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Définition

Source : Nations Unies


Le terme « changements climatiques » désigne les variations des
températures et des conditions météorologiques sur le long
terme. Ces variations peuvent être un phénomène naturel, mais
depuis le début du XIXe siècle, elles résultent principalement de
l’activité humaine, notamment de l’utilisation des combustibles
fossiles (tels que le charbon, le pétrole et le gaz) qui produisent
des gaz à effet de serre.

Introduction

Le changement climatique représente une menace grave pour le


développement durable, pour les efforts de réduction de la
pauvreté et pour les Objectifs du millénaire pour le
développement (OMD), surtout en Afrique. Ses répercussions se
manifestent déjà sur le continent par la multiplication des
épisodes climatiques : inondations, sécheresses, vagues de
chaleur. Les principaux secteurs économiques de l’Afrique
pourraient en subir des conséquences catastrophiques : une plus
grande menace pour la sécurité alimentaire, la raréfaction de
l’accès aux ressources hydriques, la baisse de la productivité des
ressources naturelles, l’appauvrissement de la biodiversité, le
déclin de la santé, une plus grande dégradation des terres,
l’intensification de la désertification et l’érosion du littoral. Les
dernières études indiquent que le coût économique du
changement climatique en Afrique devrait être beaucoup plus
élevé, toutes proportions gardées, que dans les autres régions du
monde.

Les impacts du changement climatique

Le principal facteur du réchauffement est les émissions de gaz à


effet de serre dues aux activités humaines, dont plus de 90 %
sont le dioxyde de carbone (CO2) et le méthane (CH4). La
combustion de combustibles fossiles comme le charbon, le
pétrole et le gaz naturel pour la consommation d'énergie est la
principale source de ces émissions, avec des contributions
supplémentaires de l'agriculture, de la déforestation et de la
production industrielle. La cause humaine du changement
climatique n'est contestée par aucun organisme scientifique de
renommée nationale ou internationale. L'augmentation de la
température est accélérée ou tempérée par les rétroactions
climatiques, telles que la perte de couverture de neige et de
glace réfléchissant la lumière du soleil, l'augmentation de la
vapeur d'eau (un gaz à effet de serre lui-même) et les
modifications des puits de carbone terrestres et océaniques.
L'augmentation de la température sur les terres émergées est
environ le double de l'augmentation moyenne mondiale,
entraînant une expansion des déserts ainsi que des vagues de
chaleur et des incendies de forêt plus fréquents. La hausse des
températures est également amplifiée dans l'Arctique, où elle
contribue à la fonte du pergélisol, au recul glaciaire et à la perte
de glace de mer. Les températures plus chaudes augmentent les
taux d'évaporation, provoquant des tempêtes plus intenses et des
conditions météorologiques extrêmes. Les impacts sur les
écosystèmes comprennent la migration ou l'extinction de
nombreuses espèces à mesure que leur environnement change,
en particulier dans les récifs coralliens, les montagnes et
l'Arctique. Le changement climatique menace les personnes
d'insécurité alimentaire, de pénurie d'eau, d'inondations, de
maladies infectieuses, de chaleur extrême, de pertes
économiques et de déplacements. Ces impacts ont conduit
l'Organisation mondiale de la santé à appeler le changement
climatique « la plus grande menace pour la santé mondiale » au
XXIe siècle. Même si les efforts visant à minimiser le
réchauffement futur sont couronnés de succès, certains effets se
poursuivront pendant des siècles, notamment l'élévation du
niveau de la mer, la hausse des températures des océans et
l'acidification des océans.
Bon nombre de ces impacts se font déjà sentir au niveau actuel
de réchauffement, qui est de plus de 1,2 °C en moyenne au
niveau mondial. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur
l'évolution du climat (GIEC) a publié une série de rapports qui
prévoient une augmentation significative de ces impacts quand
le réchauffement mondial dépassera 1,5 °C et encore bien plus
importante s'il atteint 2 °C. Un réchauffement supplémentaire
augmente également le risque de déclencher des seuils critiques
appelés points de basculement.
Répondre au changement climatique implique l'atténuation et
l'adaptation. L'atténuation — limiter le changement
climatique — consiste à réduire les émissions de gaz à effet de
serre et à les éliminer de l'atmosphère ; méthodes incluant le
développement et le déploiement de sources d'énergie à faible
émission de carbone telles que l'énergie éolienne, le solaire et le
nucléaire mais aussi l'élimination progressive du charbon, du
pétrole et du gaz, l'amélioration de l'efficacité énergétique, le
reboisement et la préservation des forêts. L'adaptation consiste à
s'adapter au climat réel ou prévu par exemple par une meilleure
protection du littoral, une meilleure gestion des catastrophes,
une colonisation assistée et le développement de cultures plus
résistantes. L'adaptation ne peut à elle seule éviter le risque
d'impacts « graves, étendus et irréversibles ».
En vertu de l'accord de Paris sur le climat de 2015, les pays ont
collectivement convenu de maintenir le réchauffement « bien en
dessous de 2 °C » grâce aux efforts d'atténuation. Cependant,
avec ces engagements pris en 2015, le réchauffement climatique
atteindrait encore environ 2,8 °C d'ici la fin du siècle. Limiter le
réchauffement à 1,5 °C nécessiterait de réduire de moitié les
émissions d'ici 2030 et d'atteindre des émissions proches de zéro
d'ici 2050.

10 solutions pour lutter contre le changement climatique

BNP Paribas Asset Management s’associe à la Fondation


GoodPlanet pour partager des informations utiles et les bons
réflexes à adopter pour contribuer à l’objectif fixé par les
accords de Paris. Vous trouverez dans cet article des astuces et
des conseils simple pour mieux comprendre les enjeux du
réchauffement climatique et réduire au quotidien nos émissions
de CO2.
1) Modifions nos habitudes alimentaires !
Pour limiter l’impact de notre alimentation sur le climat,
privilégions autant que possible les fruits et légumes de saison.
En effet, ils génèrent en moyenne 7 fois mois de GES que les
produits cultivés sous des serres chauffées. De nombreux
calendriers de fruits et légumes de saison sont disponibles pour
nous guider dans nos achats.
2) Réduisons notre consommation de viande !
Contrairement à une idée reçue, les protéines ne sont pas
uniquement présentes dans les viandes ou les produits d’origine
animale. On les retrouve, notamment, en quantité élevée dans
certains végétaux tels que les légumes secs, les graines ou les
fruits à coque. Soyons curieux et expérimentons une recette
végétarienne au moins une fois par semaine.)
3) Luttons contre la déforestation !
Certains labels garantissent une gestion durable des forêts. En
achetant des produits (papier, meubles, etc.) portant le label
Forest Stewardship Council (FSC) ou Programme Européen
des Forêts Certifiées (PEFC), nous pouvons contribuer à la
préservation des forêts et limiter ainsi les émissions
anthropiques de GES.
4) Préservons les océans !
Pour lutter contre le changement climatique, nous devons
préserver les océans. Pour cela, chacun de nous peut agir au
quotidien. Par exemple, nous pouvons acheter des produits
ménagers respectueux de l’environnement afin d’éviter de
déverser des produits chimiques polluants dans les océans.
5) Consommons de l’énergie propre !
Pour réduire notre impact sur le climat au quotidien, nous
pouvons faire le choix d’une énergie propre, issue de
ressources renouvelables. De plus en plus de fournisseurs
d’énergie encouragent leur développement : favorisons-les dès
que possible pour réduire nos émissions de GES au quotidien.
6) Réduisons nos consommations d’énergie !
Une étiquette énergie classe les produits en fonction de leur
consommation d’énergie. Ce classement est symbolisé par une
lettre. Les plus économes en énergie et donc les plus
respectueux de la planète sont classés A+, A++ et même A+++ !
Par exemple, un appareil classé A++ consomme 45%
d’énergie en moins qu’un appareil classé A.
7) Trions nos déchets !
Le meilleur déchet reste celui que nous ne produisons pas ! Pour
cela, de nombreuses solutions existent : s’interroger sur la
nécessité de nos achats, privilégier les produits en vrac ou sans
suremballage, préférer les éco-recharges, etc.
8) Passons à l’économie circulaire !
Nous pouvons à notre échelle modifier nos modes de
consommation pour lutter contre le réchauffement climatique.
En s’appuyant sur le principe des 3 R : Réduire, Réutiliser et
Recycler nous pouvons réduire considérablement nos quantités
de déchets et éviter de produire inutilement de nouveaux objets.
Mobilier, textiles ou électroménager, tous nos produits de
consommation quotidiens peuvent être réparés ou trouver une
nouvelle vie grâce au recyclage.

9) Utilisons des modes de transport doux !


Privilégier les transports en commun, les véhicules
électriques ou faire du covoiturage sont des solutions efficaces
pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre lorsque nous
nous déplaçons. Les meilleures solutions restent évidemment le
vélo et la marche à pied, à la fois écologiques, économiques et
bonnes pour la santé. D’ailleurs, une enquête de l’ADEME
révèle que la moitié des déplacements en voiture font moins de 3
km, une distance parfaitement calibrée pour le vélo et la marche.
10) Compensons nos émissions carbone !
Depuis 2006, le programme Action Carbone Solidaire de la
Fondation GoodPlanet a pour mission de lutter contre le
réchauffement climatique en développant des alternatives
durables et économiquement viables aux activités polluantes,
au profit des populations les plus défavorisées. En soutenant
ces projets de compensation carbone volontaire, nous pouvons
tous contribuer à la lutte contre le changement climatique.
Conclusion
La lutte contre les changements climatiques nécessite des
investissements financiers importants de la part des
gouvernements et des entreprises, mais le prix de l’inaction
climatique est infiniment plus élevé. Il est essentiel que les pays
industrialisés honorent l’engagement qu’ils ont pris de fournir
100 milliards de dollars par an aux pays en développement, afin
qu’ils puissent s’adapter et passer à une économie plus verte.

En quoi consistent les changements climatiques ?


Les changements climatiques désignent les variations à long
terme de la température et des modèles météorologiques. Il peut
s’agir de variations naturelles, dues par exemple à celles du
cycle solaire. Cependant, depuis les années 1800, les activités
humaines constituent la cause principale des changements
climatiques, essentiellement en raison de la combustion de
combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et le gaz.
La combustion de combustibles fossiles génère des émissions de
gaz à effet de serre qui agissent comme une couverture autour de
la Terre, emprisonnant la chaleur du soleil et entraînant une
hausse des températures.
Les émissions de dioxyde de carbone et de méthane, notamment,
sont à l’origine des changements climatiques. Elles résultent par
exemple de l’utilisation de l’essence pour alimenter les
véhicules ou du charbon pour chauffer un bâtiment. Le
défrichement des terres et des forêts peut également entraîner la
libération de dioxyde de carbone. Les décharges d’ordures
constituent une source importante d’émissions de méthane. Les
secteurs de l’énergie, de l’industrie, des transports, de la
construction ainsi que de l’agriculture et d’autres utilisations des
terres figurent parmi les principaux émetteurs.

Les concentrations de gaz à effet de serre ont atteint leur


niveau le plus élevé depuis deux millions d’années
Et les émissions continuent d’augmenter. En conséquence, la
température à la surface du globe est actuellement supérieure de
1,1 °C par rapport à la température enregistrée dans les années
1800. La dernière décennie (2011-2020) a été la plus chaude
jamais enregistrée.
De nombreuses personnes pensent que les changements
climatiques se traduisent principalement par des températures
plus élevées. Pourtant, la hausse des températures n’est que le
début de l’histoire. Comme la Terre est un système où tout est
lié, un changement à tel ou tel endroit peut avoir des
répercussions partout ailleurs.
Actuellement, les conséquences des changements climatiques
sont notamment les suivantes : sécheresses intenses, pénuries
d’eau, graves incendies, élévation du niveau de la mer,
inondations, fonte des glaces polaires, tempêtes catastrophiques
et déclin de la biodiversité.

Les populations subissent les changements climatiques de


différentes manières
Les changements climatiques peuvent influer sur notre santé, sur
notre capacité à produire des denrées alimentaires, sur notre
habitat, sur notre sécurité et sur notre travail. Certains d’entre
nous sont déjà plus vulnérables à leurs effets, notamment les
habitants des petits États insulaires et autres pays en
développement. Des phénomènes tels que l’élévation du niveau
de la mer et l’intrusion d’eau salée ont progressé au point que
des populations entières ont dû se déplacer, et les sécheresses
prolongées exposent des populations au risque de famine. À
l’avenir, le nombre de « réfugiés climatiques » devrait
augmenter.
Chaque aggravation du réchauffement climatique a son
importance
Dans une série de rapports des Nations Unies, des milliers de
scientifiques et d’évaluateurs gouvernementaux convenaient que
le fait de contenir la hausse de la température globale dans la
limite de 1,5 °C nous aiderait à prévenir les effets climatiques
les plus graves et à maintenir un climat vivable. Pourtant, sur la
base des plans climatiques nationaux actuels, le réchauffement
de la planète devrait atteindre 3,2 °C d'ici la fin du siècle.
Les émissions à l’origine des changements climatiques
proviennent de toutes les régions de la planète et concernent tout
le monde, mais certains pays en produisent bien plus que
d’autres. Les 100 pays les moins émetteurs génèrent 3 % du
total des émissions. La part des 10 pays qui en émettent le plus
est de 68 %. Si tout le monde doit prendre des mesures pour
lutter contre les changements climatiques, il incombe davantage
aux personnes et aux pays auxquels la majeure partie du
problème est due d’agir en premier lieu.

La problématique à laquelle nous sommes confrontés est


considérable, mais nous connaissons déjà de nombreuses
solutions
Nombre de solutions aux changements climatiques peuvent
apporter des avantages économiques tout en améliorant nos vies
et en protégeant l’environnement. Nous disposons également de
cadres et d’accords internationaux pour encadrer les progrès, tels
que les objectifs de développement durable, la Convention-cadre
des Nations Unies sur les changements climatiques et l’Accord
de Paris. Les trois grandes catégories d’action sont les
suivantes : la réduction des émissions, l’adaptation aux effets
des changements climatiques et le financement des ajustements
nécessaires.
Au niveau des systèmes énergétiques, le fait de passer des
combustibles fossiles aux énergies renouvelables (comme
l’énergie solaire ou éolienne) permettra de réduire les émissions
à l’origine des changements climatiques. Cependant, il faut
commencer dès maintenant. Une coalition grandissante de pays
s’engage à atteindre l’objectif de zéro émission nette d’ici à
2050, mais environ la moitié des réductions d’émissions doivent
être effectives d’ici à 2030 si l’on entend contenir le
réchauffement en deçà de 1,5°C. La production de combustibles
fossiles doit quant à elle diminuer d’environ 6 % par an entre
2020 et 2030.

L’adaptation aux conséquences des changements climatiques


permet de protéger les personnes, les habitations, les entreprises,
les moyens de subsistance, les infrastructures et les écosystèmes
naturels. Elle porte sur les effets actuels et sur ceux qui sont
susceptibles de se produire à l’avenir. L’adaptation sera
nécessaire partout, mais il faut dès à présent accorder la priorité
aux personnes les plus vulnérables qui disposent des ressources
les plus limitées pour pouvoir faire face aux risques climatiques.
Cela peut s’avérer très rentable. Par exemple, les systèmes
d’alerte précoce en cas de catastrophe permettent d’éviter des
pertes humaines et matérielles, et peuvent produire des bénéfices
jusqu’à 10 fois supérieurs au coût initial.

Conclusion
Nous pouvons en assumer les frais maintenant, ou bien
payer le prix fort ultérieurement
La lutte contre les changements climatiques nécessite des
investissements financiers importants de la part des
gouvernements et des entreprises, mais le prix de l’inaction
climatique est infiniment plus élevé. Il est essentiel que les pays
industrialisés honorent l’engagement qu’ils ont pris de fournir
100 milliards de dollars par an aux pays en développement, afin
qu’ils puissent s’adapter et passer à une économie plus verte.
Les études de cas nous auront montré que les changements
climatiques et l’augmentation du niveau de la mer sont des
problèmes universels qui touchent tous les pays côtiers. Bien
sûr, les spécificités régionales modulent le risque physique et la
vulnérabilité de chaque région. Les caractéristiques socio-
économiques, démographiques et physiques des régions
influencent leur capacité d’adaptation et leur résilience. Il est
cependant parfois surprenant de constater que les déficits
d’adaptation sont parfois les mêmes dans les pays développés
que dans les pays en voie de développement. La gouvernance et
l’efficacité des stratégies d’adaptation ne s’expliquent donc pas
uniquement par les caractéristiques mesurables d’une région,
mais sont également déterminées par des facteurs culturels, des
modes de gouvernance, et par l’historique du processus
d’adaptation, qui repose de manière substantielle sur
l’implication des populations.
changement climatique et du réchauffement
climatique?
Le changement climatique modifie l’équilibre thermique de la Terre et a de nombreuses
conséquences sur l’homme et l’environnement. On distingue les conséquences directes des
conséquences indirectes du changement climatique. Des points de bascule dans le système
climatique aux conséquences imprévisibles et irrévocables pourraient bientôt être atteints.

Il est scientifiquement impossible d’attribuer chaque événement météorologique au changement


climatique actuel ; sur le plan statistique, il est toutefois possible de prouver que le
réchauffement mondial augmente la probabilité de phénomènes météorologiques extrêmes. Le
sixième rapport du GIEC de 2021 constate que «des changements largement répandus et rapides
se sont manifestés dans l’atmosphère, l’océan, la cryosphère et la biosphère».

Les conséquences directes du changement climatique provoqué par l’activité humaine sont
les suivantes :

 hausse des températures maximales


 hausse des températures minimales
 hausse du niveau de la mer
 hausse de la température des océans
 intensification des précipitations (fortes pluies et grêle)
 augmentation des cyclones tropicaux violents
 augmentation des périodes d’aridité et de sécheresse
 recul de la glace de la mer Arctique et de la couverture neigeuse
 recul et fonte des glaciers
 dégel du pergélisol

Les conséquences indirectes du changement climatique qui concernent directement la


population et l’environnement sont les suivantes :

 augmentation des crises alimentaires et de l’eau, notamment dans les pays en voie de
développement
 menace d’existences en raison d’inondations et d’incendies de forêt
 risques sanitaires en raison de la hausse de la fréquence et de l’intensité de vagues de canicule
 conséquences économiques pour l’élimination des conséquences climatiques
 prolifération des nuisibles et des maladies
 perte de la biodiversité en raison de la capacité et de la vitesse d’adaptation limitées de la faune
et de la flore
 acidification des océans due aux concentrations de HCO 3 élevées dans l’eau en raison de la
hausse des concentrations de CO2
 nécessité d’agir dans tous les secteurs (p. ex. agriculture, sylviculture, énergie, infrastructure,
tourisme, etc.)

En raison d’émissions de gaz à effet de serre passées et futures, de nombreux changements – en


particulier dans l’océan, les calottes glaciaires et le niveau mondial de la mer – sont irréversibles
pour des siècles, voire des millénaires.

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