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Institut des Métiers de Distribution et d’Environnement

COURS M09 :

Ouvrages spéciaux
d'assainissement :
pompage et traitement et
“REUSE”

SOMMAIRE
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SOMMAIRE

Module 9 : Ouvrages spéciaux d'assainissement 3


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1. INTRODUCTION
2. EVALUATION DES DÉBITS D’EAUX PLUVIALES ET
D’EAUX USÉES
Toute étude d’un réseau d’assainissement nécessite une détermination des
débits pluviaux. Car ces eaux doivent être collectées dans les canalisations
d’évacuation pour éviter les inondations.

Pour l’estimation des eaux pluviales, on fait un découpage de l’aire de


l’agglomération en sous bassin, suivant des critères bien précis, ensuite on
attribue à chaque sous bassin un coefficient de ruissellement pondéré en
fonction de la nature du sol
drainé. La quantification des
eaux de ruissellement est
obtenue par l’application de
différentes méthodes, parmi ces
méthodes :

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2.1 Evaluation des débits d’eaux pluviales


2.1.1 Méthode superficielle

Pour le calcul des débits de ruissellement résultant d'une averse en un point


d'un bassin versant urbain, la méthode utilisée est le modèle de Caquot,
suivant les concertations avec les services responsable de l et les
recommandations de l'instruction Technique pour la conception et le
dimensionnement des réseaux d'assainissement (DGCL - Ministère de
l'intérieur 1981).

Cette méthode utilise les coefficients a et b de la formule du Montana :


obtenus à partir des courbes IDF. Ils seront injectés dans la formule générale
de Caquot.

La formule utilisée est la formule superficielle basée sur le modèle de Caquot.

L’expression générale de cette formule s’écrit :

Formule 1 : Q (T) = K .IU(T) .CV(T) .AW(T) .m

Dans laquelle les divers paramètres sont des fonctions de a(T) et/ou b(t) de
l’intensité selon la formule de Montana ci-après :

Avec :

Q(T) : débit de fréquence de dépassement [m³/s]


I : pente moyenne du bassin versant [m/ml]
C : coefficient du ruissellement
A : superficie du bassin versant [ha]
K : coefficient d’expression : (0,5b(T) a(T)/6,6 )1/(1+0,287 .b(T) )
U : coefficient d’expression : (- 0,41.b(T))/( 1+0,287 .b(T))
V : coefficient d’expression : 1/( 1+0,287 .b(T))
W: coefficient d’expression : (0,95 + 0,507 b(T))/( 1+0,287 .b(T))

La formule superficielle développée ci-avant est valable pour un bassin de


caractéristiques physiques homogènes. L'application du modèle à un groupement

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de sous-bassins hétérogènes de paramètres individuels Aj, Cj, Ij Lj (longueur du drain


principal), Qpj (débit de pointe du bassin considéré seul), nécessite l'emploi de
formules d'équivalence pour les paramètres "A, C, I et m" du groupement.

Ces formules sont comme suit :

Tableau 1 : Paramètres d’assemblages

Le modèle de Caquot est valable dans les conditions suivantes :

- Pente I : 0,002 < I < 0,05


- Coefficient de ruissellement : 0,2 < C < 1
- Superficie A : A <200 ha
- Coefficient d’allongement : M > 0,8 avec M=

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.1.2. Méthode rationnelle


C’est une méthode qui consiste à estimer le débit à partir d’un découpage du
bassin versant en secteurs limités par les lignes isochrones, cette méthode fut
découverte en 1889, mais ce n’est
qu’en 1906 qu’elle à été généralisée.
Elle est connue aussi par la méthode
de LIOYD DAVIS, c’est une méthode
qui à fait et fait ses preuves surtout
pour les bassins urbains à faible
surface (˂10 ha).

La méthode est définie sous la forme :

Q = 2,78.C.i.A
Avec :
● Q : Débit, exprimé en l/s;
● I : intensité de pluie (mm/h) ;
● C : Coefficient de ruissellement;
● A : Superficie en ha.
Elle donne le débit de pointe Q à l'exutoire d'un bassin versant de surface A,
de coefficient de ruissellement C sous une averse de durée égale au "temps
de concentration du bassin" tc et d'intensité moyenne i (tc , T) de période de
retour T.
2.1.2.1. Estimation des variables de la formule
a) Période de retour
Une période de retour, c'est le temps que met une averse d’une intensité
donnée pour se manifester. Une pluie de période de retour de 10 ans est une
pluie qui peut se manifester une fois tous les 10 ans au moins.
b) La notion de bassin versant
Le bassin versant représente, en principe, l'unité géographique sur laquelle se
base l'analyse du cycle hydrologique et de ses effets.
Plus précisément, le bassin versant qui peut être considéré comme un "
système " est une surface élémentaire hydrologiquement close, c'est-à-dire
qu'aucun écoulement n'y pénètre de l'extérieur et que tous les excédents de

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précipitations s'évaporent ou s'écoulent par une seule section à l'exutoire.

c) la longueur du cheminement hydraulique


Il correspond au chemin hydraulique le plus long traversé par une goutte
d’eau pour arriver à l'exutoir du BV.
d) Intensité de la pluie
Lors de l’étude d’une averse, il convient de déterminer les intensités
moyennes pour plusieurs valeurs échelonnées de l’intervalle de référence Δt.
L’intensité moyenne se définit par le rapport
de la hauteur d’eau tombée pendant une
durée Δt.
Elle peut être obtenue à partir des classiques
courbes "intensité-durée-fréquence" déduites
de l'analyse statistique des averses. Plusieurs
expressions analytiques de ces courbes ont
été proposées. Une des plus utilisées est
l'expression connue sous le nom de loi de
Montana:
i (mm/min) = a x t^b
Sachant que a et b sont des paramètres d'ajustement, constants pour une
période de retour donnée.
e) Temps de concentration
La formule rationnelle repose sur le concept fondamental du temps de
concentration.

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Ce dernier est difficile à estimer. Plusieurs formules empiriques intégrant


généralement les caractéristiques physiques des bassins sont proposées pour
les bassins ruraux. Pour les bassins urbains, la plupart des réglementations de
l’assainissement, utilisent la formule de Kirpich :

Avec :
● (t) temps de concentration en (min)
● (L) longueur du plus grand chemin hydraulique en (m)
● (I) pente du collecteur en (m/m)
f) Coefficient de ruissellement
Le coefficient de ruissellement est délicat à définir, toute erreur sur ce
coefficient conduit à une erreur du même ordre sur le débit. Dans la grande
majorité des cas, il est défini de façon statistique à partir d'une analyse plus
ou moins subjective de l'occupation des sols.
Le coefficient de ruissellement est relié au pourcentage de surfaces
imperméables, à l'intensité de la pluie et à la pente moyenne ; ce qui permet
de prendre en compte l'amortissement de la pluie dans le processus de
ruissellement superficiel.
Si le bassin versant est composé de plusieurs surfaces, il faut calculer le
coefficient équivalent :

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g) Période de retour
Une période de retour, c'est le temps que met une averse d’une intensité
donnée pour se manifester. Une pluie de période de retour de 10 ans est une
pluie qui peut se manifester une fois tous les 10 ans au moins.
h) Pente moyenne
La pente moyenne d’un sous bassin est prise généralement égale à la pente
moyenne du collecteur qui le dessert.

Avec :
● Cam : Côte amont du parcours (m).
● Cav : Côte aval du parcours (m).
● L : Longueur du tronçon (m).

2.2 Evaluation des débits d’eaux usées


Les débits des eaux usées à considérer dans l'étude des réseaux
d'assainissement correspondent essentiellement :

❖ aux pointes d'avenir qui conditionnent la détermination des sections


des canalisations et ouvrages en système séparatif et dans une certaine
mesure celles des émissaires en système unitaire dans le cas où le débit
d'eau usée est appréciable par rapport au débit des eaux pluviales ;
❖ aux débits minimaux actuels qui permettent d'apprécier les conditions
de fonctionnement des réseaux et ouvrages, L'objectif est d'assurer des
conditions minimales d'écoulement permettant de prévenir les réseaux
contre les dépôts qui peuvent se produire dans le cas où le débit est
faible.
L'évaluation des quantités des eaux usées à évacuer dans un réseau
d'assainissement doit donc se baser sur étude de l'état actuel de

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l'agglomération qui sert de référence pour les projections prospectives


nécessaires à l'élaboration du projet pour l'horizon défini. C'est ainsi qu'on doit
procéder à la collecte d'informations concernant :
❖ la population antérieure et actuelle ;
❖ l'importance et le mode d'occupation des sols à différentes périodes ;
❖ l'état actuel et passé de la consommation des eaux pour les différents
usages: domestique, collectif et industriel, touristique, etc. ;
❖ la modulation saisonnière journalière et horaire de la consommation.
Ces informations doivent permettre de préciser les tendances d'évolution de
l'agglomération, de la population, de la consommation, des activités...qui
serviront comme base à une projection future.

2.2.1. Calcul des Débits de pointe par temps sec :


Le temps sec est la période de temps ou les précipitations ne perturbent pas
le fonctionnement du système d’assainissement.
Le débit de temps sec correspond au débit observé dans le réseau
d’assainissement pendant les périodes de temps sec. Ce débit est composé
essentiellement des rejets domestiques, des rejets industriels et des eaux
claires parasites (ECP).

2.2.2 Calcul des Débits des Eaux Usées Domestiques “Qeud” :


La base de calcul de ce débit est la consommation en eau potable :

Avec :
● Qm : Débit moyen par temps sec (l/s)
● n : nombre d ′habitants desservis

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● C : Dotation moyenne en eau potable (l/jour/hab) :


○ Zones de logements : de 100 à 150 l/j/personne
○ Zones de bureaux : de 30 à 75 l/j/personne
● Tr : Taux de retour à l’égout, on estime que 80 à 85% de l’eau potable
consommée est rejetée.
La valeur peut être corrigée par un coefficient de pointe :

Qp = Kp x Qm
Avec :
Qp : Débit de pointe (l/s)
Kp : Coefficient de pointe (1,5<=K<=4)

2.2.3 Calcul des Débits des Eaux Usées Industrielles “Qeui” :

Le débit des eaux usées est calculé comme suit :

Qm = D x S x Tr / 86400
Avec :
● Qm : Débit moyen par temps sec (l/s)
● S : Surface en ha
● D : Dotation moyenne en eau potable (l/ha/jour)
● Tr : Taux de retour à l’égout (80 à 85%)
La valeur peut être corrigée par un coefficient de pointe :

Qp = Kp x Qm
Avec :
Qp : Débit de pointe (l/s)
Kp : Coefficient de pointe (2<=K<=3)

2.2.4 Calcul des Débits des Eaux Claires Parasites “Qecp” :

Les eaux qui entrent et transitent dans un réseau non conçu pour les recevoir
sont dites «eaux claires parasites»(ECP):
● Les ECP Permanentes (ECPP) proviennent principalement de
l'infiltration de la nappe dans les collecteurs, en raison d'une mauvaise
étanchéité de ceux-ci.
● Les ECP Météoriques(ECPM) sont le résultat d'intrusions d'eaux

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pluviales dans un réseau séparatif d'eaux usées (branchements


incorrects, raccordements incorrects d'avaloirs et de grilles…)

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3. DÉTERMINATION DES DIAMÈTRES DE


CANALISATIONS
Une fois que la totalité des débits fut déterminée, on passe au
dimensionnement proprement dit des ouvrages tout en respectant certaines
normes d’écoulement du point de vue sanitaire les réseaux d’assainissement
devront assurer :
L’évacuation rapide des matières fécales hors de l’habitation ;
Le transport des eaux usées dans des conditions d’hygiène
satisfaisantes ;
Les ouvrages d’évacuation (collecteurs et regards), doivent respecter certaines
normes d’écoulement. L’implantation en profondeur se fait d’une manière à
satisfaire aux conditions de résistance mécanique due aux charges
extérieures et avec un meilleur choix du tracé des collecteurs.

3.1 Conception du réseau d’assainissement


La conception d’un réseau d’assainissement est la concrétisation de tous les
éléments constituant les branches du réseau sur un schéma global.
Les collecteurs sont définis par leur :
● Emplacement (en plan).
● Profondeur.
● Diamètres (intérieur et extérieur).
● Pente.
Les regards de visite et de jonction sont également définis par leur :
● Emplacement (en plan).
● Profondeur.
● Côtes.

3.2 Dimensionnement du réseau d’assainissement


Dans le calcul des canalisations, on utilise les différentes formules
d’écoulements qui ont été développées par des chercheurs scientifiques.
Parmi ces formules, on a :
3.2.1 Formule de Chézy

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Où,
● I : Pente du collecteur (m/m).
● Rh : Rayon hydraulique (m).
● C: Coefficient de Chézy, il dépend des paramètres hydrauliques et
géométriques de l’écoulement. Le coefficient « C» est donné à son tour
par la formule de BAZIN :

γ : Coefficient de Bazin qui varie suivant les matériaux employés et la nature


des eaux transportées. Dans laquelle :
γ = 0.06 pour les collecteurs d’eaux pluviales.
γ = 0.16 pour les collecteurs d’eaux usées.

3.2.2 Formule de Manning –Strickler

❖ Réseaux “eaux usées” en système séparatif :

❖ Réseaux “eaux pluviales en système séparatif :

❖ Réseaux “unitaires” :
Étant donné que : Qp usées << Qp pluvial, le calcul est identique au réseau
pluvial en système séparatif.
Avec,
● V : Vitesse d’écoulement (m/s)
● R : Rayon hydraulique (m).
● I : Pente du collecteur (m/m).
● D : Diamètre (m)
● Q : Débit de pointe (m3/s)

3.3 Conditions d’écoulement et d’auto-curage


L’écoulement en assainissement est gravitaire dans la mesure du possible,

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donc tributaire de la topographie du terrain naturel, en plus cet écoulement


doit avoir une vitesse qui permet l’auto curage, et ne détériore pas les
conduites.
On dit qu’un réseau d’assainissement est auto cureur, s’il admet la faculté de
se nettoyer tout seul, en d’autres termes l’écoulement de l’eau à travers le
réseau peut entraîner les matières solides au fond de l’ouvrage.
Pour la vérification de la vitesse d’auto-curage nous avons deux conditions à
vérifier:
❖ Condition 1:
Vitesse d'écoulement (V > 1.00 m / s)
❖ Condition 2:
Pour un réseau séparatif eaux usées
● Vps >0.7 m/s
● V (RH =0.2) >0.3 m/s
Pour un réseau unitaire ou séparatif eaux pluviales :
● V (RQ =0.1) >0.6
● V (RQ =0.01) >0.3
Avec :
Rq : rapport des débits.
Rv : rapport des vitesses.
Rh: rapport des hauteurs.
Q : Débit véhiculé par la conduite circulaire. (m3/s).
V : Vitesse d’écoulement de l’eau (m/s).
h : Hauteur de remplissage dans la conduite (m).

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4. AVANT MÉTRÉ ET ESTIMATION DU COÛT


4.1 Avant métré
L’avant-métré est un calcul de quantité de matériaux et de main d’œuvre
nécessaire à la réalisation d’un ouvrage donné. Elle est basé sur les données
des profils en long (les côtes terrains, les côtes projet et les distances entre les
regards).

4.1.1 Volume du terrassement :


Le volume de terrassement est calculé selon la formule suivante :

Avec :
● V : volume du terrassement (m3).
● D : distance entre les regards extraits à partir du profil en long (m).
● L : Largeur de tranchée (m).
● Hm : Hauteur du terrassement (m).

4.1.2 Largeur de tranchée :

Le calcul de la largeur « L » de tranchée est fait selon la formule suivante :

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Avec :
● L : Largeur de tranchée (m).
● e : épaisseur de conduite(m).
● d : la distance de part et d’autre de la conduite(m).
● di : diamètre intérieur de conduite (m).

4.1.3 Hauteur du terrassement :

Le calcul de la hauteur du terrassement réel et moyen se fait selon les


formules suivantes :

Avec :
● Hr : hauteur du terrassement réel (m)
● Hr1 : hauteur du terrassement réel de piquet 1 (m)
● Hr2 : hauteur du terrassement réel de piquet 2 (m)
● TN : cote du terrain naturel (m)
● CP : cote de projet (m)
● Hm : hauteur du terrassement moyen (m)
● Hl : hauteur de lit de pose

4.1.4 le lit de pose :


Le volume de lit de pose est calculé par la formule suivante :

Avec :
● VLp : volume de lit de pose (m3)
● Hl : hauteur de lit de pose (m)
● D : distance entre les regards extraits à partir du profil en long (m)
● L : largeur de tranchée (m)

4.1.5 Volume du remblai primaire :

La formule du calcul du volume du remblai primaire est présentée de la


façon suivante :

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Avec :
● Vrp : volume du remblai primaire (m3)
● di : diamètre de conduite (m)
● e : épaisseur de conduite(m)
● L : largeur de tranchée (m)
● Sc : surface de conduite (m2)
● D : distance entre les regards extraits à partir du profil en long (m).

4.1.6 Volume du remblai secondaire :

C’est la partie de remblai qui vient après la pose de remblai primaire, la


formule de calcul est la suivante :

Avec :
● Vrs : volume du remblai secondaire (m3).
● Vd : volume du terrassement (m3).
● Vrp : volume de remblai primaire (m3).
● VLp : volume de lit de pose (m3).
● Vc : volume de conduite (m3).

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III-- Estimation du coût financier de l’assainissement :

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