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ÉPIGRAPHE
Nelson Mandela
DÉDICACE
Je dédie ce travail à :
REMERCIEMENT
Je voudrais tout d’abord exprimer ma gratitude envers Dieu qui m’a
donné la force et la détermination de poursuivre mes études jusqu’à ce
jour.
1G : Première génération
2G : Deuxième génération
3G : Troisième génération
4G : Quatrième génération
GSM : Global System for mobile
BSS : Base station sub-system
NSS : Network sub-system
HLR : Home Location Register
BTS : Base Transciever station
MSC : Mobile Switching center
AUC : Authentification center
OSS :Operation sub-system
OMS : Operation and maintenance center
NMC : Network and management centre
GPRS : General packet radio service
SGSN : Serving GPRS support node
GGSN : Gateway GPRS support node
BG : Border Gateway
PLMN :Publu Land mobile network
VLR : Visitor location register
GSM : Groupe spécial mobile
MS : Mobile station
CGF : changing Gateway Fonction
OMC-G Operation and maintenance Centre GPRS
UMTS : Universal mobile telecommunications sytem
TDD : Time Division Demultiplexed
FDD : Frequency Division Demultiplexed
LTE : long term evolution
UTP :UNSHIELDED twisted
FTP : Foiled twisted
0. INTRODUCTION GÉNÉRALE
L’avènement des technologies de communication sans fil a
révolutionné notre façon de communiquer et de partager l’information.
L’une des technologies de communication les plus récentes et les plus
populaires utilisées aujourd’hui est la technologie LTE (Long-Term
Evolution), qui offre une vitesse de téléchargement de données élevée et une
connectivité fiable pour les utilisateurs. Cependant, la couverture LTE est
souvent limitée dans les zones rurales en raison de la disponibilité limitée
des infrastructures de transmission, ce qui rend difficile la fourniture de
services de haute qualité pour les habitants de ces régions.
Le présent travail intitulé « Etude portant sur la transmission du
signal LTE dans un site en zone rurale par back Bône (cas du site de
BAKAMBA airtel) » se propose d’étudier les différents moyens de
transmission du signal LTE dans les zones rurales, en se concentrant sur
la transmission par back bone du site de BAKAMBA Airtel. L’objectif de ce
travail est de fournir une analyse complète de la transmission du signal
dans cette zone rurale, en mettant l’accent sur les défis rencontrés et les
solutions possibles pour améliorer la qualité du signal LTE dans la région.
1. PROBLÉMATIQUE
La problématique d’une recherche ou d’une étude désigne
généralement la question centrale ou le problème à résoudre qui guide le
travail de recherche. Ainsi, dans le cadre de ce travail, nous nous sommes
posé les questions suivantes :
Quelle est l'efficacité de la transmission du signal LTE
dans le site de Bakamba Airtel en zone rurale par
backbone ?
Quels sont les facteurs qui influencent la qualité de la
transmission du signal LTE dans le site de Bakamba
Airtel en zone rurale par backbone ?
Quelles sont les améliorations possibles pour optimiser
la transmission du signal LTE dans le site de Bakamba
Airtel en zone rurale par backbone ?
2. HYPOTHÈSE
6. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hormis l’introduction et la conclusion, notre travail est subdivisé en
trois Grands chapitres :
I.1 INTRODUCTION
Depuis plusieurs années le développement des réseaux mobiles n'a
pas cessé d’accroitre, plusieurs générations ont vues le jour (1G, 2G, 3G,
4G et prochainement la 5G pas encore mis en ouvre) et connues une
Evolution remarquable, en apportant un débit exceptionnel et qui ne cesse
d’augmenter, une bande passante de plus en plus large et un des
avantages d'une telle bande passante est le nombre d’utilisateur pouvant
être supportés.
Les réseaux de la 1ére génération (appelée aussi 1G) ont été intègres
au réseau de télécommunication dans les années 80. Ces systèmes ont
cependant Été abandonnés il y a quelques années laissant la place à la
seconde génération, appelée 2G lancée en 1991.Elle est encore active de
nos jours. Nous pouvons distinguer deux autres types de générations au
sein même de la seconde : la 2.5 et la 2.75. Le principal standard utilisant
la 2G est GSM.
A la différence de la 1G, la seconde génération de normes permet
d’accéder à divers services, comme l’utilisation du WAP permettant
d’accéder à Internet, tant dit que pour la 3ème génération connue sous le
nom de 3G permettent un haut débit pour lacés à l’internet et le transfert
de données. En ce qui concerne la nouvelle génération 4G(LTE), déployer
jusque-là que par quelque pays, elle permet le très haut débit, une moindre
latence et beaucoup d’autres services qu’on verra par la suite dans le
prochain chapitre.
Dans ce chapitre nous allons présenter les différentes générations
de téléphones mobiles, leurs architectures ainsi que d’autres services
pouvant être utilisés par chacune de ces générations cellulaires.
I.2 HISTORIQUE
L’usage des services de communications mobiles a connu un essor
remarquable, ces dernières années. La figure 1.1 illustre l’évolution du
nombre d’abonnés mobiles au regard de la population mondiale. La fin
2012 environs de 6.4 milliards d’abonnés à travers le monde.
MSC) qui est activée au début de chaque appel d’un abonné fixe vers un
abonné mobile.
Un couple MSC/VLR gère généralement une centaine de milliers
d’abonnés. Les commutateurs MSC sont souvent des commutateurs de
transit des réseaux téléphoniques fixes sur lesquels ont Été implantés des
fonctionnalités spécifiques au réseau GSM.
4. Fonctions de l’AUC
Le centre d’authentification AUC (Authentification Center)
mémorisé pour chaque abonné une close secrète utilisé pour
authentifier les demandes de services et pour chiffrer (crypter) les
communications. L AUC de chaque abonné est associé au HLR. Pour
autant le HLR fait partie du «sous-systèmes fixe» alors que l AUC est
attaché au « sous-système d’exploitation et de maintenance ».
Nouvelles entités
MS Mobile station
La gestion d’itinérance
La gestion de l’itinérance reprend les principes du réseau GSM
avec le regroupement de cellules en zones. Le terminal GPRS peut se
trouver dans trois modes :
B. Le débit de l’UMTS
L’UMTS permet théoriquement des débits de transfert de 1,920
Mbit/s, mais fin 2004 les débits offerts par les opérateurs dépassent
rarement 384 Kbit/s. Néanmoins, cette vitesse est nettement supérieure au
débit de base GSM qui est de 9,6 kbit/seconde.
Le mode circuit
Le domaine circuit permettra de gérer les services temps réels dédiés
aux conversations téléphoniques (vidéo-téléphonie, jeux vidéo, applications
multimédia). Ces applications nécessitent un temps de transfert rapide.
Lors de l’introduction de I’UMTS le débit du mode domaine circuit sera de
384 Kbits/s.
L’infrastructure s’appuie alors sur les principaux éléments réseau
GSM : MSC/VLR (bases données existantes) et le GMSC afin d’avoir une
connexion directe vers le réseau externe.
Le mode paquet
Le domaine paquet permettra de gérer les services non temps réels.
II s’agit principalement de la navigation sur Internet, de la gestion de jeux
en des ainsi que l’accès et l’utilisation des e-mails. Ces applications sont
moins sensibles au temps de transfert, c’est la raison pour laquelle les
données transiteront en mode paquet. Le débit du domaine paquet sera
sept fois plus rapide que le mode circuit, environ 2Mbits/s. L’infrastructure
s’appuie alors sur les principaux éléments du réseau GPRS : SGSN (bases
de données existantes en mode paquet GPRS, Équivalent des MSC / VLR
en réseau GSM) et le GGSN (Équivalent du GMSC en réseau GSM) qui
jouera le r le de commutateur vers le réseau Internet et les autres réseaux
publics ou privés de transmission de donnés.
LTE LTE-advanced
5.0/2.5
Max 30/15 b/s/Hz
b/s/Hz
Efficacité
spectrale 1.8/0.8
Moyen 2.6/0.2 b/s/Hz
b/s/Hz
DL/UL
En 0.04/0.02 0.009/0.07
limite b/s/Hz b/s/Hz
technologie LTE « Long Terme Evolution » offre aux utilisateurs des débits
de plusieurs dizaines de Mbit/s, largement supérieurs aux performances
des technologies 3G et 3G+ actuellement déployés, ainsi que des latences
plus faibles favorisant une meilleure interactivité.
Avec le 4G, on se dirige vers la transmission de toutes les
informations voix et données par IP, le même protocole qu’on utilise sur
Internet. Pour les fournisseurs, c’est plus facile et moins cher gérer. ˙a
facilite aussi le développement d’applications multimédia. Cette génération
permet des vitesses de téléchargement plus rapides et des temps de latence
plus courts.
Selon les critères de l’Union internationale des télécommunications
(UIT), qui Établit les normes pour les réseaux cellulaires, le vrai 4G devrait
offrir des vitesses de téléchargement de 100 Mbit/s pour un utilisateur en
mouvement et de 1 Gbit/s en mode stationnaire.
1.3.4.2. Historique sur la 4G
En 2002, la vision stratégique pour la 4G, que l UIT a désigné
comme IMT-Advanced, a été aménagé.
ouvert LMT LTE "4G" travail en réseau dans le régime d’essai de 50%
du territoire.
1.4 CONCLUSION PARTIELLE.
Dans ce chapitre introductif, nous avons présenté d’une façon
générale les différentes générations de téléphone mobiles et les
principales caractéristiques d’un réseau cellulaire.
II.2 DÉFINITION
Le support de transmission, dans le domaine des communications,
est le médium physique utilisé pour transporter les signaux d’un point à un
autre. Il agit comme le canal à travers lequel les données, les informations
ou les messages sont transmis d’un émetteur à un récepteur.
1. Câblage métallique :
Paires torsadées
Câbles coaxiaux
2. Fibres optiques :
Fibres optiques monomodes
Fibres optiques multimodes
3. Transmissions sans fil :
Wi-Fi
Bluetooth
Onde radio, Infra rouge, Laser.
champ magnétique résulte du fait que les courants induits dans les fils de
chaque paire torsadée génèrent des champs magnétiques opposés, ce qui
limite les interférences entre les paires adjacentes.
II.3.2.Câbles coaxiaux
Le câble coaxial ou ligne coaxiale désigne une ligne de transmission
ou liaison asymétrique, utilisée en basses ou hautes fréquences, composée
d’un câble à deux conducteurs (central et extérieur), dont le conducteur
externe assure le plus souvent le blindage.
sa rigidité diélectrique.
II.3.3 Fibre optique
II.3.3.1 Historique
À l’époque des Grecs anciens, le phénomène du transport de la
lumière dans des cylindres de verre était déjà connu. Il était, semble-t-il
[réf. Nécessaire], mis à profit par les artisans du verre pour créer des pièces
décoratives. Plus tard, les techniques de fabrication utilisées par les
artisans vénitiens de la Renaissance pour fabriquer les millefiori
ressembleraient beaucoup aux techniques actuelles de fabrication de la
fibre optique. L’utilisation du verre en conjonction avec la lumière n’est
donc pas récente.
La première démonstration scientifique du principe de la réflexion
totale interne fut faite par les physiciens suisses et français Jean-Daniel
Colladon à Genève et Jacques Babinet à Paris au début des années 1840.
L’irlandais John Tyndall répéta l’expérience devant la Société Royale
Britannique en 1854. À l’époque, l’idée de courber la trajectoire de la
lumière, de quelque façon que ce soit, était révolutionnaire puisque les
scientifiques considéraient que la lumière voyageait uniquement en ligne
droite. Leur démonstration consistait à guider la lumière dans un jet d’eau
déversé d’un trou à la base d’un réservoir.
En injectant de la lumière dans ce jet, celle-ci suivait bien la
courbure du jet d’eau, démontrant ainsi qu’elle pouvait être déviée de sa
trajectoire rectiligne. Ils établirent ainsi le principe de base de la
transmission par fibre optique.
II.3.3.3 Classification
Les fibres optiques peuvent être classées en deux catégories selon le
diamètre de leur cœur et la longueur d’onde utilisée : les fibres monomodes
et multimodes
B. Fibres monomodes
Pour de plus longues distances et/ou de plus hauts débits, on
préfère utiliser des fibres monomodes (dites SMF, pour Single Mode Fiber),
qui sont technologiquement plus avancées car plus fines. Leur cœur très
fin n’admet ainsi qu’un mode de propagation, le plus direct possible c’est-à-
dire dans l’axe de la fibre. Les pertes sont donc minimes (moins de réflexion
sur l’interface cœur/gaine) que cela soit pour de très hauts débits et de très
longues distances. Les fibres monomodes sont de ce fait adaptées pour les
lignes intercontinentales (câbles sous-marins).
Une fibre monomode n’a pas de dispersion intermodale. En
revanche, il existe un autre type de dispersion : la dispersion intramodale.
Son origine est la largeur finie du train d’onde d’émission qui implique que
l’onde n’est pas strictement monochromatique : toutes les longueurs d’onde
ne se propagent pas à la même vitesse dans le guide ce qui induit un
élargissement de l’impulsion dans la fibre optique. On l’appelle aussi
dispersion chromatique (cf. plus haut « Dispersion chromatique »). Ces
fibres monomodes sont caractérisées par un diamètre de cœur de
seulement quelques micromètres (le cœur monomode est de 9 µm pour le
haut débit).
II.3.3.4 Transmission numérique par fibre
Tout système de transmission d’information possède un émetteur et
un ou plusieurs récepteurs. Dans une liaison optique, deux fibres sont
souvent nécessaires ; l’une gère l’émission, l’autre la réception. Il est aussi
possible de concentrer émission et réception sur le même brin, cette
technologie est utilisée par exemple dans les réseaux d’accès aux abonnés
(FTTH) ; l’équipement de transmission est alors un peu plus onéreux.
II.3.3.5 Applications
La fibre optique est utilisée dans plusieurs domaines entre autres :
généralement supérieur.
Figure 2.8 Fibre multimode utilisée dans une liaison fibre Channel.
Dans les réseaux informatiques (comme avec la paire de cuivre) les
fibres vont souvent par deux : l’interface d’une machine utilise une fibre
pour envoyer des données et l’autre fibre pour en recevoir. Toutefois il est
possible de réaliser une liaison bidirectionnelle sur une seule fibre optique.
Grâce aux normes Wi-Fi, il est possible de créer des réseaux locaux
sans fil à haut débit. En pratique, le Wi-Fi permet de relier des
smartphones, ordinateurs portables, des objets connectés ou autres
périphériques à une liaison haut débit.
II.3.4.2 Définition
Le (ou la) Wi-Fi, aussi orthographié wifi, est un ensemble de
protocoles de communication sans fil régis par les normes du groupe IEEE
802.11 (ISO/CEI 8802-11). Un réseau Wi-Fi permet de relier par ondes
radio plusieurs appareils informatiques (ordinateur, routeur, smartphone,
modem Internet, etc.) au sein d’un réseau informatique afin de permettre la
transmission de données entre eux.
Antennes directionnelles
L’antenne panneau peut être intérieurement un réseau d’antenne
quad ou d’antenne patch, ou un réseau de dipôles. Le gain commence vers
8 dBi (8 × 8 cm) pour atteindre 21 dBi (45 × 45 × 4,5 cm). C’est l’antenne
qui présente le meilleur rapport gain/encombrement et aussi le meilleur
rendement, qui se situe autour de 85 à 90 %. Au-delà de ce gain maximum,
elle est difficile à fabriquer, car surgissent des problèmes de couplage
(pertes) entre étages des dipôles et il faudrait en plus envisager le
doublement de la surface.
Le volume d’une antenne panneau est minimal.
L’antenne type parabole pleine ou ajourée (grille). Son intérêt
d’emploi se situe dans la recherche du gain obtenu à partir d’un diamètre
théorique d’approche suivant :
18 dBi = 46 cm ;
19 dBi = 52 cm ;
20 dBi = 58 cm ;
21 dBi = 65 cm ;
22 dBi = 73 cm ;
23 dBi = 82 cm ;
24 dBi = 92 cm ;
25 dBi = 103 cm ;
26 dBi = 115 cm ;
27 dBi = 130 cm ;
28 dBi = 145 cm ;
29 dBi = 163 cm ;
30 dBi = 183 cm.
Le rendement de la parabole est moyen, 45~55 %. Le volume de
l’antenne, qui tient compte de la longueur du bracon (bras qui éloigne la
tête de réception du réflecteur parabolique), donc de la focale, est
significatif.
Une parabole satellite (exemple TPS/CS sans tête 11-12 GHz) est
exploitable en Wi-Fi, à condition de prévoir une source adaptée : cornet,
patch ou quad mono ou double, etc.
L’antenne à fentes fournit un diagramme sectoriel.
II.3.5 Bluetooth
II.3.5.1 Définition
Bluetooth est une norme de télécommunications permettant
l’échange bidirectionnel de données à courte distance en utilisant des
ondes radio UHF sur la bande de fréquence de 2,4 GHz. Son but est de
Jeu vidéo
Les manettes sans-fil des consoles Nintendo Wii (manette nommée
Wiimote) et Switch (manettes nommées Joy-Con), ainsi que les consoles
Sony PlayStation 3 (DualShock 3), PlayStation 4 (DualShock 4) et
PlayStation 5 (DualShock 5) utilisent le protocole Bluetooth. Les manettes
Xbox 360 ainsi que les manettes Xbox One utilisent une connexion sans fil
propriétaire. La nouvelle version de la manette Xbox reconnaissable à sa
prise jack, fournie notamment avec la Xbox One S, intègre quant à elle un
module Bluetooth.
II.3.5.3 Fonctionnement ( mise en œuvre)
Afin d'échanger des données, les appareils doivent être appairés.
L'appairage se fait en lançant la découverte à partir d'un appareil et en
échangeant un code. Dans certains cas, le code est libre, et il suffit aux
deux appareils de saisir le même code. Dans d'autres cas, le code est fixé
par l'un des deux appareils (appareil dépourvu de clavier, par exemple), et
l'autre doit le connaître pour s'y raccorder. Par la suite, les codes sont
mémorisés, et il suffit qu'un appareil demande le raccordement et que
l'autre l'accepte pour que les données puissent être échangées.
II.3.6.2.1 Avantages
II.4.CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce deuxième chapitre consacré aux supports de transmission,
nous avons commencé par une introduction en soulignant l’importance du
2. Au niveau de la connexion
Il s’agit d’une connexion permanente. Il est toutefois nécessaire pour
le terminal de passer De l’état IDLE à l’état ACTIF lorsqu’il s’agira d’envoyer
ou recevoir du trafic. Ce Changement d’état s’opère en moins de 100 ms.
Le réseau pourra alors recevoir le trafic de tout terminal rattaché
puisque ce dernier dispose D’une adresse IP, mettre en mémoire ce trafic,
réaliser l’opération de paging afin de localiser Le terminal et lui demander
de réserver des ressources afin de pouvoir lui relayer son Trafic.
3. Délai pour la transmission de données
Moins de 5 ms entre l’UE et l’Access Gateway, ceci dans une
situation de non-charge où un Seul terminal est ACTIF sur l’interface radio.
La valeur moyenne du délai devrait avoisiner Les 25 ms en situation de
charge moyenne de l’interface radio. Ceci permet de supporter les Services
temps réel IP nativement, comme la voix sur IP et le streaming sur IP.
4. Mobilité
La mobilité des activités de l’abonné pourra être assurée à des
vitesses comprises entre 120 Et 350 km/h. Le handover pourra alors
s’effectuer.
5. Flexibilité dans l’usage de la bande
Le LTE utilise une largeur de bande de 2x20 MHz et supporte le
duplexage temporel (TDD) ou fréquentiel (FDD) ; E-UTRAN doit pouvoir
opérer dans des allocations de bande de fréquence de différentes Tailles
incluant 1.25, 2.5, 5, 10, 15 et 20MHz.
Il permet aussi le support Multicast pour l’usage des applications
multimédia.
6. Types de données et interopérabilité avec les réseaux
précédents
Le LTE transite entre deux types de données :
définie entre S-GW Et eNodeB tandis que les flux du plan de contrôle sont
pris en charge par l’interface S1-MME définie entre MME et eNodeB.
L’architecture définie pour le LTE est dite architecture plate, c’est-à-
dire qu’elle est Constituée uniquement de stations de base.
Cette décision a des répercussions importantes sur la complexité de
l’eNodeB et du réseau Cœur, car de nombreuses fonctionnalités jusqu’alors
assurées par cet équipement sont Désormais distribuées au sein des
eNodeB ou supporté par le réseau cœur.
La suppression d’un nœud central au sein de l’architecture
s’explique aussi par la volonté Des opérateurs de rendre l’architecture LTE
plus robuste et évolutive face à la montée en Trafic.
Une interface entre les stations de base est ajoutée. La distribution
de fonctionnalités du contrôleur de stations de base au sein des eNodeB
Implique une connectivité accrue entre ces derniers, afin notamment
d’optimiser les procédures de mobilité, de faciliter la gestion des
interférences intercellulaires et de mettre en œuvre certaines
fonctionnalités d’auto-optimisation.
CONCLUSION GÉNÉRALE
En définitive, ce travail a permis de mettre en évidence l’évolution
remarquable des technologies de communication mobile, depuis la première
génération jusqu’à la 4ème génération, en passant par la 2G et la 3G. Nous
avons également examiné les différents supports de transmission utilisés
pour assurer la connectivité mobile, en mettant en évidence les avantages
et les limites de chacun.
BIBLIOGRAPHIE
A. Livres
Ajay R. Mishra, Fundamentals of Cellular Networking
Planning and Optimization 2G/2.5G/3G…Evolution to 4G,
John Wiley & Son, Ltd.
Cox, «An introduction to LTE », United Kingdom, 2014.
Dahlman, S. Parkvall, J. Skold, «4G, LTE-Advanced Pro
and The Road to 5G », 2016
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performances des réseaux de télécoms.
J. D. Parsons, «The Mobile Radio Propagation Channel»,
Wiley, 2000
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Mathworks, 2014
Y. Bouguen, E. Hardouin, F. Wolff, «LTE ET RESEAU 4G»,
Sous la direction de G. Pujolle., 2012.
B. Notes de cours
Constant KABUYA, Radio2, troisième graduat radio
transmission, ISTIA/MBM,2022-2023.
Paul luanyi, Téléphonie mobile, troisième graduat radio
transmission, ISTIA/MBM,2022-2023.
Romain KASUKU, Radio1,, deuxième graduat radio
transmission, ISTIA/MBM,2021-2022.
C. Sites web
http://laure.gonnord.org/pro/teaching/MIF30/projets200
9/burtin_rapport.
http://www.agenceecofin.com/avis-dexpert/1311-2125-
backbones-haut-debit-quelsusagespour-l-Afrique
https://www.forumatena.org/files/livresblancs
www.google.com
www.supinfo.com/articles/single/997-technology-sdh
www.wikipedia.com