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La Promesse de l’aube

Un héros sans enfance

Romain Gary a eu une vie comme tout le monde. Mais pas la même vie que tout le monde.
Héros de la France Libre, ambassadeur de France, deux fois lauréat du prix Goncourt… il est
né Polonais et de confession juive. Mais son futur était déjà en germe dans son berceau. Sa
mère était en effet totalement convaincue que son fils vivrait une vie grandiose intimement
liée à la France qu’elle portait aux nues. Et son fils n’a eu de cesse d’accomplir son souhait.

L’univers narratif
Au début, les dates sont imprécises, ce n’est que dans la deuxième partie que le narrateur
devient rigoureux, en indiquant la date de son incorporation :
« Je fus incorporé à Salon-de-Provence le quatre novembre 1938 ».
Romain a passé son enfance à Wilno (Vilnius), très exactement au 16 de la rue Grande-
Pohulanka, mais sa mère rêve que son fils vive en France. Ils réalisent leur ambition et
débarquent à Marseille.
Personnages
#Romain Kacew
Véritable nom de Romain Gary, l’auteur se met en scène mais il raconte ce qu’il veut de sa
vie. Il a toujours refusé d’évoquer dans ses livres ses souvenirs du Groupe de bombardement
de Lorraine, il lui semblait que gagner de l’argent avec une expérience où nombreux de ses
compagnons étaient morts était indécent.
#La mère du narrateur
Belle et talentueuse, elle n’a pas rencontré le succès attendu, même si on comprend qu’elle
en a eu encore moins que son fils ne l’imaginait. Elle est prête à tous les sacrifices pour
satisfaire les besoins de ce dernier.
Elle est certaine d’une chose, un jour son fils sera un Français célèbre. Célèbre pour quoi ?
C’est toute la question, avec en filigrane la culpabilité de l’enfant.
L’intrigue
Que ce soit en Pologne ou en France, Romain et sa mère cherchent en quoi le garçon
pourrait exceller et tout y passe : musique, peinture, tennis, littérature. Tout au long de sa
vie, Romain tente de rendre enfin sa mère fière de lui.
Le style
Le narrateur pratique l’autodérision à haute dose. J’ai trouvé ça plus poignant
qu’humoristique.

L’univers narratif
Au début, les dates sont imprécises, ce n’est que dans la deuxième partie que le narrateur
devient rigoureux, en indiquant la date de son incorporation :
« Je fus incorporé à Salon-de-Provence le quatre novembre 1938 ».
Romain a passé son enfance à Wilno (Vilnius), très exactement au 16 de la rue Grande-
Pohulanka, mais sa mère rêve que son fils vive en France. Ils réalisent leur ambition et
débarquent à Marseille.
Personnages
#Romain Kacew
Véritable nom de Romain Gary, l’auteur se met en scène mais il raconte ce qu’il veut de sa
vie. Il a toujours refusé d’évoquer dans ses livres ses souvenirs du Groupe de bombardement
de Lorraine, il lui semblait que gagner de l’argent avec une expérience où nombreux de ses
compagnons étaient morts était indécent.
#La mère du narrateur
Belle et talentueuse, elle n’a pas rencontré le succès attendu, même si on comprend qu’elle
en a eu encore moins que son fils ne l’imaginait. Elle est prête à tous les sacrifices pour
satisfaire les besoins de ce dernier.
Elle est certaine d’une chose, un jour son fils sera un Français célèbre. Célèbre pour quoi ?
C’est toute la question, avec en filigrane la culpabilité de l’enfant.
L’intrigue
Que ce soit en Pologne ou en France, Romain et sa mère cherchent en quoi le garçon
pourrait exceller et tout y passe : musique, peinture, tennis, littérature. Tout au long de sa
vie, Romain tente de rendre enfin sa mère fière de lui.
Le style
Le narrateur pratique l’autodérision à haute dose. J’ai trouvé ça plus poignant
qu’humoristique.
L’univers narratif
Au début, les dates sont imprécises, ce n’est que dans la deuxième partie que le narrateur
devient rigoureux, en indiquant la date de son incorporation :
« Je fus incorporé à Salon-de-Provence le quatre novembre 1938 ».
Romain a passé son enfance à Wilno (Vilnius), très exactement au 16 de la rue Grande-
Pohulanka, mais sa mère rêve que son fils vive en France. Ils réalisent leur ambition et
débarquent à Marseille.
Personnages
#Romain Kacew
Véritable nom de Romain Gary, l’auteur se met en scène mais il raconte ce qu’il veut de sa
vie. Il a toujours refusé d’évoquer dans ses livres ses souvenirs du Groupe de bombardement
de Lorraine, il lui semblait que gagner de l’argent avec une expérience où nombreux de ses
compagnons étaient morts était indécent.
#La mère du narrateur
Belle et talentueuse, elle n’a pas rencontré le succès attendu, même si on comprend qu’elle
en a eu encore moins que son fils ne l’imaginait. Elle est prête à tous les sacrifices pour
satisfaire les besoins de ce dernier.
Elle est certaine d’une chose, un jour son fils sera un Français célèbre. Célèbre pour quoi ?
C’est toute la question, avec en filigrane la culpabilité de l’enfant.
L’intrigue
Que ce soit en Pologne ou en France, Romain et sa mère cherchent en quoi le garçon
pourrait exceller et tout y passe : musique, peinture, tennis, littérature. Tout au long de sa
vie, Romain tente de rendre enfin sa mère fière de lui.
Le style
Le narrateur pratique l’autodérision à haute dose. J’ai trouvé ça plus poignant
qu’humoristique.
La Promesse de l’aube
Un héros sans enfance

Résumé

Romain Gary a eu une vie comme tout le monde. Mais pas la même vie que tout le monde.
Héros de la France Libre, ambassadeur de France, deux fois lauréat du prix Goncourt… il est
né Polonais et de confession juive. Mais son futur était déjà en germe dans son berceau. Sa
mère était en effet totalement convaincue que son fils vivrait une vie grandiose intimement
liée à la France qu’elle portait aux nues. Et son fils n’a eu de cesse d’accomplir son souhait.

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