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Chapitre 5 : Les réservoirs

1. Introduction :

Un réservoir est un ouvrage pour stocker l’eau et le distribuer aux consommateurs, il relie
l’adduction au réseau de distribution tout en assurant une pression allant de (1 à 4) bar.

2. Rôles des réservoirs

Les réservoirs d'eau sont, en général, nécessaires pour pouvoir alimenter, convenablement,
une agglomération en eau potable. Ils sont principalement imposés par la différence entre le
débit de captage ou de refoulement d'eau (plutôt constant) et le débit d'eau consommé par
l'agglomération (variable en fonction de l'heure de la journée).
Les fonctions générales assurées par les réservoirs d’eau potable sont multiples et de nature à
la fois technique et économique :
Accumuler l’eau et faire face à la fluctuation de la demande en eau ;
Assurer la consommation pendant la panne (panne électrique, défaillance de la pompe) ;
Garantir des pressions de service dans les réseaux de distribution ;
Régulariser le fonctionnement de pompage en permettant une marche uniforme des
pompes ;
Le stockage de la réserve d’incendie ;
Le maintien d’eau à l’abri de la pollution et des variations des températures.

3. Classification des réservoirs

Ils peuvent être classés selon :

1- Leur position par rapport au sol :

Les réservoirs enterrés ;


Les réservoirs semi enterrés ;
Les réservoirs sur le sol :
Ce genre de réservoirs alimente gravitairement le réseau de distribution

Figure 1. Réservoir semi-enterré.

Les réservoirs surélevés :


La cuve du réservoir étant disposée sur une tour,
Figure 2. Réservoir surélevé

Réservoir avec station de surpression associée :


L’alimentation du réseau de distribution nécessitant une surpression.
Réservoir sous pression :
Ou un dispositif de compresseur d’air maintient au-dessus du plan d’eau une pression
supérieure à la pression atmosphérique,

2- Leur forme :

Les réservoirs séculaires ;


Les réservoirs carrés, rectangulaires ;
Les réservoirs quelconques.

3- Leur mode de fermeture :

Les réservoirs couverts ;


Les réservoirs non couverts.

4- Matériaux de construction :

Ils peuvent être :


Métalliques ;
En maçonnerie ;
En béton armé ;

5- Selon l’usage :

Réservoir principal d’accumulation et de stockage ;


Réservoir d’équilibre (réservoir tampon) ;
Réservoir de traitement.
Les critères les plus souvent retenus pour les choix sont :
Les facteurs économiques ;
La sécurité d’approvisionnement et la facilité d’exploitation ;
Les possibilités d’adaptation au réseau ;
Généralement, on peut classer les réservoirs d’après leurs diverses fonctions sous cinq
rubriques principales:
 Un réservoir est un régulateur de débit entre le régime d'adduction (déterminé par le
pompage et/ou le traitement) et le régime de distribution (déterminé par la courbe de
consommation). Il permet alors de transformer, de point de vue de la production et du
pompage, les pointes de consommation horaire en demande moyenne. D'où des
économies d'investissement pour tous les ouvrages situés à l'amont du réservoir.
D'autre part, les stations de pompage ne peuvent pas suivre exactement les variations
de la demande en eau.
 Un réservoir est un régulateur de pression en tout point du réseau. Il permet de
fournir aux abonnés une pression suffisante et plus ou moins constante,
indépendamment de la consommation. En effet, la pression fournie par les stations de
pompage peut varier: au moment de la mise en marche et de l'arrêt, coupure ou
disjonction du courant, modification du point de fonctionnement par suite de la
variation du débit demandé,...
Si la côte du réservoir ne permet pas de fournir une charge suffisante à toute
l'agglomération, il sera nécessaire de construire un réservoir surélevé (ou château
d'eau).
 Un réservoir est un élément de sécurité vis-à-vis des risques d'incendie, de demande
en eau exceptionnelle ou de rupture momentanée de l'adduction (panne dans la station
de pompage, rupture de la conduite d'adduction, arrêt de la station de traitement,...).
 Un réservoir a une fonction économique, puisqu'il permet une certaine adaptation du
fonctionnement du pompage de telle façon à optimiser l'ensemble adduction +
réservoirs (moins de consommation d'énergie électrique pendant les heures de pointe,
pompes refoulant un débit constant correspondant au rendement maximum).
 Un réservoir est un point test, en volume et en pression, d'un réseau maillé. Il est en
effet un baromètre précis, en permanence et en continu de l'état du réseau (pression) et
de l'évaluation de la demande réelle (variations de niveau).

4. Implantation des réservoirs

Le réservoir d’eau doit être situé à un niveau pour assurer une pression suffisante aux abonnés
au moment du débit de point. Le meilleur emplacement n’est déterminé qu’après une étude
technico-économique approfondie, en prenant en considération les conditions suivantes :
 Ils doivent être placés à un niveau supérieur à celui de l’agglomération qu’ils
desservent.
 L’altitude du réservoir, plus précisément du radier doit se situer à un niveau supérieur
à la plus haute cote piézométrique exigée sur le réseau.
 Le site du réservoir doit être le plus proche possible de l’agglomération (économie)
pouvant alimenter le point le plus défavorable.
 La topographie intervient et à une place prépondérante dans le choix de
l’emplacement, de même que la géologie.
 Il doit être construit sur des terrains stables et solides.

Généralement, le réservoir d'eau doit être situé le plus près possible de l'agglomération à
alimenter (en limite de l'agglomération). En effet, compte tenu du coefficient de pointe dont
on doit affecter le débit horaire moyen de consommation pour déduire la consommation
horaire maximale (de 1,5 à 3,5), la perte de charge sera généralement plus grande sur la
conduite de distribution que sur la conduite d'adduction.
Ceci fait que plus le réservoir s'éloigne de l'agglomération, plus la côte du plan d'eau doit être
élevée (d'où une énergie de pompage plus grande).
Le schéma ci-dessous montre l'avantage de l'emplacement du réservoir proche de
l'agglomération, avec un coefficient de pointe égal à 3.

Figure 3. Emplacement des réservoirs proche de l’agglomération.

La topographie des lieux ou l'emplacement de la source d'eau peuvent parfois modifier le


point de vue établi ci-dessus. On essaye, généralement, d'exploiter le relief à proximité de la
ville pour utiliser un réservoir semi-enterré, qui sera toujours plus économique qu'un réservoir
sur tour.

Figure 4. Emplacement des réservoirs selon l’emplacement de la source.

Quand la ville présente des différences de niveau importantes, on peut adopter une
distribution étagée (voir exemple ci-dessous).
Dans le cas où l'agglomération s'étend dans une direction donnée, un réservoir unique peut
devenir insuffisant et fournir, en extrémité du réseau, des pressions trop faibles aux heures de
pointe. On peut ajouter alors un ou plusieurs réservoirs d'équilibre, situés à l'autre extrémité
de la ville, qui permettent d'avoir une pression acceptable dans leur zone d'action. Ces
réservoirs d'équilibre sont en liaison avec le réservoir principal et se remplissent au moment
des faibles consommations (la nuit principalement).
Figure 5. Emplacement des réservoirs d’équilibres

Dans quelques cas, on peut adopter, en même temps, les deux types de réservoirs: réservoir
semi enterré et réservoir surélevé (ou château d'eau).
Le réservoir semi-enterré est alimenté par la station de traitement, avec ou sans pompage,
avec un débit constant Qhm. Le château d'eau, situé avant la distribution, est alimenté par une
autre station de pompage (SP2) qui fonctionne à débit variable (voir le schéma ci-dessous).
L'adoption de ce type de schéma permet de limiter le volume nécessaire du réservoir sur tour.

Figure 6. Emplacement des réservoirs semi-enterrés

En fait, ce n'est qu'après une étude économique approfondie et compte tenu des conditions
locales (surtout le relief) que l'on pourra déterminer le meilleur emplacement du réservoir et,
éventuellement, de la station de pompage, étude dans laquelle entrerons les coûts des
conduites, du pompage et de construction du réservoir.

5. Calcul des caractéristiques du réservoir

5.1 Altitude des réservoirs

Un des principaux rôles du réservoir est de fournir, pendant l'heure de pointe, une pression au
sol suffisante "Hmin" en tout point du réseau de distribution (voir plus loin les valeurs de cette
pression), en particulier au point le plus défavorable du réseau (le point le plus loin et/ou le
plus élevé). L'altitude du réservoir d'eau (précisément la côte de son radier) doit être calculée
donc pour que, dans toute l'agglomération à alimenter, la pression soit au moins égale à Hmin.
C'est la côte du radier du réservoir qui est prise en compte, ce qui correspondant au cas
d'alimentation le plus défavorable (le réservoir est alors presque vide).
C'est le calcul du réseau de distribution, pendant l'heure de pointe, qui permet de déterminer
les différentes pertes de charge et d'en déduire la côte de radier du réservoir.
La valeur de cette côte et la topographie des lieux détermineront le type de réservoir à adopter
(semi enterré ou surélevé). On peut, si un relief est disponible, augmenter les diamètres des
conduites de distribution pour diminuer les pertes de charge et éviter la surélévation du
réservoir (solution à justifier par un calcul économique).

Figure 7. Côte du radier du réservoir

Notons aussi que, pour les châteaux d'eau, et pour des raisons économiques, on doit éviter des
surélévations (H) supérieures à 40 m. Le cas échéant, on peut augmenter les diamètres de
quelques conduites de distribution pour diminuer les pertes de charge et limiter la surélévation
nécessaire.

Cr = Ctn + Pmin + ∑∆ht


Cr: Côte radier du réservoir (m)
Ctn : Côte du terrain naturel du point le plus critique (m)
Pmin : Pression minimale à assurer (10 mce)
∑∆ht : Perte de charge selon le chemin le plus critique (m).
Comme on peut utiliser la relation suivante:

Cr: Côte radier du réservoir (m)


Ctn : Côte du terrain naturel du point le plus critique (m)
Ps : Pression supplémentaire (selon les équipements qui utilisent l’eau)
Ps = (3 à 5) m
∑∆ht: Perte de charge selon le chemin le plus critique (m)
Hs : Perte de charge à l’intérieur des immeubles (installation interne)
Hs = (3 à 4) m
H: élévation des immeubles en fonction de nombre d’étage dans l’agglomération
H Nature des immeubles
3 RDC
Pour chaque étage on prend
6 R+ 1
3m
9 R+ 2
12 R+ 3
1. Emplacement du réservoir sur terrain plat :

Lorsque les habitants d’une agglomération se trouvent pratiquement sur un terrain plat, la
pression nécessaire doit être assurée par un réservoir dont la côte du radier est plus élevée
que toute côte du réseau urbain. Donc cette pression doit être assurée par un réservoir
surélevé dont la côte est à déterminer ainsi que son emplacement.
1.1.Le réservoir se situe à l’intérieur de l’agglomération :

Figure 8. Système d’alimentation avec réservoir au milieu d’agglomération.

Q : débit refoulé par la pompe vers le château d’eau.


∑∆H : pertes de charge occasionnée dans la conduite (1-2)
H : étant la hauteur du château d’eau.
Si on néglige les pertes de charge dans le réseau de distribution, la hauteur H du château
représente la pression de service pour les citoyens.
Dans ce cas, la pompe doit fonctionner sous une charge :

Hga : hauteur géométrique à l’aspiration


Rt : résistance totale de la conduite (1-2)

1.2.Le réservoir se situe plus loin de l’agglomération :

Si le réservoir se trouve éloigné, cela conduit à un allongement du réseau de distribution.

Figure 9. Système d’alimentation avec réservoir hors agglomération.


La conduite (1-2) fonctionne comme conduite de distribution (dans le premier cas, elle
fonctionne comme conduite de refoulement), et doit véhiculer un débit de pointe de :
Q’= Kp Q, supposé travailler (24 h/24). Kp désigne le coefficient de pointe. La conduite (1-2)
assure un service d’extrémité. Pour avoir en « 2 » la même pression que dans le premier cas,
on envisage deux cas :
Si on conserve le même diamètre du tronçon (1-2) que dans le premier cas, on doit construire
un réservoir de hauteur :

Par rapport au premier cas, le réservoir doit être plus haut de K2p∆ H.
Donc tant qu’on éloigne le réservoir son altitude augmente.
Si on diminue son altitude, son diamètre augmente (tronçon (1-2)) pour diminuer K2p∆ H.
Donc éloigner le réservoir revient à :
Soit à augmenter son altitude pour assurer la dite pression et vaincre K2p∆ H.
Soit augmenter le diamètre de la conduite de distribution pour diminuer K2p∆ H.

5.2. Calcul de la capacité

Le réservoir doit avoir une capacité de stockage suffisante. Elle est définie comme étant la
capacité correspondante à une journée de consommation, augmentée de la réserve d’incendie.
Elle doit être estimée en tenant compte des variations des débits à l’entrée et à la sortie, c’est-
à-dire, du régime d’approvisionnement et de distribution, le calcul de la capacité se fait par
deux méthodes :
 Méthode analytique.
 Méthode graphique.

1- La méthode analytique :

Le volume maximal de stockage du réservoir, pour la consommation, est déterminé par la


formule suivante :

Avec :
Vmax : Volume maximal de stockage pour la consommation (m).
Qmax j : consommation maximale journalière (m3/j)
P max j : résidu maximal dans le réservoir (%).
1-1- Détermination de la valeur de P :

- la répartition de la consommation maximale journalière sur les 24 heures se détermine à


l’aide du tableau de distribution du débit journalier sur 24 heures.
- on répartit ensuite le débit de pompage tout au long de la journée.
- la différence entre l’apport et la distribution pour chaque heure de la journée, sera reportée
dans la colonne des surplus ou des déficits selon son signe.
- on détermine ensuite le résidu dans le réservoir pour chaque heure. La valeur maximale
trouvée (P max) sera le pourcentage du volume de stockage.
Pmax = │R+max │ +│ R-max│
Avec :
R+ max: résidu maximum positif (%).
R-max: résidu minimum négatif (%).

2- Méthode graphique :

C’est une méthode rapprochée à la méthode analytique. Elle tient compte de la courbe de
consommation totale déduite à partir de coefficients de variations horaires de la
consommation et de la courbe d’apport du débit pompé en fonction de la durée de pompage.
La capacité est déduite à partir des extremums des cumuls de la consommation vis-à-vis de
celle des apports. On trace, sur un même graphique, les courbes cumulées des débits d’apports
et de consommation en fonction du temps.
Le volume maximal de stockage est obtenu en sommant en valeur absolue les écarts des deux
extremums par rapport à la courbe d’apport.

Le volume maximal sera déterminé de la même façon que la méthode analytique.


On prend forfaitairement, une capacité des réservoirs égale à :

Le volume total du réservoir est de :


Vr = Vu + Vs + Vinc
Vr : Volume du réservoir (m3)
Vu : Volume utile (m3)
Vs : Volume de : sécurité (m3)
Vinc: Volume d’incendie (m3)

Vu : Volume utile (m3)

La capacité des réservoirs est déterminée à partir des courbes de variation, en fonction des
heures de la journée la plus chargée, des débits d’alimentation des réservoirs (provenant de la
station de pompage ou de la station de traitement) et des débits sortant des réservoirs
(distribués ou, éventuellement, aspirés par une autre station de pompage). Le principe de
calcul est simple :
On trace sur 24h, les courbes de volumes cumulés Va(t) provenant de l’alimentation et Vc(t)
correspondant à la consommation. On trace ensuite la courbe [Va(t) – Vc(t)]

Figure 10. Courbes de volumes cumulés


Le volume minimum nécessaire des réservoirs V0 sera alors égal à la somme, en valeurs
absolues, de la plus grande valeur et la plus petite valeur (négative) de cette différence.

Tableau 1 : Coefficients horaires

Vinc: Volume d’incendie (m3)

Vinc = q. t
q: Débit d’incendie (l/s)
t : durée d’extinction d’un feu 2h

Vinc: Volume de sécurité (m3)


Vs = 12 % (Vu + Vinc)

Vu : Volume utile (m3)


Vinc: Volume d’incendie (m3)
Selon A, Dupont : pour un pompage continue 24/24 h
Vr = 0.3 Cmax J
les volumes des réservoirs les plus utilisés sont :

50; 100; 120; 150; 200; 250; 300; 350; 400; 500; 600; 800; 1000; 1200; 1500; 2000; 2500;
3000; 4000; 5000; 10000 m3.

5.3. Formes et types de réservoirs

La forme des réservoirs est généralement circulaire, et est rarement carrée ou rectangulaire.
En ce qui concerne le château d'eau, la forme de la cuve est aussi généralement circulaire, son
aspect extérieur doit s'adapter au paysage et demande une architecture appropriée au site pour
ne pas détruire l'environnement.
La hauteur d'eau (hr) dans les réservoirs est comprise entre 3 et 6 m, et atteint,
exceptionnellement, 10 m pour les grandes villes. Le diamètre du réservoir circulaire, imposé
par le volume, varie de 1,5 à 2 fois la hauteur de la cuve hr.

Réservoir circulaire semi enterré Réservoir surélevé

Figure 11 . Formes et types des réservoirs


Château d’eau
Pour des raisons économiques, les réservoirs sont construits en béton armé jusqu'à un volume
de 2500 m3 et en béton précontraint jusqu'à 20 000 m3. Pour des faibles volumes, et rarement,
ils peuvent être métalliques. Les réservoirs semi-enterrés sont les plus utilisés, avec un toit
généralement voûté, et une couverture par de la terre ou du sable sur 0,2 à 0,3 m (isolation
thermique de l'eau).

Quelques équipements sont aussi à prévoir dans les réservoirs: une fenêtre d'aération (entrée
et sortie de l'air lors du remplissage et de la vidange), un accès pour le nettoyage de la cuve,
une chambre de vannes, un trop-plein (évacuation de l'excédent d'eau), une galerie de vidange
(au fond), une fermeture par flotteur de l'alimentation, un enregistreur du niveau d'eau dans le
réservoir et un by-pass entre adduction et distribution (utile en cas d'indisponibilité du
réservoir: nettoyage, entretien, réparation,...).
Eventuellement, On peut prévoir aussi une bâche d'arrivée de l'eau équipée d'un déversoir
permettant la mesure des débits d'adduction.

Figure 12 . Réservoir semi enterré cylindrique


Autres dispositions à prendre: l'arrivée de l'eau se fait par le haut (en chute libre ou noyée), la
sortie se fait par le bas du réservoir (à 0,2 m au-dessus du radier), prévoir une charge
minimale de 0,5 m au-dessus de la conduite de sortie (pour éviter des entrées d'air dans la
canalisation), garder la réserve d'incendie toujours disponible, assurer un renouvellement
continu des eaux et contrôler périodiquement les réservoirs (qualité de l'eau, étanchéité de la
cuve, nettoyage, dépôt de matières solides, fonctionnement des accessoires,...).

5.4. Equipements du Réservoir


Figure 13. Equipement des réservoirs
Un réservoir doit être équipé par :
Conduite d’arriver ou d’alimentation (d’adduction) ;
Conduite de départ ou de distribution ;
Conduite de vidange ;
Conduite de trop plein ;
Conduite de bay basse, dans certain cas
Système de matérialisation de la réserve d’incendie.
Les réservoirs alimentés à partir d’adduction gravitaire seront commandés par robinet à
flotteur ou obturateur.

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