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par
Son Éminence le Cardinal Nicholas Wiseman,
ARCHEVÊQUE DE WESTMINSTER
Nouvelle édition
à partir de celle de Mame de 1887
Éditions Saint-Remi
– 2020 –
HÆC, SUB ALTARI SITA SEMPITERNO,
LAPSIBUS NOSTRIS VENIAM PRECATUR
TURBA, QUAM SERVAT PROCERUM CREATRIX
PURPUREORUM.
Éditions Saint-Remi
BP 80 – 33410 Cadillac
05 56 76 73 38
www.saint-remi.fr
Introduction.
Ose rappellentvitelaenviveFrance,
N OUBLIE et peu de nos lecteurs sans doute
et profonde impression que produisit
en 1854 la publication d’un nouveau roman anglais, dont l’auteur
était un cardinal de l’Église romaine. Quatre ans auparavant, le
pape Pie IX, par un coup d’État admirable et dont on ne
trouverait peut-être pas un second exemple dans toute l’histoire
ecclésiastique, avait solennellement rétabli la hiérarchie catholique
en Angleterre, et osé nommer un archevêque de Westminster. De
Westminster ! « Quelle audace ! » s’écriaient les protestants.
« Quel courage ! » répondaient les catholiques, qui formaient un
groupe encore peu nombreux, mais déjà très vivant et plein
d’espérances. Somme toute, le cardinal Wiseman, archevêque de
Westminster, était loin d’être alors populaire de l’autre côté du
détroit, et il semblait que sa nouvelle œuvre, Fabiola, fût
condamnée fatalement à la même impopularité. Il n’en fut rien, et
le succès fut considérable. Tous les journaux anglais, toutes les
revues s’occupèrent à l’envi de ce livre, qui exhalait je ne sais quel
charme frais et pénétrant. Ce n’était pourtant qu’un roman
archéologique, et ces deux mots, si singulièrement accouplés, ne
présageaient rien de séduisant. Mais enfin, que voulez-vous ! dès
les premières pages on était conquis. Parmi ceux que l’on appelle
en Angleterre « puséistes » et « ritualistes », il y a de belles âmes
que tourmente le souci de la Vérité, et qui à tout le moins en
recherchent le voisinage. Cette aimable figure de saint Pancrace,
placée sur le seuil du livre, cette mâle physionomie de saint
Sébastien, et par-dessus tout cette délicieuse apparition de sainte
Agnès, emportèrent l’enthousiasme universel. On peut dire que
sainte Agnès conquit alors l’Angleterre, et il est difficile de
supputer le nombre d’âmes que Fabiola achemina vers la Vérité. Il
ne faut pas oublier que l’élément « naturel » eut sa part dans un
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perfection. Tels sont les offices des saintes Agnès, Agathe, Cécile
et Lucie, et celui de saint Clément. Chaque personnage revit dans
notre esprit sous des traits si distincts, qu’il nous semble le
reconnaître et avoir vécu avec lui.
Si, par exemple, nous choisissons la vie de sainte Agnès, nous
sommes immédiatement frappés des circonstances suivantes.
Évidemment quelque païen l’importune de son admiration ; elle
rejette à plusieurs reprises l’offre de sa main et de ses biens.
Tantôt elle l’avertit qu’il a été prévenu par un heureux rival auquel
elle a engagé sa foi ; tantôt elle lui représente, sous les images les
plus variées, l’objet de son choix, qui reçoit même les hommages
de la lune et du soleil. Dans d’autres occasions, elle décrit les
riches présents, les splendides parures dont se plaît à l’embellir
Celui qui, par ses chastes caresses, a gagné son cœur. Puis à la fin,
répondant à de plus vives instances, elle repousse l’amour de
l’homme périssable, « dont se nourrit la mort, » et se déclare
triomphalement l’épouse du Christ. On emploie les menaces ; elle
répond que l’ange qui la protège saura bien la défendre.
L’histoire de sainte Agnès, grâce à ces fragments de son office,
était aussi clairement écrite que l’est un mot dont on a réuni les
lettres éparses. Mais dans le cours de ce récit on discerne une
particularité vraiment admirable de son caractère. Il est hors de
doute que la sainte avait toujours devant les yeux l’objet invisible
de son amour ; elle le voyait, l’entendait, le sentait ; leurs cœurs
étaient unis par une mutuelle et véritable affection, telle que le
cœur de l’homme en ressent sur la terre. Elle semble marcher
sous l’influence d’une continuelle vision et d’une douce extase
causée par la présence de son époux, qui a vraiment orné son
doigt de l’anneau, teint ses joues de son propre sang, et l’a
couronnée de roses naissantes. Son œil est vraiment fixé sur lui ;
elle ne cesse de le contempler et d’échanger avec lui des regards
empreints du plus tendre amour.
Qui oserait altérer l’expression d’un type aussi pur, ou se
hasarderait à lui en substituer un autre ? Qui oserait se flatter de
tracer un portrait plus fidèle ou plus achevé que celui que nous
offre l’Église ? Car, en mettant de côté toute recherche relative à
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l’authenticité des actes qui ont inspiré ces passages, et même sans
s’arrêter à discuter avec dom Guéranger si la critique sévère d’un
siècle passé n’a pas trop légèrement rejeté de pareils documents
ecclésiastiques, il est évident que l’Église, dans l’office de sainte
Agnès, a voulu mettre sous nos yeux un exemple de la plus haute
vertu, personnifiée dans le caractère de la sainte. Tel est le point
de vue que l’auteur de ces quelques pages a cru devoir adopter.
Le lecteur verra lui-même si ce but a été atteint. Quoi qu’il en
soit, si l’on compare les sujets traités ici, et qui se rattachent de
près ou de loin au récit, avec un ouvrage élémentaire comme les
Mœurs des chrétiens de Fleury, et si l’on tient compte de la somme
d’érudition que l’on peut s’attendre à trouver dans notre travail,
destiné à être très répandu, on pourra s’assurer qu’il contient, sur
les pratiques et les croyances de ces temps primitifs, des notions
tout aussi exactes que celles des ouvrages d’une forme plus
savante.
Il ne faut pas non plus oublier que notre travail n’est pas une
étude historique ; excepté dans les derniers chapitres, il ne s’étend
pas au-delà de quelques mois. C’est plutôt une série de tableaux
qu’un récit continu des événements. On a réuni dans un étroit
espace, aux dépens de la chronologie, des faits qui s’étaient passés
à des époques et en des contrées différentes. L’édit de Dioclétien
et le martyre de sainte Agnès ont été avancés, le premier de deux
mois, le second d’un an ; l’épisode de saint Sébastien, dont la date
est incertaine, n’a lieu qu’une année plus tard. Tout ce qui regarde
la topographie chrétienne a été l’objet des plus grands soins. Un
martyre arrivé à Imola a été transporté à Fondi.
Il était nécessaire aussi de donner une idée de la morale et des
opinions du monde païen, comme contraste à celles des chrétiens,
mais en voilant avec soin les plus tristes aspects de ce tableau,
afin que rien ne forçât les yeux du chrétien à se détourner ou son
front à rougir. Nous souhaitons de tout notre cœur que ce livre,
qui a été pour nous un délassement, récrée aussi le lecteur livré à
de plus graves occupations ; qu’après l’avoir lu il puisse se dire
qu’il n’a pas perdu son temps, ni livré son esprit à de frivoles
pensées. Espérons plutôt que nous aurons réussi à exciter, pour
PRÉFACE 13
PREMIÈRE PARTIE
PAIX
CHAPITRE PREMIER
La maison chrétienne.
Cnous
’ par un après-midi de septembre, en l’an 302, que
EST
invitons notre lecteur à nous accompagner dans les
rues de Rome. Le soleil baisse déjà sur d’horizon : encore deux
heures, et il aura disparu ; le ciel est pur, et la chaleur a diminué ;
aussi une foule de promeneurs sortent de leurs maisons et se
dirigent, les uns vers les jardins de César, les autres vers ceux de
Salluste, pour jouir de la fraîcheur du soir et s’informer des
nouvelles du jour.
Ce quartier de la ville où nous voulons conduire notre
bienveillant lecteur est celui qu’on connaît sous le nom de Champ
de Mars (Campus Martius). Il comprenait alors la plaine d’alluvion
qui s’étend entre le Tibre et les sept collines de la vieille Rome.
Avant la fin de la république, cette plaine, livrée aux exercice
athlétiques et militaires du peuple romain, avait déjà été entamée
par la construction de quelques monuments publics. Pompée y
avait bâti son théâtre ; Agrippa y éleva le Panthéon et les bains
qui avoisinent. Peu après elle fut envahie par les demeures
particulières, tandis que les collines, la plus aristocratique partie de
la cité aux premiers temps de l’empire, furent réservées pour de
plus grands édifices. C’est ainsi qu’à la suite de l’incendie de
Rome par Néron, le Palatin se trouva trop petit pour la résidence
impériale et le Circus Maximus. Les bains de Titus, élevés sur les
ruines de la Maison d’or, s’étendirent orgueilleusement sur
l’Esquilin ; ceux de Caracalla occupèrent l’Aventin. À l’époque de
notre récit, l’empereur Dioclétien s’était emparé, sur le Quirinal,
d’un vaste espace, assez grand pour plusieurs splendides palais, et
y avait bâti les Thermes (bains chauds), non loin des jardins de
Salluste, dont nous venons de parler.
L’endroit précis du Champ de Mars vers lequel nous dirigeons
nos pas est si facile à retrouver, que nous pouvons l’indiquer avec
18 FABIOLA
INTRODUCTION........................................................................................................ 5
PRÉFACE DE L’ÉDITION ANGLAISE ....................................................................... 9
PREMIÈRE PARTIE PAIX ................................................................ 15
CHAPITRE PREMIER LA MAISON CHRÉTIENNE. ................................................ 16
CHAPITRE II LE FILS DU MARTYR......................................................................... 24
CHAPITRE III LA CONSÉCRATION. ....................................................................... 31
CHAPITRE IV L’INTÉRIEUR PAÏEN. ...................................................................... 39
CHAPITRE V LA VISITE........................................................................................... 55
CHAPITRE VI LE BANQUET. .................................................................................. 61
CHAPITRE VII PAUVRETÉ ET RICHESSE. ............................................................. 70
CHAPITRE VIII FIN DE LA PREMIÈRE JOURNÉE................................................. 80
CHAPITRE IX RÉUNIONS........................................................................................ 86
CHAPITRE X NOUVELLES RÉUNIONS. ...............................................................103
CHAPITRE XI UN MOT AU LECTEUR. .................................................................116
CHAPITRE XII LOUP ET RENARD........................................................................125
CHAPITRE XIII CHARITÉ......................................................................................131
CHAPITRE XIV LES EXTRÊMES SE TOUCHENT.................................................136
CHAPITRE XV FRUITS DE LA CHARITÉ. .............................................................146
CHAPITRE XVI LE MOIS D’OCTOBRE. ................................................................149
CHAPITRE XVII LA COMMUNAUTÉ CHRÉTIENNE. ..........................................164
CHAPITRE XVIII TENTATION..............................................................................177
CHAPITRE XIX CHUTE. ........................................................................................184
DEUXIÈME PARTIE COMBAT ....................................................... 197
CHAPITRE PREMIER DIOGÈNE...........................................................................198
CHAPITRE II LES CIMETIÈRES.............................................................................212
CHAPITRE III CE QUE DIOGÈNE NE POUVAIT PAS DIRE AU SUJET DES
CATACOMBES. .......................................................................................................230
CHAPITRE IV CE QUE DIOGÈNE RACONTA AU SUJET DES CATACOMBES. ..239
556 TABLE DES MATIÈRES
Fig. 17. — Siège riche (Peinture et Architecture antiques d’Herculanum : Naples, 1757 ;
supplément)................................................................................................................................................48
Fig. 18. — Une esclave (d’après une peinture d’Herculanum).............................................................49
Fig. 19. — Une esclave (d’après une peinture de Pompéi)...................................................................50
Fig. 20. — Sainte Agnès, d’après un verre antique. (Garucci, Vetri con figure in oro.)..........................57
Fig. 21. — Sainte Agnès, d’après un verre antique conservé au musée du Vatican. (Perret,
Catacombes, pl. 26.)......................................................................................................................................58
Fig. 22. — Table dressée pour un repas (d’après une peinture de Pompéi). ......................................64
Fig. 23. — David avec sa fronde, de la catacombe de Ste Pétronille ..................................................69
Fig. 24. — Une colombe, symbole de l’âme, trouvée dans les catacombes........................................79
Fig. 25. — Volumina, d’après une peinture de Pompéi. Scrinium, d’après une peinture du
cimetière de Saint Calixte..........................................................................................................................82
Fig. 26. — Notre-Seigneur, à partir d’une représentation trouvée dans les catacombes...................85
Fig. 27. — Les Ruines du Colisée, vues du Palatin de Saint Bonaventure..........................................87
Fig. 28. — Arc de Titus. ...........................................................................................................................89
Fig. 29. — Meta sudans d’après un bronze de Vespasien. (Nouvelle acquisition du cabinet de
France. Un autre exemplaire est au musée de Vienne.).........................................................................90
Fig. 30. — Le Colisée................................................................................................................................91
Fig. 31. — La Voie Appienne, telle qu’elle était ....................................................................................98
Fig. 32. — Représentation emblématique du paradis, trouvée dans les catacombes.......................102
Fig. 33. — Saint Sébastien, d’après la Roma sotteranea de M. de Rossi (II, pl. III). ............................104
Fig. 34. — Tribuns militaires, d’après un bas-relief de la colonne Trajane.......................................106
Fig. 35. — Le Forum Romain................................................................................................................112
Fig. 36. — Un agneau avec un pot de lait, trouvé dans les catacombes de SS. Pierre et
Marcellin ...................................................................................................................................................115
Fig. 37. — Saint Ignace, évêque d’Antioche ........................................................................................117
Fig. 38. — Le sacrement de la pénitence aux premiers temps de l’Église. .......................................123
Fig. 39. — Monogramme du Christ ......................................................................................................124
Fig. 40. — Jardins romains, d’après une peinture antique. (V. La Peinture et l’Architecture
antiques d’Herculanum, pp. 77-79 ; Naples, 1752.) ..................................................................................126
Fig. 41. — Lampe, avec le monogramme du Christ............................................................................130
Fig. 42. — Un diacre, d’après la Roma sotteranea de M. de Rossi (I, pl. VI)........................................134
Fig. 43. — Un poisson portant du pain et du vin, du cimetière de Sainte-Lucie .............................135
Fig. 44. — Une peinture murale du cimetière de Sainte Priscille.......................................................145
Fig. 45. — Intérieur du Temple de Jupiter...........................................................................................159
Fig. 46. — Monogramme du Christ, trouvé dans les Catacombes....................................................163
Fig. 47. — Le Christ au milieu de ses Apôtres, peinture murale des Catacombes...........................176
Fig. 48. — Intérieur du Théâtre Romain ..............................................................................................178
Fig. 49. — Bains de Caracalla.................................................................................................................180
Fig. 50. — Le Paon, emblème de la Résurrection. ..............................................................................183
Fig. 51. — Les ruines du Forum Romain, telles qu’elles sont aujourd’hui .......................................193
Fig. 52. — Une colombe, symbole de l’âme.........................................................................................196
Fig. 53. — Diogène le Fossor, d’après une peinture du cimetière de Domitille. ...............................197
Fig. 54. — Jonas, d’après une peinture du cimetière de Calliste. .......................................................198
Fig. 55. — Résurrection de Lazare. (Perret, Catacombes, pl. VI.)......................................................199
Fig. 56. — Deux fossores, d’après une peinture du cimetière de Calliste. ...........................................201
Fig. 57. — Une galerie dans le cimetière de Sainte-Agnès, sur la voie Nomentane, (Perret,
Catacombes, t, II, pl. II.).............................................................................................................................203
Fig. 58. — Inscription du cimetière de Sainte-Agnès, sur la voie Nomentane.................................204
Fig. 59. — Un type d’arcosolium. .............................................................................................................205
TABLE DES ILLUSTRATIONS 559
Fig. 101. — Restes de la basilique de Saint-Alexandre, sur la voie Nomentane (d’après les
Catacombes de Rome, de Th. Roller). ..................................................................................................329
Fig. 102. — La Confirmation aux premiers siècles de l’Église...........................................................331
Fig. 103. — Plan de l’église souterraine du cimetière de Sainte-Agnès. ............................................333
Fig. 104. — Une cathedra dans la catacombe de Sainte-Agnès............................................................335
Fig. 105. — Une attaque dans les Catacombes....................................................................................337
Fig. 106. — Un autel avec sa cathedra, au cimetière de Sainte-Agnès.................................................339
Fig. 107. — Un autel dans le cimetière de Saint-Sixte.........................................................................341
Fig. 108. — La guérison de l’homme né aveugle, trouvé dans les Catacombes...............................342
Fig. 109. — Cécile, la Martyre................................................................................................................349
Fig. 110. — La femme de Samarie, image du cimetière de Sainte Domitille....................................353
Fig. 111. — L’enterrement du martyr ...................................................................................................363
Fig. 112. — Jésus guérit l’aveugle, image du cimetière de Sainte Domitille .....................................365
Fig. 113. — Instruments de torture employés contre les chrétiens (d’après Roller, Catacombes
de Rome, t. I, pl. VII, p. 21). ......................................................................................................................373
Fig. 114. — Monogramme du Christ, trouvé dans les Catacombes..................................................374
Fig. 115. — L’Ancre et le Poisson, un emblème du Christianisme, trouvé dans les
Catacombes. .............................................................................................................................................380
Fig. 116. — La prison Mamertine. ........................................................................................................383
Fig. 117. — La Sainte Vierge, trouvé dans le Cimetière Sainte Agnès. .............................................387
Fig. 118. — Gladiateurs (d’après les peintures de Pompéi)................................................................404
Fig. 119. — Gladiateurs (d’après les peintures de Pompéi)................................................................405
Fig. 120. — Lampe, avec le monogramme du Christ, trouvé dans les Catacombes........................413
Fig. 121. — Monogramme du Christ, trouvé dans les Catacombes..................................................419
Fig. 122. — Élie emporté au Ciel, trouvé dans les Catacombes ........................................................430
Fig. 123. — Le côté nord-ouest du forum ...........................................................................................435
Fig. 124. — Moïse recevant les Lois, de la catacombe Inter duos Lauros............................................438
Fig. 125. — Jésus bénissant un enfant, trouvé au cimetière de la Voie Latine.................................445
Fig. 126. — Monogramme du Christ, trouvé dans les Catacombes..................................................455
Fig. 127. — Chaînes pour les martyrs. (d’après une peinture trouvée dans une crypte à Milan,
en 1641). ...................................................................................................................................................463
Fig. 128. — Le Martyr chrétien .............................................................................................................467
Fig. 129. — Une urne de sang, sur la tombe d’un martyr...................................................................471
Fig. 130. — La résurrection de Lazare, du cimetière de Ste Domitille..............................................472
Fig. 131. — Portrait de Notre-Seigneur, du cimetière de Calliste......................................................488
Fig. 132. — Crypte de Sainte-Cécile dans le cimetière de Calliste. ....................................................491
Fig. 133. — Notre Sauveur représenté comme le Bon Pasteur, avec un pot de lait à ses côtés,
trouvé dans les Catacombes ...................................................................................................................504
Fig. 134. — Le Baptême aux premiers siècles de l’Église...................................................................519
Fig. 135. — L’extrême-onction aux premiers siècles de l’Église........................................................521
Fig. 135. — Constantin, premier empereur chrétien (d’après un médaillon du temps). .................527
Fig. 137. — Dioclétien, d’après un médaillon du cabinet de France.................................................529
Fig. 138. — Licinius, d’après un médaillon d’or du cabinet de France. ............................................530
Fig. 139. — Maxence, d’après un médaillon d’or du cabinet de France. ..........................................531
Fig. 140. — Galère-Maximien, d’après un médaillon d’or du cabinet de France.............................532
Fig. 141. — Le labarum (d’après une monnaie de Constantin). ..........................................................533
Fig. 142. — Un mariage aux premiers siècles de l’Église....................................................................535
Fig. 143. — Noé et l’arche, symbole de l’Église, trouvé dans les Catacombes ................................536
Fig. 144. — Le sacrifice d’Abraham, trouvé dans les Catacombes....................................................542