mini projet machine thermique EEIER

- Asma Ben Aramou

- Asmae Touraoui
- Basma Ibn khaldoun
- khawla Elkaouri
- Widad Zeggani

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version française

A.L’état actuel du climat

Les nouvelles simulations de modèles climatiques, les nouvelles analyses ainsi que la
combinaison de plusieurs sources de données conduisent à une meilleure
compréhension de l'influence humaine sur le changement climatique, y compris les
extrêmes météorologiques et climatiques. Et c’est à cause de cette influence humaine
sur l’atmosphère, l'océan , la terre, que des changements dans l'atmosphère, l'océan,
la cryosphère et la biosphère se sont produits . En guise d’exemple, les augmentations
observées des concentrations de gaz à effet de serre (GES). La température
superficielle mondiale au cours des deux premières décennies du 21e siècle (2001-
2020) était de 0,99 [0,84 à 1,10] °C supérieur aux années 1850–1900. En plus du
recul global des glaciers et de la diminution de l'Arctique (zone de glace de mer) entre
1979-1988 et 2010-2019. Le niveau moyen global de la mer a augmenté de 0,20 [0,15
à 0,25] m entre 1901 et 2018.

En outre, il est pratiquement certain que les émissions de CO2 d'origine humaine sont
le principal moteur de la crise mondiale actuelle et l'acidification de la surface de
l'océan ouvert.

Les graphes ci-dessous traduisent l’évolution de la température de l’année 1850-

2020.

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En 2019, les concentrations atmosphériques de CO2 , de f CH4 et N2O étaient plus

élevées qu'à tout moment.
Il est pratiquement certain que les températures extrêmes (y compris les vagues de
chaleur) sont devenues plus fréquentes et plus intenses dans la plupart des pays.
Tandis que les extrêmes de froid (y compris les vagues de froid) sont devenus moins
fréquents et moins sévères, avec une confiance élevée dans le fait que le changement
climatique induit par l'homme est le principal facteur de ces changements.

Influence du changement climatique sur toutes les régions du monde

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B. les possibilités climatique au future:

Cinq nouveaux scénarios d'émissions illustratifs sont pris en considération car ils
conduisent à des projections de modèles climatiques des changements dans le
système climatique. Ces projections tiennent compte de l'activité solaire et du forçage
de fond des volcans. Les résultats sur le 21e siècle sont fournis pour le court terme
(2021-2040 ), à moyen terme (2041-2060) et à long terme (2081-2100) par rapport à
1850-1900.
La température de surface mondiale continuera d'augmenter au moins jusqu'au milieu
du siècle et le réchauffement climatique de 1,5°C et 2°C sera dépassé au cours du
21e siècle, à moins que des réductions importantes des émissions de CO2 et d'autres
gaz à effet de serre ne se produisent dans les décennies à venir.

Au cours d'une même année, la température de surface globale peut varier au-dessus
ou en dessous de la tendance à long terme induite par l'homme, en raison d'une
variabilité naturelle importante.28 L'occurrence d'années individuelles avec un
changement de température de surface globale au-dessus d'un certain niveau, par
exemple 2°C par rapport à 1850-1900 n'implique pas que ce niveau de réchauffement
global a été atteint.
augmentation de la fréquence et de l'intensité des extrêmes chauds, des vagues de
chaleur marines, des fortes précipitations, des sécheresses agricoles et écologiques
dans certaines régions, la proportion de cyclones tropicaux intenses et la réduction de
la banquise arctique, de la couverture de neige et du pergélisol deviennent plus
importantes en relation directe avec l'augmentation échauffement.
Ces changements dans les extrêmes continuent de s'amplifier dans la température
moyenne régionale, les précipitations et l'humidité du sol à chaque augmentation
supplémentaire du réchauffement climatique.

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En outre, le cycle mondial de l'eau continuera de s'intensifier à mesure que les

températures mondiales augmentent, les précipitations et les débits d'eau de surface
devant devenir plus variables sur la plupart des régions terrestres au cours des
saisons et d'une année à l'autre.
Selon les scénarios d'augmentation des émissions de CO2, les puits de carbone
océaniques et terrestres devraient être moins efficaces pour ralentir l'accumulation de
CO2 dans l'atmosphère ; la proportion des émissions absorbées par les terres et les
océans diminue avec l'augmentation des émissions cumulées de CO2.

Les changements dans l'océan, les calottes glaciaires et le niveau mondial de la mer,
causés par les émissions passées et futures de gaz à effet de serre, sont irréversibles
à des échelles de temps allant du centenaire au millénaire. La stratification,
l'acidification et la désoxygénation des océans continueront d'augmenter au XXIe
siècle, à des rythmes dépendant des émissions futures. Les activités humaines sont
également l'une des causes ultimes des principales composantes du système
climatique.

C. informations climatique pour l'évaluation des risques et l adaptation

régionale :
Des études sur le climat montrent que les facteurs qui influencent le système
climatique sont l'influence humaine, les facteurs naturels et la variabilité interne et les
résultats obtenus permettent l'évaluation des risques liés au climat et la planification
de l'adaptation.

Les facteurs naturels et la variabilité interne régulent les changements causés par
l’homme à l'échelle régionale et à court terme.

Ces modulations doivent être prises en compte lors de la planification complète de

modifications possibles.
La variabilité interne qui est un facteur qui influence les changements au niveau de la
température qui va à la fois renforcé et masqué les changements à long termes
causés par l'homme, il affecte aussi les extrêmes et les précipitations moyennes
causées par l'homme qui vont aussi amplifiés, ou atténués en fonction des effets de la
variabilité interne.

Les changements climatiques au niveau régional, en faisant la distinction entre un

réchauffement climatique de 2 °C et de 1,5 ° en ce qui concerne la déclaration générale
sur la poursuite du réchauffement climatique qui devrait augmenter les changements
simultanés et multiples des conditions climatiques dans chaque région, avec des
changements plus répandus à 2˚C et au-dessus par rapport au réchauffement de 1,5˚

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Les changements prévus dans les facteurs d'impact climatique, des changements, tels
que des changements projetés dans les fortes précipitations et les inondations
associées et dans les différents types de sécheresses à un réchauffement climatique
de 1,5°C, et un dépassement plus fréquent des seuils de chaleur extrême, étant plus
importants à 2 ̊C qu'à 1,5 ˚C et affectant toutes les régions. Certaines régions
devraient connaître de nouvelles augmentations des facteurs d'impact climatique
chauds et certaines connait des diminutions des facteurs d'impact climatique froids,
l'intensité et la fréquence des seuils de chaleur extrême augmentent à des
températures plus élevées.

Il est pratiquement certain qu’une élévation moyenne du niveau de la mer se

poursuivra tout au long du 21ème siècle. Certaines régions affichent actuellement une
élévation accélérée du niveau de la mer, le taux d'élévation varie selon les scénarios
d’émissions.

Les facteurs d'impact climatique (CID) : sont des conditions physiques du système
climatique qui affectent un élément de la société ou des écosystèmes. Selon la
tolérance du système, Les CID et leurs modifications peuvent être préjudiciables,
bénéfiques, neutres ou un mélange de chacun à travers des éléments et des régions
du système en interaction. Les types de CID comprennent la chaleur et le froid,
l'humidité et la sécheresse, le vent, la neige et la glace, l'océan côtier et ouvert.
Les CID sont regroupés en sept types, qui sont résumés sous les icônes de la figure.
Toutes les régions devraient connaître des changements dans au moins 5 CID.
Presque tous (96%) devraient connaître des changements dans au moins 10 CID et la
moitié dans au moins 15 CID.

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L'effondrement de la calotte glaciaire, les changements soudains de la circulation

océanique et certains événements extrêmes composés font partie des évaluations des
risques mondiaux et régionaux d'occurrences possibles.
Ces résultats à faible probabilité et à réchauffement élevé sont associés à des impacts
très importants, tels que des vagues de chaleur, des précipitations abondantes plus
intenses et des risques humains et des écosystèmes plus fréquents et plus élevés,
même avec un réchauffement climatique dans la fourchette très probable d'un
scénario d'émissions d’un gaz à effet de serre donné. Cette probabilité augmente à
mesure que les niveaux de réchauffement climatique augmentent.

axe D : comment limiter le changement climatique :

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lorsqu' on considère la situation climatique actuelle et le degré du changement

climatique , une régulation de l' air est nécessaire . Cette régulation a pour but de
limiter l' accumulation des émissions des gaz à effet serre ce qui nous permettra de
mettre une rupture au réchauffement climatique causé par les activités humaines ,
bien qu' ameliorer la qualite d air . On parle de limitation des gaz à effet serre car les
statistiques montrent que l' augmentation du pourcentage de co2 dans l'atmosphère
coïncide avec l' augmentation de la température .

ainsi on parle de séquestration de co2 ,dont le but est de capter le co2 de l air est le
piger dans des réservoirs , cette méthode diminue le pourcentage de co2 dans
l'atmosphère ainsi diminue la température terrestre bien que ameliore la qualite de l air
et inverse l effet de l' acidification des océans .

Or cette méthode peut influencer la disponibilité et la qualité de l' eau et la production

de la nourriture et la biodiversité . Cette méthode reste vitale pour stabiliser la
température terrestre , or elle ne peut pas inverser l' augmentation du taux de l' eau
des océans , ni améliorer la qualité de l' air dans des endroits gravement pollués .En
conclusion, des scénarios avec un faible pourcentage de gaz à effet de serre dans l'air
auraient des effets rapides et soutenus pour limiter le changement climatique causé
par l'homme.

version anglaise

A- The Current State of the Climate

New climate model simulations, new analyses, and methods combining multiple lines
of evidence lead to improved understanding of human influence on a wider range of
climate variables, including weather and climate extremes. It is unequivocal that
human influence has warmed the atmosphere, ocean and land. Widespread and rapid
changes in the atmosphere, ocean, cryosphere and biosphere have occurred. For
example, Observed increases in well-mixed greenhouse gas (GHG) concentrations .
Global surface temperature8 in the first two decades of the 21st century (2001–2020)
was 0.99 [0.84 to 1.10] °C higher than 1850–1900. In addition to the decrease in Arctic
sea ice area between 1979–1988 and 2010–2019 and the global mean sea level
increased by 0.20 [0.15 to 0.25] m between 1901 and 2018.

It is virtually certain that human-caused CO2 emissions are the main driver of current
global acidification of the surface open ocean.

The graphs below reflect the evolution of the temperature for the year 1850-2020.

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In 2019, atmospheric CO2 concentrations were higher than at any time in at least 2
million years (high confidence), and concentrations of CH4 and N2O were higher than
at any time.

It is virtually certain that hot extremes (including heatwaves) have become more
frequent and more intense across most land regions since the 1950s, while cold
extremes (including cold waves) have become less frequent and less severe, with high
confidence that human-induced climate change is the main driver of these changes.
Influence of climate change on all regions of the world

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B. Possible Climate Futures

Five new illustrative emissions scenarios are taken in consideration because they lead
climate model projections of changes in the climate system.These projections take into
account solar activity and background forcing from volcanoes.Results over the 21st
century are provided for the near term (2021–2040), mid-term (2041–2060) and long
term (2081–2100) relative to 1850–1900.
Global surface temperature will continue to increase until at least mid-century and
global warming of 1.5°C and 2°C will be exceeded during the 21st century unless deep
reductions in CO2 and other greenhouse gas emissions occur in the coming decades.
In any single year,global surface temperature can vary above or below the long-term
human-induced trend, due to substantial natural variability.28 The occurrence of
individual years with global surface temperature change above a certain level, for
example 1.5°C or 2°C, relative to 1850–1900 does not imply that this global warming
level has been reached.
increases in the frequency and intensity of hot extremes, marine heatwaves, heavy
precipitation, agricultural and ecological droughts in some regions,,the proportion of
intense tropical cyclones and reductions in Arctic sea ice, snow cover and permafrost
become larger in direct relation to increasing global warming.
These changes in extremes continue to become larger in regional mean temperature,
precipitation and soil moisture with every additional increment of global warming.
In addition, the global water cycle will continue to intensify as global temperatures rise,
with precipitation and surface water flows projected to become more variable over
most land regions within seasons and from year to year.
Under scenarios with increasing CO2 emissions, the ocean and land carbon sinks are
projected to be less effective at slowing the accumulation of CO2 in the atmosphere;
the proportion of emissions taken up by land and ocean decrease with increasing
cumulative CO2 emissions.
Changes in the ocean, ice sheets and global sea level, caused by past and future
greenhouse gas emissions , are irreversible on centennial to millennial time scales.
Ocean stratification, ocean acidification and ocean deoxygenation will continue to
increase in the 21st century, at rates dependent on future emissions. Human activities
are also one of the ultimate causes of the major climate system components.

C. climate information for risk assessment and regional adaptation:

Climate studies show that the factors influencing the climate system are human
influence, natural factors and internal variability and the results obtained allow climate
risk assessment and adaptation planning.
Natural factors and internal variability regulate man-made changes at regional and
short-term scales.

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These modulations must be taken into account when fully planning possible
modifications.
Internal variability which is a factor influencing changes in temperature which will both
reinforce and mask long-term human-caused changes, it also affects extremes and
average human-caused precipitation which will also be amplified or attenuated
depending on the effects of internal variability.
Climate changes at the regional level, distinguishing between 2°C and 1.5° global
warming with respect to the general statement about continued global warming that is
expected to increase simultaneous and multiple changes in climate conditions in each
region, with more widespread changes at 2˚C and above compared to 1.5˚ warming
Projected changes in climate impact factors, with changes, such as projected changes
in heavy precipitation and associated flooding and in different types of droughts at
1.5°C climate warming, and more frequent exceedance of extreme heat thresholds,
being greater at 2 ̊C than at 1.5 ˚C and affecting all regions. Some regions are
expected to experience further increases in warm climate impact factors and some
experience decreases in cold climate impact factors, with the intensity and frequency
of extreme heat thresholds increasing at higher temperatures.
It is virtually certain that average sea level rise will continue throughout the 21st
century. Some regions are currently experiencing accelerated sea level rise, with the
rate of rise varying under different emissions scenarios.
Climate Impact Factors (CIDs): are physical conditions in the climate system that
affect an element of society or ecosystems. Depending on the tolerance of the system,
DICs and their changes can be detrimental, beneficial, neutral, or a mixture of each
across interacting system elements and regions. Types of DIC include heat and cold,
wet and dry, wind, snow and ice, coastal and open ocean. DICs are grouped into
seven types, which are summarized under the icons in the figure. All regions are
expected to experience changes in at least 5 DICs. Almost all (96%) are expected to
experience changes in at least 10 DICs and half in at least 15 DICs.

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Ice sheet collapse, sudden changes in ocean circulation and some compound extreme
events are part of the global and regional risk assessments of possible occurrences.
These low-probability, high-warming outcomes are associated with very large impacts,
such as heat waves, more intense heavy rainfall, and more frequent and higher human
and ecosystem hazards, even with global warming in the range. very likely of a given
greenhouse gas emissions scenario. This probability increases as levels of global
warming increase.

D.limiting future climate change :

Considering the current climate pollution and change , regulation of air pollution
control is indispensable . In order to limit global warming caused by human activities as

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well as improve the air quality it is vital to limit the accumulation of greenhouse gas
emissions.
It is important to limit especially greenhouse gasses since as statistiques show, the
percentage of CO2 accumulated rises as the global surface temperature rises
simultaneously .

Therefore it is adequate to talk about Anthropogenic CO2 removal (CDR) ,which aims
to remove the CO2 from the atmosphere and store it in reservoirs . This method can
lower percentage of co2 in atmosphere thus decreasing the global surface
temperature and improving air quality , it can also reverse surface ocean acidification

However this method can also influence water availability and its quality as well as
food production and biodiversity. It is also important to note that this method is vital to
stabilize global temperatures ,but the other effects of greenhouse emission would take
longer to reverse such as sea level rise due to co2 emissions , or the highly polluted
area in which extraction of co2 would take longer to achieve good air quality .

In conclusion scenarios with low greenhouse percentage in the air would have rapid
and sustained effects to limit human-caused climate change.

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