année
10/07/2022 - 31/07/2022
Résumé
Durant ce stage éfféctué chez Algérie Télécom, plus précisement au sein du
CT2 (deuxième centre de transmission d’Oran anciennement connu comme
centre d’amplification) à Ibn Rouchd, on a pu voir la partie pratique des
modules télécoms qu’on a vu cette année, dont la communication unifiée et
NGN ainsi que l’infrastructure des télécommunications et téchniques d’accés et
une partie sur la fibre optique ce qui nous a aidé à mieux comprendre comment
une communication est établie entre 2 ou plusieurs clients mais aussi de casser
les barrières entre la théorie et le pratique en nous introduisant au monde
profesionnel.
4 Chapitre 4 : l’Energie : 15
4.1 Production et distribution de l’énergie : . . . . . . . . . . . . . . . . 15
4.2 Schéma synoptique de la distribution d’énergie : . . . . . . . . . . . . 16
5 Conclusion : 16
6 Remerciments : 16
1 Chapitre 1 : CT2
1.1 présentation :
Le centre de transmission a comme rôle principal le multiplexage / démulti-
plexage des signaux numériques et optiques qui circulent en assuarnt l’acheminement
des communications, sures et sans pertes, au niveau local (national) et international
.
CT2 d’ORAN est d’une très grande importance vu sa situation géographique ; il se
trouve à l’EST du centre ville où demeure une population importante et d’où un
trafic très élevé, c’est un centre interurbain. A cet effet, il occupe une place impor-
tante dans les services de télécommunications du pays.
Le CT2 d’Oran est équipé de plusieurs systèmes. Ce qui permet d’une part aux
travailleurs de faire l’expérience de ces systèmes et d’autre part à la société des
télécommunications de garder une certaine autonomie par rapport aux différentes
industries fabricantes.
Ce centre fait notament part de plusieurs boucles qui relients des centres diffe-
rents de l’ouest ou meme du centre, tel Mascara, Ain temouchent et Alger.
L’utilisation du PDH se limite le plus souvent à 140 Mbit/s après quoi on lui préfère
la SDH.
2.2 SDH :
La hiérarchie numérique synchrone ou SDH (en anglais Synchronous Digital Hie-
rarchy) est un ensemble de protocoles pour la transmission de données numériques
à haut débit principalement sur fibre optique. Il relève du niveau 1 du modèle en
couches de l’OSI et correspond à SONET aux États-Unis. En pratique, ces proto-
coles sont utilisés par les opérateurs de télécommunication pour leur réseau, mais la
SDH fait aussi l’objet de services vendus aux entreprises.
Par ailleurs, la SDH constitue la troisième génération de la hiérarchie de multi-
plexage des infrastructures des opérateurs où elle succède à la PDH (E1 (2 Mbit/s),
E2 (8 Mbit/s), E3 (34 Mbit/s), etc. en Europe, T1 (1,5 Mbit/s), T2 (6 Mbit/s),
T3 (45 Mbit/s), etc. aux États-Unis). Ses débits sont appelés STM-i avec le STM-1
égal à 155,52 Mbit/s. STM signifie Synchronous Transport Module. Le STM-4 cor-
respond à un débit de 622 Mbit/s, le STM-16 correspond à un débit de 2,5 Gbit/s
et le STM-64 correspond à un débit de 10 Gbit/s.
Pour les liaisons très courtes (moins de 1000 m), la SDH est concurrencée par
Ethernet. En effet, SDH est une technique originellement conçue pour gérer les
communications en mode circuit, typiquement les communications téléphoniques.
Or, depuis les années 2000, le volume de données de type paquet a supplanté en
quantité celui des données de type téléphonique, laissant la SDH moins bien adaptée
aux nouveaux services qu’on demande aujourd’hui.
Avantages de la SDH :
— Simplification du réseau :
La simplification des techniques de multiplexage / démultiplexage permet l’uti-
lisation d’un nombre illimité d’équipements.
— Haute flexibilité :
Possibilité d’accéder aux affluents bas débits sans besoin de décomposer tout le
signal haut débit.
— Intégration de PDH :
Possibilité de transporter des signaux existants dans PDH. Ceci permet d’intégrer
les équipements SDH dans les réseaux existant, et permet l’introduction d’une
large gamme de services.
— Évolutivité :
Facilité d’évolution vers les niveaux de multiplexage supérieurs, l’extension du
réseau et les nouveaux services.
2.3 Le DWDM :
La technologie DWDM est une extension du réseau optique. Les appareils DWDM
(multiplexeur, ou Mux en abrégé) combinent la sortie de plusieurs émetteurs op-
tiques pour la transmission sur une seule fibre optique. À la réception, un autre
dispositif DWDM (démultiplexeur, ou Demux en abrégé) sépare les signaux op-
tiques combinés et transmet chaque canal à un récepteur optique. Une seule fibre
optique est utilisée entre les appareils DWDM (par sens de transmission). Au lieu
de nécessiter une fibre optique par paire d’émetteur et de récepteur, DWDM permet
à plusieurs canaux optiques d’occuper un seul câble à fibre optique. En adoptant
la technologie Gaussienne AAWG de haute qualité, le Mux/Demux DWDM de FS
offre une faible perte d’insertion (3,5dB typique) et une fiabilité élevée. Avec la
structure améliorée, ces multiplexeurs et démultiplexeurs DWDM peuvent offrir une
installation plus facile.
L’avantage principal de DWDM est son protocole et son débit binaire indépen-
dants. Les réseaux basés sur DWDM peuvent transmettre des données dans IP, ATM,
SONET, SDH et Ethernet. Par conséquent, les réseaux DWDM peuvent transporter
différents types de données à différentes vitesses sur un canal optique, par exemple
la voix, les e-mails, la vidéo et les données multimédia qui peuvent être transmis
simultanément dans les systèmes DWDM. Les systèmes DWDM ont des canaux aux
longueurs d’onde avec un espacement de 0,4nm ou 0,8nm.
1. Coaxial :
Utilisé pour les liaisons courtes distances (moins de 100 m) et pour des débits
qui, théoriquements ne dépassent pas 800Mbits/s. Ils sont liés aux équipements
par des ports FE (aux quels on peux pas cabler plus de 100Mbits/s).
2. Fibre Optique :
Ces types de cables sont liés aux équipements via des ports GE, ils sont surtout
utilisés pour les laisons longues distances et/ou à trés grand débit. On peut clai-
rement voir que dans le centre, Les FO multimodes sont utilisés pour les liasons
courtes distances (généralement entre les differents ports d’un meme equipement)
pendant que les FO monomodes sont utilisés pour les liaisons à longues distances
(entre les équipements du meme centre, de centres differents ou ceux des clients
"corporates").
3. Faisceaux Hertziens :
C’est une méthodes de transmission via les ondes radioélectriques, dont les fré-
quences sont comprises entre 1 et 86 GHz. Elle est utilisée surtout pour les logues
distances où elle doit etre adaptée à des milieux urbains denses pour assurer une
bonne transmission. Elle peut transmettre des débits allant jusqu’à 2Gbits/s.
— MICs et réglette :
Un Mic (VC12) est une unité de transport de voix qui a une capacité de 2Mbits/s,
et une réglette est une regroupement de 21 Mics (donc un VC3). Ces réglettes
sont liées généralement à d’autre équipement permettant leurs exploitation. On
utilise un MIC pour l’emission et un autre pour la récéption qui seront invérsé
au coté du client (brancher celui de la récéption avec l’émission et vise versea).
— Les ADRs :
C’est des STM-1 qui ont une capacité de 155Mbits/s, et qui sont généralement
liés à des systèmes avec des capacités beaucoup plus grandes. On remarque que
des ADRs Huawei sont les plus utilisés dans le CT, et qu’ils sont liés à different
systèmes, tel des 622Mbits/s, de 2.5Gbits/s ou meme des 10Gbits/s .
— Le FiberHome NG DWDM :
C’est un DWDM, qui est utilisé surtout pour les liaisons à longues distances
(la solution la plus optimale) et dont la capacité de la fibre peut être multipliée
avec le multiplexage en longueur d’onde, ce qui fait de lui un système évolutif,
l’augmentation en débit se résume à l’ajout d’une ou de plusieurs longueurs
d’onde dans le châssi et peut atteindre jusqu’à 100Gbits/s.
— Le metro switch :
C’est un routeur d’aggrégation utilisé pour la liason au service Réseau, Mobilité
et Services (RMS) dont le role est l’appprovision d’internet. Il fait la liaison entre
les clients voulant l’accés internet, et l’RMS.
4 Chapitre 4 : l’Energie :
4.1 Production et distribution de l’énergie :
Il est impératif que le CT2 fonctionne 24h/24 et lui faut donc une production
continue d’énergie pour assurer le fonctionnement des équipements du centre qui
nécessite 48v continue et bien sure la climatisation et l’éclairage qui demande le
220v alternatif. C’est ainsi que le centre comporte 3 sources d’énergie :
2. Le groupe électrogène :
Il a une capacité de 150kva, commandé par une armoire de commande où on
peut configurer le mode de démarrage, le temps d’enclenchement et aussi la
durée de fonctionnement du groupe.
C’est ainsi que le GE démarre après 30s d’une coupure de secteur pour prendre
la relève grâce à deux batteries de démarrage. Le GE se déclenche automati-
quement après sept minutes du retour du secteur.
Pour assurer sa maintenance, le GE est mis en test chaque mercredi pour
30min au centre.
3. Les batteries :
Dans la chambre d’énergie, on peut distinguer 2 type de batteries ; les bat-
teries sèches et les batteries à eau distillé (2*24éléments), ces dernières ali-
mentent le CT2 en 48v continu dans le cas d’une coupure du secteur et
pendant le temps de démarrage du groupe électrogène (les 30s).
4. Les redresseurs :
On trouve 3 redresseurs dans la sall d’équipements du CT2 ; A, B et C, qui
ont pour but de converstir le courant alternative en un courant continue de
48V.
Chaque équipement est relié ou alimenté par 2 redresseurs, dont l’un d’eux
est pour le secours.
5 Conclusion :
Ce stage nous a permit d’avoir une vue plus approfondie sur les tics et les tacs de
la transmission, notamment des équipemets et téchnologies utilisés en Algérie.
Ce qui nous a non seulement permis de comprendre les théories de transmission
et réseaux étudiées auparavant, mais aussi de savoir les compétances qu’on doit
acquérir en tant qu’ingénieurs.
On a pu aussi assister à des mise-en-ligne de nouvelles liaisons et à l’orchestration
et le résout des problèmes signalés ce qui nous a permis d’avoir une meilleure
éxpreience.
6 Remerciments :
Pour conclure mon rapport, j’aimerais remercier tout les ingénieurs et téchniciens
qu’on a pu rencontrer au CT2. On répondait toujours à nos questions meme les
plus improbables et on nous incitait toujoirs à demander plus àfin de profiter de
cette oportunité au maximum.
Sur ce fait, j’aimerais remercier Mesdames : Chettir Zaouia, Bcharef Hayat et
Gachtouli Hasnia qui nous ont accueillit dès le premier jour. Ainsi que Mes-
sieurs : Mokhfi Abdelillah, Meslem MAhieddine et Belhouari Noureddine pour
leur conseilles et astuces.