Vous êtes sur la page 1sur 37

ADMINISTRATION SYSTÈME LINUX

M. Jean DIOKH
Certifié Linux Professional Institute LPIC-3 Mixed Environment & LPIC-3 Security,
Red Hat RHCSA
The Linux Foundation LFCS, CKA
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

 Création de partitions et systèmes de fichiers

 Maintenir l’intégrité des systèmes de fichiers

 Contrôle du montage et du démontage des systèmes de fichiers

 Gérer les permissions et les propriétaires des fichiers

 Créer et changer les liens symboliques et physiques sur les fichiers

 Recherche de fichiers et placement des fichiers aux endroits adéquats

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 2
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Création de partitions et systèmes de fichiers

➢ fdisk
➢ mkfs
➢ mkswap

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 3
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Nommage des périphériques


IDE: /dev/hdX

Non IDE ( SATA, USB, SCSI): /dev/sdX

Disquette: /dev/fdX

CD-ROM: /dev/srX

La commande lsblk affiche les informations sur les périphériques bloc disponibles

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 4
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Liste des périphériques de type bloc: lsblk

Les partitions d'un disque sont définies dans la table des partitions.

C’est cette table qui contient toutes les informations concernant le découpage du disque en partitions.

Il existe deux tables de partitionnement :


 MBR (Master Boot Record)
 GPT (GUID Partition Table)

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 5
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Table de partition MBR - GPT

Le MBR:
 La table des partitions : les 4 partitions primaires.
 Taille d’une partition limitée à 2,2 To.

Ces limitations ont poussé les fabricants à se tourner vers une nouvelle table de partitionnement plus performante: GPT

Le GPT est une spécification de l’UEFI, le remplaçant du BIOS.


Les principaux avantages du GPT :
 Jusqu’à 128 partitions par disque.
 Jusqu’à 256 To par partition.

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 6
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Création de partitions

Le partitionnement consiste à définir des espaces sur le disque.

Le partitionnement d'un disque se fait avec la commande fdisk


Exemple: fdisk /dev/sda

Avec MBR, Il existe 3 types de partition:


 Les partitions principales
 Les partitions étendues
 Les partitions logiques

Une partition étendue contient des partitions logiques; la première partition logique a un ID égale à 5

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 7
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Création de partitions – disklabel DOS (MBR)

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 8
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Création de partitions – disklabel GPT

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 9
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Afficher la table des partitions

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 10
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Afficher la table des partitions

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 11
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

UUID

L’UUID (Universally Unique Identifier), comme le label, permet de désigner un périphérique de stockage par un identifiant plutôt que
par son fichier de bloc spécial (/dev/sdb1 par exemple).

UUID permet d’éviter toute reconfiguration en cas de changement d'identifiant de la partition ou modification du branchement.

Pour connaître le UUID d'une partition on utilise la commande blkid.

Syntaxe : blkid partition

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 12
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Montage manuel des partitions

Après partitionnement et formatage, les partitions sont montées manuellement sous un répertoire local avec la commande mount .

Syntaxe :

mount [-t type_fs] [-o options] [peripherique] [point_montage]

Exemple :

mount /dev/sdb3 /partage

mount -t nfs 192.168.1.20:/projet /mnt

mount -t ext3 -o ro /dev/sdc2 /Linux

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 13
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Démontage manuel des partitions

La commande umount réalise l’opération inverse.


Elle accepte comme argument le point de montage, ou le périphérique physique à démonter.

Syntaxe :

umount peripherique ou umount point_montage

Exemple :

umount /dev/sdb3 ou umount /partage

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 14
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Montage automatique : /etc/fstab

Le fichier /etc/fstab permet de désigner les systèmes de fichiers à monter ou des espaces de swap à activer automatiquement au
démarrage.

Le fichier /etc/fstab doit comporter sur chaque ligne six champs obligatoire :
fs pointmontage type options dump fsck

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 15
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Montage automatique : /etc/fstab

La commande mount -a est appelée au démarrage d’un système.


Cette commande provoque le montage de tous les périphériques référencés dans le fichier /etc/fstab, à l’exception de ceux qui
présentent l’option noauto dans le quatrième champ.

Il est possible de demander à forcer sa vérification avant son montage, lors du démarrage suivant, par l’option -F de la commande
#shutdown -F -r now

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 16
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Les systèmes de fichiers

L'espace de stockage d'un disque neuf est constitué d'une suite d'octets sans aucune forme d'organisation.
Pour exploiter convenablement tout ou partie de cet espace de stockage, il convient de le segmenter dans un premier temps, c’est le
partitionnement, puis de créer sur les partitions à exploiter un système de fichiers.

Le système de fichiers sert à organiser un espace de stockage brut, comme une partition de disque pour y stocker des données.

!!! formatage de l’espace de stockage = création de filesystem.

Il existe plusieurs types de filesystem, dont les plus courants en environnement Linux sont ext, reiserfs et xfs

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 17
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Création des filesystems

Les filesystems sont crées sur les partitions de disque avec la commande mkfs.

Syntaxe:
mkfs -t typeFS partition ou mkfs.typeFS partition

Exemple :
mkfs.ext3 /dev/sdb1 ou mkfs -t ext3 /dev/sdb1

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 18
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Vérification des filesystems

La vérification d’un filesystem consiste essentiellement en la vérification de cohérence entre la table des inodes du filesystem et les
blocs de données correspondants. C’est-à-dire que pour chaque inode, on vérifiera que les blocs de données référencés par cet inode
sont bien présents, en nombre et quantité annoncés.

Syntaxe:
fsck -t typeFS partition ou fsck.typeFS partition

Exemple :
fsck.ext3 /dev/sdb1 ou fsck -t ext3 /dev/sdb1

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 19
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Les systèmes de fichiers ext2 ext3 ext4

dumpe2fs: affiche des informations sur le système de fichier


Syntaxe : dumpe2fs [option] partition
-b : affiche les blocs qui sont marqués défectueux.
-h : n'afficher que les informations de super-bloc

tune2fs: ajuster les paramètres des systèmes de fichiers


Syntaxe : tune2fs [option] partition
-j : ajouter la journalisation
-U : affectation d'un nouveau UUID
-L : ajout d'un label

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 20
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD

Gestion de la partition swap

La partition swap n’est pas associée à un répertoire local, la commande mount n’est pas utilisée.

Activation du swap
Une fois l’espace de swap créé, il doit être rendu accessible au noyau par la commande swapon.
#swapon périphérique

Désactivation d'un espace de swap


#swapoff périphérique

La commande swapon -a permet de réactiver l’espace d’échange définie dans le fichier /etc/fstab.

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 21
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Maintenir l’intégrité des systèmes de fichiers

➢ du

➢ df

➢ fsck

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 22
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Maintenir l’intégrité des systèmes de fichiers

La commande ''du'' donne les statistiques sur l’utilisation du disque.


Quelques options:
-k: affiche la taille en kilo-octets
-s: affiche le total pour chaque argument
-x: ignore les répertoires situés sur un système différent que celui de l'argument indiqué.

df - Fournit la quantité d’espace occupée des systèmes de fichiers.

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 23
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Gérer les permissions et les propriétaires des fichiers

➢ chmod

➢ umask

➢ chown

➢ chgrp

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 24
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Gérer les permissions et les propriétaires des fichiers

Les droits correspondent aux permissions d'accès à une ressource.

Sous Linux il y a trois catégories d'utilisateurs:

▪ Le propriétaire de la ressource symbolisé par ''u''

▪ Le groupe propriétaire de la ressource symbolisé par ''g''

▪ Les autres utilisateurs symbolisés par ''o''

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 25
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Gérer les permissions et les propriétaires des fichiers

--- 0
--x 1
Il y' a trois types de droits:
-w- 2
▪ Le droit de lecture symbolisé par ''r''
r-- 4
▪ Le droit d'écriture symbolisé par ''w''
-wx 3
▪ Le droit d'exécution symbolisé par ''x'' r-x 5
rw- 6
rwx 7

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 26
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Gérer les permissions et les propriétaires des fichiers

Lorsqu’il s’agit d’un fichier, les droits sont faciles à interpréter :


 L'accès en lecture permet de consulter le contenu mais aussi de le copier.
 L'accès en écriture de le modifier.
 Et l'accès en exécution permet de tenter de l'exécuter (ce qui ne fonctionnera que s'il s'agit d'un programme).
Pour un répertoire, le traitement est différent :
 L'accès en lecture donne le droit de consulter la liste de son contenu.
 L'accès en en écriture celui d'y créer ou supprimer des fichiers.
 Et l'accès en exécution de le traverser (et notamment d'en faire le répertoire courant avec la commande "cd")

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 27
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Gérer les permissions et les propriétaires des fichiers

La commande chmod permet de changer les droits et les permissions sur les fichiers et répertoires.

La commande chgrp permet de changer le groupe d'un fichier.

La commande chown change le propriétaire d'un fichier.

cp -p copie des fichiers avec conservation des attributs.

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 28
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Gérer les permissions et les propriétaires des fichiers
Les droits spéciaux

SETUID: Lorsque le programme est exécuté, il l’est avec les droits du propriétaire. (u+s ou 4000)

SETGID: Le programme s’exécute avec les droits du groupe auquel il appartient. (g+s ou 2000)

STICKY: Un utilisateur ayant les droits d’écriture au sein d’un répertoire peut effacer n’importe quel fichier de ce
répertoire. Cela peut s’avérer dangereux dans le cas où un répertoire est partagé par plusieurs. De ce fait, on introduit le
sticky bit et dès lors l’utilisateur ne peut effacer que les fichiers qui lui appartiennent.
C’est le cas par exemple du répertoire /tmp. (o+t ou 1000)

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 29
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Gérer les permissions et les propriétaires des fichiers

La commande umask affiche le masque de création des fichiers et répertoires.

Lorsqu'on déduit la valeur du umask dans les pleins droits sur les fichiers (rw- rw- rw-) ou répertoires (rwx rwx rwx) ,
on obtient les droits sur les fichiers ou répertoires créés.

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 30
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Créer et changer les liens symboliques et physiques sur les fichiers

➢ Création des liens avec la commande ln


➢ Identification des liens physiques et/ou symboliques.

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 31
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Créer et changer les liens symboliques et physiques sur les fichiers

Les liens désignent les liaisons établies entre les fichiers.

Il existe deux types de liens sous Linux:


- Lien matériel ou physique: c'est une manière de nommer un fichier. Ce fichier peut avoir plusieurs noms et ne peut
être effacé que si son dernier nom est supprimé.
- Lien symbolique: Un lien symbolique peut pointer vers un système de fichier différent de celui d'accueil.

La commande ln permet de créer un lien entre fichiers. L'option -s permet de créer un lien symbolique.

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 32
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Recherche de fichiers et placement des fichiers aux endroits adéquats

➢ find
➢ locate
➢ updatedb
➢ whereis
➢ which
➢ type
➢ /etc/updatedb.conf

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 33
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Recherche de fichiers et placement des fichiers aux endroits adéquats

Le système Linux est caractérisé par sa structure arborescente.


La commande find effectue une recherche dans une arborescence , mais n'utilise pas une base de données indexée
- L'option -name: spécifie le nom du fichier
- L'option -type: précise le type du fichier
- L'option -user: fichier d'un utilisateur
- Les options -atime, -ctime, -mtime: précisent respectivement la date d'accès, de création ou de dernière modification.

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 34
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Recherche de fichiers et placement des fichiers aux endroits adéquats

La commande locate effectue une recherche dans l'intégralité de système de fichiers comme find, mais utilise une base
de données indexée.

La base de données de locate est mise à jour avec la commande updatedb.

Le fichier /etc/updatedb.conf: contient les options de fonctionnement de la commande updatedb.

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 35
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Recherche de fichiers et placement des fichiers aux endroits adéquats

La commande whereis permet de trouver l'emplacement d'un exécutable , et cherche aussi dans les pages manuels.
Exemple:

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 36
CHAPITRE IV : DISQUES, SYSTÈME DE FICHIERS LINUX,
ARBORESCENCE DE FICHIERS STANDARD
 Recherche de fichiers et placement des fichiers aux endroits adéquats

which: permet de trouver l'emplacement d'un programme en effectuant la recherche suivant le contenu de la variable
PATH

Exemple:

LPIC1/INGC1/ESMT - M. DIOKH 37

Vous aimerez peut-être aussi