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RESOCAD
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Mis à jour le 26/10/04
L’ensemble des SIG ADELIOR FRANCE fonctionnent sur la base d’un paramétrage, unique et partagé par toutes les versions. Ce paramétrage permet d’avoir une gestion centralisée des
éléments contenu dans le SIG et du modèle conceptuel de données (MCD) utilisé dans la base de données.
Ce paramétrage indique, outre les informations de base d’un MCD (nom de l’objet, table de BD correspondante, noms des champs de cette tables, jointures, …) les informations
nécessaires à la représentation de ces objets dans une carte : calques, couleur, symbolique, et surtout le type d’objet (linéaire, surface, point simple, nœud d’un réseau, …). Ce type peut
avoir une importance sur les jointures dans le cas des topologies réseaux (liens nœuds / arcs par exemple).
Les bases de données « paramètres » et « d’objets » sont bien sûr intimement liées, dans le sens où la modification de l’une d’elle doit être synchronisée avec la modification de l’autre,
afin de les laisser en adéquation.
Le noyau SIG ne peut être utilisé que si la base de données de « configuration » existe. Le noyau permet ensuite de renseigner cette base de données afin d’y déclarer des sites, des
utilisateurs et leurs droits d’accès.
Un site ne peut ensuite être utilisé que si un couple de base de données « paramètres » et « d’objets » existe, et qu'il lui a été assigné.
<Disque d’installation>\RESOCAD
\SITE_1 \DWG (le répertoire des plans AutoCad de ce site)
\SITE_1 \LEGENDES (le répertoire des légendes de ce site)
\SITE_1 \CARTOUCHES (le répertoire des cartouches de ce site)
\SITE_1 \TRAVAIL (le répertoire de travail de ce site)
\SITE_1 \DOCS (le répertoire des documents associés de ce site)
\SITE_1 \SYMB (le répertoire des symboles AutoCad (blocs) de ce site)
\SITE_1 \SDF (le répertoire des plans MapGuide de ce site)
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Il est à noter que cette organisation peut varier, pour permettre par exemple le partage d’un même répertoire ou base de données entre plusieurs sites, à l’exception de la base de données
« d’objets » et du sous-répertoire DWG.
Enfin, en fonction du format de base de données utilisé, les trois types de bases de données peuvent être localisées physiquement sur d’autre ordinateurs ou répertoire (cas de configuration
ORACLE, SQL-SERVER, ODBC, etc…)
Ce document décrit l’organisation des différentes bases de données, dites de paramétrage, servant à faire fonctionner le noyau SIG ADELIOR FRANCE.
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Les fichiers suivants sont communs à tous les sites d'une installation; ils décrivent les sites eux-mêmes (répertoires, variables d'environnement, ...), les applications (ELEctricité, AEP,
ASS...) , et donnent la liste des utilisateurs et de leurs accès autorisés.
Veiller à la correspondance des numéros de site entre les tables SAF_SITE et SAF_ACCS. Les champs PASSWD et SUPER de la table SAF_USER ne peuvent être remplis que par
RESOCAD, car ils sont cryptés.
SAF_ACCS
SAF_USER
SAF_SITE
SAF_APPL
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Fichier : SAF_SITE
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Fichier : SAF_APPL
Fichier : SAF_USER
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Fichier : SAF_ACCS
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Fichier : SAF_DOCS
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Les fichiers suivants décrivent les données utilisées dans un site. Ils permettent de définir des objets, et pour chacun de ces objets, de décrire les attributs alphanumériques, apparence
graphique, textes affichés, etc.
Ces fichiers sont accessibles par le SIG grâce au nom de la base de données donné dans la table SAF_SITE (voir ci-dessus).
(Id_Objet) BD_AFF
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Fichier : BD_OBJET
Nous allons décrire ici les différents objets graphiques existants dans le noyau. En plus des classiques types POINT, ARC et SURFACE, nous avons défini des types spécifiques aux
réseaux à leur gestion. Ces types supplémentaires ont été créés dans le but d’optimiser certains traitements et de limiter autant que possible le nombre d’objets dans la base de données.
N’oublions pas que des objets de type alphanumérique pur (données non présentable en tant que tel sur une carte, comme une personne, un propriétaire, une fiche d’événement, …)
peuvent exister et doivent être pris en compte.
Les types graphiques sont les suivantes :
- PT : Point simple (point isolé)
- NG : Nœud topologique (nœud de réseau)
- TR : Tronçon de réseau (arc). Peut être constitué de plusieurs segments (ligne brisée)
- SU : Surface (polygone)
- ND : Equipement nodal d’un réseau
- EQ : Equipement de réseau posé sur un tronçon
- ED : Equipement de réseau connecté à un tronçon mais distant de l’axe de celui-ci.
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Un type d’objet supplémentaire a été aussi créé pour gérer les objets de type « fond de plan », uniquement graphique. Ces objets n’en sont pas réellement. Ils ne servent qu’à faire proposer
par le noyau certaines couches pour les opérations d’affichage, de chargement, etc. :
Le choix de ces objets « orientés réseaux » a été fait lors de l'étude préalable des spécifications du noyau C, à la lumière de l’expérience déjà acquise à ADELIOR FRANCE de la gestion
des réseaux, qui est notre spécialité reconnue.
Le but :
- avoir un unique objet nœud par thème pour la topologie du réseau afin de simplifier et accélérer les traitements de parcours de graphe : donc les vannes et autres
équipements ne pouvaient alors pas être eux-mêmes des nœuds.
- avoir un unique objet tronçon (arc) par thème pour la topologie du réseau pour les mêmes raisons que précédemment. Donc pas de vannes 'Arc' comme dans PICCOLO (qui
a besoin de l'arc que pour des raisons de modélisation).
- limiter le nombre d'objets dans le SIG et la base de données : avoir un nœud par équipement provoque, de fait, une multiplication du nombre de conduites, et de même, avoir
des vannes 'arc' impose d'avoir deux nœuds à chaque bout, et deux conduites de part et d'autres. Le noyau C a donc la structure la plus économe en nombre d'objets, suivi par
les autres « gros » SIG (ArcInfo, APIC, par exemple) puis enfin PICCOLO (qui n'a pas les mêmes contraintes).
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Fichier : BD_ATTRI
Description des attributs propres à chacun des objets déclarés dans BD_OBJET. Ces attributs sont stockés en BDA.
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Fichier : BD_GRAPH
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Fichier : BD_SYMB
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Fichier : BD_AFF
(*) Dans ces deux cas le champ RAYON permet de décaller le point
d’insertion de l’attibut vers l’intérieur de la conduite (extérieur si <0).
POSITION C2 Ne doit plus être utilisé (gardé pour compatibilité AutoCAD 12)
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Fichier : BD_LIENS
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Le fichier BD_LIENS décrit les liens entre objets / jointures entre table dans le sens « Père -> Fils ». Un enregistrement de « Père » ne contient que les données propres à cet objet. Un
enregistrement de « Fils » contient en plus de ses informations propres, la(les) référence(s) vers le(s) Père(s) au(x) quel(s) il est lié.
Exemple :
Ceci décrit le lien entre un objet 1 – le père – (la Conduite d’Eau Potable) et un objet 2 – le fils – (la vanne posée sur la conduite).
La conduite peut exister sans vanne. En revanche, la vanne ne peut exister sans être liée à une conduite, car le champ AEP_VANN.ID_CANA doit être renseigné avec le N° de la
conduite. Dans BD_LIENS, le père est conventionnellement décrit dans les colonnes « 1 » (Id_Objet_1 et Cle_1) et l’objet fils dans les colonnes « 2 » (Id_Objet_2 et Cle_2).
Un objet peut avoir plusieurs pères ou fils. Le champ « Père » permet d’imposer cette liaison au moment de la saisie d’un objet. Si père n’est pas défini ou vaut 0 (zéro), le lien sera
facultatif et ne sera pas demandé lors de la saisie d’un objet. Dans le cas contraire (valeur 1), la création d’un objet fils ne pourra être faite qu’après définition de ces liens obligatoires avec
les objets pères correspondant.
Ainsi, une vanne est forcément posée sur une conduite. En conséquence, le champ Pere doit être fixé à « 1 » pour la relation conduite – vanne. Ceci impose à l’utilisateur de saisir une
conduite avant de créer une vanne.
Le champ Pere_graph est ici un « raccourci » : il permet d’activer directement la sélection graphique (par clic à la souris) des objets pères dans le SIG, sans proposer de sélection
alphanumérique (par un critère de recherche de type NOM, N° ou autre…)
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Liens multi-colonnes
Il est possible de définir des liens multi-colonnes entre deux objets suivant le principe décrit ci-dessus. Il suffit pour ce faire de donner les noms des colonnes à mettre en regards dans les
champs Cle_1 et Cle_2 de BD_LIENS.
Exemple :
ATTENTION, si ces deux champs contiennent le même nombre de champs de jointure, et que ce nombre est 2 ou plus, CES RELATIONS NE PEUVENT PAS ETRE MISES A JOUR
DANS SAFGIS!
Dans ce cas particulier, chacun des deux objets désignés dans la relation peuvent exister indépendamment de l’autre, et peuvent être liés à plusieurs autres.
Exemple :
Les équipes d’intervention d’un service technique effectuent des travaux sur des conduites d’eau dans la rue. Ces interventions concernent toujours plusieurs conduites. De même, au cours
de sa vie, une conduite peut subir plusieurs interventions.
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Cela construit donc une double jointure via la table intermédiaire CEP_TRA.
NOTE IMPORTANTE : Dans le cas ces liens seuls les champs clé (ID ou autres) des objets peuvent être utilisés, ceci afin d’optimiser les performances de ces requêtes.
Ces liens sont ceux qui permettent de stocker la topologie d’un réseau. Concrètement cela se traduit par : une conduite est reliée à DEUX nœuds topologiques, un à chaque extrémité.
On constate que ceci permet d’avoir un OR en SQL. Ceci est valable dès que l’on a qu’un seul champ dans Cle_1 et deux dans Cle_2.
NOTE IMPORTANTE : Lors des parcours de graphe de réseau, on suppose qu’un unique type d’objet NG et qu’un unique type d’objet TR constituent l’ossature du réseau. Si plusieurs
objets NG ou TR existent au sein d’un même thème, le parcours de graphe sera effectué en prenant le premier objet trouvé par ordre alphabétique dans le thème. Les autres seront ignorés.
Si plusieurs sous-types d’objets doivent exister, ils doivent être différenciés au niveau des attributs de chaque enregistrement.
NOTE 2 : Pour ces liens, il doit être possible de construire une requête de jointure sur un seul des champs du fils. Ceci permet, par exemple, parcourir le réseau dans un seul sens (descente
ou remontée de réseau, particulièrement dans le cas des réseaux gravitaires comme l’assainissement).
Les objets ND et les liens décrits ici ont été créés spécialement pour nos clients travaillant dans le de l’eau et l’assainissement. Dans ces domaines existent des objets aux quels se
raccordent plusieurs conduites via des nœuds différents.
Un exemple :
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Un réservoir d’eau potable possède souvent trois nœud, toujours deux, même si quelque fois seulement un est utilisé au quotidien :
- 1 nœud de remplissage du réservoir (et donc une conduite)
- 1 nœud de vidange (l’eau du réservoir alimente la ville par ce chemin, c’est le nœud toujours présent dans le SIG)
- 1 nœud de trop-plein (si la ville ne consomme pas l’eau et que le réservoir continue de se remplir, ceci empêche un débordement du réservoir, ce nœud n’est pas toujours
représenté dans le SIG).
Réservoir
Trop-plein
Le réservoir ne peut exister sans au moins un nœud. C’est donc un « fils ». Toutefois, un réservoir peut être connecté à plusieurs nœuds…
De plus, les utilisateurs ne veulent pas voir le petit nœud intermédiaire dans ce cas : pour eux, la conduite est connectée directement au réservoir…
Enfin, pour corser le tout, on peut trouver plusieurs objets de type ND dans un même modèle de données : réservoir, station de traitement des eaux, stations de pompages, …
Seule simplification permise : un objet NG (nœud topologique) ne peut être connecté qu’avec qu’un seul équipement nodal (réservoir, station…).
Pour représenter tout cela, l’objet ND a été conçu avec le lien suivant :
On constate qu’il y a une inversion : c’est le « père » qui contient ici le N° de son « fils ». Plus précisément la liaison est faite comme suit :
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Un objet de type NG doit obligatoirement avoir une colonne nommée TYPE_NOEUD dans la quelle sera stockée le type de l’objet ND en relation, plus le N° de cet objet dans une autre
colonne (ici dans INTERSEC.ID_NOEUD).
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Le fichier AutoCAD (.DWG) désigné comme étant le plan initial pour un site (dont le nom figure dans le champ DWG de SAF_SITE), doit contenir le zonage de ce site; c'est à dire, une
ou plusieurs polylignes fermées, placées sur certains plans, définissant les contours géographiques correspondant à des fichiers dessins.
Pour une application donnée (AEP, ASS, etc.), on doit avoir un nom de plan construit sur le modèle:
DWG-XXX-LIBELLE
où XXX désigne les trois lettres du code de l'appli, et LIBELLE désigne un libellé pour cette application, libellé qui apparaitra dans le dialogue de chargement des zones. Par exemple,
pour l'application Eau potable, couramment désignée AEP, le nom du plan du zonage pourra être:
DWG-AEP-EAU_POTABLE
Pour le libellé, il est possible de prévoir des 'blancs' (espaces) et des apostrophes ( ' ) grâce aux caractères _ (pour les blancs) et $ (pour les apostrophes). Ainsi, pour avoir une application
nommée "RESEAU D'ASSAINISSEMENT" avec le code d'appli ASS, vous devrez nommer le plan de zonage:
DWG-ASS-RESEAU_D$ASSAINISSEMENT
NOTE: Comme les plans AutoCAD ne peuvent être nommés qu'avec des lettres majuscules, les libellés d'application seront, eux aussi, nommés avec des majuscules.
La construction de ce zonage, qui est assez simple, répond à quelques règles précises :
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3) Ces polylignes doivent être munies au moins d'une donnée étendue nommée SAF_DWG, contenant une chaine de caractère de la forme:
[~]<Nom_de_Fichier_Dessin>:<Libellé_pour_ce_fichier_dessin>
donnant le nom du fichier DWG de cette zone et son libellé.
Le fichier désigné dans la donnée étendue SAF_DWG est celui qui recevra tous les objets SIG de cette zone.
Le caractère '~' (facultatif, comme l'indique les braquets [ et ]) permet d'indiquer au SIG ADELIOR FRANCE que ce fichier ne contient pas d'objet comportant des IDs (zone
correspondant à des fonds de plan, des dessins AutoCAD, des données géomètre...) et qu'il n'est pas nécessaire que regénérer la table de relation BDA-BDG au (dé)chargement de ce
fichier.
Le <Nom_de_Fichier_Dessin> doit être composé au plus de 8 lettres, l'extension de ces fichiers sur le disque dur est obligatoirement DWG (imposé par AutoCAD), et le chemin
d'accès à ce fichier est celui donné par le champ DESSINS du fichier SAF_SITE.
Un caractère deux-points ( : ) délimite le nom du fichier dessin et son libellé.
Le <Libellé_pour_ce_fichier_dessin> peut contenir n'importe quel caractère; Sa seule contrainte est sa longueur, qui ne doit pas dépasser la trentaine (environ) de caractères, pour de
simples raisons de lisibilité dans la fenêtre de dialogue (un libellé trop long sera simplement troncqué....).
Exemples:
Pour une zone comportant des objets SIG : DAEPNORD:Eau potable zone Nord
Pour une zone ne comportant aucun objet SIG : ~DAEPGEOM:Fichier AutoCAD géomètre
4) Ces polylignes peuvent ensuite être munies d'une donnée étendue nommée SAF_TXT, permettant, pour la même zone; de définir quel sera le fichier dessin qui recevra les
commentaires (Données AutoCAD pures placées dans des couches fixées par la fonction SAF_COMMENT).
Ces données doivent contenir une chaine de caractères du même type que SAF_DWG.
5) Ces polylignes peuvent ensuite être munies d'une donnée étendue nommée SAF_HAB, permettant, pour la même zone; de définir quel sera le fichier dessin qui contiendra de
l'habillage (partie du dessin inerte, comme les hachurages de parcelles) que l'on souhaite déporter dans un autre fichier pour ne pas trop charger la mémoire d'AutoCAD.
Ces données doivent contenir une chaine de caractères du même type que SAF_DWG.
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Un bloc d'affichage (utilisé via une déclaration dans BD_AFF) est un bloc AutoCAD comportant des libellés visibles. Ces libellés définissent les emplacements de chacune des valeurs
affichées Ce bloc peut comporter n'importe quel type d'élément AutoCAD, mais il doit avoir au moins autant d'attributs qu'il y a de champs à afficher déclarés dans BD_AFF.
La construction de ce bloc:
Ce bloc peut donc être constitué de plusieurs entités AutoCAD (lignes, textes constants, cercle, cadre, ....) et d'attribut(s) de bloc.
Ce bloc sera par la suite utilisé à l'échelle 1 lors de l'affichage, et son angle 0 correspond l'horizontale lors de la construction de ce bloc.
La couleur des entités de ce bloc peut être la couleur logique DUBLOC ou une couleur fixe, au choix de l'utilisateur final.
Si on souhaite que les changements d'échelle et les rotations se fassent par rapport à un point particulier, il faut placer un point dans un plan nommé POINT_REF. Ce plan peut être gelé.
Pour avoir un trait de rappel pouvant s'accorcher sur deux points (généralement un point à gauche et un à droite), il faut positionner deux entités points sur des plans nommé
respectivement POINT1 et POINT2. Le point placés dans le plan POINT1 sera utilisé lors de la première génération des affichages. Ensuite, au gré des déplacements, l'un ou l'autre des
points sera choisi en fonction de ses coordonnées. Dans ce cas, les changements d'échelle et les rotations seront effectués par rapport à l'un de ces deux points (celui où arrive le trait de
rappel).
Une fois le bloc dessiné dans AutoCAD avec ses attributs, il faut créer le fichier avec la commande WBLOC d'AutoCAD:
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Principe général
La digitalisation (création d’un objet) suit des règles propres au type graphique de celui-ci, plus d’autres édictées dans le fichier BD_GRAPH. Chaque objet graphique doit avoir une entrée
dans cette table décrivant entre autre la couche, la symbolique, la couleur, etc, quand ces caractéristiques sont applicables (cela dépend des SIG).
Vous pouvez consulter le manuel de paramétrage SAFGIS pour avoir les détails concernant les options possibles dans le cas d’AutoCAD. Dans le cas de MapInfo ces options ne sont pas
utilisées car :
- les objets sont rassemblés à raison d’une classe d’objet par couche, cette couche étant désignée par le code de cette classe,
- les caractéristiques d’affichage de MapInfo (couleur, symbole, …) sont toutes définies dans la couche MapInfo correspondante.
Lorsque nous aborderons les autres SIG des options seront ré-utilisées ou ajoutées en fonction des besoins et des contraintes techniques.
La partie commune du noyau ne doit donc pas faire plus qu’appeler la fonction de création d’objet. Les détails propre à chaque SIG devront être gérés dans les interfaces qui leurs sont
propres.
L’autre grand principe est qu’il faut assurer la mise à jour des relations entres les objets pour les quels cela est nécessaire (tous ceux ayant un lien vers un objet déclaré « Père »).
La création d’un objet, quel qu’il soit et quelque soit son type, doit être précédé de la sélection du ou des pères prévus dans BD_LIENS. Cette règle est particulièrement nécessaire dans le
cas des réseaux, ou les liens déterminent aussi la topologie et les interconnexions d’équipements.
Une fois les pères sélectionnés, la saisie de l’objet peut commencer. Dans le cas des « pères graphiques » on peut éventuellement avoir un mode opératoire combinant création de l’objet et
sélection du père.
Ceci est particulièrement valable dans le cas des équipements (EQ et ED) qui doivent toujours être posés sur des tronçons. Dans ce cas, le choix de l’emplacement de l’équipement doit
suffire à déterminer le père graphique correspondant (le tronçon le plus proche du point cliqué) et les coordonnées exactes de création de l’objet (sur le tronçon, le point le plus proche du
point cliqué – voir ci-après).
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Un autre cas où cela est intéressant est le cas où le père graphique est une surface : dans ce cas l’objet fils devra être saisi à l’intérieur d’une telle surface, et le lien se pourra
éventuellement être réalisé automatiquement (si le SIG utilisé le permet).
Si dans les options de saisies on désactive la mise à jour des relations, cela permet de créer les objets sans imposer la choix des « pères ». Ceci permet par exemple de créer des objets de
réseau (TR, EQ, ED, ND) sans imposer de règles de saisie géographiques. Ainsi, dans un tel cas on peut créer une vanne « en l’air », non posée sur un tuyau.
Un cas concret d’utilisation de cette option est la saisie d’un « filaire de rue » : on souhaite juste avoir les axes des rues d’une ville pour permettre la localisation géographique sur celles-
ci, et il n’est pas nécessaire pour ce seul usage d’avoir la topologie complète des rues (tronçons de rue entre carrefours + tous les carrefours).
Les symboles représentant les objets de type EQ ou ED sont par défaut orienté en fonction de du segment de polyligne (conduite ou raccord – voir ci-dessous) auquel ils sont connectés.
Cette orientation est actuellement stockée dans le fichier BD_SYMB (sous la forme d’une valeur relative : l’angle à ajouter en degré à l’orientation en plan du segment de
conduite/raccord).
Par défaut, ces objets devront toujours être orientés selon l’axe du tronçon ou du raccord où ils sont posés, si le SIG utilisé permet cela. Nous verrons ultérieurement les configurations plus
fines comme celle d’AutoCAD actuellement (orientation définie au niveau de chaque représentation possible d’un objet).
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Il s’agit de pouvoir créer dans le SIG des objets n’ayant pas d’existence cartographique. Il suffit de créer l’enregistrement correspondant et de le proposer à l’utilisateur pour modification.
Il s’agit d’objet ponctuels classiques, n’appartenant pas à une topologie de réseau. Il n’y a pas de règle de saisie particulière autre que la création dans le SIG d’un symbole ponctuel.
Ces objets ponctuels appartenant à un réseau sont les premiers objets à être saisis pour construire cette topologie. Ils n’ont donc pas de règle de saisie particulière. Le type graphique NG
permet uniquement de les reconnaître dans leur fonction spécial de nœud de réseau. Il suivent donc la même règle de construction que les objets PT.
Ces objets définissent les arcs ou tronçons d’un réseau. Ces objets peuvent être linéaire, être une ligne brisée ou, si le SIG utilisé le permet, combiner ligne brisée et portion d’arc (courbe).
Ils relient toujours deux nœuds (sauf cas exceptionnels où ils sont utilisés hors d’une topologie). Parmi les deux champs déclarés pour les TR pour le lien NG – TR, le premier champ
contient le N° du nœud initial (nœud de départ) du tronçon, le deuxième est le N° du nœud final (nœud d’arrivée).
Exemple :
Id_Objet_1 Cle_1 Id_Objet_2 Cle_2
NDS ASS_NDS.ID CAN ASS_CANA.ID_INIT;
ASS_CANA.ID_FIN
Ici le champ ASS_CAN.ID_INIT contient le N° du nœud initial, et ASS_CAN.ID_FIN contient le N° du nœud final.
En fonction des préférences de l’utilisateur l’objet devra donc être saisi en linéaire (ligne de un unique segment) ou en polyligne (plusieurs segments formant une ligne brisée).
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Ces objets constituant des surfaces sont construits à l’aide d’un polygone fermé. Ce polygone pourra, selon les possibilités du SIG utilisé, être constitué d’un mélange de segments linéaires
et d’arcs (courbes), et comprendre éventuellement des « îles » ou des « trous ».
Selon les SIG utilisés, une surface peut être modélisée de deux façon différentes :
- Soit les premier et dernier point sont identiques
- Soit c’est un vrai polygone (il n’y a pas de points dupliqués, mais est quand même fermé)
Ce type d’objet, spécifique à la gestion de réseau, permet de placer des objets ponctuels sur des tronçons du réseau. Ces objets peuvent être orientés en fonction de l’angle du tronçon où ils
sont posés (si le champ ORIENT de BD_SYMB est différent de ‘X’).
La saisie d’un tel équipement doit pouvoir éventuellement permettre de sélectionner l’objet graphique situé en dessous : la conduite dans l’exemple des réseau d’eau (ci-dessous).
Exemple de vanne suivant l’orientation de la conduite sur la quelle elle est posée.
Ce type d’objet est particulier car pouvant (selon le SIG utilisé) composé de deux entités graphiques : une polyligne et un symbole ponctuel. Ce type d’objet est utilisé pour tout
équipement relié à un réseau, mais pouvant être déporté.
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Les exemples concrets sont : les poteaux d’incendie (raccordés au tuyau principal par une petite conduite de 1 ou 2 mètres, inutile à inclure dans le SIG en tant que conduite), des
compteurs (eau, électricité, … représentant le raccordement d’une maison avec l’alimentation générale passant dans la rue).
Le symbole ponctuel dessiné au bout de cette conduite de raccord pourra être orienté en fonction de l’axe du dernier segment de ce raccord (si le champ ORIENT de BD_SYMB est
différent de ‘X’).
Si le SIG ne permet pas de faire ce mélange d’entités graphiques (ponctuels + lignes) comme ArcView, alors seule l’une des deux composantes sera dessinée (il reste à définir laquelle).
Les deux entités graphiques constituant cet objet doivent donc être toutes deux liées de la même façon à l’enregistrement dans la base de données. Sélectionner l’un ou l’autre pour faire
une action SIG doit être équivalent. En particulier dans le cas d’actions modifiant les deux entités.
Un exemple : si l’utilisateur décide d’effacer cet objet SIG, il va cliquer sur l’une des entités (on ne sait pas laquelle), et généralement seulement une seule. Quand le SIG va appliquer la
fonction d’effacement, il faut absolument supprimer les DEUX entités graphiques.
Il n’y a aucune règle de saisie pour ces objets. Généralement, ces objets sont créés directement avec les fonction standard des SIG, en vrac (tous types confondus).
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