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Quel traitement possible ? quel pouvoir de la parole ?

Le traitement de la toxicomanie est l’une des plus difficile qui soit. Parler de traitements pluriels est le
plus pertinant.

On a 4 axe des mathéme lacanien : le l’objet des signifiants maitres ; des savoirs et du sujets

Le traitement par le savoir : conjugue la pédagogie du toxicomane, et l’extraction du savoir du


toxicoman sur son objet. On a d’un coté « expliquez moi les effet de la drogue sur vous ? » et de
l’autre on explique qu’il va die si il continue comme cela.

Eric Laurent : c’est un mode de traitement participatif. Au nom du savoir, le sujet va négossier son
rapport à la jouissance. On est pas du coté d’acceuillir le réel. OJ est pas non plus sur l’entame de la
jouissance ( ???)

La castration n’a pas pris sur le sujet txicoman.

Le traitement par le S a  « TU ES ADDICTE GROS CLEBAR » ; le sujet doit donc se ranger sur un idéal
de guérison hospitalière. Le sujet n’a pas le choix de laisser sa toxicomanie.

On cherche une identification sur le semblable au nom de l’dentification idéal

Le traitement par l’objet : on propose des médicament pr atténuer l’addiction ; cela donne aussi un
statu social particulier. C’est une façon de réintégrer le sujet dans un lien social. Le terrible objet qui
détruit tout permet de réunir le sujet avec l’autre . L’autre rentre a nouveau dans le circuit.

Le traitement par le sujet : consiste a affirmer que le toxicoman n’existe pas ; proposer au sujet de ne
plus s’identifier a son être toxicoman. Avoir aussi chance de laisser une place a sa décision sub et a la
jouissance de la parole.

Il ne s’agit pas de substituer la jouissance de la drogue par la jouissance de la parole mais de


considérer que l’acces a la juoissance de la drogue a ête tracé par ce qui lui est venu de la parole.

Il ya des réponses sigulière ; c’est du cas par cas . Ce traitement n’est accepté par un nombre limité
des sujet qui ont franchie le pas de la crackeaderie.

Il faut aussi interroger ce qu’on fait, ce qu’on propose pr les sujet.

Tout ce qui renforce les identifications a la toxicomanie, serait contraindiqué.


Aux quatre proposition la prof propose : LE TRAITEMENT PAR LE DECHET :

Si on part de la souffrance jouissante du corps : n’ouvre t elle pas a la fct thérapeutique de la drogue.
En fait , la drogue peut être elle-même un traitement de substitution. Cela traite la jouissance au
reele du sujet. Les sujet se disent obligé de cons. (=ano, on voit le signifiant rien)

Gunilla Gerland , une personne a part entière

Biographie : elle témoigne qu’avoir un corps unifié ne va pas de soit. Ado= reele de la mort qui vient
dans ses pensé appuyé par l’alcoolisme de sa mère.

Elle a des carence de libido, elle a des difficulté a se sentir vivante ; elle va prendre de l’héro et va y
trouver une solution. Elle sait qu’elle va die mais cela lui parait nécessaire…..et elle décide d’arreter
(quel boss). Elle sépare intelecte et emo ; elle avait un mécanisme : agire sans user de ses sentiments.

Puis ellle en avait fini avec la driogues mais elle n’avait pas d’existance, « plus personne du tout ». La
drogue donne a lors a G de la libido ; surement structure autistique

Le 1 de la jouissance c’est ce qui se réitère et ce dernier est le déchet. On devient déchet.

Le point visée par le sujet est un point de déchetisation. En effet, n’est pas tox qui le veut. Cela fait
entendre combien le salut peut venir par le traitement du déchet. Saisir l’identification au déchet
dont il parle et qu’il fini par réaliser (=par des passage a l’acte , souvent suicide).

Henrie : parle de planification suicidaire en lien avec une possible pentesuicidaire. Ne dit t’on pas que
le salut vient par le déchet ? En effet c’est l’inotenticité du mélancolique. Donc si cet id au dechet
n’est pas réel alors on peut faire quelque chose. On va essayer d’initier le sujet a l’invention, la
créativité. Les traitement vont donc misé la dessus.

Delphine de gubert ; « une douce curatel »

Leo a 50 ans , seul et est en arret de travail a cause de l’alcool. Il a fait pas moins d’une 40 aine de
seuvrage, en urgence, en institution…. Il a déjà eu des halu auditive et visuel lors des seuvrage.

2022 ; il accepte de suivre des soin en HP avec une prise en charge de nuit …Mais il rechute et est pris
en charge en ambulatoire. La psy de ce service va parler des rdv manqués. Leo se présente avec le
visage figé, sans emo ou au contraire submergé par des larmes. La parole est difficile. Si Leo souhaite
se faaire suivre c’est pour sa « bonne amie ». Il est sinon, reticent avec les psychologue. Il dit que ses
15 années d’addiction avec toute les phase « déni, accepté d’être malade et enfain accepter d’être
suivie »  DISCOURS PEDA.

Il dit qu’il penses être malade a vie. Léo repère une difficulté de gérer les conflits avec ses proches et
enfin il ne comprend pas pourquoi il boit massivement et srurdes courte période malgré les « je suis
inapte a la vie »

Sa mère est mort il y 30 ans après des depression, de lalcolisme , de la drogue et de la depression .

« elle est tombé du balcon »

Il dit avoir été complice avec sa mère et avoir été content quand il se sont quitté.

Education militaire : « quand on veut on peut » ; aussi famille catho. Ainée de la fraterie.

Son père est « naturellement dextreme droite » mais lui est d’extrême gauche. Leo devait faire des
langue bien morte et devenir militaire a cause de son gp.

Mais il se fait exclure ; en gros il veut pas rentrer dans l’amée r donc il coupe les pont, ne voit plus son
gros dar depuis plus de 20 ans. A 18 ans il a son bac ; « je suis soldat d’usine ».

Il est dévoué pour ses collégue (les potes) il va trouver un shema binaire (noir ou blan).

Il rerouve se systéme binaire et de hierarche dans le milieu militant mais un jour il dit en scéance « en
vrai on ne peux pas faire lei bien des autre »

Leo s’interroge se qui fait sa pulsion de boire.

L’alcool a déjà essyer deux rupture amoureuse puis il a eu « une bonne amie » , « syndrolme de la
sauveuse » rt quand cette amie le lache il replonge. Leo s’inquete de l’alteration de ses perte de
mémoire. Mais il veut savoir des choses : il va réfléchir, apprend des choses, mot flecher. « j’habite
dans une bibliothèque de 1500 livre ». Il va lire de fouuuuuuuuuuu : la lecture, un puit sans fond
(tacaptélalcloool)*

La leture, le savoir, l’ecriture va l’aider pour prendre la parole. Il écrit une lettre a sa bonne amie, une
lettre de pardon. Aussi il ecrit une lettre d’adieu a l’alcool. Il dit que al bibliothèque et l’emo vienne
de sa mère. Il va essayer d’arreter de piav pour sa mémoire

Alcool= fct de nécessité de coupure, s’extraire de la vie. Cette couprure quand la demannde de l’autre
est rrop pressante. Il devient inapte a la vie:/
Le corps syndicale le tient, a 20 ans sa mère meurt en se défenestrant. Avec sa mère : un lien fort,
puis distance extreme. Retour avec sa relation avec sa bonne aimie ? soit il est objet de la jouissance
de l’autre (s’occupe de lui) soit il se sent rejeter par l’autre.  inapte a la vie

La bibliothèque ; puis sans fond peut conduire a la ruite, c’est la mère . Alors les souvenir de son
enfance liée aux ideoaux de la famille,puis il va faire l’inverse a 20 ans. Avant « jetais un robots » ; les
emo s’apparente a sa mère. Avec l’écriture il s’historise. L’écriture temporise la jouissance. Le point
de dechet est : être inapte a la vie. Si au depart la parole est difficile : est-ce que la parole entame son
être inapte a la vie ? Pas si sur psk il verse du coté de l’emotion. Cela le perd.

L’ecriture n’est elle pas sa douce curatel a sont : je suis inapte a la life ?

Dans son lien a la biblothéque , l’ecriture ne traite elle pas le dechet qu’il est.

Deuxième cas : DEMENDER A UN COP1

 La drogue apaise le stresse, les angoisses , ces rumination et le retour de la jouissance dans le
corps. La parole le tiens , et c’est un sujet qui ne demande rien sauf sa dose d’humain qui le
tiens en vie. Il maintien un contacte et ne le lache pas , sonon cest la mort. Sa dose le tiient a
la vie. C’est son contacte. Il ne demande rien a l’autre sauf sa dose.
 La parole va lui permettre de cerner le réel, on est vraiment dans une orientation clinique. On
a une position du clinicien qui va faire changer le sujet. La percecution nest jamais loin, donc
le sujet repère un moment de bascule : sa femme le tej car pourr lui, il n’est pas digne
d’amour. Il devient alors cet être lache. Le mvnt face a la parole : être passer de la dose a
qqqun pr qui compté. ETRE INSCRIT DANS LE DESIR DE L AUTRE. Mais cecoi est nouveaux : un
point doux dans lauter ou il peut se voir aimable. La jouissance qui fait retour dans ce corps
completement dechetisé et l’accompagner dans la reconaissence du corps

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