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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA


RECHERCHE SCIENTIFIQUE

SCIENTIFIQUE

FACULTÉ DES SCIENCES


DEPARTEMENT DES PÉTROCHÉMIE

2022/2023
L’EFFET DE SERRE

du nombre d'étudiants :
Zouad Ayoub
Oudira Bassim
Bourekab Oussama
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L'effet de serre a toujours été, depuis les origines de la vie et même avant, une
composante essentielle et naturelle du climat de notre Terre. Sans lui, la
température moyenne serait de -18°C alors qu'à l'heure actuelle elle est de 15°C.
C'est donc un processus indispensable à une quelconque vie terrestre. A
l'inverse, l'augmentation récente de cet effet pourrait conduire à un dérèglement
climatique si aucune mesure n'est prise rapidement. Ce phénomène repose sur
différents Gaz à Effet de Serre (GES) présents dans l'atmosphère, le plus connu
étant le dioxyde de carbone (CO2), qui stoppent le rayonnement infrarouge se
dégageant de la surface terrestre et renvoie cette chaleur vers la surface du
globe. L'actuel réchauffement de la planète est dû à un accroissement rapide du
taux des GES dans l'atmosphère. Ce réchauffement pourrait conduire, si les
autorités et si chaque terrien ne réagit pas maintenant, à un dérèglement
climatique, avec tout ce que cela comporte de risques pour la biosphère et pour
l'humanité.

L’effet de serre est un processus naturel résultant de l’influence de


l'atmosphère sur les différents flux thermiques contribuant aux températures au
sol d'une planète. La prise en compte de ce mécanisme est nécessaire pour
expliquer les températures observées à la surface de la Terre et de Vénus. Dans
le système solaire, l'essentiel de l'énergie thermique reçue par une planète
provient du rayonnement solaire et, en l’absence d'atmosphère, une planète
rayonne idéalement comme un corps noir, l'atmosphère d'une planète absorbe et
réfléchit une partie de ces rayonnements modifiant ainsi l'équilibre thermique.
Ainsi l'atmosphère isole la Terre du vide spatial comme une serre isole
les plantes de l'air extérieur.

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L'expression effet de serre s'est popularisée dans le cadre de la vulgarisation
du réchauffement climatique causé par les gaz à effet de serre qui absorbent une
partie du rayonnement thermique1 infrarouge émis par la surface et réémettent ce
rayonnement dans toutes les directions. Une partie de ce rayonnement est ainsi
réémis vers la surface et s'ajoute au rayonnement solaire direct, ce qui augmente
la température de surface. La communauté scientifique des climatologues utilise
le terme forçage radiatif pour décrire l’influence des gaz à effet de serre sur le
bilan thermique de la Terre.

Les températures terrestres résultent d'interactions complexes, notamment entre


les apports solaires perturbés par les cycles de l'orbite terrestre, l'effet de
l'albédo, les courants de convection dans l'atmosphère et les océans, le cycle de
l'eau et le forçage radiatif de l'atmosphère.

Le soleil émet de l'énergie solaire sous forme de rayonnements. Les rayons


émis par le soleil traversent l'espace et l'atmosphère de la terre et réchauffent
ainsi naturellement les sols et les océans. La surface de la Terre absorbe
naturellement 70% des rayons du soleil tandis que le reste est naturellement
renvoyé vers l’espace sous l’effet de la réverbération. En effet, plus une surface
est claire plus elle réfléchit les rayons lumineux grâce à la réverbération. Ainsi,
une surface enneigée absorbe une faible quantité de rayons solaires, tandis qu'un
sol arboré absorbe la plupart des rayons du soleil.

Le rayonnement solaire absorbé est alors transformé en rayonnement infrarouge


et est restitué dans l’atmosphère. Une partie de ce rayonnement infrarouge est
alors à son tour renvoyée vers l’espace tandis que l’autre partie reste
emprisonnée dans l'atmosphère par les gaz à effet de serre.

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L’effet de serre est un phénomène qui s’applique à toutes les planètes dotées
d’une atmosphère comme la Terre ou Vénus.

Les Gaz à Effet de Serre (GES) sont des gaz naturellement présents dans
l’atmosphère. Ils absorbent une partie des rayons solaires et les redistribuent
ensuite sous la forme de radiations. Leur concentration croissante dans
l’atmosphère, due aux activités humaines, est à l’origine du réchauffement
climatique. Comme leur nom l’indique, ces gaz sont la cause principale de
l’effet de serre.

Les gaz responsables de l’effet de serre sont les suivants :

1. La vapeur d’eau (H2O) ;


2. Le dioxyde de carbone (CO2) ;
3. Le méthane (CH4) ;
4. Le protoxyde d’azote (N2O) ;

5. L’ozone (O3).

Les trois principaux gaz à effet de serre anthropiques qui contribuent à l'effet de
serre supplémentaire sont :

1. Le gaz carbonique (CO2) qui est responsable à lui seul de 65% de l'effet
de serre dû à l'Homme ce qui lui vaut la première place au classement,
2. Ensuite arrive le méthane (CH4) qui engendre 15% de l'effet de serre
additionnel,

3. Enfin, en troisième position arrivent à égalité l’ozone (O3) troposphérique


et les halocarbures.

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4.

Lorsque le rayonnement solaire atteint la Terre, une partie (environ 30 %) est


directement réfléchie, c'est-à-dire renvoyée vers l'espace, par l'atmosphère
terrestre et la surface de la Terre (océans et continents). L'albédo est la mesure
de cet effet de miroir. Les rayons incidents qui n'ont pas été réfléchis vers
l'espace sont absorbés par l'atmosphère (20,7 %) et la surface terrestre (51 %).

Le rayonnement solaire absorbé par la surface du sol lui apporte de


la chaleur qu'elle restitue à son tour, le jour comme la nuit, en direction de
l'atmosphère. Le transfert de chaleur entre la Terre et l'atmosphère se fait,
conformément au deuxième principe de la thermodynamique, du chaud (la terre)
vers le froid (l'atmosphère) ; il se fait par convection (réchauffement et
humidification de l'air au contact du sol puis ascension de cet air et libération de
la chaleur latente de la vapeur d'eau lorsqu'elle se condense en nuages) et sous
forme de rayonnements infrarouges lointains (dans la plage 8–
13 μm principalement, correspondant au « rayonnement du corps noir » pour la
température du sol). L'effet de serre ne s'intéresse qu'à ces rayonnements, qui
seront absorbés en partie par les gaz à effet de serre, ce qui contribue à
réchauffer l'atmosphère.

La chaleur contenue dans l'atmosphère est réémise dans toutes les directions
sous forme de rayonnement infrarouge ; une partie s'échappe vers l'espace, une
autre partie retourne vers la surface de la Terre et vient en déduction de l'apport
de chaleur de la surface vers l'atmosphère, donc s'oppose au refroidissement de
la surface.

Sans effet de serre (ce qui implique notamment : sans vapeur d'eau et sans
nuages), et à albédo constant, la température moyenne sur Terre chuterait
à −18 °C. Mais à cette température la glace s'étendrait sur le globe, l'albédo

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terrestre augmenterait, et la température se stabiliserait vraisemblablement en
dessous de −50 °C (voir glaciation Varanger).

Les gaz à effet de serre sont les composants gazeux de l'atmosphère qui
contribuent à l'effet de serre (l'atmosphère terrestre contient également des
composants non gazeux qui contribuent à l'effet de serre, comme les gouttes
d'eau des nuages). Ces gaz ont pour caractéristique commune d'absorber une
partie des infrarouges émis par la surface de la planète.

Pour la planète Terre, les principaux gaz à effet de serre sont la vapeur d'eau,
le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) et
l'ozone (O3). Les gaz à effet de serre industriels incluent les halocarbones lourds
(fluorocarbones chlorés incluant les CFC, les molécules de HCFC-22 comme
le fréon et le perfluorométhane) et l'hexafluorure de soufre (SF6).

Contributions approximatives à l'effet de serre des principaux gaz, d'après le


GIEC :

 vapeur d'eau : 60 %
 dioxyde de carbone : 26 %
 ozone : 8 %
 méthane et protoxyde d'azote : 6 % .

Les activités humaines génèrent des gaz à effet de serre, qui viennent s'ajouter
à ceux présents naturellement ce qui augmente leur concentration. Cela amplifie
l'effet de serre et entraîne le réchauffement climatique. L'augmentation de l'effet
de serre due aux activités anthropiques est appelé effet de serre additionnel.

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La chaleur stockée sur Terre par l’effet de serre additionnel est absorbé à 93 %
par l'océan, ce qui atténue l'augmentation de la température de l'atmosphère18.
L'océan global joue donc un rôle de thermostat planétaire et de contrôle des
grands équilibres naturels planétaires.

La plupart des gaz à effet de serre (GES) sont d'origine naturelle. Mais certains
d'entre eux sont uniquement dus à l'activité humaine ou bien leur concentration
dans l'atmosphère augmente en raison de cette activité. C'est le cas en particulier
de l'ozone (O3), du dioxyde de carbone (CO2) et du méthane (CH4). La preuve
que l'augmentation du CO2 atmosphérique est d'origine humaine se fait par
analyse isotopique.

Répartition des gaz à effet de serre anthropiques (dus aux activités humaines) 19 :

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L'ozone est fourni en grande quantité par l'activité industrielle humaine, alors
que les CFC encore largement utilisés détruisent, eux, l'ozone, ce qui fait que
l'on peut constater un double phénomène :

 une accumulation d'ozone dans la troposphère au-dessus des régions


industrielles ;
 une destruction de l'ozone dans la stratosphère au-dessus des pôles.

La combustion des carbones fossiles comme le charbon, le pétrole ou le gaz


naturel (méthane) rejette du CO2 en grande quantité dans l'atmosphère : la
concentration atmosphérique de gaz carbonique a ainsi augmenté de 137 ppm,
passant de la valeur pré-industrielle de 280 à 417 ppm aujourd'hui (2021). Un
des secteurs d'activités qui dégagent le plus de gaz à effet de serre est l'énergie :
à ce sujet, voir l'article énergie et effet de serre. Ces combustibles augmentent,
de plus, la concentration de gaz à effet de serre, car ils étaient enfouis dans le sol
depuis des milliers d'années ce qui a rompu l'équilibre. Il s'agit d'un ajout
additionnel de gaz carbonique dans l'atmosphère qui n'est pas non plus
complètement compensé par une assez grande absorption : seule la moitié serait
recyclée par la nature ; l'autre moitié resterait dans l'atmosphère et augmenterait
l'effet de serre.

La seconde cause d'émission de gaz à effet de serre est la déforestation, qui est
responsable à elle seule de 20 % des émissions mondiales. Les déboisements les
plus importants concernent les trois grandes forêts tropicales que sont la forêt
amazonienne, la forêt du bassin du Congo, et la forêt indonésienne. Il s'agit
d'une des plus grandes causes, car tout le carbone absorbé par ces arbres est
rediffusé dans l'air. S'il y avait replantation, cette quantité de dioxyde de carbone
serait réabsorbée par un autre arbre, mais sans replantation, alors il n'y a qu'un
ajout de la quantité de ce gaz dans l'air.

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Les activités humaines dégagent donc une abondance de GES : les scientifiques
du GIEC qui étudient le climat estiment que l'augmentation des teneurs en gaz
d'origine anthropique est à l'origine d'un réchauffement climatique.

En France, selon le groupe Facteur 4, les émissions de gaz à effet de


serre proviennent des transports pour 26 %, suivis de l’industrie (22 %), de
l’agriculture (19 %), des bâtiments et habitations (19 %), de la production et de
la transformation de l’énergie (13 %), et du traitement des déchets (3 %).
Depuis 1990, les émissions ont augmenté de plus de 20 % pour les transports et
les bâtiments. En revanche, elles ont diminué de 22 % dans l’industrie, de 10 %
dans le secteur agricole, de 9 % dans le secteur de l’énergie et de 8 % pour le
traitement des déchets.

Dans le cadre de la réduction des émissions de gaz à effet de serre engendré par
la circulation automobile, une étude réalisée pour le PREDIT a montré
l'influence des politiques de stationnement sur les possibilités de limiter la
génération de gaz à effet de serre. La démarche concerne les émissions liées à la
construction de places de stationnement, à l'exploitation des parkings et surtout à
la mobilité induite par l'offre de stationnement.

L'effet de serre n'est pas en soi nocif aux écosystèmes ; sans lui, la Terre ne
serait qu'une boule de glace où la vie ne serait pas possible, car il n'y aurait pas
d'eau liquide. Le danger pour les écosystèmes réside plutôt dans la variation trop
rapide et trop importante des conditions climatiques pour que la plupart des
espèces dites évoluées puissent s'adapter aux changements de température et
de pluviométrie. Des écosystèmes marins et littoraux pourraient également être
touchés par une hausse du niveau de la mer, par la modification des courants
marins et par les caractéristiques physico-chimiques de l'eau de mer (acidité,
taux de gaz dissous…).

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Les populations humaines seraient évidemment touchées par le réchauffement
climatique, la hausse du niveau de la mer entrainant la disparition d'importantes
métropoles et de vastes portions de pays. En outre, une hausse des températures
aide à la prolifération des insectes propageant des maladies infectieuses, qui
survivent mieux dans des milieux chauds et humides.

Le GIEC envisage, selon les scénarios, des augmentations de 1,5 °C à 6 °C pour


le siècle à venir en supposant que l'augmentation des rejets de GES continue au
rythme des 20 dernières années. Au lieu d'un ralentissement global des
émissions depuis la signature du protocole de Kyoto, celles-ci continuaient à
augmenter à un rythme croissant en 2018.Un arrêt total et immédiat des rejets de
carbone n'empêcherait cependant pas la température moyenne de la planète de
continuer à augmenter pendant plusieurs centaines d'années, car certains gaz à
effet de serre ne disparaissent de l'atmosphère que très lentement.

Le changement climatique génère des modifications profondes de notre


environnement, ce qui a des conséquences directes sur notre capacité physique à
évoluer en bonne santé dans cet environnement.

Pour illustrer ce lien entre changement climatique et santé, prenons l’exemple


des cas d’asthme en France. L’asthme est une maladie respiratoire caractérisée
par des crises, où la personne atteinte va soudainement souffrir de gêne
respiratoire : essoufflement, respiration sifflante, toux. Ces crises peuvent être
plus ou moins sévères, allant de la simple prise de médicaments à
l’hospitalisation.

L’asthme est directement lié à l’allergie : il est favorisé par la présence


d’éléments allergisants (pollens, acariens, poils d’animaux) dans
l’environnement de la personne asthmatique. Or, le changement climatique

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provoque déjà en France un allongement des périodes d’exposition aux pollens
allergisants : les périodes de pollinisation sont plus longues et plus intenses. Le
pourcentage de la population française touchée par des allergies au pollen a
triplé en 25 ans.

Ainsi, nous avons plus de personnes allergiques et susceptibles de développer ou


d’aggraver des symptômes asthmatiques et donc un besoin accru en suivi
médical, en médicaments voire en hospitalisation. En effet, aujourd’hui en
France, l’asthme touche environ 4 millions de personnes, est responsable de près
de 60 000 hospitalisations et de 1000 décès.En 2008, le coût annuel de l’asthme
était estimé à 1,5 milliards d’euros… Alors qu’il concernait à l’époque
“seulement” 3,5 millions de personnes !

Ce seul exemple de l’asthme n’est qu’un exemple parmi tant d’autres des
conséquences du réchauffement climatique sur la santé humaine. Bien d’autres
problématiques sanitaires sont à relever à l’échelle mondiale :

 Explosion des maladies à vecteurs,


 Propagation des virus,
 Développement des maladies cardiovasculaires,
 Augmentation des problèmes de santé liés à la détérioration de la qualité
de l’eau et de l’air (notamment intérieur).
 Augmentation de l’exposition à des allergènes dans l’air,
 Essor de l’impact des rayonnements ultraviolet (cancer et cataracte).

Nous pouvons également ajouter à cette liste les problématiques sanitaires


générées par les migrations de populations humaines forcées de quitter leur
territoire à cause du changement climatique. Ces migrations seront de plus en
plus nombreuses dans les années à venir.

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Ces différents facteurs laissent clairement présager des conséquences colossales
sur notre système de santé. Une politique plus ambitieuse de réduction des
émissions de gaz à effet de serre permettrait donc de prévenir l’explosion de ces
maladies et des coûts que celles-ci vont engendrer (admissions à l’hôpital,
dépenses en médicaments, jours de congés maladie). Il est donc urgent de
prendre conscience des enjeux pour agir. Agir sur le réchauffement climatique,
c’est aussi sauver notre système de santé et son financement. Il s’agit d’un acte
politique nécessaire et préventif.

réduire l'effet de serre à travers 5 actions individuelles:

 Réduire sa consommation de viande : l'élevage est un des principaux


secteurs émetteurs de gaz à effet de serre ;
 Manger des fruits et des légumes de saison : les fruits et de légumes hors
saison sont souvent cultivés sous des serres chauffées ;
 Recycler ses déchets : plastique, verre, carton, le recyclage permet de
revaloriser ses déchets ;
 Opter pour l'économie circulaire : adopter un mode de consommation
responsable pour limiter les externalités négatives sur l'environnement ;

 Passer à l'énergie verte et privilégier les énergies renouvelables tout en


gardant en tête que l'énergie la moins émettrice est celle qu'on ne
consomme pas !

En conclusion, il convient de combiner les mesures d’adaptation et


d’atténuation pour faire face à l’évolution du climat, mais nous manquons
d’informations sur les coûts et les avantages de l’adaptation

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Même les mesures d’atténuation les plus rigoureuses ne permettront pas d’éviter
toutes les conséquences de l’évolution du climat dans les prochaines décennies.
Nous commençons déjà à en voir certaines. L’adaptation est une nécessité,
surtout pour parer aux répercussions à court terme. En revanche, notre capacité
d’adaptation serait sans doute dépassée à longue échéance si l’évolution du
climat se poursuivait au même rythme.

Il est donc primordial d’élaborer un éventail de stratégies qui englobent


l’atténuation, l’adaptation, le développement technologique (pour renforcer
l’adaptation comme l’atténuation) et la recherche (sur le climat, les impacts,
l’adaptation et l’atténuation). L’analyse des avantages que peuvent présenter
diverses combinaisons de mesures est cruellement limitée par l’appréciation
insuffisante des coûts potentiels des impacts, le manque de données comparables
sur les dommages susceptibles d’être évités grâce à l’adaptation et, surtout, la
compréhension imparfaite de la manière dont les effets varieront en fonction des
modes de développement socio-économique. Il est important et urgent de
combler ces lacunes.

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