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PHILOSOPHIE CITATIONS SOYINKA BCPST 1

« Il était clair que seul le grenadier pouvait être le pommier qui avait fait perdre à Adam et Eve les fois du Paradis »

« Le mystère a été chassé des hauteurs autrefois si secrètes » Grandir c’est l’expérience du désenchantement du
monde. A hauteur d’enfant, tout est merveilleux, tandis qu’à hauteur d’adulte tout est petit, matériel.

« Même le baobab a perdu de sa taille avec le temps, et pourtant j’avais cru qu’il serait éternel. » Aké qui a disparu
n’est pas le vrai Aké mais la représentation que s’en fait le petit Wole -> changement de vision

Chap 3 « Alors se fit une découverte, j’étais seul. […] puis se fit une autre découverte, je ne savais pas où j’étais. »
C’est le moment de la fugue, lorsque Wole suit la fanfare. C’est un moment initiatique, d’anticipation de la vie
adulte, du danger, de la menace.

« On dit que tu n’arrêtes pas de poser des question » Wole à la volonté de comprendre le monde qui l’entoure.

« Un jour j’annonçais : je vais à l’école » Lien enfance, école, éducation -> désir d’apprendre

« Viens seulement quand tu as envie » souplesse des maitres pour entretenir et suivre le désir de savoir de l’enfant.

« Soudain tout s’est brisé en moi » Cet épisode apparait avec la mort de sa petite sœur Folasade. Peut être ne
grandit-on que par traumatismes successifs…

« L’endroit que j’appelle maison c’est Abeokuta » c’est un repère, une matrice pour le jeune Wole.

« Sans doute êtes-vous né mais vous n’avez pas été éduqué ? Parleriez-vous à votre mère sur ce ton ? » Cette
remarque montre les différentes éducations entre les blancs et les noirs.

« Je chantais pour me donner du courage »

« Sans doute ais-je dérivé dans ma rêverie habituelle et, en caressant la carabine, ma main avait-elle trouvé la
détente »

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