Centre d’encadrement scolaire Travaux dirigés Année : 2023-2024

CCCCC
Niveau : Terminale
Proposé par : Mr OUANDE Discipline :
mathématiques
AKOSSO Prince Sodesny R. C&D

FONCTIONS
Questions
1. Définir une fonction numérique à variable réelle.
2. Définir le domaine de définition d’une fonction f.
𝐴(𝑥)
3. Donner les conditions d’existence de chacune des fonctions suivantes : 𝑓(𝑥) = 𝐴(𝑥); 𝑔(𝑥) = ;
𝐵(𝑥)
√𝐴(𝑥) 𝐴(𝑥) √𝐴(𝑥) 𝐴(𝑥) 𝐴(𝑥)
ℎ(𝑥) = √𝐴(𝑥); 𝑖(𝑥) = ; 𝑘(𝑥) = √ ; 𝑙(𝑥) = ; 𝑝(𝑥) = |𝐴(𝑥)|; 𝑞(𝑥) = | | ; 𝑢(𝑥)
𝐵(𝑥) 𝐵(𝑥) √𝐵(𝑥) 𝐵(𝑥) √𝐵(𝑥)
où A(x) et B(x) sont deux fonctions polynômes et x une variable réelle.
4. A quel moment une fonction h est continue au point 𝑥0 = 𝑎.
5. A quel moment une fonction j est dérivable au point 𝑥0 = 𝑎.
6. A quel moment une fonction f :
a. Est Paire
b. Est Impaire
c. Est Périodique et donner la formule de la période T pour les fonctions sin(𝑎𝑥 + 𝑏) 𝑒𝑡
cos(𝑎𝑥 + 𝑏).
d. Admet un point de symétrie noté I(𝑎; 𝑏) , 𝑎 𝑒𝑡 𝑏 ∈ ℝ
e. Admet un axe de symétrie (𝛥) d’équation 𝑥 = 𝑎 , 𝑎 ∈ ℝ
𝑈 ′ ′
7. Etablir les relations suivantes : 𝑎) (𝑈 ± 𝑉)′ =? 𝑏) (𝑈 × 𝑉)′ =? 𝑐) ( ) =? 𝑑) (√𝑈) 𝑒𝑡 𝑒)(𝑈 𝑛 )′ =?
𝑉
8. Qu’appelle-t-on un extremum ?
9. Qu’appelle-t-on un point d’inflexion ?
10. Enoncer le théorème des gendarmes.
11. Enoncer le théorème de la bijection réciproque.
12. Enoncer le théorème des valeurs intermédiaires.
13. Enoncer le théorème des inégalités des accroissements finies.
14. Enoncer le théorème des accroissements finies.
15. Interpréter géométrique les expressions suivantes :
a. lim 𝑓(𝑥) = ±∞, ∀𝛼 ℝ.
𝑥→𝛼
b. lim 𝑓(𝑥) = 𝛼, ∀𝛼 ℝ.
𝑥→±∞
𝑓(𝑥)−𝑓(𝑥0 )
c. lim = 𝑙, où 𝑙 ∈ ℝ∗
𝑥→𝑥0 𝑥−𝑥0
𝑓(𝑥)−𝑓(𝑥0 )
d. lim =0
𝑥→𝑥0 𝑥−𝑥0
𝑓(𝑥)−𝑓(𝑥0 )
e. lim = ±∞
𝑥→𝑥0 𝑥−𝑥0

Exercice 1 :

Soit f une fonction numérique à variable réelle définit par : 𝑓(𝑥) = 𝑥 3 + 2𝑥 − 1

Soit (C) la courbe représentative f dans le repère orthonormé (𝑜; 𝑖⃗; 𝑗⃗).

1. Déterminer l’ensemble de définition de la fonction f.

2. Etudier les limites aux bornes de 𝐸𝑓 .
3. Dresser le tableau de signe de f.
4. Donner le tableau de variation de f.
5. Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet au moins solution 𝛼 ∈ [0,4; 0,5] telle que 𝑓(𝛼) = 0.
6. Construire la courbe (C)

Réalisé par : LE JEUNE MAÎTRE. Tel : 064 93 63 73 / 064 86 24 95

Email : Sodesnyouande6@gmail.com
 𝜋
1 + sin ( 𝑥) , 𝑥 ≥ 0
2
Exercice 2: Soit f une fonction numérique à variable réelle définie par : 𝑓(𝑥) = {−2𝑥 2+3𝑥+1
, 𝑥<0
𝑥+1

Soit (Γ) la courbe représentative f dans le repère orthonormé (𝑜; 𝑖⃗; 𝑗⃗).

1. Déterminer l’ensemble de définition de la fonction f.

2. Pour &𝑥 ≥ 0, montrer que f est périodique de période T=4. En déduire l’ensemble d’étude de f.
3. Etudier la continuité de f en 0.
4. Etudier la dérivabilité de f en 0 puis donner interprétation géométrique.
5. Etudier le signe de 𝑓′ de la fonction f.
6. Dresser le tableau des variations de la fonction f.
7. Etudier les branches infinies de la courbe (Γ) de f.
8. On pose h(x)=-f(x), donner le TV de h puis construire sa courbe.
9. Construire la courbe (Γ) de f et la courbe (−Γ) de h.
Exercice 3 :
1. Soit 𝑔 la fonction définie par 𝑔(𝑥) = −𝑥√1 + 𝑥 2 − 1
a. Donner l’ensemble de définition de 𝑔.
b. Calculer les limites aux bornes de son ensemble de définition.
c. Calculer la dérivée de 𝑔′ de 𝑔.
d. Etudier le signe de 𝑔′ (𝑥) puis donner le tableau des variations de 𝑔.
e. Montrer que l’équation 𝑔′ (𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 sur ℝ et déterminer la valeur exacte
de 𝛼.
f. En déduire le signe de g(x).
𝑥3
2. Soit 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = − − √1 + 𝑥 2 et (𝒞𝑓 ) sa courbe.
3
a. Donner l’ensemble de définition de 𝑓.
b. Calculer les limites aux bornes de son ensemble de définition.
c. Calculer la dérivée de 𝑓 ′ de 𝑓 en fonction de g(x) puis déduire le signe de 𝑓 ′ (𝑥).
d. Dresser le tableau des variations de f.
e. Déterminer l’équation de la tangente (𝑇) à (𝒞𝑓 ) au point d’abscisse 0.
f. Etudier la position de (𝒞𝑓 ) 𝑝𝑎𝑟 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 (𝑇) sur [0; +∞[.
3−𝛼 4
g. Montrer que 𝑓(𝛼) = .
3𝛼
h. Tracer (𝒞𝑓 ).

Exercice 4 : Soit f une fonction numérique à variable réelle définie par :

2𝑥 − 1 + √4𝑥 2 + 4, 𝑥 ≤ 0
𝑓(𝑥) = { 𝑥 .
𝑥+1+ 2 , 𝑥>0
1+𝑥

Soit (C) la courbe représentative f dans le repère orthonormé (𝑜; 𝑖⃗; 𝑗⃗).

1. Etudier la continuité et la dérivabilité de f au point de raccordement.

2. Etudier les variations de f puis dresser son tableau de variation.
3. Etudier les branches infinies de (C).
4. a) Justifier que f réalise une bijection réciproque de ℝ vers un autre intervalle I à déterminer.
𝑏) 𝑓 −1 la bijection réciproque de f est-elle dérivable en 1 ?
5
𝑐) Calculer f(1) puis (𝑓 −1 )′ ( ).
2
5. Tracer (C) 𝑒𝑡 (𝐶𝑓−1 ) dans un même repère.

EXERCICE 5 : Soit f une fonction numérique à variable réelle définie par :

2𝑥 2 +5𝑥−3
, 𝑠𝑖 𝑥 < 0
𝑓(𝑥) = { 𝑥+1 .
2 + √𝑥 2 + 1 , 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 0
Soit (Γ) la courbe représentative f dans le repère orthonormé (𝑜; 𝑖⃗; 𝑗⃗).

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 1. 𝑎) Donner l’ensemble de définition de 𝑓.
𝑏) Calculer les limites aux bornes de son ensemble de définition.
𝑐) Pour 𝑥 ≥ 0, montrer que f est paire.
𝑐
2. 𝑎) Pour 𝑥 < 0, déterminer les réels 𝑎, 𝑏 𝑒𝑡 𝑐 tels que 𝑓(𝑥) = 𝑎𝑥 + 𝑏 + .
𝑥+1
𝑏) Montrer que pour 𝑥 < 0 la droite (Δ) d’équation 𝑦 = 2𝑥 − 3 est asymptote obliqué à (Γ). Puis
étudier la position de (Γ) par rapport à (Δ).
𝑓(𝑥)
3. Calculer lim et lim [𝑓(𝑥) − 𝑥] et interpréter géométriquement le résultat obtenue.
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞
4. 𝑎) étudier la continue de f à gauche de 0.
𝑏) f est-elle continue en 0 ?
5. Etudier le signe puis dresser le tableau des variations de f.
6. Donner les points t’intersections de (Γ) avec les axes.
7. Tracer la courbe (Γ) dans le répere orthonormé (𝑜; 𝑖⃗; 𝑗⃗).

Nombres complexes
Exercice 1 :

1. Résoudre dans ℂ × ℂ, le système d’équation suivante :

z − iz2 = −3i
{ 1 .
2iz1 + 3z2 = 4 − 10i
2. Trouver dans l’ensemble ℂ des nombres complexes les nombres z1 , z2 et z3 tels que :
z1 + z2 = −3 + i
{ iz2 = 1 − 2i .
z2 × z3 = −1 − 2i
3. Résoudre dans ℂ, les équations suivantes :
(E1 ): 3Z + Z − 8 + 2i = 0 ; (E2 ): 2Z − Z + 1 + 6𝑖 = 0

EXERCICE 2 :
On considère trois nombres complexes non nuls :
z
z1 = 2√3 + 2i ; z2 = (1 + √3) + (1 − √3)i et z3 = 1
z2
1. Montrer que z3 = 1 + i
2. Calculer le module et un argument de z3
3. Calculer le module et un argument de z1
4. Déduire des résultats précédents la forme trigonométrique de z1
5. Déduire les valeurs exactes de cos (− 12) et sin (− 12).
π π

EXERCICE 3 :

Soit z un nombre complexe définie par z = (x + 4) + (y − 1)i

1. Déterminer x pour que z soit imaginaire pure
2. Déterminer y pour que z soit un réel
3. Déterminer x et y pour que z soit nul
4.
EXERCICE 4 :
1
On donne Z1 = √3(1 + 𝑖); 𝑍2 = √3 (1 + 𝑖) 𝑒𝑡 𝑍 = 𝑍1 × 𝑍2 2
√3
1. Déterminer le module et l’argument de Z1 et Z2
2. En déduire le module et l’argument de Z.
3. Ecrire Z sous la forme :
a. Trigonométrique
b. Exponentielle

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 c. Algébrique
7π 7π
4. En déduire les valeurs exactes de cos ( ) et sin ( )
12 12

EXERCICE 5:
2
√2 √2
1. Calculer ( +i ) .En déduire dans l’ensemble ℂ des nombres complexes les solutions de l’équation
2 2
z 2 − i = 0.
2. On pose P(z) = z 3 + z 2 − iz − i = 0 Où z est le nombre complexe.
a. Démontrer que P(z) = 0 admet une solution réelle que l’on déterminera.
b. Résoudre l’équation P(z) = 0 dans l’ensemble des nombres complexes.
3. Le plan est muni d’un repère orthonormé direct (O, u ⃗⃗) d’unité graphique 2cm.Soient les points A, B,
⃗⃗, v
√2 √2
C d’affixes respectives : zA = (1 + i); zB = − (1 + i) et zA = −1.
2 2
a. Déterminer la forme exponentielle de zA et zB .
b. Placer avec précision les points A, B et C dans le plan complexe.
4. Soit D le symétrie de A par rapport à l’axe des réels.
a. Donner l’affixe zD du point D sous la forme algébrique.
π
zD − zC
b. Démontrer que = e−i 4 .En déduire la nature du triangle ACD.
zA − zC
√2
5. Soit E le point d’affixe i et F son symétrie par rapport à O. On considère la similitude directe S qui
2
transforme E en A et F en B.
a. Déterminer l’écriture complexe de S et ses éléments caractéristiques.
b. Donner l’expression analytique de S.
c. Soit (C) le cercle de centre E et de rayon r. Déterminer l’image (C′) de (C) par S.

EXERCICE 6:

On considère dans l′ ensemble ℂ, le polynome P definie par :

P(z) = 2z 3 + (5 + 3i)z 2 + (13 − 5i)z + 10 + 2i

1. L’équation P(z) = 0 admet une racine imaginaire pure. Déterminer cette racine.
2. Résoudre dans ℂ, l’équation P(z) = 0.
3. Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé (0, u, ⃗⃗), on considere les points A et B d’affixes
⃗⃗⃗ v
x′ = x − y + 2
respectives z1 = √3 + i et z2 = √3 − i . Soit S la similitude plan directe définie par :{ ′
y =x+y−1
a. Montrer que l’écriture complexe de S est : z ′ = (1 + i)z + 2 − i.
b. En déduire les éléments caractéristiques de S.
c. Calculer l’affixe zA′ du point A′, image de A par S.
3
4. On note h l’homothétie de centre O et de rapport − . Calculer l’affixe zB′ du point B ′ , image par B de
2
h.

EXERCICE 7:

1. On considère dans l′ ensemble ℂ, le polynome P définie par :

P(z) = z 3 + (−6 − 2i)z 2 + (10 + 12i)z − 20i.

a. Calculer P(2i).
b. En déduire pour tout complexe z on a : P(z) = (z − 2i)Q(z) , où Q est polynome du second degré que
l’on déterminera.
c. Résoudre dans ℂ, l’équation P(z) = 0.
2. Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé (0, u, ⃗⃗⃗ v
⃗⃗), on considere les points A , B et C
d’affixes respectives zA = 3 + i, zB = 3 − i et zC = 2i .
a. Placer ces points dans un repère.
z −z
b. Mettre sous la forme algébrique le nombre complexe Z= C B .
zA −zB

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 c. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ BA
Mettre Z sous forme trigonométrique. En déduire la mesure ( BC, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗).Que peut-on dire du
triangle ABC ?

EXERCICE 8:

1. Dans l′ ensemble ℂ, on considère l’équation :

(E): z 3 + (3 − 2i)z 2 + (1 − 4i)z − 1 − 2i = 0 .

a. Vérifier que (E) admet une solution réelle.

b. Achever la résolution de (E).
2. Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé (0, u,
⃗⃗⃗ v
⃗⃗), on considere les points A , B et C
d’affixes respectives zA = −1, zB = −2 + i et zC = i .
z −z
a. Déterminer le module et l’argument du nombre complexe Z= B A .
zC −zA
b. En déduire la nature du triangle ABC.
c. Donner le centre, le rapport, l’angle et l’écriture complexe de la similitude plane directe qui
transforme B en C tout en laissant A invariant.

EXERCICE 9:

Le plan complexe ℂ est muni d’un repère orthonormé direct (0, u, ⃗⃗⃗ v
⃗⃗). On considère les nombres complexes
a ; z0 ; z1 ; z2 ; et z3 tels que :a = 1 + i ; z0 = 2 ; z1 = az0 ;

z2 = az1 ; z3 = az2 .

M0 , M1 , M2 et M3 sont les points d’affixes respectives z0 , z1 , z2 et z3 .

1. Ecrire les nombres complexes z1 , z2 et z3 sous la forme algébrique.

2. Placer les M0 , M1 , M2 et M3 dans le repère.
3. Déterminer le rapport, l’angle et le centre, de la similitude plane directe f qui transforme O en M2 et
M2 en M3 .
4. Donner l’expression analytique de f.
5. Déterminer les affixes des A et B images respectives de M1 et M3 par f.

EXERCICE 10:

Le plan complexe ℂ est muni d’un repère orthonormé direct (0, u, ⃗⃗).On rappelle que |i|=1 et
⃗⃗⃗ v
π
arg(i) = [2π].
2
1. Montrer que (1 + i)6 = −8i.
2. Résoudre dans ℂ l′ équation (E): z 3 = −8i.
2π
3. On considère le point A d’affixe zA = 2i et r la rotation de centre O et d′ angle [2π].
3
a. Donner l’écriture complexe de r.
b. Donner son expression analytique .
c. Déterminer l’affixe zB du point B image du point A par r.
d. Déterminer l’affixe zC du point C image du point B par r.
e. Vérifier que zB et zC sont solution de l’équation (E).
4. Déterminer l’affixe zD du point D, pour que le quadrilatère ABCD soit un parallélogramme
direct.
5. Placer les points A, B, C et D dans le repère.
6. A l’aide d’une démonstration, donner la nature du triangle ABC.

EXERCICE 11:

1. Soit dans ℂ l’équation (Eα ): z 2 − i(2 sin α + 1)e−iα z − (2 sin α)e−2iα = 0, α ∈ [−π; π].
Résoudre dans ℂ l’équation (Eα ). Mettre les solutions sous la forme exponentielle.
2. Soit un repère orthonormé direct et les points M ′ et M ′′ d’affixes respectives z ′ = ie−iα et z ′′ =
2i sin α e−iα .

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 a. Quel est l’ensemble des points M ′′ lorsque α varie?
b. Soit w = 2 sin2 α + sin α + i(sin 2α + cos α). Mettre w sous forme exponentielle. Déduire le
milieu du segment [M ′ M ′′ ].
z′
c. . Comment sont les points O, M ′ et M ′′ ? peut-on trouve une valeur de α
Calculer le rapport
z′′
pour que O soit milieu du segment [M ′ M ′′ ].
3. Déterminer l’ensemble des points N d’affixe z1 telle que z1 z12 ∈ ℝ.
1+z
4. On suppose que z1 ≠ 1. Montrer que i 1 est un réel si |z1 | = 1.
1−z1

Exercice 12 :

On considère le nombre complexe 𝑧 = 1 + √3 + 𝑖(√3 − 1).

1. Calculer 𝑧 2 .
2. 𝑎) Ecrire 𝑧 2 sous la forme trigonométrique.
𝑏) En déduire le module et un argument de z.
3. Calculer 𝑧 6 .

Exercice 13 :

On considère le complexe 𝑧 = (√6 + √2) + 𝑖(√6 − √2)

1. Calculer 𝑧 2 .
2. Déterminer le module et un argument de 𝑧 2 . En déduire le module et un argument de z.
3. Déterminer les entiers n tels que 𝑧 𝑛 soit un imaginaire pur.

Exercice 14 :

On donne les nombres complexes 𝑎 = 5√2(1 + 𝑖) et 𝑏 = −5(1 + 𝑖√3).

𝑏
1. Déterminer le module et un argument de 𝑎, 𝑏 𝑒𝑡 .
𝑎
2. Déterminer les racines carrées, les racines cinquièmes, et les racines huitième de 𝑎.
3. Soit Z le nombre complexe tel que 𝑎𝑍 = 𝑏. Ecrire Z sous la forme algébrique et sous la forme
trigonométrique.
13𝜋 13𝜋
4. En déduire les valeurs exactes de cos sin .
12 12
𝑛
5. Déterminer l’entier nature n pour que 𝑍 soit :
a. Un réel ;
b. Imaginaire pure.

Exercice 15 :

1. Soit f la transformation définie par : 𝑧 ′ = 𝑎𝑧 + 1 − 𝑖 où 𝑎 est un nombre complexe.

Pour quelle valeur de 𝑎 f est :

a. Une translation puis donner son expression analytique.

b. Une homothétie et donner les éléments caractéristiques dans le cas où 𝑎 = 3
1 √3
c. Une rotation puis donner les éléments caractéristiques dans le cas où 𝑎 = − + 𝑖
2 2
d. Une similitude plane directe et donner les éléments caractéristiques dans le cas où 𝑎 = √2 + 𝑖√2.
2. On considère l’application g définie telle que : g(A)=B et g(B)=C, avec 𝑍𝐴 = 2 + 2𝑖 ,
𝑍𝐵 = 1 + 𝑖 𝑒𝑡 𝑍𝐶 = 1 . Donner l’expression complexe de g ; ces éléments caractéristiques ; son
expression analytique donner l’affixe 𝑍′ du point D image du point O par g. Placer tous ces points
dans un repère orthonormé (𝑜, 𝑢 ⃗⃗, 𝑣⃗).

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Exercice 16 :

On considère dans l’ensemble ℂ des nombres complexes le polynôme :

P(z) = z 4 + (4 − 2i)z 2 − 8i.

1. Montrer que pour nombre complexe z, P(z) = (z 2 − 2i)(z 2 + 4).

2. Déterminer les racines carrées de 2i. On donnera les résultats sous forme algébrique.
3. Résoudre dans ℂ l’équation P(z) = 0.
4. Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé (o ; ⃗⃗⃗⃗⃗
u;v ⃗⃗⃗), on considère les points A, B, C et
D d’affixes respectives : zA = −1 − i ; zB = −2i ;
zC = 1 + i et zD = 2i.
a.) Montrer que le quadrilatère ABCD est un parallélogramme.
b.) Tracer le parallélogramme ABCD.
5. Soit t la similitude plane directe, qui a tout point M d’affixe z, associe le point M′ d’affixe z′ tel que
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
MM′=AD ⃗⃗⃗⃗⃗⃗.
a.) Montrer que z ′ = z + 1 + 3i.
b.) Donner la nature et caractériser t.
c.) Donner l’affixe du point B′ image de B par la translation t.

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