Support FDR Lprgl2

CIDH - Perfectionnement Bureautique OCPV 19/05/2023
ABOBO (13 au 18 Fév 2023)
Cours d’Informatique : Fondements Réseaux
GOKPEYA Nessemou Éric
Ingénieur en Informatique,
Cours 1 Instructeur Cisco
Assistant à l’Université
FONDEMENTS RESEAUX
 Les réseaux sont les interconnexion entre un ou plusieurs équipements de

√ Introduction divers natures.
Objectifs spécifiques
 ce cours donne les éléments de base qui rentre en ligne de compte pour la
Plan du cours
mise en réseaux de divers équipements informatiques.
2
FONDEMENTS RESEAUX
 distinguer les différents types de signaux
 décrire les caractéristiques d’un liaison de transmission
Introduction  décrire la méthode de modulation du signal et les erreurs de transmission

√ Objectifs spécifiques
 décrire le réseau informatique
Plan du cours
 mettre en œuvre un réseau informatique
FONDEMENTS RESEAUX
 Chapitre 1 : Les Signaux et les causes des déformation du signal
 Chapitre 2 : La liaison de transmission et ses caractéristiques
Introduction  Chapitre 3 : Modulation, Multiplexage, Gestion des erreurs et codification

 Chapitre 4 : Les systèmes de transmission, les réseaux informatiques
√ Plan du cours
 Chapitre 5 : Mise en œuvre un réseau informatique
4
LES SIGNAUX ET LES CAUSES DE DEFORMATION DU SIGNAL
 Le signal est présent dans tous les domaines de notre vie :

 télécommunications,
 télévision,
 transports,
 Médecine,
√ Introduction  Informatique (Réseaux)
 Ces signaux sont souvent soumis à des phénomènes qui les altères, les
Plan du cours
déformes et empêche une bonne réception.
 Ces déformations sont liés à plusieurs facteurs qui font l’objet de ce présent
cours intitulé :
« Les signaux et les causes de déformations du signal »
Cours 1
LES SIGNAUX ET LES CAUSES DE Ingénieur en Informatique,

Instructeur Cisco
DEFORMATION DU SIGNAL Assistant à l’Université
6
 À la fin de ce cours, vous serez capable :
• de distinguer les types de signaux

Introduction
• d’expliquer le principe d’acheminement du signal
• d’indiquer les causes de perturbations d’un signal
Plan du cours
1. Présentation des signaux

1.1. Définition d’un signal
1.2. Représentation du signal
1.2.1 Modélisation du signal
1.2.2 Classification du signal
1.3. Numérisation du signal
Introduction 2. Transmission du signal
Objectifs spécifiques 1.1. Schéma global
1.2. Support de transmission du signal
√ Plan du cours
1.2.1 Formes du signal
1.2.2 Différents supports de transmission du signal
1.3. Conversion d’un signal analogique en signal numérique
3. Les causes de déformation des signaux
2.1. L’affaiblissement ou Atténuation
2.2. Distorsion
2.3. Les bruits
8
 Signal ?
1.1. Définition d’un signal  Dans le langage courant
1.2.1 Modélisation du signal  une information qui peut parfois varier dans le temps ou l’espace.
 Exemple :
2. Transmission du signal  Un son, une chanson, un discours radiophonique.
1.1. Schéma global
1.2. Support de transmission du signal  Une image, une photo, un tableau, un film.
 Point de vue physique
1.2.2 Supports de transmission
1.3. Numérisation du signal  Un signal est une grandeur ou une collection de grandeurs issue(s) d’un
capteur ou d’une collection de capteurs.
2.2. Les bruits  Résumé
2.3. L’impédance
 Une représentation physique de l’information qu’il transporte de sa source
à son destinataire. (électrique - lumineux – électromagnétique)
 À chaque signal qui est transmis correspond une information. 9
 Représentation
1.1. Définition d’un signal  Modélisation
1.2.1 Modélisation du signal • L’ oscilloscope (appareils de mesures des signaux) utilise des courbes «
tension en fonction du temps » pour représenter les signaux physiques.
2. Transmission du signal
1.1. Schéma global

2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
 Le signal sera modéliser sous forme de fonction mathématique dépendant du

temps : s(t)
10
 Représentation
1.1. Définition d’un signal  Classification : différents modes de classification des signaux
1.2.1 Modélisation du signal – représentation temporelle des signaux ;
– représentation spectrale ;
2. Transmission du signal – caractéristique morphologique (signal continu ou discret).
1.1. Schéma global

2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
11
 Représentation
1.1. Définition d’un signal  Classification_1 : différents modes de classification des signaux
1.2.1 Modélisation du signal (i) Signaux temporelle (évolution du signal en fonction du temps)
 Signaux déterministes (certains) ;
2. Transmission du signal o Peut être décrit par une fonction mathématique
1.1. Schéma global
1.2. Support de transmission du signal o Signaux Périodique : s(t) = A sin ((2ω)t + φ)
 Signaux Aléatoires

2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
12
 Représentation
1.2.1 Modélisation du signal (ii) Classification spectrale (répartition amplitude en fonction de la fréquence)
 largeur de bande spectrale du signal ( Δf )
1.1. Schéma global

2.2. Les bruits  Signaux bande étroite, Δf / fmoy est petit;
2.3. L’impédance
 Signaux large bande, Δf / fmoy est grand
13

 Représentation
1.2.1 Modélisation du signal (iii) Classification morphologique (4 types de signaux) :
 Signal à amplitude et temps continus (signal analogique) : s(t)
2. Transmission du signal  Signal à amplitude discrète et temps continu (signal quantifié)
1.1. Schéma global
1.2. Support de transmission du signal  Signal à amplitude continue et temps discret (signal échantillonné)
 Signal à amplitude discrète et temps discret (signal numérique)

2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
14

 Représentation
1.2.1 Modélisation du signal (iii) Classification morphologique (suite) :
1.1. Schéma global

2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
15

 Signal analogique
1.1. Définition d’un signal  Signal qui varie de façon continue dans le temps selon une loi mathématique
1.2. Représentation du signal ou un phénomène physique quelconque (température, luminosité, effort...),
1.2.1 Modélisation du signal  La plupart des signaux du monde réel (ondes, son, électricité, etc...) sont
continus.
 Ne peuvent pas être stockés et analysés sur un ordinateur.
1.1. Schéma global
1.3. Numérisation du signal  Un signal est périodique s’il se répète identique à lui-même par intervalle de
temps.
2.1. L’affaiblissement ou Atténuation  Caractéristiques :
2.2. Les bruits  La période  durée d'un cycle du signal (en seconde).
2.3. L’impédance  La fréquence  nombre de cycles par seconde (en hertz).
Le courant électrique :
f = 50 Hz
T = 1/f = 0,02 s 16

 Signal analogique
1.1. Définition d’un signal  Caractéristiques (suite) :
1.2. Représentation du signal  L’ amplitude :
1.2.1 Modélisation du signal Pour un signal sinusoïdal l'expression de U est : Asin (ωt +φ)
1.2.2 Classification du signal où A est l'amplitude
1.1. Schéma global
1.3. Numérisation du signal  Valeur moyenne
2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
 Valeur efficace
17

 Signal numérique ou logique
1.1. Définition d’un signal  Signaux discontinus, ne peuvent prendre que deux valeurs (tout ou
1.2. Représentation du signal rien)
1.2.1 Modélisation du signal  Représentent des valeurs numériques,
 Souvent transmis en série entre deux équipements.
1.1. Schéma global

2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
18

 Conversion analogique numérique
1.1. Définition d’un signal  La transformation d’un signal analogique en signal numérique est appelée la
1.2. Représentation du signal numérisation.
 Utilisation d’un convertisseur Analogique – numérique
1.1. Schéma global
3. Les causes de déformation des signaux  Les ordinateurs ne traitant que des données binaires (0 ou 1), les informations
2.1. L’affaiblissement ou Atténuation sont ensuite traduites en binaire, c'est-à-dire en ensemble de 0 ou de 1.
2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
19

 Conversion analogique numérique
1.1. Schéma global

2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
20

 Schéma de principe
1.3. Propriétés du signal
1.1. Schéma global
 Source (Emetteur, codage)
2.1. L’affaiblissement ou Atténuation  Signal
2.2. Les bruits  Canal (ou support de transmission)
2.3. L’impédance
 Destinataire (Récepteur, décodage)
21

 Formes du signal
1. Présentation des signaux  Différentes formes en fonction du support de transmission :
1.2. Représentation du signal  Electrique
1.2.2 Classification du signal  Lumière
 Onde électromagnétique
1.1. Schéma global
 Supports de transmission
 les supports métalliques
1.3. caractéristique du signal  paire torsadée (électrique)
2.1. L’affaiblissement ou Atténuation  non métalliques
2.2. Les bruits
2.3. L’impédance  fibre optique (lumière)
 et immatériels
 sans fil (Wi-fi)
22

 Vitesse de propagation d'un signal
1.1. Définition d’un signal • Lorsqu'une source émet un signal et crée une perturbation locale,
cette perturbation se transmet de proche en proche constituant
ainsi une onde qui se propage dans le milieu environnant.
2. Transmission du signal La vitesse v de propagation d’un signal se calcule en divisant la

1.1. Schéma global
distance d parcourue par la durée Δt nécessaire pour parcourir
1.2.1 Formes du signal cette distance.
1.3. Caractéristique du signal

• La vitesse de propagation est constante, elle dépend du milieu où
2.1. L’affaiblissement ou Atténuation se propage l'onde et s’exprime en m/s
2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
• elle est liée à sa longueur d'onde λ, à sa fréquence f et à
sa période T par les relations suivantes :
v = λ f =λ/T.
23

 La vitesse de transmission
1.2. Représentation du signal  Quantité de données reçues ou transmises par seconde à
travers les liens d'un réseau de communication.
1.1. Schéma global  La vitesse de transmission de l'émetteur doit être identique
1.2. Support de transmission du signal à la vitesse d'acquisition du récepteur.
1.3. Caractéristique du signal  Ces vitesses sont exprimées en BAUDS (1 baud correspond
3. Les causes de déformation des signaux à 1 bit / seconde, dans notre cas). Il existe différentes
2.1. L’affaiblissement ou Atténuation vitesses normalisées: 9600, 4800, 2400, 1200... bauds
2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
24

 Le temps de propagation
 C’est le temps nécessaire pour que les données parcourent la
distance entre l’émetteur et le récepteur
1.1. Schéma global  C’est le rapport entre la distance à parcourir et la vitesse de
1.2. Support de transmission du signal propagation du signal
Il peut s’exprimer en seconde, milliseconde, microseconde

 Durée de propagation:
2.1. L’affaiblissement ou Atténuation  Distance (m) / Vitesse de propagation (m/s)
2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
25

 Le temps de transmission
1.2.2 Classification du signal  C’est le rapport entre la taille du message et débit de la
1.3. Propriétés du signal transmission
1.1. Schéma global
1.2. Support de transmission du signal  Il peut s’exprimer en seconde, milliseconde, microseconde
1.3. Caractéristique du signal  Durée de transmission :
3. Les causes de déformation des signaux Taille du message (bits) / Débit (bits/s)
2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
26

1.1. Schéma global

2.2. Les bruits
2.3. L’impédance
27
 Le signal transmis sont soumis à des phénomènes qui les altères et

1.1. Définition d’un signal souvent liés au support de transmission et l’environnement.
1.2.1 Modélisation du signal  Il va subir différentes déformations dues aux caractéristiques du support de
1.2.2 Classification du signal transmission et de l’environnement.
1.1. Schéma global
1. 1.2. Support de transmission du signal


 Les principales causes de déformation :
2.2. Les bruits  Affaiblissement ou atténuation
2.3. L’impédance
 Distorsion
 Bruits
28

 C’est la diminution de l'amplitude ou de la puissance d'un signal au cours de sa
2. Transmission du signal transmission (ou énergie perdu par le signal pendant la transmission),
1.1. Schéma global
 Il se caractérise par un signal de sortie plus faible que le signal d’entrée,
 Il est proportionnel à la longueur du support de transmission et à la fréquence du
signal
3. Les causes de déformation des signaux  Les supports sont jugés selon l’affaiblissement A (décibel) qu’il imposent au signal.
2.2. Distorsion
 A (db) = 10 log(P1/P2)
2.3. Bruit
 P1  Puissance du signal émis
 P2  Puissance du signal reçus
 Le coefficient α atténuation linéique est défini par :
29

 Deux types de distorsion :
1.1. Définition d’un signal  distorsion d’amplitude  Amplifie ou diminue l’amplitude du signal à un instant t
1.1. Schéma global

 Distorsion de phase  provoque un déphasage de l’onde par rapport à la porteuse

2.2. Distorsion
2.3. Bruit
 Si la valeur de l’impédance n’est pas adaptée cela peut entrainer un déphasage
entre le signal d’entrée et le signal de sortie.
 Dans un réseau informatique linéaire l’impédance doit être de 50 ohms 30


 Bruit ou parasite : ensemble des perturbations modifiant localement la
1.1. Schéma global
forme du signal,
 Signaux parasites qui se superposent sur le signal émis et donne un signe
1.2.1 Formes du signal déformé.
1.2.2 Supports de transmission  Soit : le bruit b(t) ; le signal émis s(t)
 Le signal reçu vaut : b(t) + s(t)
 Le rapport signal/bruit est une caractéristique du canal (s/b) en db
2.2. Distorsion  La capacité C maximale d’un canal soumis à un bruit est :
2.3. Les bruits  C = W*log2(1 + S/B) (théorème de shanon)
 C (bit/s)
 W : bande passante (hz)
31

 Causes du bruit :
1.1. Schéma global
 internes : phénomènes microscopiques aléatoires, rencontrés en particulier
1. 1.2. Support de transmission du signal lors de l'amplification électronique d'un signal
 externes : perturbations existant en dehors du dispositif et qui y pénètrent
soit par défaut d'isolation

2.2. Distorsion
2.3. Les bruits
32

 Auto-Evaluation
1.2. Représentation du signal 1) Identifier les types de signaux ci-dessous
1.1. Schéma global


2.2. Distorsion
2.3. Les bruits
Auto-Evaluation
33

 Auto-Evaluation
1.2. Représentation du signal 2) Affaiblissement du signal
Une ligne de transmission a une longueur de 350 m. On mesure à l'entrée de
2. Transmission du signal celle-ci une puissance de 2,2 kW et à la sortie une puissance de 1,9 kW.
1.1. Schéma global
a. Quel est l’affaiblissement du canal ?
1.2.1 Formes du signal b. Quel est le coefficient d'atténuation linéique correspondant ?

2.2. Distorsion
2.3. Les bruits
Auto-Evaluation
34

 Auto-Evaluation
1.2. Représentation du signal 3) Capacité d’un support de transmission
1.3. Propriétés du signal Soit un support de transmission caractérisé par ses fréquences extrêmes de 60 et
2. Transmission du signal 108 KHz et par un rapport S/B de 37 dB
1.1. Schéma global

a. Quel est le débit binaire théorique maximal de cette ligne ?
1.2.2 Supports de transmission b. Que devient ce résultat si le rapport S/B vaut 40 dB ?

2.2. Distorsion
2.3. Les bruits
Auto-Evaluation
35

 Auto-Evaluation
1.2. Représentation du signal 4) Capacité d’un support de transmission
1.2.2 Classification du signal  Un canal de television a une largeure de bande de 6 MHz.
 Quel debit binaire peut etre obtenu sur cette liaison si un
1.1. Schéma global signal quadrivalent est utilise.
1. 1.2. Support de transmission du signal On suppose le canal sans bruit.

2.2. Distorsion
2.3. Les bruits
Auto-Evaluation
36

 Auto-Evaluation
1.2. Représentation du signal 5) Affaiblissement d’un signal
1.3. Propriétés du signal Une ligne téléphonique est constituée d’une paire de cuivre dont la
2. Transmission du signal section des fils est de 6/10 de millimètre avec un affaiblissement de
1.1. Schéma global
10.3 dB par kilomètre.
1.2.1 Formes du signal - Déterminer l’affaiblissement de la ligne si la distance entre le
1.2.2 Supports de transmission central téléphonique et votre domicile est de 2 Km.
- Calculer la puissance à la réception si un signal est émis sur cette
2.1. L’affaiblissement ou Atténuation ligne avec une puissance de 3w
2.2. Distorsion
2.3. Les bruits
Auto-Evaluation
37
 L’émission d’un signal d’un point A à un point B est une expérience qui
implique plusieurs équipements qu’il est important de connaitre. D’où l’étude
sur :
√ Introduction
« La liaison de transmission et ses caractéristiques »
Plan du cours
 Objectif global :
Décrire les étapes et les caractéristiques des équipements intervenant dans la
chaine de transmission.
38
Cours 2
LA LIAISON DE TRANSMISSION ET Ingénieur en Informatique,

Instructeur Cisco
SES CARACTERISTIQUES Assistant à l’Université
39
Introduction A la fin de ce chapitre, vous serais capable de :

 identifier les différents composants d’une liaison de transmission
 indiquer les différentes caractéristiques d’une liaison de transmission
Plan du cours
40
LA LIAISON DE TRANSMISSION DE DONNEES ET SES CARACTERISTIQUES
Introduction A la fin de ce chapitre, vous serais capable de :

 identifier les différents composants d’une liaison de transmission
 indiquer les différentes caractéristiques d’une liaison de transmission
Plan du cours
41

1. Les composants d’une liaison de transmission de données
1.1. ETTD
1.2. ETCD
1.3. Le circuit de données
2. Les caractéristiques des supports de transmission
1.1. Le câble coaxial
Introduction 1.2. La paire torsadée
1.3. La fibre Optique
1.4. Les liaisons sans fils
√ Plan du cours
3. Les caractéristiques des transmissions
3.1. Les types de liaison de transmission
3.1.1. Liaison simplex
3.2.2. Liaison Half Duplex ou Semi Duplex
3.2.3. Liaison full Duplex
3.2. Les mode de transmission
3.3. La synchronisation
42
 Systèmes de Communication
 Les besoins de communication de données informatiques entre systèmes
1. Les composants d’une liaison de
transmission de données plus ou moins éloignés sont multiples :
1.1. ETTD
1.2. ETCD
 transmission de messages, partage de ressources, transfert de
1.3. Le circuit de données fichiers, consultation de bases de données, gestion de transactions,
2. Les caractéristiques des supports lecture de vidéos ou de musiques, réseaux sociaux, réservations et
de transmission
1.1. Le câble coaxial paiements en ligne…
1.2. La paire torsadée
1.3. La fibre Optique  Pour communiquer, ces systèmes disposent de trois blocs fonctionnels :
 les applications qui veulent échanger des données ;
3. Les caractéristiques des
transmissions  les fonctions destinées à établir et à gérer la communication ;
3.1. Les types de liaison de
transmission
 les fonctions assurant la transmission des données.
3.2.2. Liaison Half Duplex ou
Semi Duplex NB :
3.2. Les mode de transmission  Les applications sont à l’origine de la demande et de la procédure de
3.3. La synchronisation communication.
 En revanche, l’établissement de la connexion entre les systèmes
informatiques s’effectue à partir du réseau. 43
 Systèmes de Communication

transmission de données
1.1. ETTD
1.2. ETCD
2. Les caractéristiques des supports

de transmission
transmissions
transmission
Phase 1: Etablissement de la connexion entre les deux systèmes qui est établie à
3.1.1. Liaison simplex travers le réseau.
Semi Duplex Phase 2: Puis la communication est établie, vérifiant que les systèmes peuvent
3.2. Les mode de transmission dialoguer : même « langage », mémoire disponible, services applicatifs présents.
Phase 3 : Les applications peuvent alors échanger leurs informations
44
 Eléments d’une liaison

 La communication entre systèmes informatiques s’effectue via
1.1. ETTD
des liaisons dont les principaux éléments sont définis par les
1.2. ETCD recommandations de l’UIT-T (Union Internationale des
Télécommunications – secteur des Télécommunications).
de transmission
 Son but est d’acheminer des données (des signes ou des caractères)
1.3. La fibre Optique d’un système source à un système destination.
transmissions
transmission
Semi Duplex
Exemple du réseau téléphonique 45
 Eléments d’une liaison

1.1. ETTD
1.2. ETCD

de transmission
transmissions  Les éléments sont :
transmission
3.1.1. Liaison simplex  Source et destination  ETTD
Semi Duplex  le gestionnaire de la transmission  ETCD
 le moyen de communication  Support de transmission
46
 ETTD
 Situé à l’extrémité de la liaison, l’ETTD (Équipement Terminal de
transmission de données Traitement de Données ou DTE : Data Terminal Equipment)
1.1. ETTD
1.2. ETCD  Intègre un contrôleur de communication
 Peut être un ordinateur, un terminal, une imprimante ou plus
de transmission
généralement tout équipement qui ne se connecte pas
1.2. La paire torsadée directement à la ligne de transmission.
 représentant les calculateurs d’extrémité.
transmissions
 Ces calculateurs sont dotés de circuits particuliers pour
transmission
contrôler les communications.
Semi Duplex  L’ETTD réalise la fonction de contrôle du dialogue.
3.2. Les mode de transmission  Effectue le traitement sur les données ainsi la supervision
de la transmission de données.
47
 ETCD
 Assurée la transmission des données sur la ligne
transmission de données  Exemple : modem, un multiplexeur, un concentrateur ou simplement un adaptateur
1.1. ETTD
1.2. ETCD (pseudo-modem).

de transmission
 Adaptation du signal délivré par l’ETTD aux caractéristiques du
1.2. La paire torsadée support :
1.4. Les liaisons sans fils  Codage/décodage bande de base
transmissions
 Modulation/démodulation
transmission
 Gestion de la liaison :
Semi Duplex
3.2.3. Liaison full Duplex  l’établissement,
3.2. Les mode de transmission  le maintien
 et la libération de la ligne à chaque extrémité.
48
 ETCD

1.1. ETTD
1.2. ETCD
de transmission
1.2. La paire torsadée  Permet la connexion des terminaux ETTD au canal de transmission
de données.
transmissions  Ce raccordement nécessite généralement une adaptation de
transmission signal qui sera réalisée par un ETCD.
Semi Duplex
3.2.3. Liaison full Duplex  Les ETCD permettent d'adapter le flux des données aux conditions
de la ligne et de faire la transformation analogique numérique ou
numérique analogique.
 Support de transmission : Câble ou un réseaux de transmission 49
 Circuit de données

1.1. ETTD
1.2. ETCD
 Ensemble des moyens (physique) permettant le transport des
de transmission
données :
1.2. La paire torsadée  Jonction
1.3. La fibre Optique  ETCD
 Support de transmission
transmissions
3.1. Les types de liaison de  Permet d’ émettre ou de recevoir des bits en série,
transmission
3.1.1. Liaison simplex  Permet de fiabiliser le transfert entre deux ETTD avec :
3.2.2. Liaison Half Duplex ou  Début
Semi Duplex
 Un certain délai
3.2. Les mode de transmission  Un certain taux d’erreurs
50
 Caractéristiques des supports de transmissions

1.1. ETTD
1.2. ETCD
de transmission  Bande passante
1.2. La paire torsadée  Les supports de transmission ont une bande passante (une gamme de
1.3. La fibre Optique fréquence) limitée.
transmissions
transmission
Semi Duplex
3.2. Les mode de transmission  Certains signaux s’y propagent correctement (ils sont affaiblis mais
reconnaissables à l’autre extrémité), alors que d’autres ne les traversent
pas (ils sont tellement affaiblis ou déformés qu’on ne les reconnaît plus à la
sortie) 51

1.1. ETTD
1.2. ETCD

1.2. La paire torsadée  La largeur de la bande passante est la caractéristique essentielle d’un
support de transmission,
transmissions
 Le support se comporte comme un filtre qui ne laisse donc passer qu’une
transmission
bande limitée de fréquence appelée bande passante. Toute fréquence en
3.1.1. Liaison simplex dehors de cette bande est fortement affaiblie.
Semi Duplex
3.2.3. Liaison full Duplex  C’est la bande de fréquences dans laquelle les signaux appliqués à l’entrée
du support de transmission ont une puissance de sortie supérieure à un
seuil donné après traversée du support.
 Le seuil est un affaiblissement inférieur à 3 db. (Affaiblissement de moitié) 52


1.1. ETTD
1.2. ETCD
1.2. La paire torsadée  La ligne téléphonique a une bande passante comprise entre 300 et 3400
Hertz pour un taux d’affaiblissement de 3 db.
transmissions
transmission
Semi Duplex
53

1.1. ETTD
1.2. ETCD

1.2. La paire torsadée  La ligne téléphonique a une bande passante comprise entre 300 et 3400
Hertz pour un taux d’affaiblissement de 3 db.
transmissions
transmission
Semi Duplex
54

1.1. ETTD
1.2. ETCD
de transmission  Bande passante (Résumé)
1.2. La paire torsadée  La bande de fréquences que le support peut véhiculer sans grande
distorsion.
 Plus la bande passante d’un support est large, plus il transporte
transmissions d’informations par unité de temps.
transmission  on caractérise un support par sa bande passante à 3dB :
 c'est la plage de fréquences dans laquelle les signaux de sortie ont
Semi Duplex une puissance supérieure à un seuil donné : Ps >Pe /2
3.2. Les mode de transmission  Ps/Pe=0,5
3.3. La synchronisation  10×log10(Ps/Pe)=3dB
55

1.1. ETTD
1.2. ETCD

de transmission  Bande passante (Résumé)

transmissions
transmission
Semi Duplex
56
 Câble coaxial
Usages:
• entre une antenne TV et un récepteur de
transmission de données télévision ;
1.1. ETTD
1.2. ETCD • entre un émetteur et l'antenne d'émission,
1.3. Le circuit de données par exemple une carte électronique Wi-Fi et
de transmission
son antenne ;
1.1. Le câble coaxial • entre des équipements de traitement du son
(microphone, amplificateur, lecteur CD...) ;
1.4. Les liaisons sans fils • dans les réseaux de transmissions de
3. Les caractéristiques des données tels qu'Ethernet dans ses anciennes
transmissions
3.1. Les types de liaison de versions : 10BASE2 et 10BASE5 ;
transmission
• pour les liaisons inter-urbaines
3.2.2. Liaison Half Duplex ou téléphoniques et dans les câbles sous-marins ;
Semi Duplex
3.2.3. Liaison full Duplex • pour le transport d'un signal vidéo, exemple
3.2. Les mode de transmission caméra filaire déportée, sur des distances
significatives (plusieurs dizaines de mètres).
57
 Paire torsadée
 Ligne de transmission formée de deux fils conducteurs enroulés en hélice
transmission de données l'un autour de l'autre.
1.1. ETTD
1.2. ETCD

de transmission

transmissions
transmission
3.1.1. Liaison simplex Paire torsadée non blindée Paire torsadée blindée
Semi Duplex
3.2.3. Liaison full Duplex  Pour limiter les interférences, les paires torsadées sont souvent blindées.
3.3. La synchronisation  Le blindage peut être appliquée individuellement aux paires, ou à l’ensemble
formé par celle-ci.
 Lorsque le blindage est appliqué à l’ensemble des paires, on parle d’écrantage.
58
 Paire torsadée > type de blindage

 Paire torsadée non blindée : Unshielded twisted pair (UTP), aucun blindage
1.1. ETTD
 Paire torsadée blindée : foiled twisted pair (FTP) : l’ensemble des paires
1.2. ETCD torsadées a un blindage global assuré par une feuille d’aluminium et les
paires torsadées ne sont pas individuellement blindées.
de transmission
transmissions
transmission
Semi Duplex
59
 Paire torsadée > type de blindage

 Shielded twisted pair (STP ou U/FTP) : chaque paire blindée est entourée
transmission de données d’un écran en aluminium similaire à un câble coaxial.
1.1. ETTD
1.2. ETCD

de transmission

transmissions
transmission
Semi Duplex
60
 Paire torsadée > Résumé (norme ISO/IEC 11801)

1.1. ETTD
1.2. ETCD
de transmission
transmissions
transmission
Semi Duplex
61
 Paire torsadée > Norme EIA/TIA des câbles UTP

EIA : Electronic Industries Association
TIA : Telecommunication Industries Association
1.1. ETTD
 Norme mise au point aux USA pour garantir la qualité et les conditions
1.2. ETCD
1.3. Le circuit de données d’utilisation des câbles.
de transmission  Paire torsadée > Catégorie des câbles UTP
1.3. La fibre Optique  Les câbles UTP sont classés en catégories selon l’intégrité du signal.

 Ces différentes catégories sont ratifiées par les autorités de normalisation
transmissions
américaines ANSI/TIA/EIA, Européennes CENELEC 50173,
transmission internationales ISO 11801, ou autres.
Semi Duplex
62
 Paire torsadée > Catégorie des câbles UTP

1.1. ETTD
1.2. ETCD
de transmission
transmissions
transmission
Semi Duplex
63
 Fibre optique
 Fil de verre ou plastique très fin
1. Les composants d’une liaison de  Conducteur de la lumière
1.1. ETTD  Utilisée dans les transmission de données et de lumière
1.2. ETCD
1.3. Le circuit de données  La fibre optique est un guide d'ondes qui exploite les
2. Les caractéristiques des supports propriétés réfractrices de la lumière.
de transmission
1.2. La paire torsadée  Elle est habituellement constituée d'un cœur entouré
1.3. La fibre Optique d'une gaine.
 Le cœur de la fibre a un indice de
transmissions réfraction légèrement plus élevé (différence de
transmission quelques millièmes) que la gaine et peut donc
3.1.1. Liaison simplex confiner la lumière qui se trouve entièrement
Semi Duplex réfléchie de multiples fois à l'interface entre les deux
3.2.3. Liaison full Duplex matériaux (en raison du phénomène de réflexion
3.3. La synchronisation totale interne).
 L’ensemble est généralement recouvert d’une
gaine plastique de protection. 64
 Faisceau hertzien

1.1. ETTD
1.2. ETCD
de transmission
transmissions
transmission
Semi Duplex
65
 Faisceau hertzien
 Les liaisons par faisceau hertzien sont destinées à la transmission de
transmission de données communications bidirectionelles, de données et de contenus Audio et
1.1. ETTD Vidéo sans fil entre deux points ayant une liaison en visibilité directe.
1.2. ETCD
2. Les caractéristiques des supports  Les installations de radiocommunication à faisceaux hertziens se

de transmission
1.1. Le câble coaxial composent de deux antennes paraboliques, ou planes très
1.2. La paire torsadée directives situées aux extrémités devant être reliées, ou bien d'antennes
dites de station de Base à diagramme sectoriel desservant plusieurs
extrémités équipées d'antennes tres directives.
transmissions
transmission  Les antennes paraboliques focalisent tellement le rayonnement qu'elles le
concentrent en un faisceau étroit qui se propage en ligne droite de
Semi Duplex l'antenne émettrice à l'antenne réceptrice.
66
 Satellite artificiel

1.1. ETTD
1.2. ETCD
de transmission
transmissions
transmission
Semi Duplex
 Appareil fabriqué et placé en orbite dans l’espace pour assurer les

67
communications.
 Wi-fi
 Technologie de réseau sans fil qui permet aux périphériques tels que des
ordinateurs (portables et fixes), des périphériques mobiles (téléphones
1.1. ETTD intelligents et dispositifs portables), et d’autres équipements (imprimantes et
1.2. ETCD
caméras vidéo) d’accéder à Internet.
de transmission
 Il permet à ces appareils, et à de nombreux autres, d’échanger des
1.1. Le câble coaxial renseignements entre eux, ce qui crée un réseau.

transmissions
transmission
Semi Duplex
68
 Caractéristiques de la transmission
 Le transfert d’informations entre deux systèmes informatiques peut
transmission de données s’effectuer, en fonction des besoins et des caractéristiques des éléments,
1.1. ETTD
1.2. ETCD suivant trois modes d’exploitation de la liaison.
2. Les caractéristiques des supports 1. Liaison simplex
de transmission
1.2. La paire torsadée  Dans ce système de transmission, on a un émetteur et l’autre est un
1.3. La fibre Optique récepteur et ,
 Les données sont transmises dans un seul sens.
transmissions
 L’exploitation en mode unidirectionnel est justifiée pour les systèmes dont le
transmission récepteur n’a jamais besoin d’émettre (liaisons radio ou télévision).
Semi Duplex
69
1. Les composants d’une liaison de 2. Liaison semi-duplex (half duplex)

1.1. ETTD
1.2. ETCD
 La communication est possible dans les deux sens mais non simultanément,
1.3. Le circuit de données l’exploitation est en mode bidirectionnel à l’alternat.
de transmission  Liaison utilisé lorsque le support physique est commun aux deux sens de
transmission (cas des lignes téléphoniques) et ne possède pas une largeur
1.3. La fibre Optique de bande suffisante pour permettre des liaisons bidirectionnelles
1.4. Les liaisons sans fils simultanées par modulation de deux fréquences porteuses différentes ; des
transmissions
procédures particulières permettent alors d’inverser le sens de
transmission
transmission (talkies-walkies, liaison WiFi).
Semi Duplex
70
3. Liaison duplex intégrale (full duplex)
1.1. ETTD  Les données peuvent être émises ou reçues simultanément dans les deux
1.2. ETCD sens, l’exploitation est en mode bidirectionnel simultané.
2. Les caractéristiques des supports  À chaque sens de transmission correspond un canal de communication
de transmission
1.1. Le câble coaxial propre ;
1.3. La fibre Optique  Lorsque le support physique est commun aux deux sens de transmission,
1.4. Les liaisons sans fils chaque canal est défini dans une bande de fréquences spécifique.
transmissions
transmission
 Ainsi, une transmission sur Internet entre deux PC par l’intermédiaire de
3.1.1. Liaison simplex modems ADSL est de type full duplex asymétrique : la communication est
Semi Duplex possible dans les deux sens simultanément, mais pas avec les mêmes débits.
71
4. Mode de transmission
1.1. ETTD  L’information élémentaire à transmettre est le mot binaire (constitué de 4,
1.2. ETCD
1.3. Le circuit de données 8, 16, n bits). Deux techniques sont mise en œuvre selon que tous les bits
de transmission d’un même mot sont transmis en même temps (transmission parallèle) ou
successivement (transmission série).

4.1 Transmission parallèle
transmissions
transmission  La transmission parallèle est caractérisée par un transfert simultané de
tous le bits d’un même mot.
Semi Duplex
3.2. Les mode de transmission  Elle nécessite autant de conducteurs qu’il y a de bits à transmettre et un
3.3. La synchronisation conducteur commun (liaison asymétrique)
72

4.1 Transmission parallèle
1.1. ETTD
1.2. ETCD  La transmission parallèle autorise une
grande vitesse de transmission (débit).
de transmission
1.1. Le câble coaxial  Le coût est élevé (nombre de conducteurs) et
1.3. La fibre Optique la distance franchissable limitée
3. Les caractéristiques des  On la retrouve dans la transmission parallèle
transmissions
transmission aux liaisons de processeur à processeur ou
3.2.2. Liaison Half Duplex ou d’hôte à hôte.
Semi Duplex
 l’exemple : la liaison imprimante-ordinateur.
73
1. Les composants d’une liaison de 4.2 Transmission série

1.1. ETTD  En transmission série, tous les bits d’un mot ou d’un message sont transmis
1.2. ETCD
successivement sur une même ligne.
2. Les caractéristiques des supports  Dans les calculateurs les données
de transmission
1.1. Le câble coaxial (bits) sont traitées en parallèle (bus).
1.2. La paire torsadée  Elle nécessite une interface de
conversion pour sérialiser les bits à
l'émission (conversion parallèle/série)
transmissions et les désérialiser à la réception
transmission (conversion série/parallèle).
 Elle ne nécessite, pour la transmission
Semi Duplex des données, que deux conducteurs,
3.2. Les mode de transmission d’un coût moins important,
3.3. La synchronisation  elle est utilisé pour les transmissions
sur des distances importantes.
74
4.2 Transmission série asynchrone et synchrone
transmission de données  Transmission asynchrone
1.1. ETTD
1.2. ETCD  En transmission série, les bits d’un même caractère sont régulièrement
espacés.
de transmission  Mais l’intervalle qui sépare deux caractères peut être variable, transmission
1.1. Le câble coaxial asynchrone ou arythmique.
transmissions
transmission
Semi Duplex
 En transmission asynchrone, les caractères sont délimités par un bit de
3.2.3. Liaison full Duplex start, et un ou plusieurs bits de stop.
75
transmission de données  Transmission synchrone
1.1. ETTD
1.2. ETCD  Lorsque tous les bits d’un même message sont régulièrement espacés, on
parle de transmission synchrone.
de transmission

transmissions
transmission
 En transmission synchrone, les caractères à transmettre sont regroupés
3.2.2. Liaison Half Duplex ou pour former des blocs.
Semi Duplex
76
transmission de données  Transmission synchrone
1.1. ETTD
1.2. ETCD  En transmission synchrone, les caractères à transmettre sont regroupés pour
former des blocs.
de transmission
1.1. Le câble coaxial  La transmission des différents blocs (ou trames) peut être arythmique.
 De manière identique à la transmission asynchrone, le début et la fin d’une
3. Les caractéristiques des entité transmise, ici le bloc, doivent être délimités.
transmissions
transmission  Les blocs sont délimités par des caractères spéciaux (fanion de début et de fin)
Semi Duplex
reconnus comme tels par le protocole utilisé.
3.2. Les mode de transmission  Le fanion de début d’un bloc peut servir de fanion de fin du précédent.
77
 Test d’auto évaluation

transmission de données  Voir fichier Word
1.1. ETTD
1.2. ETCD

de transmission

transmissions
transmission
Semi Duplex
78
 L’émission d’un signal d’un point A à un point B est une expérience qui
implique plusieurs équipements qu’il est important de connaitre. D’où l’étude
sur :
√ Introduction «Modulation, multiplexage, correction des erreurs et

codification»
Plan du cours
 Objectif global :
Décrire le principe de la transmission longue distance ainsi que les différents types
de modulations.
79
Chapitre 3
MODULATION, MULTIPLEXAGE, GESTION Ingénieur en Informatique,

Instructeur Cisco
DES ERREURS ET CODIFICATION Assistant à l’Université
80
MODULATION, MULTIPLEXAGE, CORRECTION DES ERREURS ET CODAGE
A la fin de ce chapitre, vous serais capable de :

 Indiquer les différents types de modulations
Introduction  1Indiquer les différents types de multiplexage
√ Objectifs spécifiques  Indiquer un principe de correction des erreurs
Plan du cours  Indiquer la valeur binaire d’un caractère dans différents types de systèmes de
codages.
81
1. La modulation
1.1. Transmission en bande de base (NRZ, Manchester, Bipolaire)
1.2. Transmission large bande (AM, FM, PM)
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
Introduction 2.2. Temporel
3. Gestion des erreurs
3.1. contrôle de parité
√ Plan du cours 3.2. Contrôle de parité croisé
4. Codage des données
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
4.3. Le code UNICODE
82
 Modulation / Démodulation
1. La modulation
1.1. T. bande de base
?
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel
3. Gestion des erreurs  Processus de transformation du signal

3.2. Contrôle de parité croisé  Transformation de sa forme original en une forme adaptée au support
4. Codage des données  Exemple de transformation de l’ amplitude ou la fréquence d’un signal

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
porteuse.
 Équipement : Modulateur
 Démodulation : extraction du signal de sa porteuse.

83
 Mode de transmission en réseaux informatique
1. La modulation  Deux mode de transmission

1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel Bande de Base Large Bande
3.2. Contrôle de parité croisé

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
84
 Transmission en Bande de Base
1. La modulation
?  Transmission directe signaux numériques sur le canal
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
 Utilisé dans les réseaux locaux 85

 Les bits sont transformés en niveaux physiques par un code en ligne
1. La modulation puis le signal est transmis tel quel sur le support
1.1. T. bande de base → transmission sur de courtes distances (LAN).
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
86
1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
87
 Caractéristiques du signal numérique

1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
88

 Notion de valence (V)
1. La modulation  le nombre de valeurs (ou nombres de niveaux significatifs) que peut prendre
1.2. T. large bande l’état physique à un instant t.
2. Le multiplexage  Ou encore le nombre de symboles.
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel  Ou nombre d’état significatifs que le signal binaire peut prendre.

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
89

 Débit binaire et rapidité de modulation
1. La modulation
1.1. T. bande de base  Rapidité de modulation (baud rate) :
1.2. T. large bande le nombre d’intervalle significatif du signal par unité de temps.
2. Le multiplexage
Si Δ est la durée de l’intervalle significatif (exprimé en seconde),
2.1. Fréquentiel la rapidité de modulation noté généralement R est égale à 1/ Δ.
2.2. Temporel L’unité de rapidité de modulation est le baud.
3.1. contrôle de parité  Débit binaire D:
 le nombre d’éléments binaires (bits) émis par seconde sur le support de
transmission.
4. Codage des données  L’unité de débit binaire est le bit par seconde (bit/s ou bps).
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC Si T est le temps d’un bit on aura donc : D = 1/T bit/s
90
 Débit binaire et rapidité de modulation

1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
91

 Le signa numérique à transmettre directement sur le support de
1. La modulation transmission nécessite une adaptation ou codage.
1.2. T. large bande  Il existe plusieurs méthodes de codage du signal en bande de base :
2. Le multiplexage  Codage NRZ : Non retour à zéro
2.1. Fréquentiel  Codage Manchester
2.2. Temporel
 Codage bipolaire
3. Gestion des erreurs  …..

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
92
 Codage NRZ ou Not Return to Zero
 Permet une symétrie de la valeur des niveaux logiques hauts et bas, par
1. La modulation rapport à un niveau de potentiel nul.
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel
3. Gestion des erreurs  Dans le codage NRZI, on produit une transition du signal pour chaque 1, et
3.1. contrôle de parité pas de transition pour les 0.
3.3. La synchronisation  le niveau du signal est constant pendant la durée T du symbole.
 Les bits 1 et 0 sont représentés par des impulsions d'amplitudes
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
respectivement positives et négatives de même valeur absolue.
 Il n'y a pas de retour µa zéro entre 2 bits consécutifs de même valeur.
93
 Codage NRZ ou Not Return to Zero
1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
94
 Codage Manchester
Il consiste en l’introduction :
- d’une transition négative, au milieu du bit, lors d’un niveau logique bas,
1. La modulation
- d’une transition positive, au milieu du bit, lors d’un niveau logique haut.
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
4.3. Le code UNICODE  Ce code est celui adopté pour les réseaux Ethernet.
 Le codage Manchester tient compte du sens de la transition. Il faut donc faire
attention de ne pas inverser les fils lors de la liaison !
95

 Codage Manchester
Solution : Le codage de Manchester différentiel.
1. La modulation - Transition de même sens que la précédente lors d’un niveau bas,
1.2. T. large bande
- Transition de sens opposé à la précédente lors d’un niveau haut.
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
 Application des codes de Manchester
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
96
 Codage bipolaire
 Il permet d’obtenir une réduction encore plus importante du spectre en ne

1. La modulation codant qu’un seul type de bit (par exemple, les niveaux hauts).
1.2. T. large bande  Leur polarité est alternée pour éliminer la composante continue.
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel  Lors de longues séquences de niveaux bas, il n’y a pas de transition ce qui
2.2. Temporel autorise un risque de perte d’horloge.

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
97

 Transmissions large Bande
 Le signal transmis est analogique : adapté aux longues distances

1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel

 Modem = Modulateur / Démodulateur
4. Codage des données  Exemple : canal de transmission = ligne téléphonique

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
98
 Principe de la modulation
Deux signaux initiaux :

1. La modulation 1) Signal modulant : séquence binaire notée m(t)
1.2. T. large bande
2) Signal porteur ou porteuse :
2. Le multiplexage  Moduler : changer 1 ou 2 des caractéristiques de la porteuse p(t) « sur les

2.1. Fréquentiel
ordres » de m(t).
2.2. Temporel
 Faire varier l’amplitude : modulation d’amplitude
 Faire varier la phase : modulation de phase
 Faire varier l’amplitude et la phase: modulation d’amplitude et phase
3.3. La synchronisation  Faire varier la fréquence: modulation de fréquence
4. Codage des données  Signal modulé : Signal obtenu smod(t) après modulation et utilisé pour la
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
transmission.
 Démoduler : reconstituer le signal modulant m(t) à partir du signal modulé
reçu smod(t) et de la porteuse p(t).
99

 Propriété de la modulation
 La rapidité de modulation R (en bauds) est le nombre de symboles par seconde.

1. La modulation
1.1. T. bande de base  La valence V de la modulation correspond au nombre de symboles différents.
1.2. T. large bande
 Le débit binaire D est égal à D = R log2(V).
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
100
 Modulation d’Amplitude AM
 La modulation d’amplitude consiste à faire varier l’amplitude de la porteuse
selon le signal utile m(t).
1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel

Deux types de modulations d’amplitude numériques :
- ASK (ou MDA)
3.3. La synchronisation - et OOK.
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
101

- Modulation ASK
1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
102
- Modulation OOK (On Off Keying)

1. La modulation
1.1. T. bande de base  Amplitude A(t) = 0 pour transmettre un bit à « 0 »
1.2. T. large bande  Amplitude A(t) = Ap pour transmettre un bit à « 1 »
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
103

 La modulation 2-ASK (Amplitude Shift Keying) ou MDA-2 (Modulation

1. La modulation
par Déplacement d’Amplitude.
1.1. T. bande de base  Amplitude A(t) = A0 = Ap/2 pour transmettre un bit à « 0 ».
1.2. T. large bande
 Amplitude A(t) = A1 = Ap pour transmettre un bit à « 1 ».
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
104
 Bilan
1. La modulation
 Bande de transmission étroite
1.2. T. large bande
 Circuits modulateurs et démodulateurs simples
 Peu résistante au bruit
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel  Application : transmission sur fibre optique par OOK

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
105

 Modulation de fréquence FM
 Modulation de fréquence (FSK, Frequency Shift Keying ou MDF, Modulation
par déplacement de fréquence)
1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel  bit “ 1 ” à fréquence f(t) = 2 fp,
2.2. Temporel
 bit “ 0 ” à fréquence de porteuse f(t) = fp.

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
106
 Modulation de fréquence FM
 La résistance au bruit diminue, avec le nombre d’états.

1. La modulation
Bilan:
1.2. T. large bande  J Plus résistante au bruit que la MA
 L Largeur de bande plus importante (augmente avec M)
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel  L Circuits de modulation/démodulation plus complexes
2.2. Temporel
Utilisation :
3.1. contrôle de parité  Minitel, carte bancaire, carte vitale
3.2. Contrôle de parité croisé  GMSK= modulation sophistiquée utilisée pour le GSM.

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
107

 Modulation de Phase PM
 La Phase Shift Keying (PSK) est la modulation numérique de phase.

1. La modulation  La phase de la porteuse peut prendre M valeurs et reste constante
1.2. T. large bande pendant la durée T de transmission d’un symbole.
2. Le multiplexage  Le signal modulé s’écrit :
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
108
 Lorsque M = 2, la PSK est une Binary Phase Shift Keying (BPSK).
 Lorsque M = 4, il s’agit d’une QPSK (Quaternary Phase Shift Keying).
1. La modulation
1.1. T. bande de base  Lorsque le symbole est codé par une différence de phase, il s’agit d’une PSK
1.2. T. large bande
différentielle (DPSK).
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel  Exemple : BPSK (PSK à 2 états, dite BPSK (Binary PSK))
2.2. Temporel
0  en phase avec la porteuse donc  (t) = 0
3.1. contrôle de parité 1 déphasage de  par rapport à la porteuse donc  (t) = 

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
109

Bilan :
1. La modulation
 Bonne efficacité spectrale
1.2. T. large bande  Résistance au bruit correcte jusqu’à M=16
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel  Plus complexe que la modulation d’amplitude, mais la complexité
2.2. Temporel
des circuits électroniques reste raisonnable.
Exemples d’utilisation :
3.3. La synchronisation  Transmissions par satellite (2-PSK, 4-PSK, 8-PSK, 16-PSK)
4.1. Le code ASCII  Systèmes de téléphonie cellulaires japonais et américains
4.2. Le code EBCDIC
110
 Multiplexage
 Une largeur de bande d’un médium de liaison peut être partagée pour
satisfaire le besoins des composantes qui l’utilisent.
1. La modulation
1.1. T. bande de base  Le multiplexage est un ensemble de techniques qui permet la transmission
1.2. T. large bande
simultanée de signaux multiples sur une liaison de données singulière.
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel  L’usage, en croissance, des télécommunications engendre une nécessité de
2.2. Temporel gestion de trafic.

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
111

 Multiplexage
1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel  Consiste à faire passer plusieurs informations à travers un seul support.

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
112
 Multiplexage
1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
113

 Multiplexage Fréquentiel (FDM)
 Consiste à partager la bande de passante de la voie de transmission en

1. La modulation plusieurs bandes de plus faibles largeur.
1.2. T. large bande  Chaque petite bande est affectée à un seul émetteur
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII  Les fréquences de transporteurs sont séparées de façon à ce que les
4.2. Le code EBCDIC
4.3. Le code UNICODE signaux ne se recouvrent pas.
114

 Ce type de multiplexage est utilisé :
1. La modulation  pour la transmission de signaux analogiques,
1.2. T. large bande  par câble ou voie hertzienne,
2. Le multiplexage  pour des applications telles que le téléphone, la radio ou la télévision
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel
3. Gestion des erreurs  ex. Retransmission radio


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
115

 FDM à la transmission (MUX)
1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
116

 FDM à la réception (DEMUX)
1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
117

 Type d’applications
1. La modulation  Lignes téléphonique à haute capacité.
1.2. T. large bande  Radio AM: de 530 KHz à 1700 KHz, avec une largeur de bande de 10 KHz par
2. Le multiplexage station
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel  Radio FM: de 88 MHz à 108 MHz, avec une largeur de bande de 200 KHz par
station
 Diffusion de TV : une largeur de bande de 6 MHz canal de TV
4. Codage des données  Première génération de téléphones cellulaires : chaque usager a 2 canaux de
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
30 KHz (transmission, réception).
118
 Systèmes de transporteurs analogues

1. La modulation
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
119

 Multiplexage Temporel (TDM)
 La bande passante de la ligne à haut débit est affectée périodiquement à
1. La modulation chaque ligne à bas débit pendant des intervalles de temps (IT) constants.
1.2. T. large bande  Ce type de multiplexage est utilisé :
2. Le multiplexage  pour la transmission de signaux numériques,
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel  En considérant la possibilité de transmettre 1 bit ou 1 caractère par IT.
3. Gestion des erreurs  On utilise une trame de multiplexage (multiplex) qui regroupe plusieurs IT
dont :
3.3. La synchronisation  Un IT pour la synchronisation
 Des IT des voies BC
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
Nb IT selon l’attribution pour les voies BV

120
 Multiplexage Temporel (TDM)
 TDM est une technique de multiplexage numérique qui combine plusieurs

1. La modulation
1.1. T. bande de base canaux à bas débits en un canal à haut débit.
1.2. T. large bande
2. Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
121

 Gestion des erreurs
 Lorsque des données numériques sont transmises, des perturbations
peuvent les endommager.
1. La modulation
 Les codes détecteurs et correcteurs d’erreurs permettent, de détecter si les
1.2. T. large bande
Le multiplexage données ont été altérées et si c’est le cas, de reconstituer les données
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel d’origine par un mécanisme de correction.
2. Gestion des erreurs  La technique adoptée dans la plupart des systèmes de détection d’erreurs
3.2. Contrôle de parité croisé consiste à ajouter des bit supplémentaire (redondants) à chaque blocs de
données avant de le transmettre sur le support de transmission.
4.1. Le code ASCII
Information Bloc de Information
4.2. Le code EBCDIC
utile Bloc de données émis utile
données émis
Bruit éventuel
Source CODEUR MODEM CANAL MODEM DECODEUR Destinataire

122
Emetteur Récepteur
 Gestion des erreurs

 Quelque soit la qualité des supports de communication et les performances
1. La modulation des techniques de transmission utilisées, des perturbations vont se produire

1.2. T. large bande
entraînant des erreurs sur les données transmises.
Le multiplexage  Dans ces conditions, la suite binaire reçue ne sera pas identique à la suite
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel émise.
2. Gestion des erreurs  Mise en œuvre de techniques de protection contre les erreurs de
3.2. Contrôle de parité croisé transmission. Stratégies de protection contre les erreurs de transmission :

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
123
 Gestion des erreurs  Problématique ?
1. La modulation
1.2. T. large bande
Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel

• Comment B peut détecter l'occurrence d’une erreur ?
• Comment B peut localiser une erreur ?
4.1. Le code ASCII • Comment B peut corriger une erreur ?
4.2. Le code EBCDIC
124
 Gestion des erreurs  Approche par répétition
 Détection d’erreurs
1. La modulation
1.1. T. bande de base  Le message envoyé est constitué du double du message initial.
1.2. T. large bande
Le multiplexage  Envoyer 1001001 1001001 au lieu de 1001001
2.1. Fréquentiel
 Le récepteur détecte une erreur si les exemplaires ne sont pas
2.2. Temporel
2. Gestion des erreurs identiques.

3.2. Contrôle de parité croisé  Auto-correction
 Le message envoyé est constitué du triple du message initial.
4.1. Le code ASCII  Envoyer 1001001 1001001 1001001 au lieu de 1001001
4.2. Le code EBCDIC
4.3. Le code UNICODE  Le message correcte correspond aux 2 exemples identiques
 Détection et correction
 Nécessitent l'ajout de bits de contrôle aux messages utiles. 125
 Gestion des erreurs  Approche par répétition
 Remarque
1. La modulation
1.1. T. bande de base  La détection et la correction des erreurs nécessitent d’introduire de la
1.2. T. large bande
redondance dans les messages transmis.
Le multiplexage
2.1. Fréquentiel  Certaines erreurs ne peuvent pas être détectées
2.2. Temporel
 Exemple : la même erreur sur les deux exemplaires
3.1. contrôle de parité  Certaines erreurs détectées ne peuvent pas être corrigées
3.3. La synchronisation  Exemple : Une erreur différente sur au moins deux exemplaires.
4.1. Le code ASCII
 Certaines erreurs sont mal corrigées
4.2. Le code EBCDIC
 une même erreur sur deux exemplaires simultanément
 L’auto-correction nécessite plus de redondance que la simple détection.
126
 Gestion des erreurs  Détection des erreurs : code de parité
 La parité peut être paire ou impaire.

1. La modulation  Pour une parité paire (impair), on protège une séquence de k bits par l’ajout
de r bits de sorte que le nombre de bits ayant la valeur 1 soit pair (impair)
1.2. T. large bande
Le multiplexage  Exemple 1
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
 Exemple 2
• Émis : 00010100
• Reçu : 01010100 → erreur détectée mais non localisable
127

 Utilisation des code détecteurs et correcteurs s’erreurs
 Détecteurs : utilisés dans les systèmes permettant la retransmission des
données.
1. La modulation
1.1. T. bande de base  Correcteurs : utilisés dans les systèmes ne permettant pas la retransmission
1.2. T. large bande des données;
Le multiplexage
 Transmission longue : satellites
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel
 Transmission simplex : TV, radio
 Enregistrements : CD, DVD
 Temps réel : téléphonie
 Principes généraux
 La détection d’erreur gaspille moins de ressources que la correction
4.1. Le code ASCII
d’erreurs.
4.2. Le code EBCDIC  Plus on veut corriger d’erreurs, plus on gaspille de ressources.
4.3. Le code UNICODE  Plus on veut corriger d’erreurs, plus l’algorithme est complexe et
consomme du temps machine.
 25
128
 Contrôle de parité croisé.
 Ce type de contrôle, en plus de contrôler l’intégrité des données d’un caractère,

1. La modulation permet aussi de contrôler l’intégrité des bits de parité d’un bloc de caractères.
1.2. T. large bande  (1) VRC (Vertical Redundancy Check, Contrôle de redondance vertical)
Le multiplexage
2.1. Fréquentiel  Un code étant défini sur n bits, on utilise le (n+1)ème bit pour introduire
2.2. Temporel
le code vérificateur.

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
Message transmis :
(VRC pair)
129

 (2) LRC (Longitudinal Redundancy Check, Contrôle de redondance longititunal)

1. La modulation  Principe similaire à celui du VRC,
1.1. T. bande de base  mais au lieu de protéger les caractères un par un, on protège
1.2. T. large bande l’ensemble des bits de même rang de tous les caractères.
Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
130
 (3) VRC + LRC

1. La modulation  On peut Association d’un double codage de la parité :
1.1. T. bande de base  LRC : “Longitudinal Redundancy Check” et VRC : “Vertical ….
1.2. T. large bande
Le multiplexage
 On protège chaque caractère par un code VRC et l’ensemble des
2.1. Fréquentiel bits par un code LRC. La parité des LRC et VRC est la même.
2.2. Temporel
2. Gestion des erreurs Exemple : Transmission de « IUT » en ASCII-LRC+VRC.


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
131

 ASCII
 Développé initialement par l’American National Standards Institute (ANSI)
1. La modulation Code de 7 bits (128 entrées possibles, 95 graphiques et 33 de contrôle),

1.2. T. large bande
 Stocke sur un octet [´byte], le 8e bit est quelquefois inutilise, utilisé comme
Le multiplexage bit de parité, ou pour coder 128 autres symboles.
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel • 95 codes graphiques de 2016 a` 7E16
– codes alphabétiques
3.1. contrôle de parité – codes numériques
3.2. Contrôle de parité croisé – codes de ponctuation
• 33 codes de contrôle de 0016 à 1F16 et 7F16
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
• Latin-1: variante qui ajoute des caractères accentués et spéciaux.
Exemple :
La chaîne de caractère ` Hello, world ! , a pour code (en hexadécimal),
48 65 6C 6C 6F 2C 20 77 6F 72 6C 64 21 132
 EBCDIC (Exended Binary Coded Decimal Interchange Code)
 Code décimal codé binaire étendu, il est utilisé essentiellement par IBM.
1. La modulation
1.1. T. bande de base C’est un code à 8 bits. Ce code peut être assimilé à un code à 9 bits quand
1.2. T. large bande
Le multiplexage il fait usage d’une clé d’imparité (bit supplémentaire destiné à contrôler la
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel
validité de l’octet associé).

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
133
 Unicode (Universal Code)
 Compte-tenu de l’extension mondiale de l’informatique et de la diversité de

1. La modulation plus en plus importante des caractères à stocker, les organismes de
1.2. T. large bande normalisation ISO travaillent depuis 1988 à la création d’un code universel
Le multiplexage
2.1. Fréquentiel (UNIversal CODE).
2.2. Temporel
 Basé sur les pages ASCII, ce code est utilisé sous Windows 95 et Windows NT.
3.1. contrôle de parité Il se représente sous 2 formes :
3.3. La synchronisation  Une forme 31 bits (UCS-4) pour Universal Charactere Set – 4 octets.
4. Codage des données  Et une forme 16 bits (UCS-2) ce qui permet de représenter
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC théoriquement 65 535 caractères différents.
 Ces caractères couvrent la majeure partie des principaux langages écrits
du monde.
134
 Auto-évaluation
Exercice 1
1. La modulation
1. Une voie de transmission véhicule 16 types de signaux distincts ; sa rapidité
1.2. T. large bande
de modulation est R = 1200 bauds. Quel est le débit binaire de cette ligne ?
Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel 2. Une voie de transmission véhicule 8 types de signaux distincts. Quelle est la
quantité d'information binaire transportée par chaque signal?
3.2. Contrôle de parité croisé 3. Le rapport signal sur bruit d'une voie de transmission est de 20 dB ; sa
3.3. La synchronisation largeur de bande est de 3100 Hz. Quelle est, environ, la capacité théorique de
4. Codage des données cette voie ?
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
Auto-évaluation
135

Exercice 1_Corr
1. La modulation
1.1. T. bande de base 1. Formule :
1.2. T. large bande
Le multiplexage
 log2 (16) = 4,
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel
 D = R*log2 (N)
 D = 1200 * 4 = 4800 bits/s
3.1. contrôle de parité 2. La quantité d’information,
3.2. Contrôle de parité croisé 3
8 = 2  Chaque signale transporte 3 bits.
4. Codage des données 3. La capacité théorique de la voie de transmission

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
 C= W.log2(1 + Ps/Pb)
 10.log(S/B) = 20 dB  log (S/B) = = 2,  S/B = 𝟏𝟎𝟐 = 100

Auto-évaluation
 C= 3100*log2(100 + 1) = 3100 x 0,693 = 2148,3 bits/s. 136

Exercice 2
1. La modulation
 Quelle est la capacité d'une ligne pour téléimprimeur de largeur de bande
1.2. T. large bande 300 Hz et de rapport signal/bruit de 3 dB ?
Le multiplexage
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel


4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
C= Wlog2 (1+Ps/Pb)
10 Log10(S/B) = n dB
Auto-évaluation
10 Log10(PS/PB) = 3dB  PS/PB= 1.99
C= 300* log2 (1+ 1.99) =475bit/s
137

Exercice 2_Corr
1. La modulation
1.1. T. bande de base  C= W.log2 (1+Ps/Pb)
1.2. T. large bande
Le multiplexage  10 Log10(S/B) = n dB
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel
 10 Log10(PS/PB) = 3dB PS/PB= 1.99
2. Gestion des erreurs  C= 300* log2 (1+ 1.99) =475bit/s

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
Auto-évaluation
138
Exercice 3
1. La modulation
 La trame MIC permet de multiplexer plusieurs voies à 64 Kbits/s.
1.2. T. large bande 1. Sachant que la trame MIC correspond à un débit de 2 Mbits/s, combien
Le multiplexage
2.1. Fréquentiel de voies peuvent-elles ainsi être multiplexées dans une trame MIC ?
2.2. Temporel
2. Gestion des erreurs 2. Une application particulière, comme la visioconférence, nécessite un

débit de 192 Kbits/s. Indiquer comment, avec une trame MIC, il est
possible d’atteindre ce débit
4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
Auto-évaluation
139

Exercice 3_Corr
1. La modulation
1. Le nombre de voies (appelées IT) est 2Mbits/s
1.2. T. large bande
Le multiplexage 64 Kbits/s = 31,25 ≈ 32 voies.
2.1. Fréquentiel
2.2. Temporel 2. Il suffit de prendre 3 canaux (3 IT) de la trame MIC.

4.1. Le code ASCII
4.2. Le code EBCDIC
Auto-évaluation
140

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Cours d’Informatique : Fondements Réseaux

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 distinguer les différents types de signaux

 décrire les caractéristiques d’un liaison de transmission

Introduction  décrire la méthode de modulation du signal et les erreurs de transmission

 Chapitre 1 : Les Signaux et les causes des déformation du signal

 Chapitre 2 : La liaison de transmission et ses caractéristiques

Introduction  Chapitre 3 : Modulation, Multiplexage, Gestion des erreurs et codification

LES SIGNAUX ET LES CAUSES DE DEFORMATION DU SIGNAL

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« Les signaux et les causes de déformations du signal »

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DEFORMATION DU SIGNAL Assistant à l’Université

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 Le signal sera modéliser sous forme de fonction mathématique dépendant du

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3. Les causes de déformation des signaux

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3. Les causes de déformation des signaux

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3. Les causes de déformation des signaux

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3. Les causes de déformation des signaux

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3. Les causes de déformation des signaux

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3. Les causes de déformation des signaux

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2. Transmission du signal La vitesse v de propagation d’un signal se calcule en divisant la

3. Les causes de déformation des signaux

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3. Les causes de déformation des signaux

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1. Présentation des signaux

3. Les causes de déformation des signaux

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 Le signal transmis sont soumis à des phénomènes qui les altères et

1. 1.2. Support de transmission du signal

3. Les causes de déformation des signaux

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1. Présentation des signaux

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1. 1.2. Support de transmission du signal