligents.[9]
Actuellement, les applications peuvent être construites directement sur les plates-formes IoT qui
offrent une infrastructure de développement logiciel avec des outils prêts à l’emploi pour
l’exploration de données, l’analyse avancée et la visualisation de données.
Sinon, les applications IoT utilisent des API pour s’intégrer à la couche précédente.[9]
Couche réseau : Une gateway est placée pour récupérer les données remontées via les
capteurs, elle les traite et les transmet via réseau cellulaire (5G ou 4G).
Couche de traitement de données : Les données arrivent au serveur Cloud, elles sont
accumulées, agrégées et puis mises à disposition sous forme d’une API
Couche applicative : Elle peut être sous forme Web ou mobile. L’application fait des
appels d’API pour récupérer les données relatives au lampadaire (luminosité, état,
maintenance …) afin qu’elles soient exploitées. L’application peut allumer ou éteindre les
lampadaires automatiquement en fonction de la luminosité ou du mouvement. Et il est
aussi possible à l’utilisateur de commander les lampadaires de manière manuelle.
Enfin l’application permet d’alerter l’utilisateur en cas de défaillance.
Nous avons étudié le de lampadaires connectés, mais l’IoT possède d’innombrables cas
d’utilisation, allant des domestiques jusqu’aux industriels, en passant par la santé.
Il est donc essentiel de designer une architecture IoT cloud robuste capable d’évoluer avec le
temps et surtout d’accepter un flux croissant de données.[9]
A l'échelle communautaire, l'Internet des objets permet dans certaines villes de commander les
feux de circulation intelligents qui passent au vert lorsqu'ils détectent le passage d'une voiture.[2]
8. Protocoles de communication
Le protocole de communication est l’une des composantes essentielles de l’IoT. Que ce soit entre
des objets connectés, avec un système central ou avec du Edge, le choix du ou des protocoles de
communication qui seront utilisés est très important.
Plusieurs solutions existent sur le marché :[8]
8.1. Ethernet :
Dans cette solution, les objets sont connectés physiquement au réseau interne. Elle est très peu
utilisée en raison de la complexité de sa mise en place avec un grand nombre d’objets et surtout à
cause des restrictions géographiques qu’elle impose.[8]
8.2. Wifi :
Avec une portée plus large (une centaine de mètres), cette solution n’impose aucune connexion
physique et facilite le déploiement sur un périmètre plus ou moins étendu.[8]
8.3. 4G/5G :
Solution avec une couverture presque mondiale. Les objets peuvent être connectés pratiquement
n’importe où dans le monde et communiquer sans problème avec les systèmes centraux.[8]
8.4. LR-WPANs :
Low-rate wireless personal area networks est un protocole de communication standardisé
spécialement conçu pour l’IoT. Il existe plusieurs implémentations de ce standard comme Zigbee,
MiWi ou 6LoWPAN basé sur l’IpV6.[8]
8.5. Z-Wave :
Protocole très utilisé dans la domotique, avec un périmètre assez large pour couvrir une
maison.[8]
8.6. LoRa :
Protocole de réseau destiné aux objets connectés fonctionnant sur batterie dans un réseau
régional, national ou mondial.[8]
1. Définition
Une serre agricole est une structure plus ou moins fermée, à le rôle de protéger une culture de
conditions climatiques défavorables, ou qui améliore ces conditions.[14]
La serre agricole permet de cultiver des plantes à fleurs, des fruits et des légumes dans une
région inadaptée. Elle permet ainsi d’effectuer des cultures de contre-saison. Pour installer
une serre agricole, certains paramètres sont à vérifier : emplacement, matériau à utiliser,
dimensions, structure, etc. La figure suivante montre un exemple d’une serre agricole.
Elles ont en commun d'avoir des parois et/ou une couverture transparente qui laissent passer la
lumière nécessaire aux plantes. L'utilisation d'une serre permet de mieux gérer le climat-
température, lumière, l'eau et les apports d'engrais et de produits phytosanitaires, ainsi que la
qualité de l'air à l'intérieur de la serre. La culture peut y être faite dans le sol d'origine, mais aussi
(plus facilement qu'en extérieur) en hors sol, en hydroponique, en pots ou dans des sacs de laine
de roche. La figure suivante montre un exemple d’une serre agricole.
De nos jours l’objectif de l’agriculture intelligente est d’accroître la productivité et les revenus
agricoles grâce à la possibilité de contrôler les conditions climatiques de la culture pour favoriser
la production à toutes les saisons.
e f g
5.1. Température
Pour qu'une serre serve bien un jardinier, ce dernier doit pouvoir contrôler un certain nombre de
paramètres. La température en est une. Trop haut ou trop froid, ce dernier pouvant ralentir la
croissance des plantes d'intérieur et même les mettre en danger.
5.2. Humidité
L'humidité de l'air est un des facteurs très importants à contrôler.
Les niveaux d'humidité fluctuent en fonction de la température serre, plus celle-ci est élevée et
plus l'air peut humide
5.3. L'isolation
Il est possible d’installer, provisoirement, un isolant à l'intérieur d'une serre : le plastique à bulle
est un incontournable. (Les 3 couches semblent avoir le même pouvoir isolant qu'un double
vitrage).
5.5. L’irrigation
L’irrigation est une opération qui consiste à apporter artificiellement de l’eau à des végétaux
cultivés en utilisant une pompe pour permettre leur développement normal
Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons introduit l’internet des objets qui constitue l’avenir de plusieurs
domaines et la notion des objets connecté qui sont les unités de base ainsi les composantes
nécessaires pour obtenir un système IoT.
Nous avons vu aussi les différentes technologies et les architectures ainsi les protocoles
concernant cette nouvelle technologie.
L'Internet des objets a de nombreuses applications, en particulier le domaine de l'agriculture
intelligente et l'adoption de cette technologie a éliminé l'intervention humaine, ce qui rend
Introduction
L’IoT englobe non seulement l’objet connecté, mais aussi le réseau de communication, le
traitement de la donnée, son stockage et son utilisation dans le « cloud », alors que le prototype
est la première étape de la construction d'un produit Internet des objets (IoT). Il comprit
l'interface utilisateur et les périphériques ainsi que les pilotes, les processeurs, les logiciels
principaux et la connectivité.
Ce présent chapitre consiste à présenter le cahier des charges de notre projet ainsi que la patrie
matérielle et logicielle proposé pour la résolution de la problématique, on devise le chapitre en
deux grands parties premier partie la structure matérielle, les capteurs utilisés deuxième partie les
logiciels utilisés pour assurer la surveillance ainsi que les langages de programmation.
Agriculteur Serre
agricole
Réseaux de capteurs
Sans fil
Le microcontrôleur possède une puce Wifi permettant de se connecter au réseau local, de créer un
serveur ou de créer son propre réseau afin que d’autres appareils s’y connectent. Le
microcontrôleur possède une puce Bluetooth qui lui permet d’interagir avec d’autres appareils.
Le Raspberry Pi fut créé afin de démocratiser l'accès aux ordinateurs et au digital making4 (terme
anglophone désignant à la fois la capacité de résolution de problèmes et les compétences
techniques et informatiques)5. Cette démocratisation est possible en raison du coût réduit du
Raspberry Pi, mais aussi grâce aux logiciels libres4. Le Raspberry Pi permet l'exécution de
plusieurs variantes du système d'exploitation libre GNU/Linux[10]
2.3. Caractéristiques
3. Capteurs utilisés
3.1. Capteur DHT22
3.1.1. Description
Le DHT22 est un capteur numérique de base, à faible coût permettant de mesurer de manière
efficace la température et l'humidité de l'air ambiant grâce à sa combinaison deux en un d'un
capteur d'humidité capacitif et 'une thermistance. De plus il se connecte facilement à votre
microcontrôleur préféré grâce à un signal numérique sur un seul fil.[19]
Par rapport à la DHT11 qui est un capteur de la même famille, le DHT22 est plus précis et
fonctionne dans une plus grande gamme de température et d'humidité.[19]
3.2. BMP280
3.2.1. Description
Le capteur BMP280 est un capteur environnemental avec température, pression barométrique qui
est la nouvelle génération de mise à niveau du BMP085/BMP180/BMP183. Ce capteur est
excellent pour toutes sortes de détection de la météo et peut même être utilisé à la fois dans les
I2C et SPI.[20]
3.2.2. Caractéristiques
Tension d'alimentation : 1,8 V - 5 V CC.
Interface : I2C (jusqu'à 3,4 MHz), SPI (jusqu'à 10 MHz).
Plage de fonctionnement :
- Température : -40 à +85 °C.
- Pression : 300-1100 hPa.
Résolution :
- Température : 0,01 °C.
- Pression : 0,18 Pa.
Précision :
- Température : +-1°C
- Pression : +/- 1 Pa.
Contenu :
- 1 module de capteur de pression atmosphérique BMP280.
- 1 x 6 broche 2,54 mm.
3.3.1. Description
Conception en forme de fourchette pour une insertion facile dans le sol
Une fois le module inséré dans le sol, la tension de sortie augmente à mesure que l’humidité du
sol augmente
1. Arduino Ide :
1.1.Définition :
Le logiciel arduino est gratuit (open source) et se télécharger sur le site officiel d'Arduino, à
l'adresse http://Arduino.cc/en /Main/Software
Plusieurs fichiers différents sont proposés en téléchargement, vous devez faire votre choix en
fonction du système d'exploitation de votre ordinateur : Windows, MacOs X, Linux. La dernière
version officielle est généralement celle qu'il faut sélectionner, bien que pour les cartes les plus
IDE (Integrated Development Environment) est un programme spécial exécutable sur votre
ordinateur qui vous permet d'écrire des esquisses pour la carte Arduino dans un langage simple
sur le modèle du langage de traitement. La magie se produit lorsque vous appuyez sur le bouton
qui télécharge l'esquisse à la carte: le code que vous avez écrit est traduit dans la langue de C (qui
est généralement assez difficile pour un débutant d'utiliser), et est passé au compilateur avr-gcc,
une pièce importante du logiciel open source qui fait la traduction finale dans la langue comprise
par le microcontrôleur. Cette dernière étape est très importante, parce que c'est là où Arduino
rend votre vie simple en cachant autant que possible de la complexité de la programmation des
microcontrôleurs. [22]
1.2.Interface de logiciel :
Double-click sur l'icône IDE Arduino est on obtient la fenêtre vierge ci-dessous :
2.1.Définition :
Avant de commencer, il est important de présenter le protocole MQTT. Pour ceux qui ne le
connaissent pas, il s’agit d’un protocole de messagerie basé sur un principe de souscription.
Ce protocole a initialement été développé en 1999 par deux ingénieurs, l’un travaillant pour IBM
et l’autre EuroTech. Il avait pour but la surveillance d’un oléoduc dans le désert. Ils voulaient un
protocole efficace et qui consomme peu de bande passante et de batterie. En 2021, nous avons le
même besoin.
La connexion
L’authentification
La communication
La terminaison
Le MQTT est devenu un standard international dans la communication entre les objets IoT et les
machines. S’il est devenu aussi populaire, ce n’est pas pour rien, il présente de très nombreux
avantages face au protocole HTTP :
QoS0 : Le message n’est pas stocké par le serveur, et aucun accusé de réception n’est
envoyé. Si l’on redémarre le serveur ou le client, le message sera définitivement perdu
2.3.Principe de fonctionnement :
MQTT permet à des clients de publier et/ou de s’abonner à des informations. L’ensemble des
clients communiquent avec un broker : un programme en charge de réceptionner les
informations publiées et de les retransmettre aux clients abonnés :
Les clients peuvent publier ou s’abonner à des « topics » MQTT, par exemple « /data/A » ce qui
permet d’identifier les informations simplement. Les clients peuvent s’abonner à plusieurs topics.
3. Node-RED:
3.1.Définition
Techniquement, il s’agit d’une application reposant sur Node.js et permettant le design des
chaînes de traitement dans un environnement Web. Node-Red fonctionne comme un ETL : une
palette de connecteurs, des composants de traitement, des possibilités de wiring entre tout cela.
Regardons maintenant un peu plus dans le détail.[5]
Heureusement, cette palette n’est qu’une base de départ. Il est possible de l’enrichir de plusieurs
façons :en installant de nouveaux composants depuis la liste officielle des composants Node-Red,
en développant ses propres composants.
Dans le second cas, il est possible de rapidement wrapper une librairie ou un service avec un
composant custom. La documentation explique assez clairement la démarche à suivre.[5]
3.3.L’éditeur
La création de flows est très simple : du drag & drop de composants, de la configuration via un
panneau contextuel et du cablage entre composants. L’organisation par onglet permet de gérer un
grand nombre de flows en les organisant de façon logique en sous-ensembles. Des facilités
permettent aussi des appels entre flows, même s’ils ne sont pas présents sur le même onglet.[5]
Un simple clic sur le bouton de déploiement et les flows se trouvent mis à jour et opérationnels.
Simple et efficace.[5]
4. Putty
PuTTY est un émulateur de terminal pour Windows permettant la connexion à une machine
distante par protocole ssh. Avec ce logiciel, vous pouvez travailler, depuis votre ordinateur
personnel, sur une machine Linux du DMS, en mode ligne de commandes. Si vous ne croyez pas
être suffisamment habile avec ce mode de fonctionnement, consultez la page Commandes
élémentaires pour apprendre quelques commandes utiles.
PuTTY ne permet pas l'affichage graphique : vous devez combiner son utilisation au
logiciel Xming si vous souhaitez travailler avec des logiciels graphiques. De cette façon, vous
pouvez démarrer, par exemple, le logiciel Mathematica sur une machine du Département et
afficher le contenu graphique sur votre machine personnelle. À cet effet, nous vous
recommandons plutôt d'employer NoMachine NX ou MobaXterm en raison de leur simplicité
d'utilisation.[26]
5. Vnc Viewer
VNC (Virtual Network Computing, littéralement « informatique virtuelle en réseau ») est un
système de visualisation et de contrôle de l'environnement de bureau d'un ordinateur distant. Il
permet au logiciel client VNC de transmettre les informations de saisie du clavier et de la souris à
l'ordinateur distant, possédant un logiciel serveur VNC à travers un réseau informatique. Il utilise
le protocole RFB pour les communications.
VNC est indépendant du système d'exploitation : un client VNC installé sur n'importe
quel système d'exploitation peut se connecter à un serveur VNC installé sur un système
d'exploitation différent ou identique. Il existe des clients et des serveurs VNC pour la plupart des
systèmes d'exploitation. Plusieurs clients peuvent se connecter en même temps à un unique
serveur VNC.
Conclusion :
Dans ce chapitre, nous avons présenté la notion de l’étude conceptuelle de notre projet :
commencent par une présentation des cahiers des charges sous forme bête à cornes accompagné
d’un paragraphe explicatif de notre objectif principal.
Après avoir une idée globale sur notre projet on a fait une description des matériels qu’on aura
besoin ainsi que les logiciels utilisés pour la simulation et le test.
Introduction :
Afin de faciliter l'étude de la culture sous serre, nous avons réalisé un prototype d’une mini serre
d’agricole intelligente supervisée par un système d'internet des objets sous la direction des
capteurs spéciaux et de l’interface Node-red. Nous avons également créé programmé nos cartes
ESP32 afin d'obtenir des données sur l’évolution des paramètres climatiques « température,
humidité, et humidité du sol».
Dans ce chapitre nous présentons les étapes de notre réalisation et les résultats finales que nous
avons obtenus devant nos tests.
I. Partie software
Pour cela il faut retirer le la carte mémoire SD de la Raspberry et la mettre dans un adaptateur et
la brancher avec le serveur pour la flasher.
Figure 26: liste des systèmes d'exploitation proposés par le logiciel Raspeberry pi imager
Et enfin on clique sur écrire pour installer le système d’exploitation choisi dans la carte SD.
Une fois le système d’exploitation est installé on ajoute dans la carte SD (Boot) un fichier SSH
pour qu’on puisse brancher la carte par le câble Ethernet.
Finalement il faut retire la carte SD du adaptateur et l’insérer dans la carte Rapberry.
Avant d’installation des logiciels mosquitto et nod red dans la carte raspberry on commence tout
d’abord par sa mise à jour en entrant les commandes suivantes :
Tout ce que nous devons faire pour mettre à jour le système est d'exécuter les deux commandes
suivantes.
Une fois la mise à jour du système terminée, nous pouvons maintenant installer le logiciel
Mosquitto.
Heureusement pour nous, le broker Mosquitto MQTT est disponible dans le référentiel Raspbian ,
donc l'installation du logiciel est simple.
Le logiciel client nous permettra d'interagir avec et de tester que notre courtier MQTT fonctionne
correctement sur notre Raspberry Pi.
Pendant le processus d'installation, le gestionnaire de packages configurera automatiquement le
serveur Mosquitto pour qu'il démarre au démarrage.
Après l’installation du broker mosquitto on passe à installer le logiciel nod red en exécutant la
commande suivante.
Une fois les outils nécessaires pour notre travail sont installés on peut visualiser le cntenu de
notre carte raspberry on utilisant le logiciel VNC Viewer
2. Réalisation finale :
3. Résultats
Remarque : les programmes utilisés vont être insérées dans les annexes
Après la programmation des deux capteurs (DHT11 et HW103 ) en exploitant le protocole
mosquitto nous avons simulé notre système IOT sous le logiciel Node Red et nous avons trouvé
les résultats suivants :
Pour que les résultats soient en toute sécurité on a configuré node-red par un user Name et un mot
de passe choisi pour que les données soient accessibles juste par l’utilisateur correspondant.
Pour cette raison on a ajouté le code suivant dans le fichier setting de node.j
adminAuth: {
Dans ce projet, nous avons travaillé sur l'agriculture, en particulier dans la partie culture en serre.
Nous avons utilisé avec succès la technologie IoT dans le contrôle des serres et la surveillance à
distance de ses données climatiques.
Il est important de mentionner que nous nous intéressons ici uniquement au les facteurs
climatiques et non à la croissance des plantes. La gestion efficace des paramètres climatiques
dans les serres dépend du choix des meilleures technologies qui assurent le meilleur climat
possible pour les plantes en contrôlant leurs caractéristiques et leurs besoins à toutes les étapes de
leur croissance en temps réel.
L'étape la plus importante avant de réaliser un projet est l'étude conceptuel consacré dans le
prototype de mini serre agricole et de concevoir des solutions qui contrôlent correctement les
paramètres climatiques des serres agricoles dans notre cas sont les capteurs spéciaux DHT11,
HW103 et BMP280. Ce contrôle se fait via le protocole MQTT ou la carte Raspberry joue le rôle
du MQTT Broker qui est dans notre cas Mosquitto.
Le travail présenté dans ce projet de fin d’année permet de dégager des perspectives immédiates
et plus lointaines :
Ajout de certains actionneurs qui vont agir suite aux données climatiques trouvées.
Construction d’une serre agricole intelligente avec toiture photovoltaïque.
Intégrer une source d’énergie renouvelable composée de panneau solaire et d’une batterie.
Contrôler la serre à l’aide d’un système d’intelligence artificielle
Ajouter d’autres capteurs et actionneurs comme : module GSM CERES, caméra,
anémomètre et un chauffage d’eau etc…