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2 baccalauréat scientifique
MATHÉMATIQUES
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de
coours
Continuité d‛une
fonction numérique
Sommaire
C. Fonctions réciproques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
1. Théorème des fonctions réciproques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2. Fonction Arctangente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
3. Fonction racine n-ième . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
4. Puissance rationnelle d‛un nombre strictement positif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
CONTINUITÉ D‛UNE
T RE
PI
FONCTION NUMÉRIQUE
A
1
CH
Définition
Soit f une fonction définie sur un intervalle I contenant x0 .
∧
Remarques
Exemple
x + 1 , x 6= 3
1. Soit f la fonction définie sur R par : f(x) =
3 ,x = 2
4
3 • Cf
1
⃗j
O
–2 –1 ⃗i 1 2 3 4
–1
x2 – 1 , x 6= –1
2. Soit g la fonction définie sur R par : g(x) =
3 , x = –1
CONNAÎTRE LE COURS CONTINUITÉ D‛UNE FONCTION NUMÉRIQUE
4
4
• 3 Cg
1
⃗j
O
–3 –2 –1 ⃗i 1 2 3
–1
Définition
1. Soit f une fonction définie sur un intervalle de type x0 ; x0 + α tel que α 0.
∨
On dit que f est continue à droite en x0 , si : lim f(x) = f(x0 )
x→x+
0
Plus précisément : ∀ϵ 0 ∃α 0 0 ≤ x – x0 α ⇒ f(x) – f(x0 ) ϵ.
∨
∧
2. Soit f une fonction définie sur un intervalle de type x0 – α; x0 tel que α 0. ∨
On dit que f est continue à gauche en x0 , si : lim f(x) = f(x0 )
x→x–0
Plus précisément : ∀ϵ 0 ∃α 0 –α x – x0 ≤ 0 ⇒ f(x) – f(x0 ) ϵ.
∨
Exemple
√
x – 1 ,x ≥ 1
Soit f la fonction définie sur R par : f(x) =
x3 – 1 , x ≤ 1
Propriété
Une fonction f est continue en x0 si et seulement si elle est continue à droite et à gauche en x0 .
Autrement dit : lim f(x) = lim – f(x) = f(x0 )
x→x+ x→x0
0
Définition
Soit I un intervalle contenant x0 , et f une fonction définie sur I sauf en x0 .
1. On dit que f est prolongeable par continuité en x0 , si elle est admet une limite finie l en x0 , ou
encore lim f(x) = l.
x→x0
f(x) , x 6= x0
2. La fonction g : x 7→ est appelée prolongement continu de f.
l , x = x0
Exemple
x2 – 4
On considère la fonction f définie sur R – {2} par : f(x) = .
x–2
Définition
Soit a et b deux réels tels que a b.
∧
1. On dit que une fonction
f est continue sur l‛intervalle ouvert a; b , si la fonction f est continue
en tout point x de a; b .
2. On
dit que une fonction f est continue sur le segment a; b , si la fonction f est continue sur
a; b , à droite en a et à gauche en b.
Remarques
On définit d‛une façon analogue la continuité d‛une fonction sur les intervalles a; b et a; b .
Exemple
1. La fonction partie entière x 7−→ E(x) est continue sur chaque intervalle n; n + 1 , où n est un
entier. En effet :
a. Elle est continue en tout point de l‛intervalle ouvert n; n + 1 .
b. Elle est continue à droite en n.
On donne la courbe représentative de la fonction partie entière sur l‛intervalle – 4; 5 :
4 •
3 •
2 •
1 •
•
–4 –3 –2 –1 O 1 2 3 4 5
• –1
• –2
• –3
• –4
Propriété
Exemple
1 √
1. La fonction x 7→ x3 + x + 2 est continue sur R, car elle est polynôme.
2
x2 + x + 1
2. La fonction x 7→ est continue en tout point de R – {2}.
x–2
Propriété
Soit u et v deux fonctions continues sur un intervalle I et α un réel.
1. Les fonctions u + v , u × v et αu sont continue sur I.
1 u
2. Si la fonction v ne s‛annule pas sur I, alors les fonctions et sont continues sur I.
v v
Exemple
cos(x) + x
2. Montrons que la fonction g : x 7→ est continue sur 0; 1 :
x
On a la fonction u : x 7→ cos(x)
+ x est continue sur R somme de deux fonctions continues ,
et en particulier sur 0; 1 .
Et la fonction v : x 7→ x est continue et ne s‛annule pas sur 0; 1 .
u
Donc la fonction g = est continue sur 0; 1 .
v
2
3. Montrons que la fonction h : x 7→ x + 1 est continue sur R :
On a pour tout x de R : h(x) = x + 1 x + 1 , et la fonction u : x 7→ x + 1 est continue sur R,
Donc la fonction h = u × u est continue sur R.
Théorème
Soit u et v deux fonctions définies respectivement sur I et J tel que u I ⊆ J, et x0 un élément de
I.
1. Si u est continue en x0 et v est continue en u(x0 ), alors la composée v ◦ u est continue en x0 .
2. Si u est continue sur I et v est continue sur u I , alors la composée v ◦ u est continue sur I.
Exemple
1
1. Montrons que la fonction f : x 7→ est continue sur 0 :
cos(x) – 2
1
Pour tout x ∈ I = R, on a : f(x) = v u(x) , avec v(x) = et u(x) = cos(x)
x –2
De plus, on a u I = – 1; 1 ⊂ J = R – {2}.
Comme la fonction u est continue 0 et la fonction v est continue en u(0) = 1, alors la composée
f = v ◦ u est continue en 0.
√
2. Montrons que la fonction f : x 7→ sin x est continue sur R+ : √
Pour tout x ∈ I = R+ , on a : f(x) = v u(x) , avec v(x) = sin(x) et u(x) = x
De plus, on a u I = R+ ⊂ J = R.
Comme lafonction u est continue sur I = R+ et la fonction v est continue sur R, en particulier
sur u R+ , alors la composée f = v ◦ u est continue sur R+ .
Corollaire
√
Si u est une fonction continue et positive sur un intervalle I, alors la fonction u est continue sur I.
Exemple
√
1. Montrons que la fonction f : x 7→ x2 + 1 est continue sur R :
7→ x2 + 1 est continue sur R, et on a pour tout x de R : x2 + 1
On a la fonction u : x √ 0
∨
Propriété
Soit f une fonction définie sur un intervalle I contenant x0 , et g une fonction définie sur un intervalle
J contenant l. On suppose que u(I) ⊆ J.
lim f(x) = l
x→x 0
et ⇒ lim g ◦ f (x) = g(l)
x→x0
g est continue en l
Exemple
1 √
1. On a : lim 3 + 2 = 4 et la fonction x 7→ x est continue en x0 = 4
x→1r x
1 √
alors lim 2 + 2 = 4 = 2.
x→1 x
1 – cos(x)
2. On a : lim 2π. 2
= π et la fonction x →
7 tan x est continue en x0 = π
x→0 x
1 – cos(x)
alors lim tan 2π. 2
= tan π = 0.
x→0 x
Théorème
M
f(a) × • Cf
f(b) × •
⃗j
O
⃗i a b
Remarques
Sur un segment a; b de son domaine de définition, une fonction continue est bornée et atteint
à ses bornes, c‛est à dire :
f a; b = m; M , où m = min f(x) et M = max f(x)
x∈[a;b] x∈[a;b]
Les intervalles I et f(I) ne sont pas forcément de même
nature ouvert, fermé ou semi-ouvert .
Exemple
: L‛image de l‛intervalle semi-ouvert – 2, 2 par la fonction carré est l‛intervalle fermé
0; 4 .
La condition de la continuité est suffisante, mais n‛est pas nécessaire.
Propriété
Soit f une fonction continue sur un intervalle I, a et b deux réels.
Exemple
1 + x2
On donne ci-dessous, le tableau de variations de la fonction f définie sur R∗ par : f(x) =
x
x –∞ –1 0 1 +∞
-2 +∞ +∞
f(x)
–∞ –∞ 2
On remarque que f est une fonction rationnelle, donc elle est continue en tout point de R∗ .
1. Déterminons f 2; 3 :
5 10
On a f est strictement croissante sur 2; 3 , alors f 2; 3 = f(1); f(3) = ; .
2 3
2. Déterminons f – 1; 0 :
On a f est strictement décroissante sur –1; 0 , alors f –1; 0 = lim f(x); f(–1) = –∞; –2 .
x→0–
√
3. Déterminons f – ∞; – 5 :
√ √ √
On a f est strictement croissante sur – ∞; – 5 , alors f – ∞; – 5 = lim f(x); f(– 5) =
x→–∞
√
6 5
– ∞; – .
5
Théorème (1)
Soit a et b deux réels tels que a b.
∧
Si une fonction f est continue
sur l‛intervalle a; b , alors pour tout réel k compris entre f(a) et f(b),
il existe un réel c de a; b tel que f(c) = k.
Remarques
Autrement dit, si f est continue sur a; b , alors pour
tout
réel k compris entre f(a) et f(b)
l‛équation f(x) = k admet au moins une solution dans a; b .
Graphiquement, La droite d‛équation y = k et la courbe représentative Cf sont nécessairement
sécantes.
f(a) Cf
y=k × • • • • •
f(b)
⃗j
O
× × × × ×
⃗i c5 c1 c2 c3 c4
a b
Exemple
1. Montrons que l‛équation x3 + x = 3 possède au moins une solution dans 1; 2 :
Pour tout x ∈ R, on pose : f(x) = x3 + x
La fonction f est bien continue sur R, et en particulier sur 1; 2
De plus f(1) = 2 et f(2) = 11 ,
Comme f(1) 3 f(2), alors d‛après le TVI l‛équation x3 + x = 3 possède au moins une solution
∧
∧
dans 1; 2 .
Corollaire (1)
Si f est une fonction continue sur a; b et f(a) × f(b) 0, alors l‛équation f(x) = 0 admet au moins
∧
une solution dans a; b .
∧
possède au moins une solution dans 0; 2 .
Théorème (2)
Soit a et b deux réels tels que a b.
∧
Si une fonction f est continue et strictement monotone sur l‛intervalle a; b , alors pour tout réel k
compris entre f(a) et f(b), il existe un unique réel c de a; b tel que f(c) = k.
Corollaire (2)
Si une fonction f est continue et strictement monotone sur l‛intervalle a; b et f(a) × f(b) 0, alors
∧
l‛équation f(x) = 0 admet une unique solution dans a; b .
Exemple
1. Montrons que l‛équation x4 + x3 + 3x = 4 possède une solution unique dans 0; 1 :
Pour tout x ∈ R, on pose : f(x) = x4 + x3 + 3x – 4
La fonction f est bien continue sur R, et en particulier sur 0; 1 . De plus f(0) = –4 et f(1) = 1 ,
Puisque f(0) × f(1) 0, alors d‛après le TVI l‛équation x4 + x3 + 3x – 4 = 0 possède une solution
∧
unique dans 0; 1 .
D‛où l‛équation x4 + x3 + 3x = 4 possède une solution unique dans 0; 1 .
Remarques
« Si f est une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle I, alors pour tout
réel k ∈ f(I) , il existe un unique réel c de I tel que f(c) = k. »
∀k ∈ f(I) ∃!c ∈ I f(c) = k
Exemple
√ π π
1. Montrons que l‛équation tan(x) = 5 possède une unique solution dans – ; :
2 2
π π
On pose pour tout x ∈ – ; : f(x) = tan(x)
2 2
π π
La fonction f est continue est strictement croissante sur – ; ,
2 2
π π
De plus lim – tan(x) = +∞ et lim tan(x) = +∞ , d‛où f – ; = – ∞; +∞[
x→ π2 x→– π2 + 2 2
√ √
Puisque
5 ∈ – ∞; +∞[, alors d‛après le TVI l‛équation tan(x) = 5 possède une unique solution
π π
dans – ; .
2 2
C. Fonctions réciproques
Théorème
Si la fonction f est continue et strictement monotone sur un intervalle I, alors la fonction f admet
une fonction réciproque, notée f–1 , définie sur f(I) telle que :
x∈I y ∈ f(I)
⇐⇒
f(x) = y x = f–1 (y)
On dit que la fonction f réalise une bijection de l‛intervalle I sur l‛intervalle f(I).
Exemple
√
On considère la fonction f définie sur I = 0; +∞ par : f(x) = x
1. On a la fonction racine carrée est continue et strictement croissante
sur I, alors
elle admet
une fonction réciproque f–1 définie sur J = f(I) tel que J = f(0); lim f(x) = 0; +∞ .
x→+∞
2. Déterminons l‛expression
de la fonction f–1 :
Soit y ∈ J = 0; +∞ . On résout l‛équation f(x) = y sur I = 0; +∞
√ √ 2
f(x) = y ⇐⇒ x = y ⇐⇒ x = y2 ⇐⇒ x = y2 = f–1 (y)
D‛où ∀y ∈ 0; +∞ f–1 (y) = y2 , ou encore ∀x ∈ 0; +∞ f–1 (x) = x2 , c‛est la fonction
carré.
√ 2 √
3. On voit que : ∀x ∈ 0; +∞ , f–1 ◦ f (x) = x =x et ∀x ∈ 0; +∞ , f ◦ f–1 (x) = x2 =
x.
4. Traçons les deux courbes Cf et Cf–1 , dans un repère orthonormé d‛unité 1cm.
6
5 Cf–1
x
=
•
y
4
2 •
Cf
1
⃗j
O
–1 ⃗i 1 2 3 4 5 6
–1
5. On remarque que Cf et Cf–1 sont symétriques par rapport à la première bissectrice, la droite
d‛équation y = x.
Conséquences
Soit f une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle I, et f–1 sa fonction réciproque.
On pose J = f(I), on a :
–1
1. La fonction f est continue et strictement monotone sur l‛intervalle J, et varie dans le même
sens que la fonction f.
–1
2. ∀x ∈ I f ◦ f (x) = x et ∀x ∈ J f ◦ f–1 (x) = x.
–1
3. Dans un repère orthonormé, les courbe représentatives Cf et Cf–1 respectives de f et f
sont symétriques par rapport à la droite d‛équation y = x.
2. Fonction Arctangente
Définition
π π
La fonction tangente admet une fonction réciproque de – ; dans R, appelée la fonction arctan-
2 2
gente et notée arctan.
π π
arctan : R −→ – ;
2 2
x 7−→ arctan(x)
Exemple
√ √
π 3 3 π
1. On sait que : tan – =– , réciproquement on a : arctan – =– .
6 3 3 6
De même, on a :
π π
2. arctan 0 = 0. 3. arctan 1 = . 4. arctan – 1 = – .
4 4
√
√ π √ π 3 π
5. arctan 3 = . 6. arctan – 3 =– . 7. arctan = .
3 3 3 6
Conséquences
π π
1. ∀x ∈ R ∀y ∈ – ; arctan(x) = y ⇐⇒ x = tan(y).
2 2
π π
2. ∀x ∈ R tan arctan(x) = x et ∀x ∈ – ; arctan tan(x) = x.
2 2
3. Pour tous réels a et b, on a :
∧
π π
4. a. lim arctan(x) = b. lim arctan(x) = –
x→+∞ 2 x→–∞ 2
Ctan
x
=
y
π
2
Carctan
⃗j
π O π
2 ⃗i 2
π
2
Définition
Soit n un entier naturel non nul.
La fonction x 7→ xn admet une fonction réciproque de R+ dans R+ , appelée fonction racine n-ième
√
et notée n •.
√
n
• : R+ −→ R+
√
x 7−→ n x
y = x3
y = x2
5
x
=
y
4
3 √
y= x
√
2 y= 3x
√
4
y= x
1
⃗j
O
⃗i 1 2 3 4 5 6 7
Conséquences
Soit n un entier naturel non nul.
√
1. ∀x ∈ R+ ∀y ∈ R+ n
x = y ⇐⇒ x = yn .
√ n √ n
2. ∀x ∈ R+ n
x = xn = x.
3. Pour tous réels positifs a et b, on a :
√ √
n √ √
n
a. n a = b ⇐⇒ a = b. b. n
a b ⇐⇒ a b.
∧
√
n
4. lim x = +∞.
x→+∞
Exemple
√
R, l‛équation E1 : x = 4
3
1. Résoudrons, dans
L‛équation E1 est définie si et seulement si x est positif x ∈ R+ , et on a :
√ √ 3
3
x = 4 ⇐⇒ 3
x = 43 ⇐⇒ x = 64
Donc l‛ensemble des solutions S1 de l‛équation est : S1 = 64 .
√
2. Résoudrons, dans
R, l‛inéquation E 2 : 5x≤2
L‛inéquation E2 est définie si et seulement si x est positif x ∈ R+ , et on a :
√ √ 5
5
x ≤ 2 ⇐⇒ 5 x ≤ 25 ⇐⇒ x ≤ 32
T
Donc l‛ensemble des solutions S2 de l‛inéquation est : S 2 = R+ – ∞; 32 = 0; 32 .
Propriété
Soit a; b ∈ R2+ et n; p ∈ N∗ 2 .
√
np p √ p
n √ √ √ √
n
√
n
1. a = n a. 2. p
a= np
a. 3. n a × b = ab.
√ r √ √ √
n
a a 5. n a × p a =
np np
a .
4. √n
= n . b=6 0 .
b b
Exemple
√ p
3 √ √
3× 3× 69
1. Simplifions le nombre √
4
:
√ √ p 81 √ √
6 2 3 √ √
6
√ 6 6 2 √
4 4 4
On a 3√= 3p ,√ √ 3 = √ 3 9 = 3 √ et 81 = 3 =1
3 6 6
et on a 3 ×p 3 × 6 9 = 33 × 3 × 32 = 36 = 1
√ 3 √ √
3× 3× 69
Donc √
4
=1
81
√ √
2. Comparons deux nombres 5 3 et 3 2 :√
les √
√
5 15 3 √ √ 15 5 √
On a 3= 3 = 15 27√ et √ 3 2 = 2 = 15 32
Comme 27 32, donc 5 3 3
2.
∧
Exemple
2 √7 √
7
1. 8 7 = 82 = 64.
r
3 √ 1 1
– 4 –3
2. 6 4 = 6 = 4 3 = √ 4
.
6 216
Propriété
Soit a; b ∈ R∗+ 2 et r; r′ ∈ Q2 .
′ ′ r r r ′ ′
1. ar .ar = ar+r . 2. ar .b = ab . 3. ar = arr .
r
1 ar r–r′ ar a
4. = a–r . 5. = a . 6. r = .
ar ar
′
b b