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Le climat du futur

Le climat de la Terre est en constante évolution depuis des millions d'années, avec des variations
naturelles dues à des facteurs tels que les cycles solaires, les mouvements de la Terre ou encore les
éruptions volcaniques. Cependant, depuis le début de l'ère industrielle, l'activité humaine a
commencé à avoir un impact significatif sur le climat, en particulier en augmentant les émissions de
gaz à effet de serre dans l'atmosphère.

Le dérèglement climatique d'origine humaine a été largement documenté et est maintenant accepté
comme un fait scientifique. Néanmoins, notre apathie vis-à-vis du réchauffement climatique est un
véritable problème. Les températures moyennes à la surface de la Terre ont augmenté d'environ 1,1
degré Celsius depuis l'ère préindustrielle, principalement en raison des émissions de gaz à effet de
serre provenant de la combustion de combustibles fossiles tels que le charbon, le pétrole et le gaz.

Les modèles climatiques prévoient que les températures continueront d'augmenter dans les
décennies à venir, avec des conséquences potentiellement graves pour la biosphère et pour les êtres
humains. Cependant, il est important de souligner qu'il existe des solutions pour atténuer le
changement climatique et s'adapter à ses effets, ce qui est un enjeu crucial pour les décennies à
venir.

Dans cet article, nous allons examiner les projections climatiques pour le futur, les conséquences
potentielles du réchauffement climatique pour la biosphère et les êtres humains, ainsi que les
solutions envisageables pour limiter les émissions de gaz à effet de serre et préserver notre planète
pour les générations futures.

Le réchauffement climatique : un phénomène d'origine humaine

Chaque année depuis 1977 à été plus chaude que la moyenne du XXe siècle et ces dernières années
nous battons des records de température jamais atteints depuis très longtemps. Depuis les années
1990, le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) n’a cessé de
prendre en compte de plus en plus le facteur humain dans ses rapports. 97 % des chercheurs
estiment qu’il existe aujourd’hui un réchauffement climatique mondial et que celui-ci est d’origine
humaine.

Néanmoins en dehors de la communauté scientifique il existe un courant d’idées qui oppose une
résistance très forte à ce consensus que l’on appelle le climato-scepticisme. Soutenu par des partis
politiques ou des entreprises du secteur pétrolier et charbonnier, le déni du réchauffement
climatique n’est pas juste un refus absurde et aveugle de ce dernier mais c’est une idéologie qui est
structurée, financée et organisée. Le climatologue Michael Mann a défini une échelle du déni du
réchauffement climatique.
Le premier argument avancé par les climato-sceptiques est que le dioxyde de carbone
n’augmenterait pas vraiment. Or, depuis les années 1950, l’observatoire de Mauna Loa sur l’île
d’Hawaï détecte une augmentation croissante du dioxyde de carbone dans ce qui est aujourd’hui
nommé la courbe de Keeling du nom de Charles Keeling qui a aidé à la découvrir. Si on regarde à
une échelle plus large on constate que la concentration en CO 2 dans l’atmosphère a explosé après la
révolution industrielle. On est passé d’une concentration de 280 parties par millions en 1800 à une
concentration de 417 parties par millions en 2022, soit le nombre de molécules polluantes pour un
million de molécules d’air. On peut être certains que c’est notre carbone qui est responsable du
réchauffement climatique en raison des différents isotopes du carbone présents dans l’atmosphère.
En effet, chaque atome peut posséder différents isotopes en fonction du nombre de neutrons qu’il
possède dans son noyau atomique. Il se trouve que les activités humaines relâchent moins de
carbone 13 et 14 que la biosphère. Ainsi, en regardant l’évolution des isotopes de carbone
l’atmosphère on peut donc déduire que c’est nous qui sommes responsables du réchauffement
climatique. Bien sûr, la Terre a connu toutes sortes de réchauffements et de refroidissements
extrêmes au cours de son existence mais ces variations étaient dues à l’activité solaire, aux volcans
ou encore aux météorites. De plus, ces variations ont eu lieu sur des échelles de temps géologiques
or là on est certain que le changement est récent, rapide et donc d’origine humaine. Bien entendu,
l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère n’est pas la seule cause du réchauffement
climatique. On remarque différents facteurs, comme l’augmentation de la vapeur d’eau, du méthane
ou de la concentration d’aérosols dans l’atmosphère. N’oublions pas de mentionner aussi la
déforestation qui réduit la capacité des écosystèmes à absorber le CO 2 présent dans l’atmosphère.
Grâce aux bulles d’air contenues dans les glaces très anciennes on peut être sûr que la concentration
en CO2 dans l’atmosphère actuelle est plus élevée qu’elle ne l’a été depuis au moins 800 000 ans, et
certains chercheurs disent même depuis 20 millions d’années. Cette augmentation est due au fait
qu’on a commencé à sortir du carbone qui était stocké dans le sol comme le charbon ou le pétrole et
on l’a brûlé dans des moteurs sans se soucier des conséquences que cela aurait. Le carbone qui
dormait dans le sol est alors passé dans l’atmosphère.

Le deuxième argument avancé par les climato-sceptiques est que même si peut-être que le CO 2
augmente vraiment, il n’y a pas de réchauffement climatique. Or la température moyenne de la
surface de la Terre a augmenté d'environ 1,1 degré Celsius depuis l'époque préindustrielle, en
grande partie à cause des gaz à effet de serre émis par la combustion de combustibles fossiles tels
que le charbon, le pétrole et le gaz naturel. Cette augmentation s’est accéléré depuis la fin des
années 1950. Certains modèles estiment même qu’à la fin du XXIe siècle la terre sera plus chaude
de 2 à 5 degrés Celsius qu’en l’an 2000.

Enfin, les climato-sceptiques les plus obstinés estiment que même si le CO 2 augmente et qu’il y a
bien eu un réchauffement climatique, les deux ne sont pas reliés et ce n’est certainement pas dû au
CO2 libéré par les activités humaines. Le dioxyde de carbone est forcément lié à la hausse des
températures c’est un gaz à effet de serre. Un gaz à effet de serre récupère le rayonnement
infrarouge qui provient de la surface terrestre et l’irradie ensuite sous forme de chaleur ce qui a pour
effet de réchauffer l’atmosphère. Il existe d’autres gaz à effet de serre comme la vapeur d’eau (H 2O)
ou le méthane (CH4). C’est principalement grâce à cet effet physique que notre planète possède une
température permettant la vie. Un fait qu’il nous est impossible de nier est que les quantités de
dioxyde de carbone d’origine humaine sont ridicules en comparaison de celles émient par le reste de
la biosphère. En effet, les écosystèmes comme les océans ou les forêts relarguent plus de 700
milliards de tonnes de CO2 par an dans l’atmosphère ce qui est énorme comparé aux 40,6 milliards
libérés par les activités humaines comme la combustion de carburant par exemple. Cependant, le
cycle du carbone était plus ou moins à l’équilibre avant la révolution industrielle. Ce qui était émis
était ensuite réabsorbé par les océans ou les forêts. Ce n’est plus du tout le cas, les divers
écosystèmes réussissent à absorber 40 % de nos émissions de CO2 mais 60 % d’entre elles
s’accumulent dans l’atmosphère. Ce sont ces 60 % qui provoquent un réchauffement climatique
rapide.

Les conséquences du réchauffement climatique : un premier aperçu du monde de demain

Le réchauffement climatique a des conséquences majeures sur la biosphère et la vie des êtres
humains. Les écosystèmes sont perturbés par des changements dans les températures, les
précipitations et les événements météorologiques extrêmes, qui peuvent altérer les cycles de
croissance des plantes, la répartition des espèces et la disponibilité des ressources naturelles telles
que l'eau et la nourriture.
À titre d’exemple, la température de l’archipel du Svalbard a grimpé de 7 degrés Celsius en hiver
depuis les années 1970. Cet archipel qui subit de plein fouet le réchauffement climatique illustre
parfaitement ce que le monde va subir d’ici les prochaines décennies si rien ne change.

Le réchauffement climatique peut également affecter la santé humaine en augmentant la fréquence


et l'intensité des vagues de chaleur, des incendies de forêt, des sécheresses et des tempêtes. Ces
événements peuvent entraîner des décès, des maladies et des pertes économiques importantes.

En outre, le changement climatique peut avoir des effets indirects sur les sociétés humaines en
modifiant les conditions socio-économiques, politiques et culturelles. Par exemple, les
communautés qui dépendent des ressources naturelles telles que la pêche, l'agriculture et la
foresterie peuvent être durement touchées par les changements climatiques qui affectent leur
subsistance et leur mode de vie. Les migrations forcées, les conflits et les crises alimentaires
peuvent également survenir lorsque les ressources naturelles sont insuffisantes pour répondre aux
besoins des populations locales.

Une autre conséquence du réchauffement climatique est la libération de virus préhistoriques


emprisonnés dans le permafrost depuis très longtemps. Typiquement en 2016 il y a eu une épidémie
d’anthrax qui s’est déclarée en Sibérie. 2300 rennes sont morts et 90 personnes ont été infectées
dont un enfant qui en est mort. Cela a eu lieu à cause de la montée des températures. En effet, les
sols agissent comme des congélateurs géants et lorsque les températures grimpent des bactéries
peuvent ressurgir. Dans ce cas-là, c’est la décongélation d’un cadavre de renne mort de l’anthrax qui
a provoqué la propagation du virus.

En 2014 et en 2015 il y a des chercheurs de l’université d’Aix-en-Provence qui ont découvert de


tout nouveaux virus en décongelant un échantillon de sol sibérien âgé de 30 000 ans et ils ont
découvert plein de types de virus géants différents (les pandoravirus, les mimivirus, etc.). Selon eux
le fait que 2 types de virus différents puissent être réanimés depuis du permafrost préhistorique
devrait nous inquiéter dans un contexte de réchauffement climatique.

Il est important de prendre en compte ces conséquences et d’adopter des stratégies d'adaptation afin
de minimiser les impacts négatifs du changement climatique sur les écosystèmes, les sociétés et la
santé humaine. Les mesures d'atténuation, telles que la réduction des émissions de gaz à effet de
serre, sont également essentielles pour limiter l'ampleur du changement climatique et ses
conséquences sur notre planète et ses habitants.

Projection climatique : l’établissement de modèles prévisionnels

Les modèles climatiques sont des outils essentiels pour comprendre comment le climat de la Terre
évoluera à l'avenir. Ces modèles simulent les interactions complexes entre l'atmosphère, les océans,
les sols et les glaciers pour prédire les changements climatiques futurs en fonction de différents
scénarios d'émissions de gaz à effet de serre.

Les projections climatiques pour les décennies à venir indiquent une augmentation continue de la
température moyenne mondiale. Selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du
climat, si les émissions de gaz à effet de serre continuent d'augmenter au rythme actuel, la
température moyenne à la surface de la Terre pourrait augmenter de 3 à 5 degrés Celsius d'ici la fin
du siècle par rapport aux niveaux préindustriels. Cela entraînerait des conséquences potentiellement
graves pour la biodiversité, la sécurité alimentaire et la vie quotidienne des êtres humains comme
celles évoquées précédemment. Les modèles climatiques prévoient également une augmentation de
l'intensité et de la fréquence des événements météorologiques extrêmes tels que les canicules, les
tempêtes, les précipitations intenses et les sécheresses. Ces événements peuvent avoir des impacts
dévastateurs sur les populations locales, les infrastructures et les écosystèmes.

Les premiers effets du changement climatique sont observables dans l’arctique. La glace de mer (ou
banquise) diminue considérablement en superficie. Une des mesures les plus parlantes est de
regarder la superficie de la banquise en septembre lorsqu’elle est a son minimum. En 2016, la
superficie de la banquise correspondait à la moitié de la superficie de cette dernière au début des
années 1980. Sa superficie continue de diminuer d’environ 13 % chaque décennie et on estime
qu’autour de 2050 on sera en mesure de traverser le pôle nord par voie maritime sans toucher aucun
bout de glace à la fin de l’été. La disparition de la banquise contribue largement à l’amplification
polaire, un processus qui fait que l’accélération du réchauffement climatique au niveau des pôles est
2,5 fois plus rapide que dans les régions tempérées. La glace de mer sert de miroir pour renvoyer les
rayons du soleil dans l’espace et empêche donc cette énergie solaire de réchauffer les pôles.
L'albédo correspond à la part des rayonnements solaires qui sont renvoyés vers l'atmosphère.
Lorsque la banquise disparaît, la mer qui est autour capte beaucoup plus l’énergie solaire et, donc,
se réchauffe. Le réchauffement de l’océan Arctique accélère alors la disparition de la banquise et
ainsi de suite, on parle de boucle de rétroaction positive.

Les boucles de rétroaction positive sont importantes car elles permettent aux climatologues de
perfectionner les modèles climatiques donnant un aperçu du climat du futur. Parmi les boucles
connues on retrouve celle de la libération du méthane. 25 % de l’hémisphère nord est composé de
sols gelés qui constituent ce que l’on appelle le permafrost. Ces sols ont tendance à se dégeler avec
le réchauffement climatique entraînant la libération des méthanes qu’ils contiennent dans
l’atmosphère. En 2013 on a estimé qu’il y avait 17 millions de tonnes de méthane qui étaient libérés
chaque année dans l’atmosphère et que ce chiffre n’allait faire que grimper. D’ailleurs, la plus
grosse problématique est sans doute que le méthane a un potentiel d’effet de serre 34 fois plus
puissant que celui du CO2.

Néanmoins, il existe un scénario comprenant une boucle de rétroaction positive encore bien plus
effrayant : l’hypothèse du fusil à clathrates. Il est crucial de considérer qu’il y a aussi du méthane
stocké dans les sous-sols de l’Arctique, en dessous du permafrost. Ce méthane est emprisonné dans
des cristaux de glace qui, selon l’hypothèse du fusil à clathrates, pourraient fondre avec le
réchauffement climatique. Si ce méthane était libéré dans l’atmosphère, il augmenterait
immensément l’effet de serre. Une publication datant de 2008 a estimé que cette libération
correspondrait à 50 gigatonnes de méthane, soit à peu près à 12 fois la quantité de méthane actuelle
dans l’atmosphère. L’analogie du fusil signifie qu’une fois que la balle est partie on ne peut plus
l’arrêter et la grosse inquiétude est que si ces méthanes se libèrent on ne pourra plus rien faire pour
stopper leurs émissions. Pour autant, cette hypothèse qui a fait beaucoup de bruit quand elle est sorti
reste très critiquée dans la communauté scientifique car beaucoup pensent que le réchauffement ne
sera jamais assez important pour réchauffer les sédiments et donc libérer ces méthanes.

Pour autant, toutes les projections climatiques ne sont pas pessimistes, un article évoque un scénario
dans lequel des bactéries océaniques génèrent des aérosols qui pourraient favoriser la création de
nuages. Ces nuages pourraient ensuite avoir un impact positif sur le changement climatique en
augmentant l’albédo. Paradoxalement, le réchauffement climatique pourrait accélérer le
métabolisme de ces bactéries ce qui amplifierait cet effet.

Soyons clair, l’évolution du climat est un phénomène extrêmement complexe. Ainsi, les modèles
qui paraissent dans les rapports du GIEC restent très fiables mais n’incluent pas nécessairement
toutes ces boucles car elles sont beaucoup trop nombreuses. Les modèles climatiques ne sont pas
des prévisions exactes et il existe une certaine incertitude quant à la magnitude et à la chronologie
des changements climatiques futurs. De plus, les efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de
serre peuvent limiter l'ampleur du réchauffement climatique futur et de ses impacts.

Transition écologique : vers un avenir meilleur

Face à la gravité des conséquences du réchauffement climatique, la transition écologique est


devenue une priorité mondiale. Elle consiste à repenser notre modèle économique et à adopter des
modes de production et de consommation plus respectueux de l'environnement et du climat.
Plusieurs solutions sont envisageables pour opérer cette transition écologique, notamment la
réduction des émissions de gaz à effet de serre, l'adoption de technologies propres et l'amélioration
de l'efficacité énergétique.

La réduction des émissions de gaz à effet de serre peut être obtenue en limitant la combustion de
combustibles fossiles et en favorisant les énergies renouvelables, telles que l'énergie solaire et
éolienne. Des politiques d'incitation et de régulation peuvent également être mises en place pour
encourager les entreprises et les individus à réduire leur empreinte carbone. D'après le rapport
spécial du GIEC sur le réchauffement planétaire, il est nécessaire de réduire les émissions de gaz à
effet de serre (GES) de 45 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2010 pour limiter le
réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius. Pour atteindre cet objectif, il est indispensable de
réduire la consommation d'énergies fossiles et d'augmenter l'utilisation des énergies renouvelables.
Les énergies renouvelables sont une solution prometteuse pour réduire les émissions de GES. Selon
le rapport Renewables 2020 de l'Agence Internationale de l'Energie (AIE), la part des énergies
renouvelables dans la production d'électricité a augmenté de 7 % en 2004 à 26 % en 2018.
Cependant, cette part doit encore augmenter considérablement pour atteindre les objectifs de
l'Accord de Paris.

La mobilité est un autre secteur clé pour la transition écologique. L'adoption de technologies
propres, telles que les véhicules électriques, les bâtiments à énergie positive et les processus de
production économes en énergie, permet également de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Enfin, l'amélioration de l'efficacité énergétique, à travers l'isolation des bâtiments, la réduction des
pertes d'énergie et l'utilisation de technologies plus efficaces, peut également contribuer à limiter
l'impact du changement climatique. Selon le rapport Global EV Outlook 2020 de l'Agence
Internationale de l'Energie, il y avait plus de 7,2 millions de voitures électriques dans le monde en
2019, soit une augmentation de 40 % par rapport à l'année précédente. Cependant, les voitures
électriques ne représentent encore qu'une petite fraction du parc automobile mondial et leur
adoption doit être accélérée pour réduire les émissions de GES du secteur des transports.

Enfin, la transition écologique peut également passer par des changements dans les modes de
consommation, en privilégiant les produits locaux et de saison, en réduisant le gaspillage
alimentaire et en adoptant des comportements plus respectueux de l'environnement. La production
de nourriture est un secteur clé pour la transition écologique. D'après le rapport spécial du GIEC sur
l'utilisation des terres, l'agriculture est responsable d'environ 23 % des émissions de GES d'origine
humaine. Les pratiques agricoles durables, telles que l'agroécologie, peuvent réduire les émissions
de GES tout en améliorant la productivité agricole et la sécurité alimentaire.

En somme, la transition écologique est un enjeu majeur pour notre planète et notre survie à long
terme. Elle nécessite la collaboration de tous les acteurs, de la société civile aux entreprises et aux
gouvernements, pour mettre en place des politiques et des pratiques visant à réduire notre impact
sur le climat et à préserver notre planète pour les générations futures.

Bilan
Au vu des projections climatiques alarmantes pour l'avenir, il est devenu impératif d'agir rapidement
et efficacement pour limiter les impacts du changement climatique. Le réchauffement de la planète
entraîne des conséquences graves pour la biosphère et pour l'humanité, notamment la fonte des
glaces, la montée du niveau de la mer, l'augmentation de la fréquence et de l'intensité des
événements climatiques extrêmes, ainsi que la perte de biodiversité et la dégradation des
écosystèmes.

Cependant, il est encore possible de limiter ces impacts en agissant dès maintenant. La transition
écologique, avec des solutions telles que la réduction des émissions de gaz à effet de serre,
l'adoption de technologies propres et l'amélioration de l'efficacité énergétique, est la clé pour
inverser la tendance actuelle et préserver notre planète pour les générations futures.

Il est donc essentiel que tous les acteurs, de la société civile aux gouvernements en passant par les
entreprises, s'engagent dans cette transition écologique pour assurer un avenir durable pour la
planète et ses habitants.

En conclusion, le défi du changement climatique est majeur, mais il est encore temps d'agir. En
mettant en place des politiques et des pratiques plus respectueuses de l'environnement, nous
pouvons préserver notre planète et garantir un avenir meilleur pour tous.

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