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Hydrogène

élément chimique de numéro atomique 1 et de symbole H ;


substance la plus légère et la plus abondante de l'univers
Hydrogène

Hydrogène liquide dans une chambre à bulles.

← Hydrogène → Hélium

↑    

 
   
1 H            

H                


                                   
                                   
                                                               
                                                               
   
                                           

Li
Tableau complet • Tableau étendu

Position dans le tableau périodique


Symbole H
Nom Hydrogène
Numéro atomique 1
Groupe 1
Période 1e période
Bloc Bloc s
Famille d'éléments Non-métal
Configuration
1s1
électronique
Électrons par niveau
1
d’énergie
Propriétés atomiques de l'élément
Masse atomique 1,007 94 ± 0,000 07 u[1],[2]
Rayon atomique
25 pm (53 pm)
(calc)
Rayon de covalence 31 ± 5 pm[3]
Rayon de van der
120 pm[4]
Waals
État d’oxydation -1, +1
Électronégativité
2,2
(Pauling)
Oxyde amphotère
Énergies d’ionisation[5]
1re : 13,598 443 eV
Isotopes les plus stables
Iso AN Période MD Ed PD

MeV

1
H 99,9885 % stable avec 0 neutron

2
D 0,0115 % stable avec 1 neutron

3
T traces (syn.) 12,32 a β– 0,019 3He

Propriétés physiques du corps simple


Masse volumique 0,089 88 g L−1 (gaz, CNTP),
0,070 8 kg L−1 (liquide, −253 °C),
0,070 6 kg L−1 (solide, −262 °C)[1]

Système cristallin Hexagonal


Divers
No CAS 1333-74-0 (https://tools.wmflabs.org/magnustool
s/cas.php?cas=1333-74-0&language=fr&title=Hydr
og%C3%A8ne)
Précautions
NFPA 704[6]
4
0 0
 

Transport
23

   1049   

;
223

   1966   

;
23

   2034   

Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.


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L'hydrogène est l'élément chimique de numéro atomique 1, de


symbole H. L'hydrogène présent sur Terre est presque entièrement
constitué de l'isotope 1H (un proton, zéro neutron) ; il comporte
environ 0,01 % de 2H (un proton, un neutron). Ces deux isotopes
sont stables. Un troisième isotope 3H (un proton, deux neutrons),
instable, est produit dans les explosions nucléaires. Ces trois
isotopes sont respectivement appelés « protium », « deutérium »
et « tritium ».

L'hydrogène peut avoir les nombres d'oxydation 0 (dihydrogène H2


ou hydrogène métallique), +I (dans la plupart de ses composés
chimiques) et –I (dans les hydrures métalliques). L'hydrogène est
un élément électropositif, fréquemment ionisé à l'état H+ ou H3O+.
Il forme aussi des liaisons covalentes (notamment dans le
dihydrogène et les hydrocarbures) et des liaisons de nature
intermédiaire appelées liaisons hydrogène (notamment dans la
molécule d'eau et la matière organique).
L'hydrogène est le principal constituant du Soleil et de la plupart
des étoiles (dont l'énergie provient de la fusion thermonucléaire
de cet hydrogène), et de la matière interstellaire ou
intergalactique. C'est un composant majeur des planètes géantes,
sous forme métallique au cœur de Jupiter et de Saturne, et sous
la forme de dihydrogène solide, liquide ou gazeux dans leurs
couches plus externes et dans les autres planètes géantes. Sur
Terre, il est surtout présent à l'état d'eau liquide, solide (glace) ou
gazeuse (vapeur d'eau), mais on le trouve aussi dans les
émanations de certains volcans sous la forme de H2 et de CH4
(méthane).

Le corps simple H2 est mis en évidence à l'état gazeux par


Cavendish en 1766, qui l'appelle « air inflammable » parce qu'il
brûle ou explose en présence d'oxygène, produisant de la vapeur
d'eau. Lavoisier désigne ce gaz sous le nom d'hydrogène,
composé du préfixe hydro-, du grec ὕδωρ / húdôr, « eau », et du
suffixe -gène, du grec γεννάω / gennáô, « engendrer »[7]. Son nom
scientifique est désormais « dihydrogène », mais dans la langue
courante on continue à l'appeler « hydrogène ».

Abondance
L'hydrogène est l'élément le plus abondant de l'Univers : 75 % en
masse et 92 % en nombre d'atomes. Il est présent en grande
quantité dans les étoiles et les planètes gazeuses ; il est
également le composant principal des nébuleuses et du gaz
interstellaire.

Dans la croûte terrestre, l'hydrogène ne représente que 0,22 % des


atomes, loin derrière l'oxygène (47 %) et le silicium (27 %)[8]. Il est
rare également dans l'atmosphère terrestre, puisqu'il ne
représente en volume que 0,55 ppm des gaz atmosphériques. Sur
Terre, la source la plus commune d'hydrogène est l'eau, dont la
molécule est constituée de deux atomes d'hydrogène et d'un
atome d'oxygène ; l'hydrogène est surtout le principal constituant
(en nombre d'atomes) de toute matière vivante, associé au
carbone dans tous les composés organiques. Par exemple,
l'hydrogène représente 63 % des atomes et 10 % de la masse du
corps humain[8]. Des accumulations d'hydrogène ont été
détectées dans la croûte terrestre, l'une d'elles au Mali est
quasiment pure (à 96 %) et est utilisée pour produire de
l'électricité[9]. D'autres sont actuellement recherchées[10] pour
produire du dihydrogène.

Sous de très faibles pressions, comme celles qui existent dans


l'espace, l'hydrogène a tendance à exister sous forme d'atomes
individuels car il n'entre pas en collision avec d'autres atomes
pour se combiner. Les nuages d'hydrogène sont à la base du
processus de la formation des étoiles.
Atome d'hydrogène
L'hydrogène est l'élément chimique le plus simple, de numéro
atomique 1 ; son isotope le plus commun est constitué seulement
d'un proton et d'un électron. L'hydrogène est l'atome le plus léger.
Comme il ne possède qu'un électron, il ne peut former qu'une
liaison covalente : c'est un atome univalent.

Cependant, l'hydrogène solide peut être métallique lorsqu'il se


trouve sous très haute pression. Il cristallise alors avec une liaison
métallique (voir hydrogène métallique). Dans le tableau périodique
des éléments, il se trouve dans la colonne des métaux alcalins.
N'étant toutefois pas présent dans cet état sur Terre, il n'est pas
considéré comme un métal en chimie.

La section efficace de capture de l'hydrogène (200 mb aux


neutrons thermiques et 0,04 mb aux neutrons rapides)[11] est
suffisamment faible pour permettre l'utilisation de l'eau comme
modérateur et réfrigérant des réacteurs nucléaires.

Mécanique quantique

Article détaillé : Atome d'hydrogène.

L'atome d'hydrogène est l'atome le plus simple qui existe. C'est


donc celui pour lequel la résolution de l'équation de Schrödinger,
en mécanique quantique, est la plus simple. L'étude de ce cas est
fondamentale, puisqu'elle a permis d'expliquer les orbitales
atomiques, et ensuite les différentes liaisons chimiques avec la
théorie des orbitales moléculaires.

Isotopes et propriétés nucléaires

Isotopes

Article détaillé : Isotopes de l'hydrogène.

L’hydrogène est le seul élément dont chaque isotope porte un nom


spécifique, car leur différence de masse (comparativement à celle
de l'atome d'hydrogène) est significative : du simple au double ou
au triple, ce qui explique que, contrairement à ce qui vaut pour les
isotopes en général, ces différences peuvent influencer les
propriétés chimiques du deutérium ou du tritium par rapport au
protium (effet isotopique). L'eau lourde (D2O), qui contient des
isotopes d'hydrogène lourds, est par exemple toxique (à forte
dose) pour de nombreuses espèces. En effet, en raison de la
grande différence de masse entre les isotopes, la cinétique des
réactions en solution aqueuse est considérablement ralentie.

Les isotopes les plus notables de l'hydrogène sont :

l’hydrogène léger ou protium 1H, le plus abondant (~99,98 % de


l'hydrogène naturel). Le noyau atomique est simplement
constitué d'un proton et ne possède donc pas de neutron. C'est
un isotope stable ;
le deutérium 2H (ou D), beaucoup moins abondant (de 0,0082 à
0,0184 % de l'hydrogène naturel, ~0,015 % en moyenne). Le
noyau est constitué d'un proton et d'un neutron, c'est aussi un
isotope stable. Sur Terre, il est essentiellement présent sous
forme d'eau deutérée HDO (eau semi-lourde) ;
le tritium 3H (ou T), présent seulement en quantité infime dans
l'hydrogène naturel (un atome de tritium pour 1018 atomes
d’hydrogène). Le noyau est constitué d’un proton et de deux
neutrons, il est radioactif et se transforme en 3He par émission
d'un électron (radioactivité β−). 2H et 3H peuvent participer à
des réactions de fusion nucléaire. La radiotoxicité du tritium est
réputée très faible lorsqu'il est présent sous forme HTO (eau
tritiée, ou eau lourde), elle est moins connue et moins bien
comprise lorsqu'il est présent sous forme organique (les études
présentent des résultats contradictoires ou très variables selon
leurs protocoles expérimentaux[12]). Dans l’environnement
naturel, le tritium peut prendre la place du protium dans les
molécules comprenant de l'hydrogène, y compris dans les
molécules biologiques et jusque dans l'ADN où il peut être
cause de cassures de l'information génétique, de mutations ou
d'apoptoses cellulaires. Le tritium étant un isotope rare, sa
concentration dans l'eau et les tissus est généralement très
faible (hors contaminations accidentelles d’origine humaine) ;
le quadrium ou tétradium 4H (ou Q), l'isotope le plus instable de
l'hydrogène (sa demi-vie est ultracourte :
1,39 × 10−22 seconde[13]). Il se décompose par émission de
neutron[14] ;
l'hydrogène 7 (7H), l'isotope le plus riche en neutrons jamais
observé. Sa demi-vie est de l'ordre de 10−21 seconde[15].

Fusion nucléaire

Article détaillé : Fusion nucléaire.

L'hydrogène, présent en grandes quantités dans le cœur des


étoiles, est une source d'énergie par les réactions de fusion
nucléaire, qui combinent deux noyaux d'atomes d'hydrogène (deux
protons) pour former un noyau d'atome d'hélium. Les deux voies
de cette fusion nucléaire naturelle sont la chaîne proton-proton, de
Eddington, et le cycle carbone-azote-oxygène catalytique, de
Bethe et von Weizsäcker.

La fusion nucléaire réalisée dans les bombes à hydrogène ou


bombes H concerne des isotopes intermédiaires de la fusion
(l'hydrogène se transforme en hélium), comme celle qui se
déroule dans les étoiles : isotopes lourds de l'hydrogène, hélium 3,
tritium, etc. Mais, dans une bombe H, les réactions nucléaires ne
durent que quelques dizaines de nanosecondes, ce qui permet
uniquement des réactions en une unique étape. Or, pour aboutir à
la transformation de l'hydrogène en hélium, il faut plusieurs
étapes dont la première, la réaction d'un proton, est très lente.
Depuis 2006, le projet ITER vise à vérifier la « faisabilité
scientifique et technique de la fusion nucléaire comme nouvelle
source d’énergie[16] ».

Corps simple hydrogène


Sauf aux pressions extrêmement basses (comme dans l'espace
intergalactique) ou extrêmement hautes (comme dans les parties
centrales de Jupiter et Saturne), le corps simple hydrogène est
formé de molécules H2 (dihydrogène).

Aux pressions extrêmement hautes, l'hydrogène est dans un état


dit « sombre », intermédiaire entre un gaz et un métal. Il ne reflète
pas la lumière et ne la transmet pas. Il devient aussi très
faiblement conducteur d'électricité[17]. Il s'apparente aux métaux
alcalins qui le suivent dans le groupe 1 du tableau de Mendeleïev.

Aux pressions les plus basses, l'hydrogène est un gaz


monoatomique.

Isomérie

Article détaillé : Isomérie de spin du dihydrogène.

La molécule de dihydrogène existe sous deux isomères de spin


nucléaire: l'hydrogène ortho (spins parallèles) et l'hydrogène para
(spins antiparallèles)[18].
Hydrogène gazeux

Article détaillé : Dihydrogène.

Dans les conditions normales de température et de pression,


comme dans la plupart des conditions qui intéressent la chimie et
les sciences de la Terre, l'hydrogène est un gaz moléculaire de
formule H2, le dihydrogène. Le dihydrogène forme aussi de vastes
« nuages moléculaires » dans les galaxies, qui sont à l'origine de
la formation des étoiles.

À très basse pression et très haute température l'hydrogène est


un gaz monoatomique (donc de formule H), c'est notamment le
cas du gaz interstellaire ou intergalactique. En raison de
l'immensité de ces espaces et malgré la très faible densité du gaz,
l'hydrogène monoatomique constitue près de 75 % de la masse
baryonique de l'univers[19].

Hydrogène liquide

Article détaillé : Hydrogène liquide.

Hydrogène solide

L'hydrogène solide est obtenu en abaissant la température en


dessous du point de fusion du dihydrogène, situé à 14,01 K
(−259,14 °C)[20]. L'état solide fut obtenu pour la première fois en
1899 par James Dewar[21],[22].

Hydrogène métallique

Article détaillé : Hydrogène métallique.

L'hydrogène métallique est une phase de l'hydrogène survenant


lorsqu'il est soumis à une très forte pression et à de très basses
températures. C'est un exemple de matière dégénérée. D'aucuns
estiment qu'il y a un intervalle de pressions (autour de 400 GPa)
dans lequel l'hydrogène métallique est liquide, même à de très
basses températures[23],[24].

Hydrogène triatomique

Article détaillé : Hydrogène triatomique.

L'hydrogène triatomique est une forme allotropique très instable


du corps simple hydrogène, de formule H3[25].

Propriétés chimiques et composés

Ions hydron H+, hydronium H3O+ et hydrure H−

L'atome d'hydrogène peut perdre son unique électron pour donner


l'ion H+, désigné couramment par le nom de proton. En effet
l'atome qui a perdu son seul électron est réduit à son noyau, et
dans le cas de l'isotope le plus abondant 1H, ce noyau n'est
constitué que d'un proton. Cette appellation n'est pas
rigoureusement correcte si l'on tient compte de la présence,
certes discrète (inférieure à 0,02 %), des autres isotopes.
L'appellation hydron est plus générale (on dit aussi ion hydrogène,
malgré la confusion possible avec l'anion H−). Son rayon est très
petit : environ 1,5 × 10−15 m contre 5 × 10−11 m pour l'atome.

En solution, le proton n'existe pas à l'état libre mais est toujours lié
au nuage électronique d'une molécule. En solution aqueuse il est
solvaté par des molécules d'eau ; on peut en simplifiant
considérer qu'il est capté par une molécule d'eau H2O, formant un
ion « hydronium » H3O+, aussi appelé « oxonium » ou
« hydroxonium ».

L'atome d'hydrogène peut aussi acquérir un second électron pour


donner l'ion « hydrure » H−, ce qui lui confère le même cortège
électronique stable que l'atome d'hélium.

Réactions acido-basiques

Article détaillé : Réaction acido-basique.

L'hydrogène joue un rôle primordial dans une réaction acido-


basique (au sens de la théorie de Brønsted-Lowry) puisque cette
dernière correspond formellement à l'échange d'un ion hydrogène
H+ entre deux espèces, la première (l'acide) libérant H+ par rupture
d'une liaison covalente, et la deuxième (la base) captant cet H+
par formation d'une nouvelle liaison covalente :

Liaison hydrogène

Article détaillé : Liaison hydrogène.

La liaison hydrogène est une interaction électrostatique entre un


atome d'hydrogène, lié chimiquement à un atome électronégatif A,
et un autre atome électronégatif B (A et B étant typiquement O, N
ou F en chimie organique).

Cette liaison joue un rôle important en chimie organique, puisque


les atomes d'oxygène O, d'azote N ou de fluor F sont susceptibles
de créer des liaisons hydrogène, mais aussi en chimie
inorganique, entre les alcools et les alcoolates métalliques.

Composés covalents

L'atome d'hydrogène peut engager son unique électron pour


former une liaison covalente avec de nombreux atomes non-
métalliques.

Les composés les plus connus sont :

la molécule de dihydrogène H2 ;


la molécule d'eau H2O ;
les molécules d'hydrocarbures CxHy.

L'hydrogène est également présent dans toutes les molécules


organiques, où il est lié principalement à des atomes de carbone,
d'oxygène et d'azote.

Hydrures

L'hydrogène se combine avec la plupart des autres éléments car il


possède une électronégativité moyenne (2,2) et peut ainsi former
des composés avec des éléments métalliques ou non-
métalliques. Les composés qu'il forme avec les métaux sont
appelés « hydrures », dans lesquels il se trouve sous forme d'ions
H− trouvés généralement en solution. Dans les composés avec les
éléments non-métalliques, l'hydrogène forme des liaisons
covalentes, car l'ion H+ a une forte tendance à s'associer avec les
électrons. Dans les acides en solution aqueuse, il se forme des
ions H3O+ appelés ions « hydronium » ou « oxonium », association
du proton et d'une molécule d'eau.

Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de
Wikipédia en anglais intitulé « Hydrogen (https://en.wikipedia.or
g/wiki/Hydrogen?oldid=262720050)  » (voir la liste des auteurs
(https://en.wikipedia.org/wiki/Hydrogen?action=history) ).
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1. David R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and Physics,
(en)

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26 novembre 2016).

Voir aussi

Articles connexes

Antihydrogène
Dihydrogène (H2)
Hydrogène kaonique
Hydrogène liquide
Hydrogène métallique
Hydrogénoduc
Hydrure
Macro-élément
Hydrogénation en chimie organique
Technologie de l'hydrogène
Chronologie des technologies de l'hydrogène
Production d'hydrogène
Stockage de l'hydrogène
Pile à combustible
Véhicule à hydrogène
Économie hydrogène

Liens externes

(en) « Technical data for Hydrogen » (http://www.periodictable.co


m/Elements/001/data.html)  [archive] (consulté le
23 avril 2016), avec en sous-pages les données connues pour
chaque isotope.
(en) Images de l'hydrogène et de ses isotopes sous différentes
formes (http://periodictable.com/Elements/001/index.htm
l)  [archive].
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(http://sciencelinks.jp/j-east/article/200211/000020021102A03
08056.php)  [archive].
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s.grc.nasa.gov/reports/2002/TM-2002-211915.pdf)  [archive].
  1 2                               3 4
1  H    
2  Li Be  
3  Na Mg  
4  K Ca   Sc Ti
5  Rb Sr   Y Zr N
6  Cs Ba   La Ce Pr Nd PmSm Eu Gd Tb Dy Ho Er Tm Yb Lu Hf T
7  Fr Ra   Ac Th Pa U Np Pu AmCm Bk Cf Es FmMd No Lr Rf D
8  119120 *  
  * 121122123124 125 126 127 128 129130131132 133 1341351361

Métaux Lanthanides Métaux


Métaux Métaux Non-
alcalino- Actinides de Métalloïdes H
alcalins pauvres métaux
terreux Superactinides transition

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