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Plan de travail :

1. Introduction
2. Réchauffement climatique
3. les causée du réchauffement climatique
4. les Effets du changement climatique

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Introduction:
La question du réchauffement climatique est depuis plusieurs années à l’ordre du jour
des informations destinées au grand public, mais aussi des travaux et colloques
internationaux des experts en climatologie, dont le GIEC (ou IPCC en anglais) est le plus
caractéristique. Pourtant, nombreux encore sont ceux qui manifestent un grand
scepticisme envers cette problématique qu’ils considèrent comme un engouement
médiatique, un effet de mode, et même une manipulation des masses par quelques
décideurs ou industriels désireux de bien vendre l’écologie voire de chercher une
« gouvernance mondiale ». A l’autre extrême, nombreux aussi sont ceux qui
considèrent le réchauffement climatique comme le signe manifeste d’une
évolution catastrophique de notre planète et de tout ce qu’elle abrite, dont notre
humanité. D’un côté comme de l’autre, il faut insister sur l’idée que la connaissance
scientifique des faits, et les conséquences en termes de décisions à prendre, ne
sauraient se satisfaire d’être une seule question d’opinions. Ce qu’elles demandent
avant tout, pour se forger un avis, c’est désapproprier les bases qui permettent de
comprendre le problème, et en particulier les termes et les hypothèses employés. Cet
effort est rarement exigé lorsqu’au grand public sont présentées toutes faites les
conclusions « clé en main ». Le « prêt à conclure » n’est pas une bonne méthode
de connaissance et d’action auprès des gens qui veulent, par leur raison et leur
intelligence d’hommes et de femmes libres, être de véritables « éco citoyens ». Face,
d’une part, à l’angélisme ou au scepticisme de ceux qui rejettent en bloc l’idée du
réchauffement climatique, et, d’autre part, au catastrophisme de ceux qui la brandissent
sous l’aspect de la terreur écologique, il convient, de la part de tout homme et femme
de science, et plus généralement de tout homme et femme raisonné, de se demander si
chacun d’entre nous possède bien les bases scientifiques et techniques pour apprécier
ce qui est présenté à ce sujet. C’est ce que se donne de faire, à son très humble niveau,
le présent article

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1- Le ré chauffement climatique:
Le réchauffement climatique, également nommé « changement climatique » ou encore
« dérèglement climatique », est l'augmentation rapide de la température moyenne de la
surface terrestre en cours aux xxe et xxie siècles ainsi que, plus généralement, la
modification des régimes météorologiques à grande échelle qui en résulte. L'une
comme l'autre sont attribuées aux émissions de gaz à effet de serre d'origine humaine :
bien qu'il y ait eu précédemment des périodes de changement climatique, celui en cours
depuis le milieu du xxe siècle et provoqué par les activités humaines a des conséquences
sans précédent sur le système climatique de la Terre.

Le dioxyde de carbone (CO2) et le méthane (CH4) représentent 90 % des émissions de


gaz à effet de serre dues aux activités humaines. La combustion de combustibles fossiles
comme le charbon, le pétrole et le gaz naturel pour la production d'énergie est la
principale source de ces émissions, à laquelle s'ajoutent des contributions de
l'agriculture, de la déforestation et de l'industrie. La cause humaine du changement
climatique fait l'objet d'un consensus scientifique. L'augmentation de la température est
accélérée ou tempérée par les rétroactions climatiques, telles que la perte de
couverture de neige et de glace réfléchissant la lumière du soleil, l'augmentation de la
vapeur d'eau (un gaz à effet de serre lui-même) et les modifications des puits de
carbone terrestres et océaniques.

L'augmentation de la température sur les terres émergées est environ le double de


l'augmentation moyenne mondiale et entraîne l'expansion des déserts ainsi que des
vagues de chaleur et des feux de forêt plus fréquents. La hausse des températures est
également amplifiée dans l'Arctique, où elle contribue à la fonte du pergélisol, au recul
des glaciers et à la perte de glace de mer. Les températures plus chaudes augmentent
les taux d'évaporation, ce qui provoque des tempêtes plus intenses et des conditions
météorologiques extrêmes. Les impacts sur les écosystèmes comprennent la migration
ou l'extinction de nombreuses espèces à mesure que leur environnement change, en
particulier dans les récifs coralliens, les montagnes et l'Arctique. Le changement
climatique menace les populations d'insécurité alimentaire, de pénurie d'eau,
d'inondations, de maladies infectieuses, de chaleur extrême, de pertes économiques,
voire de la nécessité de migrer. Ces impacts ont conduit l'Organisation mondiale de la
santé à désigner le changement climatique comme « la plus grande menace pour la
santé mondiale » au xxie siècle.

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Même si les efforts visant à minimiser le réchauffement futur aboutissaient, certains
effets se poursuivront pendant des siècles, notamment l'élévation du niveau de la mer,
la hausse des températures des océans et l'acidification des océans.

Nombre de ces impacts se font déjà sentir au niveau actuel de réchauffement, qui est de
plus de 1,2 °C en moyenne au niveau mondial. Le Groupe d'experts
intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a publié une série de rapports qui
prévoient une augmentation significative de ces impacts quand le réchauffement
mondial dépassera 1,5 °C et encore bien plus importante s'il atteint 2 °C. Un
réchauffement supplémentaire augmente également le risque de déclencher des seuils
critiques appelés points de basculement.

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2-les causé e du ré chauffement
climatique :
1-Production d’énergie :

La production d’électricité et de chaleur par la combustion de combustibles fossiles est à


l’origine d’une grande partie des émissions mondiales. La majeure partie de l’électricité
est encore produite par la combustion de charbon, de pétrole ou de gaz, ce qui génère
du dioxyde de carbone et de l’oxyde nitreux, puissants gaz à effet de serre qui
enveloppent la Terre et retiennent la chaleur du soleil. À l’échelle mondiale, un peu plus
d’un quart de l’électricité provient de sources renouvelables (énergie éolienne, énergie
solaire et autres) qui, contrairement aux combustibles fossiles, ne rejettent que peu ou
pas de gaz à effet de serre ou de polluants dans l’air.

2-Fabrication de produits:

Le secteur manufacturier et l’industrie génèrent des émissions, principalement dues à la


combustion de combustibles fossiles pour produire l’énergie nécessaire à la fabrication
de produits tels que le ciment, le fer, l’acier, les composants électroniques, les matières
plastiques, les vêtements et d’autres biens. L’exploitation minière et d’autres processus
industriels libèrent également des gaz, tout comme l’industrie de la construction. Les
machines utilisées dans les processus de fabrication fonctionnent généralement au
charbon, au pétrole ou au gaz et certains matériaux, comme les plastiques, sont
fabriqués à partir de produits chimiques issus de combustibles fossiles. L’industrie
manufacturière est l’une des principales sources d’émissions de gaz à effet de serre dans
le monde.

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3-Abattage de forêts :

L’abattage de forêts pour faire place à des exploitations agricoles ou à des pâturages, ou
pour d’autres raisons, entraîne des émissions. En effet, les arbres, une fois coupés,
libèrent le carbone qu’ils ont stocké. Chaque année, environ 12 millions d’hectares de
forêt sont détruits. Étant donné que les forêts absorbent le dioxyde de carbone, leur
destruction limite également la capacité de la nature à empêcher les émissions dans
l’atmosphère. La déforestation, associée à l’agriculture et à d’autres changements
d’affectation des sols, est à l’origine d’environ un quart des émissions mondiales de gaz
à effet de serre.

4-Utilisation de moyens de transport:

Les voitures, les camions, les navires et les avions sont pour la plupart alimentés par des
combustibles fossiles. De ce fait, les transports constituent une source importante
d’émissions de gaz à effet de serre et notamment de dioxyde de carbone. La majeure
partie est imputable aux véhicules routiers, en raison de la combustion de produits
dérivés du pétrole, comme l’essence, dans des moteurs à combustion interne.
Toutefois, les émissions des navires et des avions continuent de croître. Les transports
sont à l’origine de près d’un quart des émissions mondiales de dioxyde de carbone liées
à l’énergie et les tendances laissent présager une augmentation importante de la
consommation d’énergie dans ce secteur au cours des années à venir.

5-Production de denrées alimentaires :

La production de denrées alimentaires entraîne des émissions de dioxyde de carbone,


de méthane et d’autres gaz à effet de serre de diverses manières, notamment à travers
la déforestation et le défrichage des terres pour l’agriculture et le pâturage, la digestion
des bovins et des ovins, la production et l’utilisation d’engrais et d’effluents d’élevage
pour les cultures, et l’utilisation d’énergie pour faire fonctionner les équipements
agricoles ou les bateaux de pêche, généralement au moyen de combustibles fossiles. En
raison de tous ces éléments, la production de denrées alimentaires constitue un facteur
important du changement climatique. En outre, les activités de conditionnement et de
distribution des denrées sont également à l’origine d’émissions de gaz à effet de serre.

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6-Alimentation des bâtiments en énergie :

À l’échelle mondiale, les bâtiments résidentiels et commerciaux consomment plus de la


moitié de l’électricité. Étant donné que le charbon, le pétrole et le gaz naturel
continuent d’y être utilisés pour le chauffage et la climatisation, ces bâtiments émettent
des quantités importantes de gaz à effet de serre. Ces dernières années, l’accroissement
de la demande en énergie pour le chauffage et la climatisation, associé à une
augmentation du taux d’équipement en climatiseurs, ainsi que la hausse de la
consommation d’électricité pour l’éclairage, les appareils et les dispositifs connectés,
ont entraîné une augmentation des émissions de dioxyde de carbone liées à l’énergie
dans les bâtiments.

7-Surconsommation:

Le logement dans lequel on vit, l’énergie que l’on consomme, le mode de déplacement
que l’on utilise, ce que l’on mange et la quantité de déchets que l’on met au rebut sont
autant d’éléments qui contribuent aux émissions de gaz à effet de serre. Il en va de
même des biens que l’on consomme, tels que les vêtements, les appareils électroniques
et les matières plastiques. Une grande partie des émissions mondiales de gaz à effet de
serre est liée aux particuliers. Nos modes de vie ont une incidence profonde sur notre
planète. Les personnes les plus riches portent la plus grande responsabilité : ensemble,
celles qui constituent le 1 % le plus aisé de la population mondiale sont à l’origine de
plus d’émissions de gaz à effet de serre que les 50 % de personnes les plus
défavorisées./p>

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8-Les gaz à effet de serre naturels :

Parfois, on parle aussi des causes naturelles du réchauffement climatique. Il est vrai que
certains phénomènes peuvent influencer l’effet de serre et contribuer encore à causer
du réchauffement climatique. Mais il faut garder à l’esprit que ces phénomènes sont
bien souvent marginaux par rapport aux émissions de CO2 humaines. Pire, ils sont
parfois la conséquence des émissions de CO2 humaines.

Par exemple, la fonte du permafrost dans certaines zones froides de la planète a pour
effet de dégager dans l’atmosphère de grandes quantités de méthane qui étaient
jusque-là stockées dans les sols. Si ce phénomène peut sembler « naturel » au premier
abord, il est en fait causé par les émissions de CO2 humaines et le réchauffement
qu’elles impliquent. En fait, en émettant du CO2 dans l’atmosphère on augmente la
température, ce qui fait fondre le permafrost et amplifie encore le réchauffement
climatique.

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3-les Effets du changement
climatique:
1-Températures plus élevées :

L’augmentation des concentrations en gaz à effet de serre se traduit par une hausse de
la température à la surface du globe. La dernière décennie, de 2011 à 2020, a été la plus
chaude jamais enregistrée. Depuis les années 1980, chaque décennie a été plus chaude
que la précédente. Sur presque toutes les surfaces émergées, la fréquence des jours de
chaleur et des canicules augmente. La hausse des températures entraîne une
augmentation des maladies liées à la chaleur et rend le travail en plein air plus difficile.
Les incendies de forêt se déclenchent plus facilement et se propagent plus rapidement
dans des conditions plus chaudes. Dans l’Arctique, par rapport à la moyenne mondiale,
les températures ont augmenté au moins deux fois plus vite.

2-Tempêtes plus violentes :

Les tempêtes destructrices sont devenues plus intenses et plus fréquentes dans de
nombreuses régions. Du fait de la hausse des températures, une plus grande quantité
d’humidité s’évapore, ce qui aggrave les précipitations extrêmes et les inondations et
provoque des tempêtes plus dévastatrices. Le réchauffement des océans a également
une incidence sur la fréquence et l’ampleur des tempêtes tropicales. Les eaux chaudes
de surface alimentent les cyclones, les ouragans et les typhons. Bien souvent, ces
phénomènes détruisent des habitations et des communautés, entraînant des pertes
humaines et économiques considérables.

3-Augmentation des sécheresses :

Le changement climatique influe sur la disponibilité de l’eau, qui devient plus rare dans
un plus grand nombre de régions. Le réchauffement climatique aggrave les pénuries
d’eau dans des régions déjà en proie à des problèmes d’approvisionnement en eau ; il
entraîne des risques accrus de sécheresse agricole néfaste pour les cultures et de
sécheresse écologique rendant les écosystèmes plus vulnérables. Les sécheresses
peuvent également provoquer des tempêtes de sable et de poussière destructrices,
susceptibles de déplacer des milliards de tonnes de sable à travers les continents. Les
déserts s’étendent, réduisant les surfaces propices aux cultures vivrières. De
nombreuses personnes sont aujourd’hui confrontées à la menace d’un manque d’eau
récurrent.

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4-Réchauffement et montée des océans :

Les océans absorbent la majeure partie de la chaleur liée au réchauffement de la


planète. Le rythme du réchauffement océanique a fortement augmenté au cours de ces
deux dernières décennies, quelle que soit la profondeur considérée. Au fur et à mesure
du réchauffement des océans, leur volume augmente, car l’eau se dilate lorsqu’elle
gagne en température. La fonte des calottes glaciaires entraîne également une élévation
du niveau des mers, mettant en péril les communautés côtières et insulaires. En outre,
les océans absorbent quantité de dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère. Or,
l’augmentation du dioxyde de carbone favorise l’acidification des océans, ce qui met en
danger la faune et la flore marines et les récifs coralliens.

5-Disparition d’espèces :

Le changement climatique présente des risques pour la survie des espèces terrestres et
océaniques. Ces risques augmentent avec la hausse des températures. Sous l’effet
amplificateur du changement climatique, le monde voit disparaître des espèces à un
rythme mille fois plus élevé qu’à tout autre moment de l’histoire de l’humanité. Un
million d’espèces risquent de s’éteindre au cours des prochaines décennies. Les
incendies de forêt, les phénomènes météorologiques extrêmes, les espèces nuisibles
envahissantes et les maladies font partie des nombreuses menaces liées au changement
climatique. Si certaines espèces seront capables de se déplacer et de survivre, d’autres
ne le pourront pas.

6-Pénuries de denrées alimentaires :

Les modifications du climat et l’augmentation des phénomènes météorologiques


extrêmes figurent au nombre des causes de l’aggravation de la faim et de la
malnutrition dans le monde. Il existe un risque de destruction ou de perte de
productivité des ressources halieutiques, des cultures et des animaux d’élevage. En
raison de l’acidification des océans, les ressources marines qui permettent de nourrir
des milliards de personnes sont menacées. Les modifications de la couverture de neige
et de glace dans de nombreuses régions de l’Arctique perturbent l’approvisionnement
en denrées alimentaires provenant de l’élevage, de la chasse et de la pêche. Le stress
thermique peut entraîner une réduction des ressources en eau et des prairies destinées
au pâturage, et de ce fait, une baisse du rendement des cultures et des répercussions
sur le bétail..

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7-Accroissement des risques sanitaires :

Le changement climatique constitue la plus grande menace pour la santé de l’humanité.


Les effets du changement climatique nuisent déjà à la santé : pollution atmosphérique,
maladies, phénomènes météorologiques extrêmes, déplacements forcés, pressions sur
la santé mentale, aggravation de la faim et de la malnutrition dans des endroits où les
populations ne parviennent pas à produire ou à trouver de la nourriture en suffisance.
Chaque année, les facteurs environnementaux coûtent la vie à environ 13 millions de
personnes. Les variations climatiques favorisent le développement des maladies et, en
raison des phénomènes météorologiques extrêmes, le nombre de décès augmente et
les systèmes de soins de santé ont du mal à suivre.

8-Pauvreté et déplacements de populations

Le changement climatique accroît les facteurs qui précipitent des populations dans la
pauvreté et les y maintiennent. Les inondations peuvent emporter les bidonvilles en
milieu urbain, détruisant sur leur passage habitations et moyens de subsistance. La
chaleur peut rendre difficile le travail en plein air. Le manque d’eau peut nuire aux
cultures. Au cours de la dernière décennie (2010-2019), en raison de phénomènes
météorologiques, environ 23,1 millions de personnes ont été déplacées en moyenne
chaque année et bien davantage encore se sont retrouvées exposées à un risque de
pauvreté. La plupart des réfugiés proviennent de pays qui sont les plus vulnérables et les
moins prêts à s’adapter aux effets du changement climatique.

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Ré fé rence bibliographique:
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alerte un projet de rapport du GIEC », Le Monde, 23 juin 2021 (lire en ligne
[archive] Accès libre).
12. Charlotte Heinzlef et Damien Serre, « Dérèglement climatique et gestion des
risques en Polynésie française : conception d’un Observatoire de la résilience »,
Cahiers d'Outre-Mer, vol. 72, no 280, 1er juillet 2019, p. 531–563 (ISSN 0373-
5834 et 1961-8603, DOI 10.4000/com.10666, lire en ligne [archive], consulté le
17 novembre 2022).
13. « Lutter contre le dérèglement climatique » [archive], sur WWF France (consulté
le 17 novembre 2022).
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