Vous êtes sur la page 1sur 4

Une langue différente ?

IPSUM Générateur français de faux textes aléatoires


Lorem ipsum a généré 30 paragraphes pour vous.
Vous pouvez utiliser ce texte lorem ipsum dans vos maquettes, sites web, design, ebook... Le texte généré
Générateur ipsum
aléatoirement est libre de droit.

Compteur de mots
1 5 10  20  30  1 5 10  20  30  1 5 10  20  30 
Faire un don

 Copier le faux texte  Ajouter les balises HTML

Au bout d’un quart d’heure, qui lui parut une journée, le portier à figure sinistre reparut sur le pas d’une porte à l’autre
chambre, et, sans daigner parler, lui fit signe d’avancer. Il entra dans une pièce encore plus grande que la première et
Les murs aussi étaient blanchis ; mais il n’y avait pas de meubles. Seulement dans un coin près de la porte, Julien vit en
bois blanc, deux chaises de paille, et un petit fauteuil en planches de sapin sans coussin. À l’autre extrémité de la cham
petite fenêtre à vitres jaunies, garnie de vases de fleurs tenus salement, il aperçut un homme assis devant une table,
soutane délabrée ; il avait l’air en colère, et prenait l’un après l’autre une foule de petits carrés de papier qu’il rangeait su
y avoir écrit quelques mots. Il ne s’apercevait pas de la présence de Julien. Celui-ci était immobile debout vers le milieu d
où l’avait laissé le portier, qui était ressorti en fermant la porte.

Sa Majesté descendit à la belle église neuve qui ce jour-là était parée de tous ses rideaux cramoisis. Le roi devait dîner,
remonter en voiture pour aller vénérer la célèbre relique de saint Clément. À peine le roi fut-il à l’église, que Julien galop
de M. de Rênal. Là, il quitta en soupirant son bel habit bleu de ciel, son sabre, ses épaulettes, pour reprendre le petit h
remonta à cheval, et en quelques instants fut à Bray-le-Haut qui occupe le sommet d’une fort belle colline. L’enthousias
paysans, pensa Julien. On ne peut se remuer à Verrières, et en voici plus de dix mille autour de cette antique abbaye. À m
le vandalisme révolutionnaire, elle avait été magnifiquement rétablie depuis la

La hauteur des murs, la profondeur des fossés, l’air terrible des canons l’avaient occupé pendant plusieurs heures, lorsq
le grand café, sur le boulevard. Il resta immobile d’admiration ; il avait beau lire le mot café, écrit en gros caractères au-
immenses portes, il ne pouvait en croire ses yeux. Il fit effort sur sa timidité ; il osa entrer, et se trouva dans une salle l
ou quarante pas, et dont le plafond est élevé de vingt pieds au moins. Ce jour-là, tout était enchantement pour lui.

En entrant ce soir-là au jardin, Julien était disposé à s’occuper des idées des jolies cousines. Elles l’attendaient avec imp
place ordinaire, à côté de Mme de Rênal. L’obscurité devint bientôt profonde. Il voulut prendre une main blanche que d
il voyait près de lui, appuyée sur le dos d’une chaise. On hésita un peu, mais on finit par la lui retirer d’une façon
l’humeur. Julien était disposé à se le tenir pour dit, et à continuer gaiement la conversation, quand il entendit M
s’approchait.

Julien pour effacer tous ses torts ? Elle fut effrayée ; ce fut alors qu’elle lui ôta sa main. Les baisers remplis de passion, e
elle n’en avait reçus de pareils, lui firent tout à coup oublier que peut-être il aimait une autre femme. Bientôt il ne fut
ses yeux. La cessation de la douleur poignante, fille du soupçon, la présence d’un bonheur que jamais elle n’avait
donnèrent des transports d’amour et de folle gaieté. Cette soirée fut charmante pour tout le monde, excepté pour le m
qui ne pouvait oublier ses industriels enrichis. Julien ne pensait plus à sa noire ambition, ni à ses projets si difficiles à
première fois de sa vie, il était entraîné par le pouvoir de la beauté. Perdu dans une rêverie vague et douce, si étrangère
pressant doucement cette main qui lui plaisait comme parfaitement jolie, il écoutait à demi le mouvement des feuilles d

Je ne trouve, quant à moi, qu’une chose à reprendre au cours de la fidélité : on lit ce nom officiel en quinze ou vingt
plaques de marbre qui ont valu une croix de plus M. de Rênal ; ce que je reprocherais au Cours de la Fidélité, c’est la
dont l’autorité fait tailler et tondre jusqu’au vif ces vigoureux platanes. Au lieu de ressembler par leurs têtes basses, ron
la plus vulgaire des plantes potagères ils ne demanderaient pas mieux que d’avoir ces formes magnifiques qu’on leur vo
Mais la volonté de M. le maire est despotique, et deux fois par an tous les arbres appartenant à la commune sont i
amputés. Les libéraux de l’endroit prétendent, mais ils exagèrent, que la main du jardinier officiel est devenue bien pl
que M. le vicaire Maslon a pris l’habitude de s’emparer des produits de la tonte.

et de la noblesse de leurs petites façons ; il avait besoin de laver son imagination de toutes les façons d’agir vulgair
Nous
pensées désagréables au milieu desquelles il respirait sommes C’était
à Verrières. les Cookies ! la crainte de manquer, c’étaient touj
toujours
misère se prenant aux cheveux. Les gens chez qui il dînait, à propos de leur rôti, faisaient des confidences humilian
nauséabondes pour qui les entendait. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez
notre utilisation pour réaliser des statistiques anonymes.
Le clergé s’impatientait. Il attendait son chef dans le cloître sombre et gothique de l’ancienne abbaye. On avait réuni vi
pour figurer l’ancien chapitre de Bray-le-Haut, composé avant 1789 de vingt-quatre chanoines. Après avoir déploré pen
d’heure la jeunesse de l’évêque, les curés pensèrent qu’il était convenable
En savoir plus que M. le Doyen se retirât
OK vers Monseigne
que le roi allait arriver, et qu’il était instant de se rendre au chœur. Le grand âge de M. Chélan l’avait fait doyen ; malg
témoignait à Julien, il lui fit signe de suivre. Julien portait fort bien son surplis. Au moyen de je ne sais quel pro
ecclésiastique, il avait rendu ses beaux cheveux bouclés très plats ; mais, par un oubli qui redoubla la colère de M. Chéla
plis de sa soutane on pouvait apercevoir les éperons du garde d’honneur.

IPSUM
L’humeur hautaine de Julien fut choquée de l’insolence des laquais. Il se mit à parcourir les dortoirs de l’antique abbaye,
les portes qu’il rencontrait. Une fort petite céda à ses efforts, et il se trouva dans une cellule au milieu des valets
Monseigneur, en habits noirs et la chaîne au cou. À son air pressé ces messieurs le crurent mandé par l’évêque et le lai
Générateur ipsum
fit quelques pas et se trouva dans une immense salle gothique extrêmement sombre, et toute lambrissée de chêne no
d’une seule, les fenêtres en ogive avaient été murées avec des briques. La grossièreté de cette maçonnerie n’était dég
Compteur de mots
faisait un triste contraste avec l’antique magnificence de la boiserie. Les deux grands côtés de cette salle célèbre parm
Faire un don bourguignons, et que le duc Charles le Téméraire avait fait bâtir vers 1470 en expiation de quelque péché, étaient gar
bois richement sculptées. On y voyait, figurés en bois de différentes couleurs, tous les mystères de l’Apocalypse.

Il n’y a qu’un sot, se dit-il, qui soit en colère contre les autres : une pierre tombe parce qu’elle est pesante. Serai-je touj
quand donc aurai-je contracté la bonne habitude de donner de mon âme à ces gens-là juste pour leur argent ? Si je ve
d’eux et de moi-même, il faut leur montrer que c’est ma pauvreté qui est en commerce avec leur richesse, mais que
mille lieues de leur insolence, et placé dans une sphère trop haute pour être atteint par leurs petites marques de dédain

En poursuivant la revue de sa position, Julien vit qu’il ne fallait pas songer à la conquête de Mme Derville, qui s’aperceva
du goût que Mme de Rênal montrait pour lui. Forcé de revenir à celle-ci : Que connais-je du caractère de cette femm
Seulement ceci : avant mon voyage, je lui prenais la main, elle la retirait ; aujourd’hui je retire ma main, elle la saisit
occasion de lui rendre tous les mépris qu’elle a eus pour moi. Dieu sait combien elle a eu d’amants ! elle ne se décide
faveur qu’à cause de la facilité des entrevues.

Quelle pitié notre provincial ne va-t-il pas inspirer aux jeunes lycéens de Paris qui, à quinze ans, savent déjà entrer dans
si distingué ? Mais ces enfants, si bien stylés à quinze ans, à dix-huit tournent au commun. La timidité passionnée que l
province se surmonte quelquefois et alors elle enseigne à vouloir. En s’approchant de cette jeune fille si belle, qui daign
parole, il faut que je lui dise la vérité, pensa Julien, qui devenait courageux à force de timidité vaincue.

Qui commandera la garde d’honneur ? M. de Rênal vit tout de suite combien il importait, dans l’intérêt des maisons s
que M. de Moirod eût ce commandement. Cela pouvait faire titre pour la place de premier adjoint. Il n’y avait rien à d
de M. de Moirod, elle était au-dessus de toute comparaison, mais jamais il n’avait monté à cheval. C’était un homme d
timide de toutes les façons, et qui craignait également les chutes et le ridicule.

Heureusement pour la réputation de M. de Rênal comme administrateur, un immense mur de soutènement était
promenade publique qui longe la colline à une centaine de pieds au-dessus du cours du Doubs. Elle doit à cette admira
des vues les plus pittoresques de France. Mais, à chaque printemps, les eaux de pluie sillonnaient la promenade, y creu
et la rendaient impraticable. Cet inconvénient, senti par tous, mit M. de Rênal dans l’heureuse nécessité d’im
administration par un mur de vingt pieds de hauteur et de trente ou quarante toises de long.

Tel est le maire de Verrières, M. de Rênal. Après avoir traversé la rue d’un pas grave, il entre à la mairie et dispar
voyageur. Mais, cent pas plus haut, si celui-ci continue sa promenade, il aperçoit une maison d’assez belle apparence,
grille de fer attenante à la maison, des jardins magnifiques. Au delà c’est une ligne d’horizon formée par les collines de
qui semble faite à souhait pour le plaisir des yeux. Cette vue fait oublier au voyageur l’atmosphère empestée des petits
dont il commence à être asphyxié.

La demoiselle se pencha en dehors du comptoir, ce qui lui donna l’occasion de déployer une taille superbe. Julien la re
ses idées changèrent. La belle demoiselle venait de placer devant lui une tasse, du sucre et un petit pain. Elle hésit
garçon pour avoir du café, comprenant bien qu’à l’arrivée de ce garçon, son tête-à-tête avec Julien allait finir.

– Vous voyez, Monsieur, que je réclame vos avis, comme si déjà vous occupiez le poste auquel tous les honnêtes ge
Dans cette malheureuse ville les manufactures prospèrent, le parti libéral devient millionnaire, il aspire au pouvoir, il s
armes de tout. Consultons l’intérêt du roi, celui de la monarchie, et avant tout l’intérêt de notre sainte religion. À q
Monsieur, que l’on puisse confier le commandement de la garde d’honneur.

Cette magnificence mélancolique, dégradée par la vue des briques nues et du plâtre encore tout blanc, toucha Juli
silence. À l’autre extrémité de la salle, près de l’unique fenêtre par laquelle le jour pénétrait, il vit un miroir mobile en
homme, en robe violette et en surplis de dentelle, mais la tête nue, était arrêté à trois pas de la glace. Ce meuble sembla
tel lieu, et, sans doute, y avait été apporté de la ville.
Nous Julien trouva
sommes lesque le jeune
Cookies ! homme avait l’air irrité ; de la main
gravement des bénédictions du côté du miroir.

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez


Il était nuit ; à peine fut-on assis, que Julien, usant de son ancien privilège, osa approcher les lèvres du bras de sa jo
notre utilisation pour réaliser des statistiques anonymes.
prendre la main. Il pensait à la hardiesse dont Fouqué avait fait preuve avec ses maîtresses, et non à Mme de Rênal ; le
pesait encore sur son cœur. On lui serra la main, ce qui ne lui fit aucun plaisir. Loin d’être fier, ou du moins reconnaissa
que Mme de Rênal trahissait ce soir-là par des signes trop évidents, la beauté, l’élégance, la fraîcheur le trouvèrent pre
En savoir plus OK
La pureté de l’âme, l’absence de toute émotion haineuse prolongent sans doute la durée de la jeunesse. C’est la physio
la première chez la plupart des jolies femmes.

Pour arriver à la considération publique à Verrières, l’essentiel est de ne pas adopter, tout en bâtissant beaucoup de mu
IPSUM apporté d’Italie par ces maçons, qui au printemps traversent les gorges du Jura pour gagner Paris. Une telle innov
l’imprudent bâtisseur une éternelle réputation de mauvaise tête, et il serait à jamais perdu auprès des gens sages
distribuent la considération en Franche-Comté.

Générateur ipsum
Il demanda l’honneur d’être présenté à Mme Valenod ; elle était à sa toilette et ne pouvait recevoir. Par compensation,
Compteur de mots d’assister à celle de M. le directeur du dépôt. On passa ensuite chez Mme Valenod, qui lui présenta ses enfants les l
Cette dame, l’une des plus considérables de Verrières, avait une grosse figure d’homme, à laquelle elle avait mis du r
Faire un don grande cérémonie. Elle y déploya tout le pathos maternel.

Julien fut maussade toute la soirée ; jusqu’ici il n’avait été en colère qu’avec le hasard et la société ; depuis que Fouqué l
moyen ignoble d’arriver à l’aisance, il avait de l’humeur contre lui-même. Tout à ses pensées, quoique de temps en temp
mots à ces dames, Julien finit, sans s’en apercevoir, par abandonner la main de Mme de Rênal. Cette action boulevers
pauvre femme ; elle y vit la manifestation de son sort.

Deux parties de billard étaient en train. Les garçons criaient les points ; les joueurs couraient autour des billard
spectateurs. Des flots de fumée de tabac, s’élançant de la bouche de tous, les enveloppaient d’un nuage bleu. La hau
hommes, leurs épaules arrondies, leur démarche lourde, leurs énormes favoris, les longues redingotes qui les couvra
l’attention de Julien. Ces nobles enfants de l’antique Bisontium ne parlaient qu’en criant ; ils se donnaient les airs de g
Julien admirait immobile ; il songeait à l’immensité et à la magnificence d’une grande capitale telle que Besançon.
nullement le courage de demander une tasse de café à un de ces messieurs au regard hautain, qui criaient les points du

C’était le tour de Julien, qui, depuis une heure et demie, attendait la parole avec ennui. Sa réponse fut parfaite, et surtou
un mandement ; elle laissait tout entendre, et cependant ne disait rien nettement. On y eût trouvé à la fois du respect p
de la vénération pour le public de Verrières et de la reconnaissance pour l’illustre sous-préfet. Ce sous- préfet, étonné
jésuite que lui, essaya vainement d’obtenir quelque chose de précis. Julien, enchanté, saisit l’occasion de s’exercer, et
réponse en d’autres termes. Jamais ministre éloquent, qui veut user la fin d’une séance où la Chambre a l’air de vouloi
moins dit en plus de paroles. À peine M. de Maugiron sorti, Julien se mit à rire comme un fou. Pour profiter de sa ve
écrivit une lettre de neuf pages à M. de Rênal, dans laquelle il lui rendait compte de tout ce qu’on lui avait dit, e
humblement conseil. Ce coquin ne m’a pourtant pas dit le nom de la personne qui fait l’offre! Ce sera M. Valenod qui vo
à Verrières l’effet de sa lettre anonyme.

On rit beaucoup, on admira ; tel est l’esprit à l’usage de Verrières. Julien était déjà debout, tout le monde se leva malgré
est l’empire du génie. Mme Valenod le retint encore un quart d’heure ; il fallait bien qu’il entendît les enfants réciter leu
firent les plus drôles de confusions, dont lui seul s’aperçut. Il n’eut garde de les relever. Quelle ignorance des premier
religion! pensait-il. Il saluait enfin et croyait pouvoir s’échapper ; mais il fallut essuyer une fable de La Fontaine.

C’était Mme de Rênal, qui avait fait un voyage à la ville, et qui, montant les escaliers quatre à quatre et laissant ses enfan
lapin favori qui était du voyage, était parvenue à la chambre de Julien, un instant avant eux. Ce moment fut délicieux,
Mme de Rênal avait disparu quand les enfants arrivèrent avec le lapin, qu’ils voulaient montrer à leur ami. Julien fit bo
même au lapin. Il lui semblait retrouver sa famille ; il sentit qu’il aimait ces enfants, qu’il se plaisait à jaser avec eux. Il é
douceur de leur voix, de la simplicité

La petite ville de Verrières peut passer pour l’une des plus jolies de la Franche-Comté. Ses maisons blanches avec leurs
tuiles rouges s’étendent sur la pente d’une colline, dont des touffes de vigoureux châtaigniers marquent les moindr
Doubs coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses fortifications bâties jadis par les Espagnols, et maintenant

Verrières est abrité du côté du nord par une haute montagne, c’est une des branches du Jura. Les cimes brisées du Verr
neige dès les premiers froids d’octobre. Un torrent, qui se précipite de la montagne, traverse Verrières avant de se jete
et donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois, c’est une industrie fort simple et qui procure un certa
majeure partie des habitants plus paysans que bourgeois. Ce ne sont pas cependant les scies à bois qui ont enrichi
C’est à la fabrique des toiles peintes, dites de Mulhouse, que l’on doit l’aisance générale qui, depuis la chute de Napolé
les façades de presque toutes les maisons de Verrières.

Il a donné à Sorel quatre arpents pour un, à cinq cents pas plus bas sur les bords du Doubs. Et, quoique cette positio
plus avantageuse pour son commerce de planches de sapin, le père Sorel, comme on l’appelle depuis qu’il est rich
d’obtenir de l’impatience et de la manie de propriétaire
Nousqui animaitles
sommes sonCookies
voisin une
! somme de 6000 francs.

À peine arrivé à Verrières, Julien se reprocha son injustice envers Mme de Rênal. Je l’aurais méprisée comme une fem
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez
faiblesse, elle avait manqué sa scène avec M. de Rênal ! Elle s’en tire comme un diplomate, et je sympathise avec le vai
notre utilisation pour réaliser des statistiques anonymes.
ennemi. Il y a dans mon fait petitesse bourgeoise ; ma vanité est choquée, parce que M. de Rênal est un homme !
corporation à laquelle j’ai l’honneur d’appartenir ; je ne suis qu’un sot.

En savoir plus OK
Ipsum.one © 2018-2024 - Tous droits réservés - Lorem ipsum
IPSUM

Générateur ipsum

Compteur de mots

Faire un don

Nous sommes les Cookies !

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez


notre utilisation pour réaliser des statistiques anonymes.

En savoir plus OK

Vous aimerez peut-être aussi