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Département de géographie
Le réchauffement climatique
Réalisée par :
Mouna Khémiri:Groupe 2
Wissal Bouali : Groupe 2
Hiba Gharbi : Groupe 2
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Plan :
I. Introduction générale
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I. Introduction générale :
L’atmosphère est le siège des phénomènes climatiques.
Atmosphère : une couche de gaz qui entoure la terre et qui est maintenue
en place par la force de gravité, elle est principalement composée de gaz
tels que l’azote (78%), l’oxygène (21%) et l’argon (environ 0.9%).
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La lithosphère est également liée à l’environnement et climat de la terre.
Hydrosphère : est la partie de la terre qui est constituée d’eau sous ses
formes : océans, mers, lacs, rivières, eaux souterraines….
Cryo sphère : est la partie de la terre qui est constituée de glace et de neige,
elle réfléchit une grande partie des rayons du soleil, ce qui contribue à
maintenir la température de la terre à niveau supportable de la vie.
Biosphère : la partie de la terre qui regroupe l’ensemble des êtres vivants,
des plantes, des animaux et les micro-organismes ; les interactions entre ces
différents organismes et leur environnement.
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aussi plus il y a d’énergie disponible, les changements d’état du système
deviennent plus fréquentes ou intenses (violents).
La terre reçoit l’énergie du soleil, la partie du cette énergie n’est pas réfléchie
par l’atmosphère (les nuages) et agisse comme une couverture isolante autour de
la terre permettant à la planète de retenir la chaleur du soleil et de maintenir une
température moyenne qui est propice à la vie.
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II. Réchauffement climatique :
1) Introduction :
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On voit que les deux courbes, relativement bien corrélées jusqu’en 1950, ne
progressent plus de manière similaire sur la suite. Alors que la quantité
d’énergie solaire reçue par la Terre reste relativement stable, la courbe des
températures, elle, s’envole vers un bon degré supplémentaire ceci se traduit par
le début de la révolution industrielle.
Les effets de serre sont un phénomène naturel qui effet de serre absorbent la
chaleur dans l’atmosphère et contribuent à augmenter la température de la
planète.
-Les températures plus élevées : ce qui peut affecter la croissance des plantes et
des animaux.
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-La modification des cycles saisonniers : ce qui peut affecter la migration des
animaux et la floraison des plantes.
3) Conclusion :
Le réchauffement global est bien réel, il est important de noter que le
réchauffement est un phénomène mondial mais ses effets sont ressentis de
manière différente selon les régions du monde.
Il est essentiel que les gens comprennent ses effets et prennent des mesures pour
le prévenir.
L’essentiel de l’effet de serre existant sur notre planète est redevable à l’eau.
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(Livre l’Homme est-il responsable du réchauffement climatique ? ANDRE
LEGENDRE).
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1.2. Les microorganismes :
Un gaz à effet de serre et la matière organique conservée dans un sol (les débris
des plantes et animaux morts) devient accessibles aux microorganismes.
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En effet le réchauffement climatique augmente, c’est ce qu’on appelle une
boucle d’amplification.
1.4. Déforestation :
Les méthodes d’utilisation des terres ont radicalement changés au cours des
dernières années, car les forêts
sont actuellement supprimées, en
particulières tropiques, et utilisées
dans d’autres investissements.
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1.5. Activités agricoles :
Les activités agricoles telle que l’utilisation d’engrais, la culture de rizières, les
méthodes d’irrigation utilisées et autres entrainent une augmentation de la
concentration de gaz méthane dans l’atmosphère.
1.6. L’élevage :
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De plus, la contribution humaine à l’émission de gaz carbonique dans le
processus de fabrication du ciment est d’environ 5%, tandis que le reste du reste
résulte de la combustion de combustibles fossiles et les processus chimiques
associés au processus de fabrication, car environ 900kg de dioxyde de carbone
sont produits lorsque 1000kg de ciment sont produits.
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2. Facteurs à causes naturelles :
Il excite un certain nombre de facteurs naturels qui contribuent à
l’augmentation du pourcentage de gaz à effet de se
rre dans l’atmosphère car le pourcentage de gaz à effet de serre résultant de
processus naturels est relativement équilibré depuis des milliers d’années,
mais avec le changement de temps, il a changé, et certains de ces facteurs
sont mentionnés ci-dessous ;
Les termites, par leur processus de digestion, contribuent à l’augmentation
des émissions de méthane.
Les ruminants sauvages et les petits herbivores contribuent aux émissions
de méthane.
Les incendies de forêt contribuent à une augmentation de l’émission de
nombreux gaz nocifs, tel que le monoxyde de carbone, le méthane le dioxyde
de carbone, l’oxyde de nitreux et les oxydes d’azote en générale.
Les écosystèmes terrestres tels que les prairies, les forêts et les savanes
contribuent à l’augmentation des émissions d’oxyde nitreux.
L’eau douce comme les lacs, les ruisseaux, les rivières et les zones humides
émet des gaz à effet de serre tel que le méthane, l’oxyde nitreux et le dioxyde
de carbone.
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Activités volcaniques ; explosives ou effusives qui toutes deux occasionnent de
nombreuses manifestation en surface : les retombées de cendres et de ponces.
Dans les éruptions explosives, les tephras sont projetés dans l’atmosphère.
Le réchauffement climatique est considéré comme l'un des problèmes les plus
importants auxquels la planète est confrontée à l'époque actuelle, et de
nombreuses études et recherches ont étudié les effets des températures élevées et
du réchauffement climatique sur l'environnement.
Le sixième rapport du GIEC (Groupe D'experts intergouvernemental sur
l'évolution du climat qui évalue l'état des connaissances sur l'évolution du
climat, ses causes, ses impacts) de2021 constate que «des changements
largement répandus et rapides se sont manifestés dans l’atmosphère, l’océan, la
cryosphère et la biosphère».
On a plusieurs des conséquences de ce phénomène sur l’homme et
l’environnement.
La fonte des glace entraine une montée des eaux aussi l’augmentation du
volume des mers, à travers ce que l’on appelle la dilatation thermique conduite à
la disparition totale de certains continents et qui menace les iles du pacifique des
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Caraïbes et toutes les zones côtières
comme la Camargue même si les
mers et les océans se remplissent
toujours davantage, on constate
qu’ils perdent dans le même temps
leurs propriétés chimiques initiales.
Ils deviennent plus acides, l’oxygène s’y fait de plus en plus rare et les zones
mortes se propagent petit à petit avec des conséquences catastrophiques pour la
pêche mais surtout pour une infinité d’écosystèmes marins comme les coraux.
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Des risques d’incendies amplifiés par le réchauffement climatique :
Une étude menée par Météo France montre que les risques d’incendie devraient
augmenter dans les années à venir à cause de la sécheresse accrue. Cette année
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déjà, le mois de juillet a été le plus sec en France depuis 60 ans, faisant de l’été
2020 l’été de « tous les dangers » pour les feux de forêts.
L’année 2020 semble prendre le même chemin : le 1er semestre 2020 a été le
semestre le plus chaud jamais enregistré en Europe et le mois d’août est
désormais le 15ème mois consécutif (depuis juin 2019) à présenter une anomalie
de température positive par rapport à la moyenne 1981-2010.
Si les risques d’incendies sont amplifiés par les changements climatiques, ces
incendies vont à leur tour participer au réchauffement climatique, en dégageant
une forte pollution par les gaz à effet de serre. Les feux de forêt de 2015 en
Indonésie, particulièrement violents, avaient par exemple dégagé en cinq mois
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seulement autant de CO2 que les émissions de gaz à effet de serre françaises en
5 ans.
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La région sud-est de l'Amazonie, caractérisée par des savanes traversant de
longues périodes sèches, est la plus exposée au risque d'incendies à répétition. Si
les savanes concentrent à ce jour 90 % des incendies du bassin amazonien, cela
ne veut pas dire que la forêt pluviale est hors de danger. Le recul de la canopée
et la déforestation permettent à la lumière du soleil d'atteindre et d'assécher le
sol, recouvert de feuilles, de bois et de composés organiques qui, ensemble,
créent le parfait mélange pour un départ de feu.
Les perspectives sont particulièrement alarmantes pour les vastes régions arides
que l’on peut considérer comme étant en première ligne en ce qui concerne
l’adaptation au changement climatique. On « prévoit avec certitude » que dans
ces régions, le débit des cours d’eau baissera de plus de 50 % en raison de
précipitations plus faibles4. La quantité d’eau infiltrée dans les aquifères
diminuera aussi, menaçant les communautés qui dépendent des eaux
souterraines, ce qui est difficile à surveiller et à gérer.
Cependant, le défi est bien plus grand. Le changement climatique entraînera non
seulement une diminution des ressources en eau dans de nombreux lieux, mais
celles-ci seront aussi de plus en plus variables et imprévisibles. Des sécheresses
et des inondations plus fréquentes et plus graves, ayant des conséquences
importantes pour les nations riches et les nations pauvres, ont déjà touché des
populations et détruit les moyens de subsistance et les modes de production
traditionnels.
3. Les solutions:
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Développer les énergies renouvelables (= énergie solaire, éolienne,
géothermique) et le nucléaire.
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Utiliser les transports en commun et électriques.
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Modifier les pratiques agricoles.
V. Conclusion :
C’est grâce à l’effet de serre de ces gaz que la Terre bénéficie d’une
température moyenne « confortable » de 15°C. Sans eux, la température de la
Terre serait de -18°C, et la vie n’existerait peut-être pas.
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