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Le Livre du Professeur
Physique Chimie
COURS CORRIGÉS DES CORRIGÉS DES
DU SITUATIONS ACTIVITÉS ERRATUM
PROFESSEUR D’ÉVALUATION D’APPLICATION
sommaire
sommaire
récepteur
Associations de lampes
2 118
électriques
3 Association de piles en série 17
12
4 Intensité du courant électrique 20
14
GRANDEURS
MESURE DE
PHYSIQUES
5 Tension électrique 17
24
6 Pression atmosphérique 28
20
Les mélanges 31
23
MELANGES ET
7
REACTIONS
CHIMIQUES
8 Atomes et molécules 26
35
9 Combustion du carbone 37
28
10 Combustion du soufre 30
39
PHYSIQUES DE
CORRIGÉS ....................................................................... 41
ERRATUM ....................................................................... 60
Avant -propos
Avant -propos
Situation d'apprentissage
Au cours d’une séance de Travaux Pratiques, un élève en classe de 5ème au
Lycée Moderne Bad N’douci, allume successivement une lampe à l’aide d’une
pile plate puis d’une pile cylindrique. La lampe brille normalement avec la pile
plate et faiblement avec la pile cylindrique. Pour expliquer ces observations, Il
décide avec ses camarades d’identifier les tensions nominales des appareils et
d’adapter le générateur au récepteur.
Rappels :
- Un générateur électrique a pour rôle de fournir de l’énergie électrique
au reste du circuit électrique.
Exemples: La pile électrique , la prise du secteur, la batterie.
- Un récepteur électrique utilise l’énergie électrique fournie par un
générateur électrique.
Exemples: la lampe électrique, le réfrigérateur, la télévision.
1 Tensions nominales des quelques générateurs électriques.
A1
Conclusion :
Le nombre inscrit sur un générateur
électrique se terminant par la lettre V
est sa tension nominale.
Des générateurs électriques
2 Découvrons les tensions nominales des récepteurs.
A2
Conclusion :
Le nombre inscrit sur une lampe électrique
se terminant par la lettre V est sa tension
d’usage.
Des lampes électriques
3.1.2 - conclusion
Une lampe électrique est en sous-tension ou encore sous-alimentée,
lorsque sa tension d’usage est très inférieure à la tension nominale du
générateur électrique qui l’alimente.
3.2.2 -Conclusion
Lorsqu’une lampe électrique est en surtension ou encore suralimentée, son
éclat est fort ; on dit qu’elle brille fortement.
N.B : Une lampe électrique est dite adaptée que lorsque sa tension nominale
est voisine de la tension nominale du générateur qui l’alimente.
v
6
3,
v
6
v
3,
6
3,
5.1.2 - Conclusion
Lorsqu’un récepteur électrique est en surtension, il peut être détérioré.
5.2– Dangers dus aux variations de la tension de courant du secteur
La valeur de la tension du secteur est 220V.
Une surtension de la tension du secteur peut entrainer :
– une destruction des récepteurs dans la maison ;
– un incendie dans la maison.
Une baisse de tension du secteur peut entrainer un fonctionnement anormal des
récepteurs électriques dans la maison.
B1
B2
1.2- Observations :
– Lorsqu’on associe la deuxième lampe électrique, l’éclat de la première
lampe électrique diminue.
–Lorsqu’on court-circuite une lampe électrique, l’autre reste allumée ;
–Lorsque l’une des lampes électriques est détériorée « grillée », l’autre
lampe électrique s’éteint.
1.3- Conclusion :
Les lampes électriques sont montées en série si elles forment une seule
boucle avec le générateur électrique qui les alimente.
3.2- Observations :
– Lorsqu’on associe la deuxième lampe électrique, l’éclat de la première lampe
ne change pas.
– Lorsqu’on court-circuite une lampe électrique, l’autre s’éteint.
– Lorsque l’une des lampes électriques est défectueuse, l’autre reste allumée.
3.3- Conclusion :
Des lampes électriques sont montées en dérivations si elles forment des
boucles différentes dans ce circuit électrique comprenant un générateur
électrique.
Enveloppe de papier
3.3- Conclusion :
– L’association des piles avec une pile retournée est une mauvaise
association.
– + + – – +
– L’instrument de mesure
de l’intensité du courant
électrique est l’ampèremètre
de symbole . A
D4 2
3
Lampe 1 Lampe 3
Situation d'apprentissage
Les élèvent du club de physique-Chimie du Lycée Moderne Bad N’douci ont
assisté leurs encadreurs à réaliser deux types de circuits électrique, seulement
la dispositions des lampes ayant changé d’un circuit à l autre ils ont constaté
que les éclats des lampes utilisées n’étaient plus les même selon la dispositions
de celles-ci
Un élève de la classe de 6ème 4 du club, le lendemain, en classe informe ses
camarades de classe et ensemble, ils décident de réaliser les montages de deux
lampes électriques de manières différentes et de mesurer les tensions aux bornes
de chaque lampe du circuit puis établir les lois des tensions.
2.2-Instrument de mesure
E1
Voltmètre Voltmètre
digital analogique
– La tension électrique se mesure à l’aide d’un voltmètre de symbole
V
E2 V 4,40
E2
V
2
1
V1 V2 V3
Schéma du montage
Mesure delalatension
Mesure de tension électrique
électrique
aux bornes
aux bornes desdes lampes
lampes électriques
électriques
2 V2
V1
G
1.2- Observation
Le verre retourné, l’eau contenue dans le verre ne verse pas.
1.3- Conclusion
Il s’exerce une pression due à l’air ambiant sur la feuille de papier.
2 Définition
La pression atmosphérique est la pression exercée par l’air sur toute surface
qu’il touche. Elle se note
3 Mesure de pression
3.1– Unités de pression
L’unité légale de pression est le pascal (symbole : Pa).
On utilise couramment un de ses multiples l’hectopascal (hPa) :
1 hPa = 100 Pa. Il existe d’autres unités de pression.
Ce sont :
Le millibar (mbar) : 1mbar = 1 hPa
Le millimètre de mercure et le millimètre d’eau.
Le Manomètre à mercure
Le Baromètre métallique
Situation d'apprentissage
Au cours d’une séance de Travaux Pratiques au Lycée Moderne de Bad N’douci
les groupes d’élèves de la classe de 5ème 4 trouvent sur leurs paillasses divers
produits (huile, alcool coloré, sel, sucre, et sable) et de l’eau.
Pour observer le comportement de chacun des produits par rapport à l’eau, ces
élèves décident de définir un mélange, de réaliser les différents mélanges et de
les distinguer.
1 Mélange homogène
1.1- Expériences et observations
1.1.1- Mélange l’eau + sel :
G1
G2
1.2- Conclusion
Le sel et l’alcool coloré sont dissous dans l’eau.
On ne distingue qu’un seul constituant, le mélange obtenu est dit homogène.
1.3– Définition
Le mélange obtenu est une solution.
–Le sel et l’alcool se sont dissous dans l’eau : le sel et l’alcool sont des
solutés .
– L’eau est le liquide dans lequel ils sont dissous : l’eau est le solvant.
2.2- Conclusion
Le sable et l’huile ne sont pas dissous dans l’eau.
On distingue les constituants de ces mélanges. Ce sont des mélanges hétérogènes.
L’huile se disperse dans l’eau, il se forme une émulsion, puis elle vient surnager
; on dit que l’huile et l’eau ne sont pas miscibles.
3 Techniques de séparation des divers constituants d’un mélange
3.1- La décantation
3.1.1- Expérience
G5
3.1.2- Observation
Le solide se dépose au fond du récipient.
3.1.3- Conclusion
La décantation permet de séparer les constituants d’un mélange hétérogène
d’un liquide et d’un solide.
3.2- La filtration
3.2.1- Expérience
+
3.2.2- Observation
On obtient un liquide limpide et un dépôt solide.
3.2.3- Conclusion
La filtration permet de séparer les constituants d’un mélange hétérogène
d’un liquide et d’un solide. Le liquide limpide obtenu après filtration est le
filtrat.
3.3 -La vaporisation
3.3.1- Expérience
G7
3.3.2- Observation
Il se dégage de la vapeur et il se forme un solide.
3.3.3- Conclusion
La vaporisation permet d’obtenir le solide par vaporisation de liquide d’un
mélange homogène de liquide et de solide.
3.4 -La distillation
3.4.1- Expérience
G8
G
8 3.4.2- Observation
Sortie d’eau Il se dégage de la vapeur qui se condense en
liquide limpide dans le réfrigérant.
3.4.3- Conclusion
La distillation permet de séparer un liquide
Entrée d’eau d’un mélange homogène de deux liquides
Distillat miscibles. Le liquide obtenu est le distillat.
1 Les atomes
1.1- Dimension
– La matière est constituée d’atomes.
– La dimension d’un atome est de l’ordre du milliardième de mètre
nommé nanomètre de symbole (nm).
1
1nm = m soit 1nm = 10-9 m.
1.000.000.000
1.2- Symboles
Un atome est représenté par son symbole. Celui-ci est constitué d’une lettre
majuscule suivie, dans certains cas, d’une lettre minuscule.
2 La molécule :
2.1- Définition :
Une molécule est un assemblage ordonné et stable de deux ou plusieurs atomes
fortement liés les uns aux autres.
2.2- Formules chimiques
– Une molécule est représentée par sa formule chimique. Celle-ci indique les
différents atomes constituant la molécule et leur nombre.
Modèle
Eau de chaux
limpide
Charbon de bois
A B C D Eau de chaux
trouble
Schéma de la combustion du charbon de bois
1.2- Observation :
– L’incandescence est plus vive dans le dioxygène que dans l’air.
– Il s’est formé un nouveau gaz qui trouble l’eau de chaux limpide.
– Le gaz qui trouble l’eau de chaux limpide est le dioxyde de carbone de
formule chimique CO2.
1.3- Conclusion :
Au cours de la combustion du carbone, le carbone(C) réagit avec le
dioxygène (O2) pour former du dioxyde de carbone (CO2).
L’équation –bilan de cette combustion est : C + O2 CO2
– Le nombre d’atomes qui de départ est égal au nombre d’atomes qui
à l’arrivée:
Il y a conservation des atomes.
2 Les effets du dioxyde de carbone sur l’homme et l’environnement
2.1– Les effets sur l’homme
1 La combustion du soufre
1.1-Experience J1
A C D
B
Dans l’air
Dans l’air Dansleledioxygène
Dans dioxygène
Images des étapes de la combustion du soufre
1.2- Observation :
– Dans l’air, le soufre brûle avec une flamme bleue peu visible.
– Dans le dioxygène, il brûle avec une flamme bleue très vive.
– Il s’est formé un nouveau corps qui décolore le permanganate de
potassium. C’est le dioxyde de soufre de formule chimique SO2.
Remarque : La fumée blanche qui se dégage pendant la combustion est du
trioxyde de soufre de formule chimique SO3.
1.3- Conclusion
Lors de la combustion du soufre, le soufre(S) réagit avec le dioxygène (O2)
pour donner du dioxyde de soufre (SO2)
– l’équation –bilan de cette réaction chimique est : S + O2 SO2
Eau Alcool
2.2- Conclusion
La dilatation d’un liquide dépend :
– L’élévation de la température ;
– du volume initial du liquide ;
– de la nature du liquide.
Schéma de dilatation liée à la nature du liquide
L5 Ampoule de sécurité
Tube fin
Graduations
M1
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1
1. V 4. V
2. V 5. F
3. V 6. F
2
Pile 1 Lampe (1,2 V)
4
A
D
A
S P
S O U S T E N S I O N
R E
T E
E
N O M I N A L E
S
I
O
N
3. Lampe de 3,8V
4. Lampe de 3,5V adaptée à la pile de 4,5V
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1
1. F 4. F
2. V 5. F
3. V 6. F
2
a. Série
b. Court-circuit
c. Dérivation
d. Dérivation
3 1. Schéma
2. 1- montage en série
2- montage en série
3- montage en dérivation
4
I. c
II. a
5
1. Voir schéma
2. Voir schéma
44 Livre du professeur - Physique-Chimie 5e
SITUATIONS D’ÉVALUATIONS
1
1. L1 et L2 sont montées en série
L1 et L2 sont montés en dérivation
2. L1 et L2 ont le même éclat
L3 brille plus que L2
3. Si on relie les bornes de L3 par un fil de connexion L1 et L2 s’éteignent.
2
1. Voir schéma
Si on dévisse L1 les lampes L3 et L2 ne s’allume pas.
2. L2 et L2 s’allument
3. Si on relie les bornes de L2 par un fil L1 brille mais L3 s’éteint.
4. Voir schéma
3
ASSOCIATION DE PILES EN SÉRIE
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1
1. V 5. V
2. F 6. F
3. V 7. V
4. V
2
Relie
Une pile est en opposition
La torche brille normalement
La torche est alimentée par une tension de 1.5 v
schéma
Les piles sont en série concordance
La torche brille faiblement
La tension qui alimente la lampe est de 4.5 V
3
1. La borne positive + de l’une est reliée à la borne négative – de la
suivante.
2. La tension nominale est 6V
8
schéma
1. 4 piles associées dans ce circuit
2. Pile 2 montée en opposition.
3. U = 1,5V – 1,5V + 1,5V +1,5 V
U = 3V
4. La lampe va briller fortement.
SITUATIONS D’ÉVALUATIONS
1
1. Une pile montée en opposition
2. U = 1,5V – 1,5V + 1,5V = 1,5V
3. La torche fonctionne normalement, il doit monter les piles en
série concordance.
4. Schéma
46 Livre du professeur - Physique-Chimie 5e
2 1. 1,5V est la tension qu’il faut pour faire fonctionner
3. 4 piles
4. Schéma
4
DILATATION DES SOLIDES
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1
1. V 5. V
2. V 6. F
3. V 7. F
4. V 8. V
2
Complète : on a dans l’ordre : augmentent, dilatation, contraction,
sa température, sa nature, son volume initial, deux lampes.
3
1. La dilatation
2. Du côté du métal le moins dilatable.
4
1. La nature du solide
2. Élévation de la température
3. Volume ou longueur initial
5
1. 1 – bilame
2 – plaque chauffante
3 – bouton de réglage
8
1. Le bilame
2. A froid il ferme le circuit électrique à chaud il l’ouvre.
3. Le fer à repasser, le réfrigérateur.
9
1. Fer – cuivre – aluminium
2. Dessine
SITUATIONS D’ÉVALUATIONS
1
1. Dilatomètre
2. Une droite
schéma
3. Dilatation linéaire
4. 6 → L = 106 cm
2
1. C’est une augmentation de longueur ou de volume lorsque la
température augmente.
2. Les tôles en se dilatant se frottent aux pointes et cela provoque
le craquement au niveau du toit.
3. Le portail se coince suite à la dilatation dû à l’augmentation de la
température.
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1 1. V 5. F
2. V 6. V
3. F 7. F
4. V
2 Dans l’ordre on a : dilate, augmente, constante, contracte, nature,
volume initial.
3 Schéma
1. 1 → 30°c
2 → 50° c
3 → 90° c
2. On observe les mêmes résultats.
4 1. Schéma
2. Le niveau du liquide dans le tube 2 monte plus vite que celui dans
le tube 1
3. Liquides de nature différentes car ne se dilatent pas de la même
manière.
4. - Le niveau des liquides baissera. Cette baisse sera plus rapide dans
le tube 2.
- Les niveaux seront identiques.
SITUATIONS D’ÉVALUATIONS
1 Schéma
1. Dilatation des liquides
2. 1 → 1 8°c 2 → 40°c
3. Les liquides thermométriques ne sont pas de la même nature. Ils
sont différents.
2
1. Dilatation volumique
2. 70 – 20 = 50°c
3. V2 = V1 + 6
V2 = 506 cm3
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1 1. F 4. F
2. F 5. V
3. V
2 Dans l’ordre : augmente, constant, pression, volume initial,
température.
3 1. Plus
2. Plus
3. Ne dépend pas / dépend
4 Les solides se dilatent moins que les gaz
Les gaz se dilatent tous de la même façon
Les gaz se dilatent plus que les liquides
Les gaz se dilatent plus que les solides
Les liquides se dilatent moins que les gaz
Les liquides se dilatent plus que les solides
5 1. Schéma figure 1
2.
2.1 Dilatation de l’air dans le ballon à fond rond
2.2 La contraction de l’air dans le ballon à fond rond
2.3 La température T1 est supérieure à la température T2
SITUATIONS D’ÉVALUATIONS
1 1. - Le volume initial
- La variation de la température
2. Risque d’explosion
3. - les éloigner des sources de chaleur
- Ne pas les jeter dans le feu
- Ne pas les percer
2
Schéma
1. Contraction de l’air du ballon
2. A cause de la dépression du ballon
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1 1. V 5. V
2. V 6. F
3. V 7. F
4. V
2 1. Schéma
2. C’est l’ampèremètre
3. L’ampère
4. C’est l’intensité du courant électrique
5. Schéma
3 1. Schéma colorie
2. La valeur est 0,28A
3. Montage schéma
4. L’intensité est de 0,14A
4 Relie : 100 mA 10 A
10 000 mA 100 mA
0.10 A 0,01 A
5 b. 0,075 A
6 Schéma
1. 12 mA
2. 28 mA
3. 3.1. 12 mA + 28 mA = 40 mA
3.2. Schéma
7 Schéma
1- 0,3 A
2- 0,3 A + 0,3 A + 0,2 A
A1 indique 0,8 A
8 TENSION ELECTRIQUE
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1 1. V 5. V
2. F 6. V
3. F 7. V
4. V 8. F
2 Relie : schéma
3 Schématiser
4 Schéma
a. Montage en série
b. U = U1 + U2 = 3V + 6V = 9V donc U = 9V
5
Schéma
1. U = 4,5V
2. U1 = 4,5 V
U2 = 4,5 V
Schéma
7
1. L3 est montée en dérivation par rapport au groupement série de L1
et L2.
2. U3 = 6V
3. U2 = 6V – 2,5 V = 3 ; 7 V donc U2 = 3,7 V
SITUATIONS D’ÉVALUATIONS
1
1. C’est la différence d’état électrique entre deux points d’un circuit.
2. Schéma
3. Si un élément est défectueux les autres cessent de fonctionner.
4. Les appareils sont montés en dérivation.
1
1. 220 V
2. Schéma
3. Dans un montage en dérivation si un appareil est défectueux les
autres continuent de fonctionner.
9 PRESSION ATMOSPHÉRIQUE
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1 1. F 5. V
2. F 6. V
3. F 7. V
4. V 8. V
2 1. L’eau colorée
2. La pression atmosphérique
3 1. Le pascal (Pa)
2. Le bar
5 Schéma
a. Plus grand car P gaz = Pat +h
b. Le manomètre à eau
6 1. Schéma à annoté
2. 2.1. 2,5 +1 = 3,5 bars
2.2. 0,5 bar
SITUATIONS D’ÉVALUATIONS
1 Schéma :
1. C’est la pression exercé par l’air ambiant sur toute surface qu’il
touche.
2. lire 1025 en lieu et place de 1024.(entouré x)
3. X : zone A
4. Il fait beau temps.
2 Schéma :
1. Le pascal (Pa)
2. À 6 km , P = 500 hPa et à 15 km, P = 100 hPa
3. La pression diminue lorsque l’altitude augmente.
10 LES MÉLANGES
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1. F 5. V
1
2. V 6. V
3. F 7. F
4. V 8. F
11
ATOMES ET MOLÉCULES
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1 1. F 5. V
2. V 6. F
3. V 7. V
4. F 8. F
5 - HNO3
- SO3
7 1. 0,00000025 mm
2. La taille est 0,25 nm x 1 000 000 = 250 000 nm donc la taille
est 250 000 nm = 0,25 mm
SITUATIONS D’ÉVALUATIONS
1 1. Une molécule est un assemblage d’atomes.
2. Dioxygène : O2 Diazote : N2 , Argon : Ar
3. le 1er.
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1 1. V 5. F
2. V 6. V
3. V 7. V
4. F 8. V
2 Schéma
1. Combustion de carbone
2. 1 – charbon de bois,
2- dioxygène
3 – eau de chaux limpide,
4 – eau de chaux troublée.
3. Le dioxyde de carbone.
3 La combustion complète du carbone dans le dioxygène produit du
dioxyde de carbone.
13
COMBUSTION DU SOUFRE
ACTIVITÉS D’ APPLICATIONS
1
1. F 5. V
2. V 6. V
3. V 7. F
4. F 8. F
2 Schéma
1. Combustion du soufre
2. 1 – soufre, 2 – dioxygène, 3 – solution violette de permanganate de
potassium 4- décoloration du permanganate de potassium.
3. Décoloration de la solution violette de permanganate de potassium
2 1. Le dioxyde de soufre
2. S + O2 → SO2
3. Maladies respiratoires ; les brûlures de peau ; toxique par inhalation
Chers amis,
Grâce à vos aimables remarques et suggestions, nous avons conçu cet ERRATUM,
qu’il nous plaît de porter à votre connaissance. Dès lors, nous prenons l’engagement
de rattraper toutes ces irrégularités constatées dans la nouvelle collection qui est
en préparation.
Merci pour votre compréhension
ABREVIATIONS UTILISÉES
- appli. : activités d’application; / - éval. : situation d’évaluation
- appr. : sitaution d’apprentissage / - habil. : tableau d’habiletés
- quest. : question(s)