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Vu le code de l’éducation,
Le terme d’usagers s’applique à toute personne, élève, étudiant, auditeur, stagiaire etc…
bénéficiant d’une formation au sein de l’école centrale de Lyon.
PREAMBULE
Fidèle à son histoire et à ses valeurs, l’Ecole centrale de Lyon relèvera les grands défis qui
l’attendent et continuera de s’impliquer dans le groupe des Ecoles centrales et les réseaux
de ses écoles internes pour développer son action.
Le présent règlement intérieur s’applique à l’ensemble des usagers, des personnels et des
personnes physiques ou morales présentes ponctuellement ou de façon pérenne sur les
campus de l’Etablissement.
Les personnes relevant d’une entité ou d’un organisme distincts de l’Ecole centrale de Lyon
ne peuvent se prévaloir de dispositions propres qui seraient contraires ou incompatibles
avec les dispositions du présent règlement ou des règlements intérieurs des différentes
structures de l’Etablissement.
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Chapitre I : vie de l’Etablissement
1. Principes fondateurs
L’Etablissement est engagé dans la lutte contre toute forme de harcèlement et veille à
assurer la santé et la sécurité de ses personnels.
Il s’engage à veiller au respect mutuel entre les sexes, conformément aux engagements pris
dans le cadre la Charte pour l’égalité entre Femmes et Hommes dans les établissements
d’enseignement supérieur et de recherche. Il est doté d’une mission mixité, diversité, égalité
femmes-hommes.
3. Préservation du patrimoine
Les personnels en fonction à l’Ecole centrale de Lyon sont régis par des statuts divers. Il
appartient au directeur de l’Etablissement, aux directeurs d’écoles internes, aux directeurs
de départements d’enseignement et de recherche, aux directeurs d’Unités de recherche, et
aux chefs de service de les faire appliquer.
Les périodes d’activité réduite de l’Etablissement sont fixées chaque année par le
directeur, après avis du comité technique et approbation du conseil d’administration.
Durant ces périodes, seules les personnes bénéficiant d’une dérogation sont autorisées à
pénétrer dans les locaux.
Les horaires et les congés sont définis d’un commun accord entre les personnels et leurs
responsables, conformément aux obligations annuelles de travail fixées par le règlement
ARTT de l’Etablissement ou les statuts particuliers des personnels dont relèvent les
agents. Il en est rendu compte à la direction des ressources humaines de l’Etablissement.
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5. Participation des personnels aux instances
Les personnels élus dans les instances officielles de l’Etablissement participent aux
réunions des conseils ainsi qu’à toutes les séances préparatoires nécessaires à leur bon
fonctionnement dans le cadre de leur temps de travail. Ils bénéficient de frais de mission
pour les déplacements nécessaires à leur participation aux instances.
Les personnels de l’Etablissement ainsi que des organismes associés ou hébergés, les
usagers ainsi que toute personne autorisée, peuvent accéder aux locaux et installations
de l’Etablissement sous réserve d’être porteur d’une carte ou document attestant la
régularité de leur présence dans l’Etablissement.
Les personnels appartenant à une autre entité que l’Etablissement et qui interviennent
dans les locaux de l’Etablissement sont régis par convention. Ils sont rattachés à une
école interne, un service ou un département et doivent se conformer au présent règlement
intérieur.
Des dispositions spécifiques sont mises en place pour veiller à la sécurité au sein des zones
à régime restrictif (ZRR).
Chacun veille, sur les sites, au strict respect des règles de sécurité fondamentales et
élémentaires, en usage dans toute collectivité, qu’il s’agisse de sa protection
personnelle comme de celle des autres.
Les véhicules stationnent sur les emplacements de parking prévus à cet effet, y compris
dans la zone des résidences. Les deux roues doivent stationner aux emplacements prévus
à cet effet. Ils ne peuvent demeurer dans l’Etablissement pendant les vacances et les
périodes d’activité réduite. Les épaves sont enlevées sur demande des services d’entretien.
La vitesse est limitée au plus à 30 km/h. Priorité est donnée aux piétons.
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informatiques mises à sa disposition par l’Etablissement et se doit de respecter la charte
d’utilisation des systèmes d’information. Il s’engage à respecter toutes les règles de sécurité
informatique en vigueur, notamment celles relatives aux réseaux internes et externes, ainsi
qu’à la propriété intellectuelle et commerciale des œuvres ou des logiciels qu’il est conduit
à utiliser. Il en va de même pour l’ensemble du matériel acquis par l’Etablissement et dont
il reste propriétaire.
Les stagiaires sont encadrés par une convention de stage. Le directeur s’assure qu’ils
bénéficient d’une assurance en responsabilité civile.
La liste des associations hébergées est établie chaque année par le directeur.
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12. Les registres règlementaires
- Les registres de sécurité : chaque bâtiment en possède un qui sert à regrouper les
documents d'entretien et de contrôle des éléments de sécurité de celui-ci.
- Les registres santé et sécurité : ils permettent à tout agent ou usager de signaler tout
incident, observation ou suggestion relative à la santé et/ou à la sécurité de son unité
de travail.
Chapitre II : structures
Les autres personnels, ceux du CNRS notamment, sont rattachés à une ou plusieurs
structures de l’Etablissement (service, département, école interne) conformément à leur
statut et à leurs missions.
Les personnels exerçant au sein d’une école interne sont placés sous l’autorité hiérarchique du
directeur de cette école interne. Ils peuvent exercer des missions propres à un site, des
missions coordonnées ou des missions centralisées.
Pour leurs missions coordonnées, ils sont placés sous l’autorité fonctionnelle des directions
placées auprès du directeur de l’Etablissement (directeur général des services, directeur des
formations, directeur de la recherche…).
Les entretiens professionnels des agents exerçant au sein d’une école interne sont assurés par
leurs supérieurs hiérarchiques directs.
En vue de la préparation de ces entretiens, un échange est organisé au minimum une fois par
an entre le personnel d’encadrement de chaque école interne et les responsables fonctionnels
de l’Etablissement concernés par l’activité de l’agent évalué. Le responsable fonctionnel fait
connaître par écrit son appréciation de l’année écoulée et sa proposition d’objectifs pour l’année
à venir. Copie du compte rendu final signé par l’agent est adressée au responsable fonctionnel.
Pour les missions centralisées, lorsque le responsable fonctionnel des agents exerce dans une
école interne, l’entretien professionnel est assuré par le supérieur hiérarchique direct de
l’Etablissement après échange avec le responsable fonctionnel, au minimum une fois par an,
dans les mêmes conditions que celles figurant au paragraphe précédent.
Les écoles internes sont responsables d’un parcours cohérent de formations et de recherches
associé à une identité affirmée, en conformité avec la politique générale de l’Etablissement.
Les écoles internes disposent de statuts propres qui décrivent leurs attributions, leurs
organisations et le rôle de leurs conseils. Ces statuts sont votés en conseil d’école et au conseil
d’administration de l’Établissement.
Elles sont dotées d’un conseil d’école interne, instance notamment en charge de la définition de
leur programme pédagogique et de recherche.
Les directeurs d’écoles internes sont ordonnateurs secondaires de droit pour leur unité
budgétaire. Ils prévoient, gèrent et coordonnent les moyens humains et matériels affectés à
leur école interne.
Le directeur de l’école interne peut détenir une délégation de signature et/ ou de pouvoir du
directeur de l’Etablissement.
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4.3 Elections du conseil d’école des écoles internes
Les élections des membres du conseil d’école des écoles internes sont organisées
conformément aux règles législatives en vigueur.
Selon les thématiques, les projets ou les programmes, une ou plusieurs Unités de recherche
leur sont associées.
Ils sont dirigés chacun par un directeur, nommés par le directeur de l’Etablissement, suite
à l’élection organisée par ledit département, et sur proposition du conseil de
département.
- L’autorité hiérarchique sur les personnels qui concourent, pout tout ou partie de
leur activité, à la mission du département ;
- Une délégation de signature.
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d’enseignement et de recherche présentent leurs demandes de moyens au
directeur de l’Etablissement, en concertation avec les directeurs des Unités de
recherche concernées. Ils recueillent et visent les fiches de services et les
autorisations de cumul. Ils recueillent et transmettent à la direction des ressources
humaines les entretiens professionnels des personnels, effectués selon le lieu
d’affectation de ceux-ci et au plus près de l’exercice de leur activité. Il sera
procédé de la même façon pour l’établissement des rapports d’aptitude. Lorsque
l'agent exerce son activité dans une unité de recherche, le compte-rendu de
l'entretien professionnel recueille en outre le visa du directeur de l'unité si ce n'est
pas lui qui a conduit l'entretien.
- La représentation extérieure des thématiques d’enseignement
- La gestion des locaux qui sont affectés au département par décision du
directeur de l’Etablissement.
Chaque département se dote d’un conseil de département, tel que prévu par les statuts de
l’Etablissement. Ce conseil a un rôle consultatif qui recouvre tous les domaines d’activité
développés par ledit département
Les élections sont organisées dans un délai maximum d’un mois à compter de la date
d’expiration du mandat du conseil.
Elles se déroulent au suffrage direct, uninominal, majoritaire à deux tours. Tout électeur est
éligible. Sauf dispositions spécifiques du présent règlement ou découlant de dispositions
règlementaires nouvelles, les modalités du scrutin et de son dépouillement sont celles
des principes généraux du droit électoral.
L’organisation matérielle du scrutin est conduite, dans le respect des règles qui précèdent,
à l’initiative et sous l’autorité du directeur de département d’enseignement et de recherche. Il
établit les listes électorales, recueille les candidatures, contrôle les opérations de vote,
procède au dépouillement et proclame les résultats dont il rend compte au directeur de
l’école. En cas de contentieux, ce dernier statue en appel.
Le conseil de département est convoqué par le directeur de département à chaque fois qu’il
l’estime nécessaire, au moins une fois par an.
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6. Les Unités de recherche
Conformément aux statuts, les unités mixtes sont créées par convention entre d’autres
établissements publics et l’Etablissement, après consultation des instances concernées.
Les Unités de recherche propres à l’Etablissement sont mises en place par décision du
conseil d’administration, après avis du conseil scientifique.
Pour chaque unité propre créée, la délibération du conseil d’administration arrête les
dispositions relatives à son organisation et à son fonctionnement.
Les équipes de recherche émergentes sont mises en place et dissoutes par le directeur de
l’Etablissement, après consultation du conseil scientifique. Sur proposition du directeur de
ladite équipe et avis du/des directeurs de département et/ou d’école interne concernée, les
équipes de recherche émergentes sont rattachées à un ou plusieurs départements
d’enseignement et de recherche et /ou à une école interne.
Une équipe de recherche dite émergente peut être créée si les activités de l’équipe
proposée n’entrent pas dans les thématiques définies, au moment considéré, par les Unités
de recherche.
Toute équipe de recherche est identifiée par une appellation propre. Ses activités sont
coordonnées par un responsable, désigné en son sein, suivant des modalités dont elle
convient librement et directement.
Les directeurs des Unités de recherche participent avec voix consultative, s’ils n’en sont pas
déjà membres, au conseil du (ou des) département(s) dans lesquels fonctionnent leurs unités.
Les Unités de recherche élaborent leur projet scientifique en cohérence avec la politique
scientifique de l’Etablissement.
Les directeurs des Unités de recherche présentent leurs demandes de moyens au directeur de
l’Etablissement pour leur fonctionnement et leurs projets d’investissements et en informent le
ou les directeurs d’écoles internes et de départements d’enseignement et de recherche
concernés. Le directeur de l’unité de recherche est responsable de tous les travaux de
recherche exécutés par les équipes de recherche rattachées à l’unité.
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6.5 Protection du patrimoine scientifique et technique de la nation
L’Etablissement est administré par un conseil d’administration, assisté par un conseil des
études et un conseil scientifique.
Un calendrier des réunions des Conseils centraux est établi et diffusé au début de chaque
année universitaire.
La convocation aux différents Conseils centraux est adressée aux membres au moins huit
(8) jours avant la date de la réunion, par voie ordinaire ou par courrier électronique.
La convocation est accompagnée d’un ordre du jour et de toutes les pièces nécessaires
à l’information des membres des conseils. Les documents peuvent être transmis par voie
électronique.
Sous réserve des dispositions particulières prévues par les textes, les Conseils centraux
délibèrent valablement lorsque la moitié plus un de leurs membres en exercices sont
présents ou représentés. En formation plénière, le quorum requis est au moins égal à la
moitié plus 1 des membres élus et nommés. En formation restreinte, le quorum requis est au
moins égal à la moitié plus 1 des membres élus. Lorsqu’à l’issue d’une première réunion, ce
quorum n’a pas été atteint, une seconde réunion, avec le même ordre du jour, se tiendra
dans un délai de 15 jours, sans condition de quorum.
Dès lors qu’il ne dispose pas d’un suppléant, tout membre d’un conseil peut donner
procuration à un autre membre du même conseil sans distinction de collège électoral dans
des conditions définies au présent règlement intérieur.
Le mandant peut rédiger sa procuration sur papier libre. Celle-ci est valable dès lors qu’elle
porte le nom du mandant, le nom du mandataire, la date et le nom du conseil plénier ou
restreint pour lequel elle est donnée.
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Avant l’ouverture de chaque séance :
séance. Pour tous les votes, nul ne peut détenir plus d’une procuration.
Les conseils en formation plénière ou restreinte – lorsque cette formation existe- peuvent
demander à entendre, sur un point précis de l’ordre du jour, toute personne qualifiée en
raison de son expérience ou de ses compétences.
Seuls les membres des conseils sont habilités à intervenir de plein droit sur les points
inscrits à l’ordre du jour et dans les débats. Les membres invités interviennent sur
autorisation du président.
Il est tenu un compte-rendu des réunions. Les comptes rendus sont publiés sur l’Intranet.
2. Pilotage de l’Etablissement
Le pilotage de l’Etablissement est assuré sous l’autorité du directeur via, entre autres :
- Le contrat quinquennal ;
- Les contrats d’objectifs et de moyens ;
- Les schémas directeurs ;
- Le budget et le compte financier ;
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Les schémas directeurs répondent à des obligations législatives de structuration des efforts mis
en place dans des domaines spécifiques (systèmes d’information, patrimoine, politique des
ressources humaines…)
Le budget correspond à un acte juridique de prévision des dépenses et recettes. Il est établi
chaque année, sur la base d’un dialogue entre l’établissement et les structures. En tant que de
besoin, des budgets rectificatifs peuvent être mis en œuvre.
Le compte financier rend compte de l’exécution d’un exercice budgétaire et en dresse un bilan.
3. Instances
Le comité de direction est composé des directeurs d’école interne, des directeurs de
départements, des directeurs d’unité de recherche, du directeur adjoint, du directeur général
des services, du directeur des formations et du directeur de la recherche.
La composition et les missions du CT sont définies par les textes. Il adopte un règlement
intérieur qui précise son fonctionnement.
Le CHSCT est une instance présidée par le directeur ou son représentant et doit se réunir
au moins trois fois par an. Il procède à l’analyse des risques professionnels auxquels sont
exposés le personnel et les étudiants. Il contribue en outre à la prévention des risques
signalés par le conseiller de prévention, assisté du réseau des assistants de prévention.
Il peut être mis en place un CHSCT de site auprès d’une école interne.
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3.4 La commission consultative paritaire des agents contractuels (CCPC)
La CCPC peut être consultée sur toute question d’ordre individuel relative à la situation
professionnelle des agents non titulaires.
Elle est obligatoirement consultée sur les décisions individuelles relatives aux
licenciements intervenant postérieurement à la période d’essai et aux sanctions
disciplinaires autres que l’avertissement et le blâme.
La composition et les missions de la CCPC sont définies par les textes. Elle peut
adopter un règlement intérieur qui précise son fonctionnement.
Les réunions conjointes sont alternativement organisées sur le site d’Ecully et sur celui de
Saint-Etienne, ou à distance.
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Ce dernier, présidé par le directeur ou son représentant, comprend :
- Un représentant de chaque liste (personnels et usagers) représentée au conseil
d’administration de l’Etablissement ;
- Le directeur général des services ou son représentant ;
- Le secrétaire général de chaque école interne ou son représentant ;
- Un représentant désigné par le recteur de région académique ;
- Le responsable du service juridique.
Lorsqu'ils sont connus, les délégués des listes de candidats participent au comité.
Le comité de vie des campus est une instance de réflexion et d’échanges sur
l’accompagnement des étudiants et l’amélioration de leurs conditions de vie et d’études.
Chaque site se dote de deux commissions spécialisées : une commission
« accompagnement social » et une commission « vie étudiante et de campus ».
A travers ses avis, la commission « accompagnement social » assiste le directeur de
l’établissement pour la prise de décision d’exonération de paiement des droits d’inscription et
d’attribution d’aides spécifiques.
La commission « vie étudiante et de campus » se réunit au minimum deux fois pour échanger
sur la ventilation des actions financées au titre du produit de la contribution étudiante et de
campus.
Au moins une fois par an, les commissions spécialisées de chaque site réunissent
conjointement en une formation intitulée comité de vie des campus.
Elle peut donner des avis relatifs à la situation budgétaire et financière de l’Etablissement.
Elle est sollicitée sur la construction budgétaire et prépare les documents présentés au
conseil d’administration.
La bibliothèque Michel Serres et les bibliothèques des écoles internes contribuent aux activités
de formation et de recherche de l’Etablissement, en réseau avec les départements, les unités
de recherche et les collectivités territoriales.
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3.10 Comité de pilotage sécurité-défense
La commission déontologie a pour missions d’assister les personnels sur l’ensemble des
questionnements vis-à-vis de leurs obligations déontologies, à travers des conseils et
expertises.
Sa composition est publiée sur le site Intranet de l’école.
Ses avis à caractère règlementaire sont publiés.
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Chapitre IV : annexes
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Annexe n°1 : glossaire
Etablissement = nECL ;
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Annexe n°2 : règlement intérieur du comité technique
Article 1er
Le présent règlement intérieur a pour objet de fixer, dans le cadre des lois et
règlements en vigueur, les conditions de travail du comité technique de l’Ecole centrale
de Lyon.
Article 2
Dans ce dernier cas, la demande écrite adressée au président doit préciser la ou les
questions à inscrire à l'ordre du jour. Dans toute la mesure du possible, cette
demande est transmise par un écrit unique. Le comité se réunit dans le délai maximal
de deux mois à compter du jour où la condition qui est requise par le premier alinéa
pour le réunir a été remplie.
Article 3
Tout membre titulaire du personnel qui ne peut pas répondre à la convocation doit en
informer immédiatement le président.
Article 4
Article 5
S'ils ne peuvent pas être transmis en même temps que les convocations et que l'ordre
du jour, les documents qui se rapportent à cet ordre du jour doivent être adressés aux
membres du comité au moins huit jours avant la date de la réunion.
A l'ordre du jour visé aux deux premiers alinéas du présent article sont adjointes toutes
questions relevant de la compétence du comité en application des articles 34 à 37 du
décret du 15 février 2011 susvisé dont l'examen est demandé par écrit au président du
comité par la moitié au moins des représentants titulaires du personnel au moins cinq
jours avant la date de la réunion. Ces questions sont alors transmises par son
président à tous les membres du comité au moins quarante-huit heures avant la
date de la réunion.
Les convocations peuvent être adressées par voie électronique. Dans ce cas, des
garanties techniques doivent assurer l’origine et l’intégrité des convocations signées
par l’autorité compétente et leur réception par les agents concernés.
Article 7
Après avoir vérifié que le quorum est réuni, le président du comité ouvre la réunion en
rappelant les points inscrits à l'ordre du jour.
Article 8
Article 9
Article 10
Article 11
Un représentant du personnel est désigné par le comité en son sein pour assurer les
fonctions de secrétaire adjoint.
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La désignation du secrétaire-adjoint s’effectue :
- Par désignation au début de chaque séance du comité et pour la seule
durée de cette séance.
Article 12
Article 13
Les représentants suppléants du personnel qui n'ont pas été convoqués pour remplacer
un représentant titulaire défaillant peuvent assister aux réunions du comité, mais
sans pouvoir prendre part aux débats et aux votes. Ces représentants suppléants sont
informés par le président du comité de la tenue de chaque réunion. Le président du
comité en informe également, le cas échéant, leur chef de service.
Article 14
Article 15
Les documents utiles à l'information du comité autres que ceux transmis avec la
convocation peuvent être lus ou distribués pendant la réunion à la demande d'au
moins un des membres du comité ayant voix délibérative avec l'accord du président.
Article 16
Sur tout point à l’ordre du jour, tout représentant du personnel présent ayant voix
délibérative peut demander qu'il soit procédé à un vote sur des propositions formulées
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par le président ou des propositions émanant d'un ou de plusieurs représentants du
personnel ayant voix délibérative.
La question ou le projet de texte soumis au vote est celle ou celui figurant à l’ordre
du jour, éventuellement modifié suite aux propositions faites par le comité et acceptées
par le président.
En toute matière, il ne peut être procédé à un vote avant que chaque membre présent
ayant voix délibérative ait été invité à prendre la parole.
S'il est procédé à un vote, celui-ci a lieu à main levée. Aucun vote par procuration n'est
admis.
Article 17
En cas de vote unanime défavorable des représentants des personnels présents ayant
voix délibérative sur un projet de texte, ce projet fait l’objet d’un réexamen et une
nouvelle délibération est organisée dans un délai qui ne peut être inférieur à huit jours
et excéder trente jours.
La nouvelle convocation doit être adressée dans le délai de huit jours à compter de la
première délibération. Avec cette convocation est adressé le texte soumis au vote
lors de la première délibération. Durant le délai de réflexion compris entre la
première et la seconde délibération, l’administration fait connaître les modifications
éventuelles proposées au projet de texte aux représentants du personnel 48h au
moins avant la réunion au cours de laquelle aura lieu la seconde délibération.
Toutefois, des modifications éventuelles peuvent également être présentées en séance.
Article 18
Article 19
Pour chaque point inscrit à l'ordre du jour, ce document comprend le compte-rendu des
débats et la répartition du vote des représentants du personnel, à l'exclusion de
toute indication nominative. De même le résultat et la répartition des votes concernant
toute proposition formulée par le président et les représentants du personnel doivent
figurer dans le procès-verbal.
Article 20
Dans un délai de deux mois après chaque réunion, le secrétariat du comité, agissant
sur instruction du président, adresse, par écrit, aux membres du comité le relevé des
suites données aux délibérations de celui-ci.
Lors de chacune de ses réunions, le comité procède à l'examen des suites qui ont été
données aux questions qu'il a traitées et aux avis qu'il a émis lors de ses précédentes
réunions.
Seules les organisations syndicales disposant d’au moins un siège au comité technique
peuvent participer aux groupes de travail convoqués par l’administration et portant sur
les sujets relevant de la compétence du comité technique.
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Annexe n°3 : Annexe santé-sécurité
PREAMBULE
Les présents Règlements et Instruction générale Santé et Sécurité, visés par le Comité
d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) et approuvés par le Conseil
d'Administration, définissent dans le respect des textes réglementaires et sur la base d'une
confiance partagée, les règles de vie et de sécurité communes visant à faire de l'établissement
un lieu de travail, d'éducation à la citoyenneté et d'épanouissement personnel pour l’ensemble
des activités (Recherche, Enseignement, Administration, Associations, Activités culturelles...).
Par ailleurs, ils reprennent les rôles et responsabilités de l’établissement, des personnels et
des usagers de l’Ecole centrale de Lyon. La responsabilité de l’Ecole centrale n’exclut pas celle
des agents notamment en cas de faute intentionnelle ou personnelle.
Chacun est fondé à demander le respect des règles des présents règlements à toute personne
présente sur le site de l’Ecole centrale de Lyon, avec la mesure et la courtoisie nécessaires.
Ces documents complètent les textes réglementaires en vigueur dans la fonction publique et
dans tout cadre professionnel, et ne se substituent en aucune manière à eux. Ils sont avant
tout un guide qui, s'appuyant sur le devoir de tolérance et de respect d'autrui, garantissent pour
chacun :
Pour la sécurité de tous, ce guide est un garde-fou contre la facilité, le laisser-aller et les excès
de toutes sortes. Son objectif est aussi d'amener chacun à réfléchir sur le sens même des
valeurs qui ont prévalu lors de son élaboration.
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Sommaire annexe
SST
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1. ORGANISATION DE LA PREVENTION : INSTRUCTION GENERALE DE L’ECOLE
CENTRALE DE LYON
L’obligation générale de sécurité qui incombe à l’employeur doit le conduire à prendre toutes
les mesures nécessaires pour assurer, en tout lieu de travail, la sécurité et protéger la santé
physique et mentale des travailleurs.
Cette obligation passe nécessairement par une évaluation a priori des risques et une
programmation des actions de prévention dans les unités de travail (écoles internes,
départements d’enseignement et laboratoires de recherche, services).
Cette évaluation a priori passe notamment par la mise en place d’un document unique
d’évaluation des risques, conformément aux obligations de l’Ecole centrale de Lyon en sa
qualité d’employeur. Le document unique a pour finalité principale de dresser un inventaire des
risques identifiables au sein de l’Etablissement ainsi que des solutions susceptibles de les
diminuer voir de les supprimer.
Par principe, la sécurité est l'affaire de tous. Chacun, quelle que soit sa fonction, doit être
conscient des risques et doit respecter :
• Les règles principales de prévention détaillées au sein du présent document.
• Les consignes de sécurité applicables dans les unités de travail de l’Etablissement.
Enfin, chacun doit s'informer des bonnes pratiques de travail et des dispositions à prendre en
cas d’incendie, d’accident ou d’incident.
De manière générale :
Pendant leurs enseignements, tous les intervenants sont responsables de la sécurité de leurs
élèves et étudiants. Ils sont chargés notamment :
L’ensemble du personnel et des usagers doit concourir à assurer sa propre sécurité et celle
des autres et se conformer aux bonnes conditions d’hygiène et de sécurité au sein de l’Ecole
centrale, notamment en participant activement à son niveau à l’amélioration de la sécurité :
Il lui incombe de transcrire dans un document unique les résultats de l’évaluation des risques
pour la sécurité et la santé des agents. Ce document doit être mis à jour au moins
annuellement.
En cas d’absence ou d’empêchement, il est suppléé par le Directeur Général des Services
ou, à défaut, par le directeur du patrimoine.
Chaque directeur d’école interne a autorité sur les personnels de son école.
Les directeurs d’école interne peuvent disposer d’une délégation de pouvoir et/ ou de signature
du directeur.
Ils doivent tenir informée la Direction de l’Ecole centrale :
Ils doivent se faire assister et conseiller dans leurs missions en matière de sécurité par un
assistant de prévention. Ils doivent donner à cet agent le temps et les moyens nécessaires à sa
mission via une lettre de cadrage, déterminés en fonction des risques rencontrés dans l’unité
de travail. Par ailleurs, le médecin du travail et/ou le conseiller de prévention, voire le CHSCT si
nécessaire, peuvent les assister à leur demande.
Ils établissent et font respecter le règlement intérieur de l’unité de travail et font respecter les
lois, règlements et consignes en vigueur dans l’établissement. Ils doivent s’assurer que les
consignes de sécurité sont bien établies, diffusées et affichées et connues.
Il leur incombe, en tant que responsables du bon fonctionnement et de la discipline dans l'unité
de travail, d'assurer la sécurité et la protection de la santé des agents placés sous leur autorité,
ainsi que la sauvegarde des biens dont ils disposent et la préservation de l’environnement.
Ils ont l’obligation de s’assurer que l’ensemble des agents sous leurs ordres bénéficie d’une
surveillance médicale via la médecine du travail.
Ils doivent se faire assister et conseiller dans leurs missions en matière de sécurité par un
assistant de prévention. Ils doivent donner à cet agent le temps et les moyens nécessaires à sa
mission via une lettre de cadrage, déterminés en fonction des risques rencontrés dans l’unité
de travail. Par ailleurs, le médecin du travail et/ou le conseiller de prévention, voire le CHSCT si
nécessaire, peuvent les assister à leur demande.
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Ils établissent et font respecter le règlement intérieur de l’unité de travail et font respecter les
lois, règlements et consignes en vigueur dans l’établissement. Ils doivent s’assurer que les
consignes de sécurité sont bien établies, diffusées et affichées et connues.
Il assure le lien avec les assistants de prévention des unités de travail et coordonne leurs
actions, en liaison avec les conseillers de prévention des organismes partenaires (CNRS,
INSA, UCBL…) et selon les termes des conventions établies avec ceux-ci si ces dernières
existent.
Le Conseiller de Prévention procède à des visites de sécurité dans les unités de travail. Pour
les unités mixtes, il effectue si possible ces visites avec son homologue de l’établissement
partenaire. Il peut être accompagné par le médecin du travail.
Dans le cas d’accident grave ou de maladie professionnelle, il procède, en lien avec le CHSCT,
à une enquête en vue de proposer des mesures de prévention en étroite collaboration avec le
médecin du travail. Si l’accident ou la maladie professionnelle s’est produit dans une unité
mixte, le rapport est établi si possible en collaboration avec son homologue de l’établissement
partenaire. Le rapport d’enquête cosigné est adressé au directeur d’unité de travail concerné
ainsi qu’à la Direction de l’Ecole centrale et à la médecine de prévention.
Le Conseiller de Prévention assure les liaisons avec les organismes externes de prévention, de
secours et/ou de contrôle et réalise sa mission en collaboration avec le médecin du travail.
e. LE COMITE D’HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL
(CHSCT)
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Il suggère toute mesure de nature à améliorer l’hygiène et la sécurité du travail, à assurer
l’instruction et le perfectionnement des agents dans les domaines de la santé et de la sécurité.
Il coopère à la préparation des actions de formation à l’hygiène et à la sécurité et veille à leur
mise en œuvre.
Il procède à intervalles réguliers à la visite des services relevant de son champ de compétence.
Il bénéficie pour ce faire d’un droit d’accès aux locaux relevant de son aire de compétence
géographique.
Les noms et coordonnées des membres du CHSCT sont portés à la connaissance de tout le
personnel et des usagers présents à l’Ecole centrale.
f. L’ASSISTANT DE PREVENTION
L’Assistant de Prévention est désigné par le directeur d’école interne, chef de Service, ou le
Directeur d'Unité de travail. Après formation, il est nommé par arrêté du Directeur de l’Ecole
centrale. Dans le cas d’une unité mixte de recherche, la nomination de l’Assistant de
Prévention devra être approuvée par les organismes partenaires concernés et, si possible, un
seul arrêté sera signé par les entités selon les termes des conventions établies entre celles-ci.
Il assiste et conseille le responsable de service ou d’unité auquel il est rattaché pour toute
demande ou tout fait relevant du domaine de la santé et de la sécurité. Il est également le
relais du (des) Conseiller(s) de Prévention et du (des) Médecin(s) de Prévention au sein de
l’unité de travail.
Son responsable lui accorde la possibilité d’organiser son temps de travail pour participer et
organiser la sécurité au sein de l’unité. Cette prise de fonction implique un stage de formation
en hygiène et sécurité dispensée par l’Ecole centrale et/ou l’organisme partenaire. L’exercice
de cette activité nécessite une actualisation des connaissances par la mise en place d’actions
de formation continue.
Dans le cas de risques spécifiques (rayonnements ionisants par exemple), les missions de
l’Assistant de Prévention doivent être coordonnées avec celles des personnes compétentes
pour ces risques spécifiques.
Le service de médecine du travail a pour rôle de prévenir toute altération de la santé des
agents du fait de leur travail. Il assure la surveillance médicale des agents : visite tous les cinq
ans, ou annuelle pour les personnes occupant des postes à risques particuliers et celles dont
l'état le justifie (personnes handicapées, femmes enceintes, agents réintégrés après un congé
de longue maladie ou de longue durée, agents souffrants de certaines pathologies particulières
déterminées par le médecin du travail). Dans tous les cas, la périodicité est définie par le
médecin du travail pour chaque agent.
29
Le personnel peut aussi demander de son propre chef une visite.
Les convocations aux visites ont un caractère obligatoire. En cas d’impossibilité de se rendre à
celles-ci, il est important de prévenir le plus tôt possible le service du personnel afin qu’une
autre personne puisse être convoquée en remplacement.
L'amélioration des conditions de vie et de travail dans les services et les unités de travail ;
L'hygiène générale des locaux de service et des unités de travail ;
L'adaptation des postes, des techniques et des rythmes de travail à la physiologie humaine ;
La protection des agents contre l'ensemble des nuisances et les risques d'accidents du
travail ou de service ou de maladie professionnelle ou à caractère professionnel ;
L'information sanitaire.
Il exerce son activité médicale en toute indépendance et dans le respect des règles
déontologiques inhérentes à sa profession, notamment concernant le secret médical. Son
activité n’interfère pas avec celle des médecins chargés des visites médicales d’aptitude
physique et des médecins de contrôle.
Le médecin du travail établit et met à jour périodiquement, en liaison avec les assistants de
prévention et le conseiller de prévention, et après consultation du CHSCT, une fiche sur
laquelle sont consignés les risques professionnels propres au service et les effectifs d'agents
exposés à ces risques.
Il doit être informé dans les meilleurs délais de tout accident ou maladie de service, des projets
de construction ou de modification des bâtiments, d’utilisation de produits ou de nouvelles
technologies susceptibles de modifier les conditions de travail.
30
h. La médecine préventive (pour les usagers)
Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique d'établissement, ce service est chargé, dans
la continuité de la politique de santé en faveur des élèves et étudiants, d'organiser une veille
sanitaire pour l'ensemble de cette population.
Chacun d’entre eux doit être reçu par ce service au moins une fois au cours de sa scolarité.
Par ailleurs, ceux qui sont exposés à des risques particuliers durant leur cursus doivent être
suivis par ce service. Il est obligatoire de se rendre aux convocations du médecin.
Le service de médecine préventive peut également assurer des consultations spécialisées, des
campagnes de prévention, des enquêtes et études épidémiologiques ...
Les rapports établis par les inspecteurs santé et sécurité sont adressés au Directeur de l’Ecole
centrale.
Les inspecteurs :
Ils peuvent assister avec voix consultative aux réunions du CHSCT auxquelles ils sont conviés.
Les documents se rattachant à la mission des CHSCT leur sont communiqués et parallèlement
leurs observations sont portées à la connaissance du CHSCT.
Ils sont associés aux procédures impliquant l’intervention des agents d’un corps de contrôle
externe (inspecteur du travail, inspecteur vétérinaire,...) notamment lors de l’usage du droit de
retrait.
Ils ont librement accès à tous les bâtiments, locaux relevant de leur champ d’intervention ainsi
qu’à tous documents se rattachant à leur mission.
31
j. LE PERSONNEL PRESENT A L’ECOLE CENTRALE (dispositions applicables à chaque
agent)
L'agent doit contribuer activement à assurer sa propre sécurité, celle de ses collègues, des
usagers et de son environnement.
L'agent doit prendre connaissance des règlements intérieurs (Ecole centrale et unité de travail),
des bonnes pratiques de travail, des dispositions à prendre en cas d'accident ou de sinistre et
être conscient des responsabilités engagées.
Tout agent doit bénéficier d'une formation pratique et appropriée en matière d'hygiène et de
sécurité notamment lors de son entrée en fonction, par suite d'un changement de fonction ou
de technique ou en cas d'accidents graves ou répétés dans l'unité afin de l'aider et de
contribuer à la bonne exécution du travail qui lui est confié.
Les registres de sécurité : chaque bâtiment en possède un qui sert à regrouper les
documents d'entretien et de contrôle des éléments de sécurité de celui-ci.
Les registres santé et sécurité : ils permettent à tout agent ou usager de signaler tout
incident, observation ou suggestion relative à la santé et/ou à la sécurité de son unité de travail.
k. LE FINANCEMENT DE LA SECURITE
Le principe de l’intégration de la sécurité est obligatoire quel que soit le type d’activité exercé.
Il incombe aux directeurs et chefs des unités de travail de veiller au financement des mesures
relatives à la maîtrise des risques propres aux activités dont ils ont la responsabilité. Par
conséquent, les besoins financiers relatifs à la sécurité et à la santé au travail dans une unité
de recherche, un département ou un service… sont à prévoir sur les crédits des entités
respectives. Lorsque ces crédits sont insuffisants, le directeur ou le chef de l’unité de travail
doit effectuer une demande particulière auprès de l’instance supérieure dont il relève. Dans le
cas d’unités mixtes, cette demande sera faite auprès des différents partenaires.
32
2. REGLES PRINCIPALES DE PREVENTION
a. REGLES GENERALES
Les dégradations ou les souillures (crachats, tags etc….) dues à la malveillance engagent
directement la responsabilité de leur(s) auteur(s); la réparation restera à leur charge.
Avant de quitter le lieu qu'ils ont occupé, les usagers et le personnel s'assureront, par respect
pour les personnes chargées de l'entretien et les usagers qui prendront leur suite, qu'ils n'ont
laissé derrière eux aucune trace de leur passage : les papiers, gobelets, chewing-gum,
emballages divers notamment seront jetés dans les corbeilles. Les lumières devront être
éteintes et les fenêtres fermées.
• Quitter un local, un sanitaire en le laissant dans l’état où l’on a souhaité le trouver, c'est
respecter le futur utilisateur,
• Utiliser les cendriers extérieurs et les corbeilles mis à la disposition de chacun, c'est
respecter le travail du personnel d'entretien.
Le personnel et les usagers doivent éteindre le soir les appareils sous-tension dont le
fonctionnement n'est pas nécessaire la nuit dans un souci d’économie d’énergie et pour éviter
tout risque lié au fonctionnement d’un appareil sans surveillance (surchauffe, surtension…).
L'affichage d'autocollants, les tags et les graffitis sont interdits dans l'enceinte de l'Ecole
centrale.
Les salles pédagogiques (amphithéâtres, salles de TD, de cours …), les bibliothèques et salles
de documentation sont des lieux de travail dans lesquels, et à proximité desquels le silence est
de rigueur.
Les téléphones portables doivent être éteints.
La notion de nuisance sonore sera prise en compte dans les périodes de chantier afin de
minimiser au maximum la gêne occasionnée.
iii. Animaux.
La présence d'animaux est formellement interdite sur tous les sites de l’Ecole centrale de Lyon,
à l'exception des animaux :
Appartenant aux personnels logés sur les sites pour raisons de service,
Appartenant aux personnels de gardiennage,
Servant de guide aux personnes handicapées,
De laboratoire.
33
Dans les cas cités ci-dessus (hors animaux de laboratoire soumis à des règlements
spécifiques), les chiens doivent au minimum être tenus en laisse dans les zones publiques.
Leurs propriétaires doivent respecter la réglementation en vigueur (muselière si nécessaire) et
sont responsables de la bonne tenue et de l’hygiène de leurs animaux.
Il est interdit de fumer dans tous les locaux collectifs, clos ou couverts de l’Ecole centrale de
Lyon. L'usage du tabac n'est possible qu’à l'extérieur des bâtiments. Les cigarettes
électroniques ne sont pas autorisées dans les locaux couverts. Les fumeurs doivent respecter
les extérieurs et jeter les mégots dans les cendriers mis à leur disposition et non sur le sol. Les
logements de fonction sont exclus du champ d’application de cet alinéa.
Les agents et usagers de l’Ecole centrale doivent savoir que les causes des problèmes de
vigilance peuvent être multiples : usage d’alcool, de médicaments, manque de sommeil. Dans
ce cas, il est nécessaire de consulter un médecin pour remédier au problème.
Par ailleurs, il est interdit de se présenter en cours ou à son poste de travail dans un état
inadapté (notamment personne présentant un comportement perturbé assimilable à une
ivresse). Un contrôle par éthylotest à l’infirmerie, en présence d’un tiers, pourra être proposé à
l’agent ou à l’usager en cas de doute dans le but d’assurer sa propre sécurité, celle des agents
et des usagers présents.
Tout agent ou usager de l’Ecole centrale est responsable de son état de vigilance au travail.
S’il ne s’estime pas en état d’assurer sa propre sécurité, celle de ses collègues, des usagers
et/ou de son environnement, il doit le signaler à son supérieur hiérarchique ou à l’enseignant
responsable.
Tout agent ou usager de l’Ecole centrale ne peut réaliser une activité à risque, même
occasionnelle, s’il a consommé de l’alcool. Sont considérées activités à risque celles
susceptibles de porter atteinte à l’intégrité corporelle de l’agent, de l’usager ou de son
entourage de travail, notamment la conduite de tout véhicule ou d’engins et celles décrites
dans l’Arrêté du 19 mars 1993, en application de l'article R4512-7 du code du travail).
Il est interdit d'introduire dans l’enceinte de l’Ecole centrale toute substance, objet, ou procédé
dangereux, sans l’accord express de l’administration. Cette règle s’applique pour tous produits
toxiques ou dangereux n’ayant aucun rapport avec la recherche et/ou les enseignements
réalisés au sein de l’Ecole.
34
i. Vigipirate- Sûreté
Dans le cadre de VIGIPIRATE, tout colis ou sac suspect devra être signalé à l'administration.
Une carte de personnel ou d’étudiant devra être présentée si la surveillance l’exige. Les sites
doivent être gardés en bon ordre de rangement pour répondre à cet objectif.
De manière générale, afin d’assurer la sécurité des biens du personnel et de l’Ecole, il est
nécessaire de ne pas laisser les bureaux et zones sensibles ouverts et sans surveillance. De
même, les fenêtres ne doivent pas rester ouvertes lorsque les locaux sont vides et doivent être
fermées le soir au départ de l’occupant du local. Les effets personnels de valeurs (sac,
portefeuille, téléphone…) doivent être sécurisés.
Les horaires d'ouverture au public de l'Ecole centrale sont, en général, de 7h30 à 19h du lundi
au vendredi. Les horaires d’accès au campus sont de 7h30 à 21h du lundi au vendredi.
Toutefois, chaque bâtiment possède des consignes et des conditions d’accès qui lui sont
propres. Le public et le personnel doivent se renseigner à leur arrivée et les respecter.
Certains locaux et les laboratoires ne sont accessibles qu'aux personnes autorisées, le public
n'y est pas admis. Dans les laboratoires ou dans certains services de l’Ecole, il peut exister des
Zones à Régime Restrictif (ZRR). Ces zones ne sont accessibles que sur autorisation du
directeur ou chef de l’unité de travail. Le franchissement sans autorisation ou non accompagné
d’une de ces zones peut entraîner la mise en cause pénale du contrevenant.
Dans les bâtiments, la circulation des personnes doit être facilitée. En particulier, les couloirs et
les escaliers seront dégagés.
Les piétons s'efforceront d'utiliser les sentiers créés pour leurs déplacements et éviteront de
traverser les espaces verts. L'utilisation des rollers ou skate-board est interdite à l'intérieur des
locaux.
Concernant les vélos, les cyclistes doivent veiller à adapter leur conduite sur les sites de
l’Etablissement. Le Stationnement des vélos est limité aux emplacements prévus.
35
Travail isolé
Il est interdit de travailler seul quelle que soit l'activité exercée lorsqu’au moins une des deux
situations existe. La présence d’une autre personne est obligatoire pour porter aide et
assistance ou avertir les secours en cas de nécessité.
S'il y a nécessité d'effectuer un travail en dehors des plages d'ouverture, le chef de l’unité de
travail doit être informé et, après évaluation des risques encourus, doit donner son accord écrit
et nominatif, en précisant les activités et travaux autorisés. Aucune activité réputée dangereuse
ne pourra être autorisée en travail isolé.Entreprises extérieures / Travaux
Tous les travaux de rénovation, de mise en conformité, de réaménagement, réalisés par une
société extérieure ou par les équipes techniques de l’Ecole centrale doivent être signalés à la
direction du patrimoine pour autorisation préalable.
En cas d'intervention d'une entreprise extérieure, une réunion de coordination doit être
organisée entre l'Ecole centrale et l'entreprise extérieure pour prévenir les situations
potentiellement dangereuses. Le cas échéant, cette réunion doit déboucher sur la rédaction
d'un plan de prévention écrit.
Règles de prévention
Les mesures de sécurité mises en œuvre lors de la construction des bâtiments doivent être
complétées par des règles d'utilisation des locaux.
36
Exercices d'évacuation
Un à deux exercices d'évacuation sont organisés par année et par bâtiment, le premier dans le
mois suivant la rentrée. Ils ont pour but de donner des réflexes de sécurité, et de faciliter le
travail des sapeurs-pompiers.
Ces exercices sont planifiés en début d'année universitaire par les directeurs d’unité en lien
avec le conseiller de prévention.
Chacun est tenu de participer activement à l'organisation et à la réalisation des exercices
d'évacuation en se conformant strictement aux consignes données. Des consignes
particulières concernant la conduite à tenir en cas de sinistre sont affichées dans les principaux
locaux de l'établissement. Pour une bonne application de cette règle, chacun est tenu de les
lire attentivement et de prendre connaissance des plans d'évacuation.
L’évacuation rapide du public est le principe même de la sécurité dans les ERP
(Établissements Recevant du Public). Tous les équipements techniques (Détecteurs, Alarme,
SSI…) ainsi que les mesures d’organisation ont pour objectif de permettre l’évacuation rapide.
Ne pas participer à un exercice, ne pas évacuer lorsque l’alarme retentit où demander à ses
étudiants de ne pas évacuer (pour un enseignant) revient à prendre ou faire prendre un risque
grave en cas d’incendie. En cas de refus de participation à un exercice d’évacuation, le
conseiller de prévention saisira systématiquement le Directeur de l’Ecole centrale pour que les
sanctions qui s’imposent soient prises.
Manifestations
Dans les autres cas, une convention d’autorisation d’occupation temporaire du domaine public
devra être établie.
Dans tous les cas, la souscription d’une assurance responsabilité civile est obligatoire.
Les usagers sont tenus d'utiliser impérativement et exclusivement les panneaux d'affichage
libres mis à leur disposition.
L'affichage d'autocollants, les tags et les graffitis sont interdits dans l'enceinte de l'Ecole
centrale.
37
iv. Harcèlements moral ou sexuel
Toute forme de harcèlement moral ou sexuel est interdite et expose à des sanctions pénales,
civiles et administratives.
La DRH, le service de médecine du travail, l’assistante sociale pour les personnels, la direction
de l’unité et le service de médecine préventive se tiennent à la disposition de toute personne
qui estime être victime de harcèlement moral ou sexuel pour l’accompagner et établir si
nécessaire les éventuels faits délictueux. Par ailleurs, une cellule d'écoute a été mise en place.
Elle peut être jointe en contactant un de ses membres.
Toute autre procédure de médiation peut être envisagée, après accord entre les parties.
Prévention
La prévention repose sur l'évaluation des risques. Les principes généraux de prévention sont
prévus aux articles L4121-1,2 et 3 du code du travail.
L'évaluation des risques est menée par les chefs des unités de travail et les assistants de
prévention.
Les personnels doivent utiliser les protections collectives et/ou les Equipements de Protection
Individuelle (EPI) mis à leur disposition en cas de nécessité.
Des consignes de sécurité particulières écrites, complétant le présent règlement, doivent être
établies et communiquées aux personnels, aux enseignants et si nécessaire aux étudiants pour
tous dangers identifiés. De manière générale, un fascicule doit être réalisé reprenant
l’ensemble des règles de bonne conduite dans l’unité. Ce dernier doit être remis à chaque
nouvel entrant après formation.
Locaux de travail
Les locaux doivent être aménagés, les équipements doivent être installés et maintenus de
manière à garantir la sécurité du personnel et des usagers. Ils doivent être tenus dans un état
constant de propreté et présenter les conditions d'hygiène et de salubrité nécessaires à la
santé des personnes.
Ambiance
Les locaux doivent être conformes aux règles établies par le code du travail en ce qui concerne
les ambiances (aération, éclairage, bruit, température, pollution…). Les situations d’inconfort
répétitives liées aux ambiances doivent être systématiquement signalées ou notées sur les
registres Santé et Sécurité et seront éventuellement débattues au CHSCT.
Bruit
Le responsable de l’unité doit obligatoirement fournir les équipements de protection individuelle
adéquats (casque ou bouchons d'oreille). L'agent doit également subir un examen
audiométrique périodique si le médecin du travail le juge nécessaire. Au-delà de 85 dBA,
l'équipement de protection individuelle doit obligatoirement être porté et des actions
correctrices doivent être entreprises.
38
Électricité
Formations
Chacun doit avoir reçu une formation sécurité suffisante par rapport à ses activités pour ne pas
mettre en danger les autres ou lui-même (par exemple, lors de changement de poste de
travail).
Une formation sécurité et conditions de travail à destination des nouveaux entrants doit être
organisée au moment de la prise de fonction dans le service au plus proche du travail effectué
(règlement intérieur de l’unité, fascicule d’entrée)
Certaines formations ont un caractère obligatoire. Les personnes concernées par ces dernières
ne peuvent s’y soustraire sous peine de se voir interdire l’accès à leur poste de travail.
Le Code du Travail précise qu'un agent ne peut porter de façon habituelle des charges
supérieures à 55 kg (sauf aptitude délivrée par le médecin du travail). La charge limite pour une
femme est de 25 kg.
L'utilisation d'équipements tels que chariots, diables, appareils de levage ..., doit être facilitée
afin de limiter l’effort physique. Ces derniers doivent être entretenus selon la législation en
vigueur.
Les postes de travail doivent être aménagés de manière à s’adapter aux caractéristiques
physiques des usagers et à éviter les reflets sur les écrans.
Équipements de travail
Certains équipements de travail (Machines, ponts roulants, équipement de manutention…)
doivent être contrôlés régulièrement par un organisme agréé en ce qui concerne leur
conformité réglementaire.
Chaque équipement de travail doit être doté d'un carnet de maintenance individuel.
Chaque utilisateur d'un équipement de travail doit avoir reçu une formation suffisante pour ne
pas mettre en danger les autres ou lui-même (ex : autorisation de conduite, CACES…).
39
Tenue vestimentaire
Le personnel et les usagers doivent adopter une tenue vestimentaire compatible avec le poste
occupé et avoir à sa disposition les Equipements de protection individuels (EPI) adéquats.
Le Directeur de l’Ecole centrale, les responsables d’unité de travail et le cas échéant les
enseignants peuvent exiger du personnel et/ou des usagers le port de tenues compatibles
avec le bon déroulement des cours et/ou activités des laboratoires (notamment en matière de
technologie et d'éducation physique et sportive) sans qu'il y ait à justifier, dans chaque cas
particulier, l'existence d'un danger pour ces derniers.
Au sein des unités de travail, chaque responsable, via l’évaluation des risques et la rédaction
du document unique se doit d’analyser avec son personnel les risques liés à l’activité de l’unité.
i. Principes généraux de prévention
41
Annexe n°4 : modalités de tenue des conseils en visioconférence
Dans la lignée de ses statuts, l’Ecole centrale de Lyon souhaite limiter annuellement le nombre
de séances de son conseil d’administration à quatre :
- Une à l’automne de chaque année civile, principalement consacrée au bilan de la rentrée
universitaire ;
- Une seconde en décembre de chaque année civile, consacrée notamment au vote du budget
pour l’année civile à venir ;
- Une troisième vers la fin du mois de février, consacrée notamment au vote du compte
financier de l’Ecole pour l’exercice de l’année précédente ;
- Enfin, une quatrième, réservée principalement mais pas exclusivement à un débat portant sur
la stratégie de l’Ecole.
Toutefois, dans l’intervalle de ces sessions, si l’activité de l’Ecole l’exige, notamment pour ce
qui concerne la signature de marchés publics, accords, contrats ou conventions ou de leurs
avenants dont le montant excéderait le seuil fixé par la délégation de pouvoir consentie au
directeur, un vote exceptionnel à distance peut être organisé, conformément aux présentes
conditions.
Les échanges se dérouleront via une messagerie en temps réel (« chat »).
L’utilisation d’une plateforme spécifique permet de préserver la confidentialité des débats.
Pour se connecter, il convient de se rendre à l’adresse suivante : https://projets.ec-
lyon.fr/course/view.php?id=5 et d’indiquer, soit les identifiants Ecole, soit, pour les extérieurs,
les identifiants préalablement transmis par la DSI.
Pour une organisation optimale, notamment que l’obligation de quorum soit contrôlée, il est
particulièrement recommandé de se connecter au moins cinq minutes avant le début des
délibérations.
Si la condition de quorum est atteinte à l’heure du début des délibérations, le président ouvre la
séance, en indiquant l’ordre du jour et l’heure de clôture des débats.
L’envoi de messages se fait en cliquant sur le bouton « envoyer ».
Chaque participant est identifié dans la liste située à droite sur l’interface de dialogue.
Les échanges ne font l’objet d’aucun contrôle, afin de garantir leur spontanéité.
42
Au cas où le quorum ne serait pas atteint, la présente procédure sera reconduite selon les
mêmes modalités, la semaine suivante.
Il est recommandé de ne pas fermer la fenêtre de dialogue au cours de la procédure : le
contenu des échanges antérieurs ne serait plus accessible à partir de la reconnexion.
5.Modalités de vote
En cas d’incident technique, il convient d’en référer le plus rapidement possible au secrétaire
de séance par téléphone (04.72.18.63.38).
Le président peut alors décider de suspendre la séance, pour reprise ultérieure ou organisation
d’une nouvelle consultation.
8.Archivages
La durée de conservation des échanges prévue par le service de messagerie instantanée est
d’un an.
Les échanges feront également l’objet d’un archivage physique, dans le respect des
prescriptions juridiques en vigueur.
43
II) Complément à la délibération du 12 octobre 2017 votée au CA du
12 mars 2020
Références :
-Ordonnance n°2014-1329 du 6 novembre 2014
-Décret n°2014-1627 du 26 décembre 2014
-Statuts de l’ECL
-Délibération du CA de l’ECL en date du 12 octobre 2017.
Outre les motivations exposées lors du vote du 12 octobre 2017, il convient de prendre en
compte la difficulté à organiser un échange propre à éclairer les administrateurs lorsqu’il est
nécessaire de projeter des tableaux à l’appui des débats.
Si la condition de quorum est atteinte à l’heure du début des délibérations, le président ouvre la
séance, en indiquant l’ordre du jour et l’heure de clôture des débats.
Au cas où le quorum ne serait pas atteint, la présente procédure sera reconduite selon les
mêmes modalités, la semaine suivante.
44
5.Modalités de vote
Chaque membre présent sera appelé et devra se prononcer pour savoir s’il est « pour » le point
mis au vote, « contre » ou s’il « ne se prononce pas ».
Toute autre réponse que « pour », « contre » ou « ne se prononce pas » sera considérée
comme un vote nul.
La directrice générale des services indiquera les résultats, et si le projet mis au vote est adopté
ou non.
En cas d’incident technique, il convient d’en référer le plus rapidement possible au secrétaire
de séance par téléphone (04.72.18.63.38).
Le président peut alors décider de suspendre la séance, pour reprise ultérieure ou organisation
d’une nouvelle consultation.
8.Archivage
Les échanges feront l’objet d’un archivage physique, dans le respect des prescriptions
juridiques en vigueur.
45
Annexe n°5 : charte des systèmes d’information
Préambule
L’informatique nomade tel que les assistants personnels, les ordinateurs portables, les
téléphones portable est également un des éléments constitutifs du système d’information.
Par « utilisateur », s’entend toute personne physique ayant accès, dans le cadre de l’exercice
de son activité, aux ressources du système d’information de l’Etablissement, quel que soit son
statut.
Par « données professionnelles » s’entend l’ensemble des données, des fichiers, des
traitements gérés par l’établissement au sein de son activité de recherche, d’enseignement,
administrative ou culturelle.
L’utilisateur est responsable, en tout lieu, de l’usage qu’il fait du système d’information auquel il
a accès.
Il a une obligation de réserve et de confidentialité à l’égard des informations et documents
auxquels il accède. Cette obligation implique le respect des règles d’éthique et de déontologie.
Les utilisateurs ont une responsabilité particulière dans l’utilisation qu’ils font des ressources
mises à leur disposition par l’institution.
L’utilisateur est soumis au respect des obligations résultant de son statut ou de son contrat.
46
Article I. Champ d’application
Les systèmes d’information sont mis à la disposition des utilisateurs pour leurs activités.
L’utilisation à des fins privées doit être non lucrative et raisonnable quantitativement, tant dans
la fréquence que dans la durée. Elle ne doit pas nuire à la qualité du travail de l’utilisateur, au
temps qu’il y consacre et au bon fonctionnement du service.
En toute hypothèse, le surcoût qui résulte de l’utilisation privée résiduelle des systèmes
d’information doit demeurer négligeable au regard du coût global d’exploitation.
L’utilisateur est responsable de son espace de données à caractère privé. Lors de son départ
définitif du service ou de l’établissement, il lui appartient de détruire son espace de données à
caractère privé, la responsabilité de l’administration ne pouvant être engagée quant à la
conservation de cet espace. Les mesures de conservation des données professionnelles sont
définies avec le responsable ou les responsables désignés au sein de l’institution ou des
structures dont dépend l’utilisateur.
L’institution, son ministère de tutelle, ses fournisseurs d’accès et ses partenaires techniques
extérieurs mettent en œuvre les mécanismes de protection appropriés sur les systèmes
d’information mis à la disposition des utilisateurs.
L’utilisateur est informé que les mots de passe, les moyens d’accès (ou tout autre système
d’authentification) constituent une mesure de sécurité destinée à éviter toute utilisation
malveillante ou abusive. Cette mesure ne confère pas aux outils informatiques protégés un
caractère personnel.
Les niveaux d’accès ouverts à l’utilisateur sont définis en fonction de la mission qui lui est
conférée. La sécurité des systèmes d’information mis à sa disposition lui impose de respecter
les consignes de sécurité, les règles relatives à la gestion des mots de passe ; notamment :
• De choisir un mot de passe sûr, n’ayant aucun lien avec l’environnement familier de l’«
utilisateur » ;
• De choisir des mots de passe d’une complexité suffisante et de ne pas réutiliser les
mêmes mots de passe sur des systèmes différents ;
47
• De changer de mot de passe régulièrement, si les applications le permettent ;
• De ne pas écrire son mot de passe sur un support facilement accessible ;
• De garder strictement confidentiel son (ou ses) mot(s) de passe et ne pas le(s) dévoiler
à un tiers ; En cas de doute sur cette confidentialité, il incombe à l’utilisateur de changer
immédiatement ses mots de passe et d’en avertir la DSI ;
• De respecter la gestion des accès, en particulier ne pas utiliser les noms et mots de
passe d’un autre utilisateur, ni chercher à les connaître ;
• L’utilisateur est responsable des opérations effectuées grâce à son identifiant et son
mot de passe.
Par ailleurs, la sécurité des ressources mises à la disposition de l’utilisateur nécessite plusieurs
précautions :
de la part de l’institution :
• veiller à ce que les ressources sensibles ne soient pas accessibles en cas d’absence
(en dehors des mesures de continuité mises en place par la hiérarchie) ;
• limiter l’accès aux seules ressources pour lesquelles l’utilisateur est expressément
habilité.
de la part de l’utilisateur :
• Dans un cadre professionnel, les utilisateurs doivent utiliser les services numériques
mis à disposition par l’École Centrale de Lyon, ses laboratoires ou partenaires
cocontractants (mail, partage de fichier, plateforme de travail collaboratif …) et non des
outils fournis par un prestataire extérieur (gratuit ou non) qui peuvent exposer de façon
incontrôlée des informations sensibles à l’extérieur.
• Si l’utilisateur ne bénéficie pas d’une habilitation explicite, il doit s’interdire d’accéder ou
tenter d’accéder à des ressources du système d’information, même si cet accès est
techniquement possible ;
• Ne pas connecter directement aux réseaux des matériels non confiés ou non autorisés
par l’établissement ; par extension activer des points d’accès sans fil ou interagissant
avec l’espace hertzien de l’établissement.
• Ne pas installer, télécharger ou utiliser sur le matériel de l’établissement, de logiciels ou
progiciels sans autorisation explicite ;
• Appliquer les consignes de la DSI afin de s’assurer notamment que la configuration de
son équipement suit les bonnes pratiques de sécurité (application des correctifs de
sécurité, chiffrement, antivirus, etc.), notamment dans l’exercice du télétravail.
L’utilisateur doit avertir sa hiérarchie dans les meilleurs délais de tout dysfonctionnement
constaté, de toute perte, de tout vol ou de toute anomalie découverte telle une intrusion dans le
système d’information, etc. : il signale également à la personne responsable du site toute
possibilité d’accès à une ressource ne correspondant pas à son habilitation.
48
• que toute information bloquante ou présentant une difficulté technique d’acheminement
à son destinataire, peut être isolée, le cas échéant supprimée (information de type virus,
logiciel espion, pourriel ou spam).
• que le système d’information peut donner lieu à une surveillance et un contrôle à des
fins statistiques, de traçabilité, d’optimisation, de sécurité ou de détection des abus.
L’adresse électronique nominative est attribuée à un utilisateur. Par norme sous la forme
prenom.nom@(XXX.)ec-lyon.fr sauf cas d’homonymie. Pour les personnels et élèves des
écoles internes, elle prendra la forme prenom.nom@[ecoleinterne].ec-lyon.fr.
Une adresse électronique, fonctionnelle ou organisationnelle, peut être mise en place si elle est
exploitée par un service ou un groupe d’utilisateurs.
Tout message sera réputé lié à l’institution sauf s’il comporte une mention particulière et
explicite indiquant son caractère privé ou s’il est stocké dans un espace privé de données. Le
sujet de la correspondance électronique devra commencer par la mention « privé-personnel ».
Pour préserver le bon fonctionnement des services, des limitations peuvent être mises en
place.
49
Sont interdits les messages comportant des contenus à caractère illicite quelle qu’en soit la
nature. Il s’agit notamment des contenus contraires aux dispositions de la loi sur la liberté
d’expression ou portant atteinte à la vie privée d’autrui.
Il est interdit de diffuser des messages à un groupe de personnes dès lors qu’il existe une liste
de diffusion institutionnelle dédiée pour cet usage.
L’utilisateur doit en conséquence, être vigilant sur la nature des messages électroniques qu’il
échange au même titre que pour les courriers traditionnels.
Chaque utilisateur doit organiser et mettre en œuvre les moyens nécessaires à la conservation
des messages pouvant être indispensables ou simplement utiles en tant qu’éléments de
preuve.
À ce titre, il doit notamment se conformer aux règles définies dans la présente charte.
Il est rappelé que le réseau Internet est soumis à l’ensemble des règles de droit en vigueur.
L’utilisation de la technologie Internet (par extension intranet) constitue l’un des éléments
essentiels d’optimisation du travail, de mutualisation et d’accessibilité de l’information au sein et
en dehors de l’Etablissement.
L’Etablissement met à la disposition de l’utilisateur un accès Internet chaque fois que cela est
possible.
Le réseau de l’Etablissement est destiné à véhiculer le trafic engendré par des activités :
d’enseignement, recherche, développements techniques, transfert de technologies, diffusion
d’informations scientifiques, techniques et culturelles, expérimentations de nouveaux services
présentant un caractère d’innovation technique.
A ce titre, tout accès à des tiers non autorisés à titre commercial ou non, rémunérés ou non, ou
à des fins ludiques personnelles est interdit.
L’utilisateur est informé des risques et limites inhérents à l’utilisation d’Internet par le biais
d’actions de formations ou de campagnes de sensibilisation.
Tout téléchargement de fichiers, notamment de sons ou d’images, sur le réseau Internet doit
s’effectuer dans le respect des droits de la propriété intellectuelle.
Article V. Traçabilité
L’établissement rappelle que l’utilisation des moyens informatiques implique le respect de ses
droits de propriété intellectuelle ainsi que ceux de ses partenaires et plus généralement, de
tous tiers titulaires de tels droits.
Article VII. Respect de la loi informatique et libertés et du règlement général de protection des
données
L’utilisateur est informé que l’Etablissement se doit de respecter l’ensemble du corpus juridique
applicable en matière de traitement automatisé de données à caractère personnel, au premier
rang desquels les lois n° 7817 du 6 janvier 1978 et n° 2018-493 du 20 juin 2018 dites «
Informatique et Libertés » et le règlement général (UE) 2016/679 du 27 avril 2016 relatif à la
protection des données (RGPD)
Les données à caractère personnel sont des informations qui permettent sous quelque forme
que ce soit directement ou indirectement, l’identification des personnes physiques auxquelles
elles s’appliquent.
51
Chaque utilisateur dispose d’un droit d’accès, de rectification et d’opposition à l’égard des
données le concernant, y compris les données portant sur l’utilisation des systèmes
d’Information.
En cas de non-respect des règles définies dans la présente charte et des modalités définies
dans les guides d’utilisation, le directeur ou les responsables sécurité du système d’information
pourront, sans préjuger des poursuites ou procédures de sanctions pouvant être engagées à
l’encontre des personnels, limiter les usages par mesure conservatoire.
Tout abus dans l’utilisation des ressources mises à la disposition de l’utilisateur à des fins
extra-professionnelles, est passible de sanctions.
Elles sont décidées par la section disciplinaire de L’Etablissement prévue à l’article L 712-4 du
code de l’éducation. Les sanctions encourues sont fixées par l’article R-811 du code de
l’éducation.
Le présent document annule et remplace tous les autres documents ou chartes relatifs à
l’utilisation des systèmes d’Information.
52
RAPPELS JURIDIQUES
Cette liste non exhaustive est produite à titre d’information
L’utilisation des ressources informatiques dans l’école n’a pas lieu en dehors du droit.
53
Annexe n°6 : règlement commun des bibliothèques de l’Ecole centrale de Lyon
Préambule
Le présent règlement s’applique aux bibliothèques mentionnées ci-dessous :
• Bibliothèque Michel Serres – Ecole Centrale de Lyon, campus d’Ecully
• Bibliothèque Wangari Maathai – Ecole Centrale de Lyon- ENISE, campus de Saint -
Etienne
1
et 2 https://bibli.ec-lyon.fr et xxxxxxxxxxxxxx ?
54
4: Services
L’inscription donne accès aux services décrits sur le site web des bibliothèques3 ; en particulier,
l’utilisation des services de prêt, de consultation d’Internet et des ressources électroniques est
réservée aux personnes inscrites et authentifiées.
4.1Modalités de prêt
Le nombre et la durée des prêts varient selon les catégories d’usagers. Ces informations sont
consultables sur le site web des bibliothèques4.
3
et 5 https://bibli.ec-lyon.fr
55
5 : Droits et devoirs des usagers
5.1 Droits
Le personnel des bibliothèques se tient à la disposition des publics pour les accueillir et les
renseigner.
Les usagers sont invités à faire part de leurs observations, suggestions ou éventuelles
réclamations, à titre individuel, dans le cadre d’enquêtes d’usages ou d’ateliers participatifs
organisés par les bibliothèques. Ils sont représentés au Conseil de la Documentation et
participent ainsi aux décisions concernant les politiques documentaires, de services et
d’animations culturelles et scientifiques des bibliothèques.
5.2 Données personnelles :
Les bibliothèques proposent de nombreux services pour lesquels elles collectent certaines
données personnelles, en conformité avec le RGPD- Règlement Général sur la Protection des
Données- et la loi Informatique et Libertés.
Les usagers peuvent demander des précisions sur le recueil et le traitement des données
personnelles collectées et exercer un droit d'accès, de rectification et de suppression des
données les concernant, en envoyant une demande par courriel5.
5.3Responsabilités
Chaque lecteur inscrit est responsable des documents empruntés sous son nom.
Pour tout document en retard, il sera appliqué une suspension de prêt d’une durée égale
à la durée du retard.
Au cas où l’utilisateur ne pourrait pas rendre les documents empruntés, il devra les remplacer à
l’identique ou en rembourser le prix au tarif des fournisseurs de la bibliothèque.
Si le document est épuisé, il devra être remboursé au prix indiqué par les fournisseurs ou au
prix du rachat d’occasion.
Bibliothèque site Ecully : les élèves, étudiants et doctorants devront être en règle avec la
bibliothèque à chaque réinscription et pour la délivrance de leur diplôme (TFE, Thèses,…). Le
Quitus devra obligatoirement être demandé avant toute soutenance.
5
bibliotheque@ec-lyon.fr avec en copie : dpd.rgpd@listes.ec-lyon.fr
56
5.5Respect du droit d’auteur et conditions d’utilisation des ressources
électroniques
Tout usager s’engage à utiliser les ressources mises à sa disposition et le matériel
d’impression et de reproduction en respectant les règles de la propriété intellectuelle
notamment les droits d’auteur :
• La reproduction intégrale des documents -tous supports confondus- est interdite et
constitue une contrefaçon.
• Conformément au contrat signé par l’École Centrale de Lyon et le Centre français
d’exploitation du droit de copie (CFC), la photocopie d’une publication est autorisée
dans la limite de 10% du contenu d’un livre ou 30% du contenu d'un numéro de
périodique.
• Ces photocopies doivent être destinées à l’usage personnel du lecteur.
• De même, les ressources électroniques (bases de données, revues, encyclopédies,
livres…) doivent être utilisées dans le cadre d’un usage raisonnable non commercial
et strictement personnel. L’extraction automatique des données peut entrainer des
sanctions disciplinaires.
58
Annexe n°7 : Règlement intérieur CODIR
Article 1 : missions
Il assiste le directeur dans la conduite des orientations de l’école. A ce titre, il débat de toute
question inscrite à l’ordre du jour par le directeur de l’école. Il émet des avis consultatifs.
Le comité débat de toute question proposée par ses membres et émise notamment par les
conseils de département d’enseignement et de recherche, par les conseils d’écoles internes, par
les conseils de laboratoires, ou par les services.
Il est présidé par le directeur de l’Ecole Centrale. Dans cette fonction, il est assisté d’un
secrétaire de séance.
Article 3 : calendrier
Les réunions du comité de direction ont lieu tous les mois, selon le calendrier proposé par le
directeur en début d’année universitaire.
Le directeur établit et envoie l’ordre du jour au plus tard une semaine avant la tenue de la
réunion (avec les pièces attachées éventuelles). Ce dernier peut être complété à la demande de
l’un ou de plusieurs de ses membres (au plus tard deux jours avant la séance concernée).
Au commencement de chaque séance, est choisi parmi les membres du comité de direction
celui ou celle d’entre eux chargé(e) de la relecture et de la validation du relevé de décisions
établi par le secrétaire de séance, avant approbation finale lors du comité de direction suivant.
Les relevés de conclusions seront publiés sur l’intranet de l’école, et pourront être portés à la
connaissance du conseil d’administration.
Article 7 : publicité
60
Annexe n°8 : charte des thèses
Le doctorat de l’Université de Lyon est régi par l’arrêté du 25 mai 2016 fixant le
cadre national de la formation et les modalités conduisant à la délivrance du diplôme
national de doctorat. Il respecte les recommandations et principes de la Charte
européenne du/de la chercheur/euse et du Code de conduite pour le recrutement des
chercheurs/euses. La délivrance du diplôme est assurée par la COMUE Université de
Lyon. L’inscription administrative et la préparation de la thèse s’effectuent dans l’un des
établissements opérateurs de l’Université de Lyon.
La préparation d’une thèse repose sur l’accord librement conclu entre le/la doctorant·e et
le/la directeur/trice de thèse. Cet accord porte sur le choix du sujet et sur les conditions
de travail nécessaires à l’avancement de la recherche. Directeur/trice de thèse et
doctorant·e ont donc des droits et des devoirs respectifs.1
Cette charte définit ces engagements réciproques. Elle engage chacun·e à respecter les
règles de la déontologie selon les dispositions réglementaires en vigueur et les pratiques
déjà expérimentées dans le respect de la diversité des disciplines, des écoles
doctorales et des établissements. Son but est la garantie d’une haute qualité scientifique.
61
62
3. La thèse, étape d’un projet personnel et professionnel
La préparation d’une thèse doit s’inscrire dans le cadre d’un projet personnel et
professionnel clairement défini dans ses buts comme dans ses exigences. Elle implique la
clarté des objectifs poursuivis et des moyens mis en œuvre pour les atteindre.
Pour effectuer correctement ses travaux de recherche, le/la doctorant·e doit disposer de
ressources suffisantes. Un niveau de financement comparable à celui que permet d’obtenir
le contrat doctoral doit être recherché, et la priorité doit être donnée à des
financements sous forme de contrats de travail. Si les ressources du/de la doctorant·e
proviennent d’une activité professionnelle non directement liée à la thèse (par exemple :
enseignement du second degré, praticien hospitalier, profession libérale), la durée de
thèse sera considérée à temps partiel (au minimum 50% du temps de travail). Le plan
de financement sur la durée de la thèse est élaboré lors de la première inscription et
figure sur la convention individuelle de formation. Le travail de recherche confié au/à la
doctorant·e doit être compatible avec la durée du financement proposé.
63
4. Définition du sujet et faisabilité de la thèse
Le sujet de thèse conduit à la réalisation d’un travail personnel à la fois original, innovant
et formateur, dont la faisabilité s’inscrit idéalement dans le délai prévu de trois ans
(pour les thèses effectuées à temps plein). Les encadrant·es veillent à ce que le/la
doctorant·e fasse preuve d’esprit critique et acquière une autonomie au cours de son
activité de recherche.
Le choix du sujet de thèse repose sur l’accord entre le/la doctorant·e et l’équipe
encadrante, formalisé avant l’inscription définitive de l’étudiant·e.
Le/la directeur/trice de thèse relève d’une des unités ou équipes de recherche reconnues
à la suite d’une évaluation nationale et rattachée à l’école doctorale, possède une
maîtrise reconnue du champ de recherche concerné, et doit accompagner le/la
doctorant·e dans une phase de concertation devant aboutir :
Cette concertation débouche sur la rédaction d’un projet de recherche élaboré par le/la
doctorant·e et supervisé par le/la directeur/trice de thèse. Ce projet sera clairement décrit
dans la convention individuelle de formation.
64
Le/la doctorant·e est représenté·e dans les instances de son unité de recherche, de
son établissement d’inscription et de l’Université de Lyon, dans le conseil de son école
doctorale.
- à respecter les dispositions prises, lors de l’inscription, sur la nature du sujet, la durée
et l’échéancier de la thèse,
- à respecter les règles de vie collective que partagent tous les membres de son unité
de recherche,
- à participer à la vie et aux activités de l’école doctorale dont il/elle dépend et respecter
son règlement intérieur.
Le/la directeur/trice de thèse doit favoriser la bonne intégration du/de la doctorant·e dans
le laboratoire qui l’accueille.
65
Le/la directeur/trice de thèse a l’entière responsabilité de l’encadrement scientifique du
travail de thèse du/de la doctorant·e et cette responsabilité ne peut être déléguée. Cette
responsabilité peut être partagée avec un.e codirecteur/trice, voire un·e. second·e.
codirecteur/trice lorsque la codirection est assurée par une personne du monde socio-
économique qui n’appartient pas au monde universitaire.
- elle valide les projets de recherche et les éventuelles activités complémentaires confiés
aux doctorant·es,
- elle définit dans son règlement intérieur les modalités d’organisation de comités de suivi
de thèse (périodicité, composition, attendus) et s’assure du bon déroulement de la thèse.
Jury et soutenance
66
6. Durée de la thèse
Si l’aboutissement du travail ne peut être réalisé dans les trois ans équivalent temps plein,
une année supplémentaire peut être accordée par le/la chef·fe d’établissement opérateur
après avis du/de la directeur/trice de l’école doctorale, sur demande motivée du/de la
doctorant·e et du/de la directeur/trice de thèse, selon deux modalités :
- prolongation accordée dans les cas de congés maternité, arrêts longues maladies ou
accident du travail selon la législation en vigueur,
Cet accord ne signifie pas la poursuite automatique du financement dont aurait bénéficié
le/la doctorant·e, mais les possibilités d’aide doivent être explorées par toutes les parties.
Année de césure
Abandon de la thèse
67
7. Publication et valorisation de la thèse
Le/la doctorant·e ne peut publier qu’en accord avec son/sa directeur/trice de thèse ; à
l’inverse, le/la doctorant·e doit être coauteur·e de toute publication écrite issue de ses
travaux.
Les différentes disciplines ont des façons diverses de mesurer la qualité des publications
et il appartiendra aux écoles doctorales de veiller à ce que les thèses soutenues soient
d’un niveau correspondant à ce qu’il est usuel de demander dans la discipline en question.
Avant la thèse, le/la directeur/trice de thèse et l’école doctorale auront expliqué ce qui
est attendu en matière de publications, ce que la communauté (et en particulier le Conseil
National des Universités) attend d’une thèse dans le domaine, ainsi que la politique
suivie concernant la signature des articles. D’éventuels éléments restreignant la possibilité
de publier (limites financières, clauses de confidentialités, ...) seront également présentés
au/à la doctorant·es. Les enjeux de propriété intellectuelle qui peuvent être associés à
son travail ou aux activités d’ensemble du laboratoire seront clairement expliqués, en
accord avec les règles en vigueur dans l’unité de recherche. Si une clause particulière liée
à la confidentialité existe, elle doit être clairement spécifiée dans la convention individuelle
de formation.
8. Procédure de médiation
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préparation de la thèse ne peut se poursuivre dans la configuration prévue ou doit être
interrompue, chacune des parties impliquées doit en être informée.
S’il/si elle le souhaite, le/la doctorant·e peut être assisté·e, à toutes les étapes, par
un·e représentant·e doctorant·e élu·e au conseil de son école doctorale ou dans l’une des
instances de l’établissement d’inscription.
En cas d’interruption de la thèse, comme dans le cas d’un abandon volontaire, le/la
doctorant·e pourra demander à la direction de l’unité de recherche une attestation.
Cette attestation de recherche précisera la nature et la durée des travaux effectués,
ainsi que le contexte de la recherche.
La présente charte s’applique à toute nouvelle thèse de l’Université de Lyon débutant dès
la rentrée universitaire 2016-2017.
69
GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
Protocole de signature
70
GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
71
GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
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GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
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GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
Tout enseignant-chercheur doit avoir la possibilité de participer aux travaux d'une équipe de
recherche dans des conditions fixées par le conseil d'administration, le cas échéant, dans un
établissement autre que son établissement d'affectation.
Tout enseignant-chercheur peut demander le réexamen d'un refus opposé par son
établissement d'affectation à sa demande de participation aux travaux d'une équipe de
recherche auprès du conseil d'administration, après avis du conseil académique, siégeant
tous les deux en formation restreinte aux enseignants-chercheurs.
• Si une unité est prévue, rattachement à celle-ci avec fixation d’une durée minimale
avant de pouvoir demander un nouveau rattachement (3 ans après la nomination).
• Lorsqu’aucune unité n’est prévue, validation de l’unité choisie dans les mêmes
termes que pour un enseignant-chercheur souhaitant changer d’unité de
rattachement (sans l’avis de l’unité de recherche d’origine).
4. Disparition d’une unité de recherche : même procédure que pour le 1er cas, sans
l’avis de l’unité de recherche d’origine
Dans le cas d’une unité de recherche de destination soumise à ZRR, tous ces changements
de rattachement sont subordonnés à l’accord préalable du FSD. Lorsqu’une unité de
recherche souhaite qu’un enseignant-chercheur ne lui soit plus rattaché, cela nécessitera
l’avis du conseil de laboratoire et la mise en place d’une médiation de l’établissement.
74
GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
La commission finances est prévue dans le règlement intérieur de l’école, dans le chapitre
relatif aux structures de gouvernance de l’école.
Article 1 : saisine
La commission finances est sollicitée sur la construction budgétaire afin de faciliter le débat
en Conseil d’Administration, en intervenant notamment sur deux temps essentiels du dialogue
budgétaire : la lettre de cadrage et le budget initial.
Elle peut être saisie par le conseil d’administration ou s’autosaisir sur toutes questions
budgétaires ou financières relevant de la compétence du Conseil d’Administration.
Le/ la Directeur(trice) Général(e) des Services peut inviter toute personne jugée utile pour
apporter son expertise à la commission.
La durée du mandat des membres siégeant au sein de cette commission est identique à celle
du mandat des membres du conseil d’administration.
Article 4 : calendrier
La commission se réunit au minimum trois fois par an. Les réunions se tiennent 10 à 20 jours
avant les séances du conseil d’administration relatives aux budgets ou au compte financier.
Une réunion est spécialement prévue pour l’examen de la note de cadrage lorsque celle-ci est
prévue préalablement au lancement d’une campagne budgétaire.
Article 5 : missions
75
GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
PREAMBULE
CHAPITRE I : DOMICILIATION
Article 1
La domiciliation à l’Ecole centrale de Lyon consentie constitue une faveur qui soumet
l’association aux pouvoirs que le Directeur tient de la réglementation en vigueur notamment
pour le maintien de l’ordre dans l’Ecole.
La domiciliation ne vaut que pour une année universitaire ; elle est renouvelable si les
conditions requises à l’article 5 sont réunies. Elle est établie chaque année par une décision
du directeur. La décision de domiciliation entraîne obligation pour les associations de
respecter le règlement intérieur et la charte des systèmes d’informations de l’Ecole centrale
de Lyon.
L’Union Sportive des Elèves de l’Ecole Centrale de Lyon (USEECL) n’est pas soumise à la
demande annuelle de renouvellement de sa domiciliation (art. 1) du fait de l’obligation faite
aux établissements d’enseignement supérieur d’organiser et de développer la pratique des
activités physiques et sportives des étudiants et de leur personnel.
Article 2
Nulle association ne tient son domicile à l’Ecole sans autorisation formelle et préalable du
Directeur.
La domiciliation ne saurait être accordée à une association qui discriminerait ses adhérents,
notamment selon leur religion ou leur origine ethnique.
Article 3
Nulle association domiciliée à l’Ecole ne peut héberger une autre association sans
autorisation formelle et préalable du Directeur.
76
GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
Article 4
Article 5
L’association domiciliée communique par écrit au service de la vie étudiante, au plus tard le
30 septembre (année n) :
Article 6
La domiciliation peut être suspendue ou révoquée à tout moment, en cas d’urgence, par le
Directeur lorsque l’activité de l’association ou de ses membres peut avoir pour objet ou pour
effet de porter atteinte à l’ordre ou à l’image de l’Ecole, ou à ses règles de fonctionnement.
Article 1
Article 2
Les locaux mis à la disposition des associations par l’Ecole ne peuvent être utilisés pour
l’exercice d’un culte ou pour des activités prosélytes.
L’aide de l’Ecole est enregistrée dans les comptes de l’association au titre de ses ressources.
Toute association régulièrement domiciliée peut accéder aux services communs du courrier,
de la reprographie, du téléphone ou de la télécopie dans la mesure des disponibilités de ces
77
GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
services. Les prestations fournies peuvent faire l’objet d’une facturation préférentielle. Elles
peuvent être suspendues en cas de manquements de l’association à ses engagements.
Article 3
Les associations sont tenues de maintenir les locaux qui leur sont prêtés par l’Ecole en état
de propreté et de salubrité, et de transmettre un double de toutes les clefs de verrou aux
services techniques.
Les associations sont également tenues de signaler aux services techniques, tout incident
concernant notamment l’installation électrique des locaux.
Article 4
Toute réservation de salle, installation dans les couloirs ou tout espace de circulation doit se
faire conformément à la procédure indiquée sur le site Intranet.
Elle est soumise à l’autorisation préalable du Service de la vie étudiante qui vérifie la
conformité de la manifestation aux intérêts collectifs de l’Ecole ainsi qu’au maintien du bon
ordre dans l’Etablissement et au respect des principes de laïcité.
Article 5
Article 6
Le logo de l’Ecole est la propriété exclusive de celle-ci. Son utilisation par une association doit
être explicitement autorisée au préalable.
Le logo de chaque association est la propriété exclusive de celle-ci. L’utilisation du logo des
associations par l’Ecole, notamment pour ses supports de communication institutionnels, est
accordée à l’Ecole dès que l’association est domiciliée en son sein.
Article 1
Les difficultés éventuelles d’application de la présente charte seront instruites, pour les
associations étudiantes, par le service de la vie étudiante et le conseil des études si
nécessaire, et, pour les autres associations, par le Directeur.
78
GT RI – projet RI nECL – 1 Octobre 2020
Projet en cours
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