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« Lorsqu’on voit toujours les mêmes personnes, comme c’était le cas au séminaire, on en

vient a considéré qu’elles font parties de notre vie. Et alors, puisqu’elles font partie de
notre vie, elles finissent par vouloir transformer notre vie. Et si nous ne sommes pas tels
quelles souhaiterai nous voir, les voilà mécontentes. Car tout le monde croit savoir
exactement comment nous devrions vivre. Mais personne ne sait jamais comment il doit
lui-même vivre sa propre vie. »
page 38
L’émotion que j’ai eu en lisant ce passage est plutôt triste car sa nous remet en question sur
qu’es que nous voulons réellement faire dans notre vie.
L’émotion du personnage au aussi triste. On peut voir les mots comme « mécontent »,
« séminaire »
Je pense que l’auteur a voulu représenter ses émotions car tout le monde pense qu’on ne
doit pas choisir notre vie et que c’est les autres qui choisisse à notre place mais que c’est à
nous de choisir.
Garce a ce passage j’ai appris qu’on ne doit pas laisser les autres choisir à notre place, c’est à
nous de prendre nos propres décisions.
Ce passage fait partie de la situation initiale car elle nous dit un peu de quoi le livre va parler.
Il utilise un registre lyrique il a pour but d’émouvoir le lecteur en exprimant des sentiments
comme ici la tristesse
J’ai choisi de prendre ce passage car pour moi ce passage est important car sa nous remet en
question sur se que l’on veut vraiment faire.
Ce passage est représentatif de ce roman car il nous incite à écouter les signes et à vivre
notre légende personnelle, désir oublié dans le secret de nos cœurs, qu'un léger souffle de
vent suffit parfois à éveiller.
Il y a un point de vue interne : l'histoire est vue à travers un personnage ( Santiago )
« Dans la vie, tout est signe, dit l’Anglais, qui cette fois referma la revue qu’il était en train
de lire. L’univers est fait en une langue que tout le monde peut entendre, mais que l’on a
oubliée. Je cherche ce Langage Universel, entre autres choses. C’est pour cette raison que
je suis ici. Parce que je dois rencontrer un homme qui connait ce Langage Universel. Un
alchimiste. »
page 94
L’émotion que j’ai eu en lisant ce passage est le sentiment de surprise, car sa ma surpris un
peu de savoir que l’univers est fait d’une seule langue alors que dans le monde on parle
différentes langues par exemple sur la terre il y a l’anglais, espagnol, français, chinois,
balinais….
On ne peut pas vraiment savoir l’émotion du personnage dans ce passages.
Grâce à ce passage j’ai appris que dans le monde on avait une langue que tout le monde
comprenez mais que nous l’avons oublié
Ce passage est représentatif du livre car le message du livre et que personne ne peut fuir son
cœur et que c’est pourquoi il faut l’écouter.
Ce passage fait partie de la situation perturbatrice car voit pour la première fois écrit
"Langage du monde " mais on ne comprend cette expression que beaucoup plus tard. Elle
fait immédiatement suite à la situation initiale
Il y a un narrateur personnages principale car c’est le personnage principal de l’histoires qui
parle on peut le voir grâce au « je »
Ce passage est représentatif de ce roman car il nous incite à écouter les signes et à vivre
notre légende personnelle, désir oublié dans le secret de nos cœurs, qu'un léger souffle de
vent suffit parfois à éveiller.
On retrouve une personnification « L’univers est fait en une langue » on représente l’univers
sous le trait d’une personne.

Il y a un point de vue interne : l'histoire est vue à travers un personnage ( Santiago )


«Chaque homme sur terre a un trésor qui l’attend, lui dit son coeur. Nous les coeurs, en
parlons rarement, car les hommes ne veulent plus trouver ces trésors. Nous n’en parlons
qu’aux petits enfants. Ensuite, nous laissons la vie se charger de conduire chacun vers son
destin. Malheureusement, peu d’hommes suivent le chemin qui leur est tracé, et qui est le
chemin de la Légende Personnelle et de la félicité. La plupart voient le monde comme
quelque chose de menaçant et, pour cette raison même, le monde devient en effet une
chose menaçante. Alors, nous, les coeurs commençons à parler de plus en plus bas, mais
nous ne nous taisons jamais. En nous faisons des voeux pour que nos paroles ne soient pas
entendues : nous ne voulons pas que les hommes souffrent pour n’avoir pas suivi la voie
que nous leur avions indiquée. »
Page 159
Le sentiment que j’ai en lisant ce texte est le sentiment d’amour et de tristesse car a la fin je
peux lire « nous ne voulons pas que les hommes souffrent pour n’avoir pas suivi la voie que
nous leur avions indiquée. »
Le sentiment du personnage est aussi de l’amour.
Pour moi ce passage m’a appris que chaque personne écoute son cœur, on écoute ce que
notre cœur nous dit. Qu’après notre vie se charge de nous conduire vers son destin mais que
peu d’homme le suive. Nous les hommes on voit le monde comme quelque chose de
menaçant (guerres , gréves … )
Ce passage est représentatif de ce roman car il nous incite à écouter les signes et à vivre
notre légende personnelle, désir oublié dans le secret de nos cœurs, qu'un léger souffle de
vent suffit parfois à éveiller.
Il y a un point de vue omniscient.
Ce passage fait partie de la situation finale car elle sert à conclure l’histoire.
Ce passage un a aspect poétique :
o C’est un poème en prose car c’est un poème qui ne présente aucune
structure définie.
o Les vers sont de longueur variable.
o Il n’y a pas de rimes
o Il ressemble à un texte suivi
o Un poème en prose : ressemble à un texte suivi, mais renferme une langue
poétique qui cherche à surprendre et à émouvoir.
« Tu ne vas pas va pas mourir, lui dit-il. Tu vas vivre et apprendre qu’on n’a pas le
droit d’être aussi bête. Ici, exactement là où on tu te trouves, il y a maintenant
près de deux ans, j’ai fait un rêve qui s’est répéter. J’ai rêvé que je devais aller en
Espagne, chercher dans la campagne une église en ruine ou les bergers allaient
souvent dormir avec leurs moutons, et ou un sycomore poussait dans la sacristie ;
et si je creusais au pied de ce sycomore, je trouverais un trésor caché. Mais je ne
suis pas assez bête pour aller traverser tout le désert simplement parce que j’ai fait
deux fois le même rêve »
page 188

Quand je lis ce passage j’ai le sentiment de ressentir de la tristesse car il a parcouru


tellement de chose pour juste retrouver un trésor qui fessait parti de ses rêves.

Le sentiment du personnage est la remise en question car il a traversé le désert, le


monde pour juste de l’or qu’il a dû voler.

Ce passage ma appris que les rêves sont juste de l’imagination crée grâce a notre
cerveau et que si nous rêvons d’avoir trouvé un trésor ne jamais se dire d’aller le
chercher car au bout du compte on le trouvera peut être mais pour qu’au final on a
traverser le monde a pied (aller-retour) , passez des jours et des jours a le chercher.

Il y a un point de vue interne : l'histoire est vue à travers un personnage (Santiago, le


chef du groupe)

Ce passage est représentatif du roman car l’alchimiste raconte l’histoire de Santiago


qui rêve d’avoir trouvé un trésor au pied des pyramides d’Egypte. Il part à la
recherche de ce trésor. Arriver à ce trésor il trouve de l’or mais il se rend compte
qu’il est bête d’avoir parcouru le monde pour juste de l’or.

Ce passage fait partie de la situation finale, elle clôture le livre, l’histoire.

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