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TOM PLAYFAIR

ou
Un nouveau départ.

par

le père
FRANCIS FINN, S.J.

Éditions Saint-Remi
– 2013 –
Le père Francis J. Finn SJ (né à Saint-Louis, Missouri, le 4
octobre 1859 et mort à Cincinnati, Ohio, le 2 novembre 1928) est
un écrivain américain pour la jeunesse.
Il est l'auteur de vingt sept romans, dont les plus célèbres sont
Tom Playfair (1890), Harry Dee, Claude Lightfoot et Percy
Wynn. Les ouvrages de Finn mettent en général en scène des
collégiens du midwest traversant de multiples aventures.
Enseignant jésuite, Finn a aussi voulu véhiculer la morale
catholique par ses livres, ce qui leur donne un ton édifiant
(punition, gratitude, sacrifice, rédemption etc.) Son œuvre a été
traduite dans une dizaine de langues et a bénéficié d'une énorme
popularité jusqu'il y a quelques décennies.

Du même auteur aux éditions Saint-Remi :

CE PETIT GARÇON DE BUREAU, 159 p., 14 €


LE CUPIDON DE CAMPION COLLÈGE, 144 p., 13 €
LUCKY BOB, 164 p., 14 €
TOM PLAYFAIR, 207 p., 16 €
PERCY WINN, 199 p., 16 €

Éditions Saint-Remi
BP 80 – 33410 CADILLAC
05 56 76 73 38
www.saint-remi.fr
PRÉFACE DE FRANCIS FINN.

L ES vicissitudes du manuscrit Tom Playfair pourraient à elles


seules faire toute une histoire : Comment l’ouvrage a été
écrit, il y a plus de sept ans, pour le bien d’une classe de collège,
sans qu’une publication ultérieure ne soit envisagée ; comment
certaines parties ont été progressivement insérées dans le
manuscrit ; comment l’écrivain a hésité pendant des années à
confier les parties restantes à l’éditeur ou à les délaisser ;
comment l’accueil chaleureux de Percy Wynn,, les billets aimables
sur Tom Playfair provenant des critiques et des lecteurs l’ont
inspiré à ressortir le vénérable manuscrit — jeté à ses moments
perdus, au crayon ou à l’encre, sur toutes sortes de papier — de
sa malle, et à ne négliger par la suite aucun instant de ses jours de
vacances (juillet-août 1891) à sa révision ; comment les conseils
précieux et les aimables paroles d’amis littéraires lui ont servi à
cette correction… Tous ces épisodes ne resteront-ils pas gravés à
jamais dans la mémoire de l’auteur ?
Et maintenant il s’aventure à offrir cette histoire aux garçons
et aux filles de la Terre, dans l’espoir de leur procurer un plaisir
sain.
Transposant la figure de style savamment appelée hystérologie
des phrases aux volumes, il avait publié d’abord Percy Wynn, bien
que les aventures de Percy soient ultérieures à celles de Tom. La
raison de cette manière de faire peut provenir de ce qui a été dit à
propos du manuscrit de Tom Playfair.
Saint Maure1 est le pseudonyme d’un vrai collège de l’Ouest.
En plus d’inventer des incidents, l’auteur, en fonction de son but,
a quelquefois pris des libertés avec l’environnement local, tout en
respectant, pour l’essentiel, la réalité.

1 Note du traducteur : Dans la version américaine, Tom et Percy sont au

collège Saint-Maure et non Sainte-Marie.


4 PRÉFACE DE FRANCIS FINN

Il est presque inutile de dire que le vrai collège ne souffrit


jamais des effets d’un coup de tonnerre ; en fait, la coupole sur
laquelle se déroule la catastrophe selon ces pages, a été érigée non
par l’architecte mais par quelques coups de crayon.
Proche de ce collège de l’Ouest, il y a un village, communauté
joyeuse et prospère. Ce village a été retiré par l’auteur de ces
histoires. Le village de Saint Maure, qui le remplace, est une
fiction.
En dévoilant, avec les réserves nécessaires, ses trois années
dans le collège de Saint-Maure, l’auteur a, peut être, fait trop peu
cas d’une caractéristique frappante : la piété viril des écoliers.
Dans toute son expérience, il peut compter sur ses doigts ceux
qui, quoique membres assidus, en sont ressortis plus mauvais, et
ils étaient des exceptions.
Il y a bien sept ans que l’écrivain a quitté le collège Saint-
Maure dont c’était les débuts à son époque. Maintenant, il y a un
collège avec une histoire dont il peut être fier. Le vieux bâtiment
de l’église, le dortoir et la salle de bain des petits, la structure du
châssis long et bas utilisé comme infirmerie, ont disparu ; de
nouveaux et plus nobles bâtiments ont été élevés, de sorte que le
collège d’aujourd’hui, comme Peggotty le faisait remarquer, je
crois, de son neveu Ham, a « progressé grâce à l’expérience », et
pourtant le doux esprit de foi et de la prière est resté inchangé au
milieu de toutes ces modifications.
L’auteur n’a pas vu ces changements, il est heureux de croire
ceux qui l’en ont informé. De même, il ne peut pas douter,
indépendamment des témoignages qu’il reçoit, que le même esprit
les imprègne. Le Dial, journal du collège réalisé par les élèves, lui
arrive chaque mois, et il peut lire dans les lignes et entre les lignes
que le collège d’aujourd’hui, comme le collège d’il y a sept ans, est
une des plus amicales et des plus nobles sociétés morales, où
règnent un esprit catholique sincère et dévot.

Francis J. FINN. S. J.
Le 19 octobre 1891
PRÉFACE DE L’ÉDITION DE 1931
DE DESCLÉE DE BROUWER.

L e P. Finn n’est pas un inconnu de l’autre côté de l’Océan.


Il a publié à l’usage des enfants toute une suite de récits :
Tom Playfair, Percy Wynn, Claude Lightfoot, Harry Dee, Ada Maton,
etc. Ces instantanés de la vie de collège, pris sur le vif, animés par
un vrai esprit chrétien et un profond amour de l’enfance, ont eu
en Amérique, un légitime succès. Un professeur du collège de
Cleveland me disait : « Je n’avais qu’à promettre pour la fin de la
classe une ou deux pages de Tom Playfair et j’obtenais des enfants
tout ce que je voulais. »
Traduits en allemand et en hongrois, Tom Playfair et Percy Wynn
n’ont pas eu moins de fortune. Voici comment de petits élèves du
collège de Feldkirch en Tyrol témoignaient leur gratitude au
traducteur allemand : « Nous vous remercions de la peine que
vous vous êtes donnée ; tous les jours, nous dirons pour vous
deux Pater. Vingt et un d’entre nous préfèrent Tom Playfair,
quatorze aiment mieux Percy Wynn. Traduisez encore d’autres
livres comme ceux-là… Ce qui nous a le plus amusés, c’est quand
Tom casse la lanterne du chef de train… Envoyez-nous donc la
photographie de Tom et de Percy… »
Nos enfants de France se mettront à aimer dès qu’ils les
connaîtront leurs petits frères des États-Unis. Ne sont-ils pas
leurs émules en gentillesse et en vivacité ? Les usages des collèges,
l’écorce de la vie extérieure, peuvent être différents ; mais chez
nous comme au-delà de l’Atlantique, ce sont les mêmes cœurs
bons et généreux.
Lisez et vous en serez convaincus.
TOM PLAYFAIR

CHAPITRE I.
OÙ LE HÉROS APPARAÎT SOUS UN JOUR DOUTEUX.

— T OMMY !…

Pas de réponse.
— Tommy, m’entendez-vous ! Levez-vous tout de suite,
monsieur. Pensez-vous que cette maison soit un hôtel ? Tout le
monde est à déjeuner.
C’était mademoiselle Meadow, tante maternelle de notre héros,
qui prononçait ces paroles solennelles, debout, la tête penchée
dans la chambre de son cher neveu. Elle fit une pause ; elle avait
bien le droit de respirer, la pauvre dame,… une ascension de trois
étages !… et puis, il fallait laisser place à la réponse.
Et seule, la pendule troublait le silence par son tic-tac régulier.
— Tommy, reprit-elle plus haut, es-tu sourd ?
Ses oreilles tendues perçurent le son amorti comme d’un objet
traîné sur de l’étoffe.
— Maintenant que vous êtes réveillé, monsieur, sautez à terre
et vite à la salle à manger.
— J’y vais, tout à l’heure, gémit une voix entrecoupée de
bâillements, étouffée par les couvertures.
— Que faire ? soupira la pauvre tante, cet enfant se moque
de moi.
— Qu’y a-t-il, Jeanne ? demanda monsieur Playfair, qui
sortait de sa chambre.
8 TOM PLAYFAIR

— Je ne puis faire lever ce misérable Tommy ! Ah ! Georges !


Il empire de jour en jour. La semaine dernière, il a fait neuf fois
l’école buissonnière.
— Je vais arranger cela, dit monsieur Playfair.
À peine fit-il un pas vers la chambre de Tom, que la porte
s’entrebâilla de la largeur de la main et découvrit une tête d’enfant
anxieuse sous une masse de cheveux hérissés.
— Papa, je m’habille aussi vite que je puis. Je vous ai
entendue, petite tante, et je descends.
La porte se referma. La vérité, c’est que Tom, tout disposé à
prolonger les douceurs du tête-à-tête avec l’oreiller, avait reconnu
la voix paternelle. Le petit rusé jugea prudent de ne pas
provoquer une intervention plus directe. De là, l’apparition.
— Si tu n’es pas à table dans deux minutes, tu auras affaire à
moi.
Et après ce bonjour bienveillant, monsieur Playfair se rendit
avec tante Meadow à la salle à manger.
Une minute et demie après, bondissait hors de la chambre un
enfant de dix ans au teint brun, bien bâti, exubérant de santé. Ses
paupières encore alourdies et ses cheveux en rose des vents
témoignaient de la hâte de sa toilette. Son soulier gauche n’était
lacé qu’à demi. Ses jambes nerveuses étaient serrées dans de longs
bas rouges : une culotte presque collante achevait le costume.
Bref, un ensemble heureux, des lignes de visage parlantes,
aimables, sans être délicates. Un vrai fils de la libre Amérique !
Quatre à quatre, Tommy dévalait les escaliers, en un clin d’œil,
il était devant la famille réunie. Sans songer à agacer le chat, ce qui
occupait d’ordinaire une bonne part de ses heures précieuses, il
s’assit à sa place et attaqua le déjeuner avec entrain.
Hélas ! Un orage était dans l’air.
Outre monsieur Playfair et tante Meadow, il y avait à table un
jeune homme, le frère de mademoiselle Meadow, le trouble-paix
de notre héros. Charles Meadow n’était pas un mauvais garçon,
mais à part cette qualité négative, il avait une collection
singulièrement riche de défauts et de travers. Par exemple, il
mettait son bonheur à taquiner Tom, à le faire sortir de ses gonds.
CHAPITRE I 9

Dans ces escarmouches, monsieur Meadow ne remportait pas


toujours la victoire ; et ces succès, espacés de revers, ajoutaient du
mordant à la lutte qui serait vite tombée faute d’intérêt. Chose
curieuse, monsieur Playfair observait la neutralité, et ne
s’interposait que quand la lutte menaçait de tourner au tragique.
Monsieur Meadow avait attendu l’arrivée de Tom avec une
impatience visible.
— Ah ! te voilà enfin, dit-il railleur, dès que Tom fut assis.
Perdu dans l’activité de son travail, Tom, fit semblant de ne
pas voir flotter la bannière de l’ennemi.
— Voyons ! Jeune homme, écoute : n’es-tu pas entré dans
ma chambre hier soir ?
— Comment pourrait-on entrer dans une chambre toujours
fermée à double tour ! s’écria Tom avec une vertueuse
indignation.
— Peu importe le comment. Es-tu entré, oui ou non ?
— Tante Jeanne, un peu de sucre, s’il vous plaît.
— Réponds donc, continua l’oncle implacable, oui ou non ?
— Si vous restiez un peu chez nous, au lieu de courir toute la
nuit, repartit Tom désireux et pour cause de déplacer le point
d’attaque, vous n’auriez pas à poser de pareilles questions.
En ce moment, Marie, la cuisinière, entra avec un plat de
beignets aux pommes.
Or, si Tom avait un faible, c’était pour les beignets.
— Chic, s’écria-t-il, et ses yeux brillèrent.
Un sourire de triomphe éclaira les traits de monsieur
Meadow ; il prit le plat, fit servir son beau-frère et sa sœur et
versa le reste dans son assiette.
Tom était furieux.
— Oh ! vous montrez beaucoup d’esprit. Et dire que vos
litres de teinture n’arrivent pas à changer la couleur carotte de
votre moustache !
Monsieur Playfair sourit, la tante éclata en cascades de rire :
Charles Meadow était blême.
— Où as-tu vu que j’ai de la teinture ? dans ma chambre ?
donc tu y es entré.
10 TOM PLAYFAIR

C’était à Tommy de pâlir, il était pris.


— Et comment donc êtes-vous entré ? poursuivit l’oncle, fier
de sa première victoire.
— Fil de fer… j’ai crocheté… murmura Tom presque bas.
— Parfait, je m’en doutais, et c’est aussi comme cela que
vous avez faussé la serrure du fruitier la semaine dernière ?
À cette révélation, monsieur Playfair regarda sévèrement le
coupable.
— Aussi, répliqua Tom en essayant un sourire, est-ce qu’on
devrait fermer les pommes juste quand elles sont mûres ? Il n’y a
plus moyen de vivre.
— Tommy ! — ce fut comme une décharge électrique qui
secoua notre petit maraudeur quand il entendit le ton dur de la
voix de son père — veux-tu donc embrasser le métier de voleur ?
Tom pâlit de plus en plus, un petit frisson froid courut dans
ses muscles, il laissa tomber sa fourchette et baissa la tête,
désespéré.
— C’est trop fort, continua monsieur Playfair. Je rougis de le
dire, cette conduite est digne d’un gamin ramassé dans les égouts.
Au mot égout on entendit un Bou-ou-ou retenu suivi de
respirations entrecoupées.
— Vous pouvez pleurer, monsieur, poursuivit le père. Ce ne
sont pas les motifs qui vous manquent.
— C’é… tait pou… pour m’a… muser, sanglota Tom.
— Oh ! Vos amusements montrent infiniment d’esprit ! dit le
sarcastique monsieur Meadow, heureux de pouvoir rétorquer le
premier argument de Tom.
Cette remarque fit déborder la coupe d’amertume. Étouffant
un soupir et murmurant qu’il n’avait plus faim, Tom sortit et
s’assit dans le vestibule. La solitude est le soulagement des
grandes afflictions. Les paroles paternelles résonnaient
terriblement à ses oreilles. Les sanglots, succédant aux sanglots,
soulevaient sa poitrine et prouvaient qu’il avait compris la
profondeur de sa faute.
Monsieur Meadow, pour qui l’heure était venue d’aller au
bureau, sortit en ce moment de la salle à manger.
CHAPITRE I 11

À sa vue, toute la colère de Tom se ralluma.


— Cafard, vous me paierez cela, gronda-t-il en montrant son
petit poing à monsieur Meadow. J’irai voir mademoiselle Larkins
aujourd’hui, oui, j’irai, je lui dirai que vous êtes un cafard, un
brutal, un mauvais caractère, je lui dirai que votre moustache est
rousse comme une carotte, je lui dirai tout, tout, tout.
Monsieur Meadow fut exaspéré.
— Canaille, murmura-t-il avec plus d’énergie que de dignité,
si tu racontes à cette demoiselle une seule de tes histoires, j’en
raconterai d’autres, moi aussi.
— Cafard ! Cafard ! Cafard ! fit Tom avec dégoût.
— Quoi, c’est là le langage dont vous usez à l’égard de votre
oncle, dit monsieur Playfair, qui, en ouvrant la porte de la salle à
manger, venait d’entendre ces dernières paroles. Montez dans
votre chambre, monsieur, et n’en sortez pas avant ce soir. Jeanne,
tu me l’amèneras à neuf heures.
Monsieur Playfair quitta la maison l’esprit fort soucieux. Tom
était doué d’une bonne nature, mais les soins et l’influence
bienfaisante d’une mère lui manquaient. Il avait à peine sept ans
quand elle était morte. Et puis, se disait Monsieur Playfair, ce qu’il
a d’excellent ne risque-t-il pas de se gâter ? Jeanne est trop
indulgente et il devient égoïste, mon beau-frère l’excite et il
devient insolent.
— Oui, conclut-il, il faut que je prenne une détermination
énergique, ou l’enfant est perdu.

X
TABLE DES MATIÈRES

PRÉFACE DE FRANCIS FINN. ...................................................................................... 3

PRÉFACE DE L’ÉDITION DE 1931 DE DESCLÉE DE BROUWER.............................. 5

CHAPITRE I. OÙ LE HÉROS APPARAÎT SOUS UN JOUR DOUTEUX. .......................... 7

CHAPITRE II. OÙ TOM PAR UNE SÉRIE DE MÉSAVENTURES, EXCITE LA


COLÈRE DE SON PÈRE À TEL POINT QUE L’AUTEUR TIRE UN VOILE
POUR EN CACHER LES EFFETS................................................................................. 12

CHAPITRE III. DÉPART POUR SAINTE-MARIE. – UNE PLAISANTERIE PEUT


QUELQUEFOIS COÛTER CHER. ................................................................................ 21

CHAPITRE IV. TOM ARRIVE À SAINTE-MARIE ET FAIT CONNAISSANCE DE


JOHN GREEN DANS DES CIRCONSTANCES FORT DÉSAGRÉABLES POUR
CET INTÉRESSANT PERSONNAGE. .......................................................................... 32

CHAPITRE V. OÙ L’ON PERSUADE TOM QU’IL FAUT DORMIR. ............................. 44

CHAPITRE VI. OÙ GREEN ET TOM ONT UN CONCOURS À LA COURSE. –


LES SUITES DÉSASTREUSES DE CELUI-CI. ............................................................... 50

CHAPITRE VII. OÙ TOM USURPE LES ORDRES MINEURS AVEC UN SUCCÈS


ÉTONNANT. ............................................................................................................... 57

CHAPITRE VIII. OÙ LE BAROMÈTRE DE TOM PASSE PAR UN POINT


CRITIQUE.................................................................................................................... 63

CHAPITRE IX. OÙ TOM SE CONVAINC QU’AVEC DU VINAIGRE, ON


PREND FORT PEU DE MOUCHE................................................................................ 74

CHAPITRE X. OÙ TOM DONNE UN AVIS QUI, APPUYÉ D’UN COUP DE


TONNERRE PRODUIT QUELQUE EFFET.................................................................. 77

CHAPITRE XI. LA NUIT DU PREMIER VENDREDI DE NOVEMBRE. ....................... 86

CHAPITRE XII. PÉRILS NOCTURNES......................................................................... 92

CHAPITRE XIII. OÙ TOM FAIT UN VOYAGE. ........................................................... 97

CHAPITRE XIV. AU THÉÂTRE................................................................................. 101

CHAPITRE XV. PERDU. ............................................................................................ 104

CHAPITRE XVI. OÙ TOM SE LIVRE À UNE SUITE D’EXTRAVAGANCES............... 114

CHAPITRE XVII. RETOUR DE L’ENFANT PRODIGUE............................................ 120

CHAPITRE XVIII. OÙ TOM PLONGE SA TANTE DANS DES ABÎMES


D’EFFROI. .................................................................................................................128
TABLE DES MATIÈRES 207

CHAPITRE XIX. OÙ TOM ET KEENAN TIENNENT UN CONSEIL DE


GUERRE. ...................................................................................................................139

CHAPITRE XX. L’ASSAUT. – UN SURVEILLANT DANS L’EMBARRAS. ................... 144

CHAPITRE XXI. ÉPREUVES...................................................................................... 152

CHAPITRE XXII. UNE HISTOIRE ÉTRANGE. .......................................................... 157

CHAPITRE XXIII. CULOTTES COURTES ET CEINTURES ROUGES. ....................... 166

CHAPITRE XXIV. NUAGES....................................................................................... 171

CHAPITRE XXV. JOYEUX ALLER, LUGUBRE RETOUR........................................... 177

CHAPITRE XXVI. MALADIE. .................................................................................... 184

CHAPITRE XXVII. MORT.......................................................................................... 188

CHAPITRE XXVIII. TEMPÊTE DE NEIGE................................................................ 193

CHAPITRE XXIX. FIN DE LA TEMPÊTE. ................................................................. 198

CHAPITRE XXX. CONCLUSION. .............................................................................. 200

POSTFACE.................................................................................................................203

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