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NOMACHINE
Choisir la version correspondante au système d’exploitation sur lequel elle sera installée.
https://www.nomachine.com/download
NoMachine est compatible avec une large gamme d’environnements (Windows / MAC / Linux / iOS /
Android / ARM / Rasperry Pi), ce avec une stabilité et des performances éprouvées.
Valider les choix pour finaliser l’installation au terme de laquelle il vous sera demandé de redémarrer la
machine.
Après le redémarrage, exécuter NoMachine via le raccourci créé sur le bureau, un premier écran vous
donne les informations relatives à l’adressage IP de votre machine, à savoir l’adresse privée du réseau
local, ainsi que l’adresse IP publique qui est attribuée par le FAI.
La seconde adresse correspond à l’adresse IP publique, celle qui est visible sur Internet. Lorsque vous
vous connectez sur le réseau Internet, c’est cette adresse IP qui est utilisée.
Bien entendu, afin de pouvoir identifier votre poste (tous les postes du réseau local utilisent cette même
adresse IP publique), un numéro de port lui est affecté → 20880 sur cet exemple.
Votre voisin partageant la même adresse IP publique se verra attribué un numéro de port différent.
L’utilisation de cette adresse IP publique + numéro de port sera utile lorsqu’un technicien ou un
administrateur devra prendre votre poste à distance en dehors du réseau local de l’entreprise (donc depuis
Internet). Il faudra donc la lui communiquer.
En cliquant sur « continuer », NoMachine va lancer une recherche sur le réseau local. Les postes sur
lesquels est installée l’application seront automatiquement recensés, ce qui facilite le paramétrage des
hôtes en évitant d’avoir à les saisir manuellement.
Illustration :
Gregory-PC Pedro-PC
Dans le cas où le poste à contrôler n’apparaît pas, il est possible de renseigner manuellement les
paramètres de connexion en cliquant sur l’onglet « nouveau ».
Note : une connexion en SSH est possible pour davantage de sécurité → communication cryptée entre le
poste client (technicien – administrateur) et le poste serveur (le poste à contrôler).
Ce sera utile pour les prises de contrôle à distance depuis un poste en dehors du réseau local.
Sous Windows :
Sous Windows :
En mode terminal :
dig +short myip.opendns.com @resolver1.opendns.com
Dans le cadre d’une prise de contrôle à distance depuis un poste situé en dehors du réseau local, on utilise
donc l’adresse IP publique du poste client, comme illustré ci-dessous :
Onglet « Authentification » :
Trois possibilités :
Mot de passe → pour accéder au poste distant à contrôler, l’administrateur devra en plus de renseigner
l’adresse IP, s’authentifier via un login / password.
Clé Privée → clé de cryptage générée au préalable, utile pour les connexions SSH sécurisées.
Dans un réseau local, on pourra se contenter de la première possibilité alors que pour une connexion
depuis un poste situé à l’extérieur, une connexion SSH sera privilégiée via une clé de chiffrement.
Il est possible de donner un nom à ce « profil », afin de s’y retrouver plus facilement.
Dans le cas où sur le poste « Pedro-PC » je souhaite prendre le contrôle du poste « Gregory-PC », je fais
un clic droit que le poste correspondant et → « Démarrer la connexion ».
- Les cinq fenêtres suivantes récapitulent l’ensemble des possibilités de navigation sur le poste distant :
/!\ Lors du contrôle à distance, l’utilisateur sur le poste contrôlé a toujours la main /!\
Sur le poste client, en faisant un clic droit sur le miniature de NoMachine en bas à droite, on accède à un
monitoring de la connexion en cours :
Voilà, c’est tout ce qu’il y a à savoir pour une utilisation basique de la prise en main à distance via
NoMachine.
Un prochain tutoriel mettra l’accent sur les fonctionnalités avancées, à l’usage des techniciens /
administrateurs et/ou des utilisateurs curieux souhaitant s’approprier cette solution pour leur propre usage
personnel.