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COMPTE RENDU

TP N°4 : Acquisition des données de l’oscilloscope numérique


GDS-2102 à base du protocole d’instrumentation parallèle
GPIB

Réaliser par :
ZARBOUBI MOHAMED
TOUMI HOUSSAM
BELKASEM IMODANE
Partie 1 : Manipulation 1
1- But de TP
Découvrir et maitriser l’acquisition, via le protocole parallèle
GPIB, des données numériques parviennent de l’Oscilloscope GDS-
2102.Ensuit, la supervision en temps réel des états des signaux de l’
via la programmation graphique avancée Labview.

2- Protocoles I2C,UART et GPIB :

Protocoles I2C:
2
I2C est un bus I C est un bus série synchrone bidirectionnel half-
duplex, où plusieurs équipements, maîtres ou esclaves, peuvent être
connectés au bus.
Les échanges ont toujours lieu entre un seul maître et un (ou tous les)
esclave(s), toujours à l'initiative du maître (jamais de maître à maître
ou d'esclave à esclave). Cependant, rien n'empêche un composant de
passer du statut de maître à esclave et réciproquement.
La connexion est réalisée par l'intermédiaire de deux lignes :
• SDA (Serial Data Line) : ligne de données bidirectionnelle,
• SCL (Serial Clock Line) : ligne d'horloge de synchronisation
bidirectionnelle.
Il ne faut également pas oublier la masse qui doit être commune aux
équipements.
Les 2 lignes sont tirées au niveau de tension VDD à travers des
résistances de pull-up (RP).
Le nombre maximal d'équipements est limité par le nombre
d'adresses disponibles, 7 bits d'adressage et un bit R/W (lecture ou
écriture), soit 128 périphériques, mais il dépend également de
la capacité (CB) du bus (dont dépend la vitesse maximale du bus). Il
faut savoir que des adresses sont réservées pour diffuser des
messages en broadcast et que de nombreuses adresses sont déjà
attribuées par les fabricants ce qui limite grandement le nombre
d'équipements (une variante d'adressage sur 10 bits existe
également).
Où plusieurs équipements, maîtres ou esclaves, peuvent être
connectés au bus.
Les échanges ont toujours lieu entre un seul maître et un (ou tous
les) esclave(s), toujours à l'initiative du maître (jamais de maître à
maître ou d'esclave à esclave). Cependant, rien n'empêche un
composant de passer du statut de maître à esclave et réciproquement.
La connexion est réalisée par l'intermédiaire de deux lignes :
• SDA (Serial Data Line) : ligne de données bidirectionnelle,
• SCL (Serial Clock Line) : ligne d'horloge de synchronisation
bidirectionnelle.
Il ne faut également pas oublier la masse qui doit être commune
aux équipements.
Les 2 lignes sont tirées au niveau de tension VDD à travers des
résistances de pull-up (RP).
Le nombre maximal d'équipements est limité par le nombre
d'adresses disponibles, 7 bits d'adressage et un bit R/W (lecture ou
écriture), soit 128 périphériques, mais il dépend également de
la capacité (CB) du bus (dont dépend la vitesse maximale du bus). Il faut
savoir que des adresses sont réservées pour diffuser des messages
en broadcast et que de nombreuses adresses sont déjà attribuées par
les fabricants ce qui limite grandement le nombre d'équipements (une
variante d'adressage sur 10 bits existe également).
En mode "Ultra-fast mode" (UFm), le bus est unidirectionnel, il ne
peut donc y avoir qu'un seul maître. Les 2 lignes sont renommées
USCL (ligne d'horloge) et USDA (ligne de données), et côté maître,
elles sont toujours en sortie et de type push-pull. Ce mode a un usage
limité : seules les écritures sont possibles car dans ce mode le fil de
donnée (SDA) n'est pas bidirectionnel.
Codage des bits :

Le niveau (« HIGH » ou « LOW ») de la ligne SDA doit être maintenu


stable pendant le niveau « HIGH » sur la ligne SCL pour la lecture du
bit.
Manière de Lecture et écriture :
Protocoles UART:

Un UART, pour ‘Universal Asynchronous Receiver Transmitter ‘, est un


émetteur-récepteur asynchrone universel. Il a aussi été parfois
désigné sous le nom d’ACIA, pour Asynchronous Communication
Interface Adapter (ce nom étant à présent tombé en désuétude).
En langage courant, c'est le composant utilisé pour faire la liaison entre
l'ordinateur et le port série. L'ordinateur envoie les données en
parallèle (autant de fils que de bits de données). Il faut donc
transformer ces données pour les faire passer à travers une liaison
série qui utilise un seul fil pour faire passer tous les bits de données.
Un DUART (Dual Universal Asynchronous Receiver Transmitter)
combine deux UART dans une seule puce. Un USART (Universal
Synchronous/Asynchronous Receiver Transmitter) peut communiquer
de façon synchrone.
Aujourd'hui, les UART sont généralement intégrés dans des
composants comme des microcontrôleurs. Ils ne sont dans ce cas plus
un composant à proprement parler, mais une fonction périphérique
du composant.
Trame de données :

Protocoles GPIB:

Le standard IEEE-488 permet à 15 périphériques de partager les 8 bits


de données d'un bus parallèle. Les différents instruments sont alors
branchés en réalisant une sorte de chaine (au contraire du
bus USB où les périphériques sont tous liés de manière centralisée).
C'est le périphérique le plus lent qui fixe la vitesse de transmission. Le
standard initial fixe le débit maximum à environ 1 Mo/s mais des
améliorations l'ont porté par la suite à environ 8 Mo/s.
Le bus IEEE-488 utilise 24 fils :
• 8 sont des lignes bi-directionnelles permettant le transfert des
données,
• 3 servent au dialogue (handshake),
• 5 servent à la gestion de l'interface
• 8 lignes de masse.

3- La transformation de fourier et FFT :


1- La transformation de fourier:

La transformation de Fourier est une opération qui transforme


une fonction intégrable sur ℝ en une autre fonction, décrivant
le spectre fréquentiel de cette dernière. Si f est une fonction intégrable
sur ℝ, sa transformée de Fourier est la fonction donnée par la
formule :

1- La FFT:
La transformation de Fourier rapide (sigle anglais : FFT ou fast Fourier
transform) est un algorithme de calcul de la transformation de
Fourier discrète (TFD).
Sa complexité varie en O(n log n) avec le nombre n de points, alors
que la complexité de l’algorithme « naïf » s'exprime en O(n2). Ainsi,
pour n = 1 024, le temps de calcul de l'algorithme rapide peut être
100 fois plus court que le calcul utilisant la formule de définition de la
TFD.
Cet algorithme est couramment utilisé en traitement numérique du
signal pour transformer des données discrètes du domaine temporel
dans le domaine fréquentiel, en particulier dans les oscilloscopes
numériques (les analyseurs de spectre utilisant plutôt des filtres
analogiques, plus précis). Son efficacité permet de réaliser des filtrages
en modifiant le spectre et en utilisant la transformation inverse (filtre
à réponse impulsionnelle finie). Il est également à la base
des algorithmes de multiplication rapide (Schönhage et Strassen,
1971), et des techniques de compression numérique ayant mené au
format d'image JPEG (1991).

4- Réalisation et validation d’exemple d’application


donné :
Génération de signal carré et manipulation de CH1 et CH2 :
Affichage de spectre fréquentiel en utilisant l’opération FFT:

5- Conclusion :
l’Oscilloscope GDS-2102 offre plusieurs options pour la
manipulation et le traitement des signaux, par exemple dans la 1 ère
manipulation on a générer un signal carré depuis il mêmes et on a le
brancher dans le 2 canaux CH1 CH2 et à l’aide de ces options il a
rapidement afficher le spectre fréquentiel de ce signal carré.
Partie 2 : Manipulation 2
1- Detection de l’Oscilloscope sur l’ordinateur via le
protocole GPIB en se basant de NI-MAX :
2- Interprétation d’exemple suivant de lecture des
données de GPIB sur Labview :

Block 1 : Préparation d’acquisition des données depuis GPIB.


Block 2 : Acquisition de signal depuis l’Oscilloscope.
Block 3 : Pour l’affichage de signal acquis.
Block 4 : Pour terminer l’acquisition des données
3- Proposition d’un diagramme Labview qui assure les
fonctionnalités de face avant de la Fig24 :

Voici le diagramme :
Face avant (CH1=signal carré,CH2=à vide ‘aucun fil branché’):

4- Interprétation et conclusion :
Après les figures précèdent, on peut conclure que la boucle while
ajouter o diagramme nous permet d’acquérir et afficher les signaux
transmis par l’oscilloscope presque en temps réel, c’est pour ça qu’on
a sortir partie qui termine l’acquisition en dehors de la boucle.
5- Conclusion de TP4
Selon ce TP-là on peut bien percevoir la puissance du protocole GPIB
dans la transmission de données entre l’oscilloscope et l’ordinateur,
et aussi la flexibilité de LABVIEW et l’Oscilloscope GDS-2102 avec les
différents protocoles normaliser pour la transmission de données.

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