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Master - Chaal
Master - Chaal
Mémoire
MASTER PROFESSIONNEL
Domaine : Sciences Techniques
Filière : Génie Mécanique
Spécialité : Maintenance Industrielle
Le : 27/06/2013
Devant le jury :
Je dédie ce travail
Chapitre I
Généralités
Chapitre II
Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
II.4 Conclusion.................................................................................................................22
Chapitre III
Application et étude de cas
IV Conclusion Générale..........................................................................................................53
IV Bibliographie.....................................................................................................................53
Liste des figures
Introduction générale
3
Introduction générale
4
Chapitre I
Généralités
Chapitre I Généralités
I.1 Introduction :
Dans ce premier chapitre nous commençons par quelques définitions de base pour
faciliter la lecture de mémoire. Ensuite nous présentons Les constituants technologique d’un
robot ainsi que la classification des robots et en terminera ce chapitre par la présentation des
différentes caractéristiques qu’on trouve dans la littérature.
I.2 Définitions :
La définition que l’on donne actuellement du robot industriel diffère quelque peu selon
les pays :
5
Chapitre I Généralités
6
Chapitre I Généralités
s’exprime en termes de degrés de liberté (d.d.l) qui est par définition le nombre de
mouvements indépendants possibles d’un solide C1 par rapport au solide qui lui est
directement relié C2 .
Une structure mécanique articulée peut être représentée par une architecture composée de
plusieurs chaînes de corps rigides assemblés par des liaisons appelées articulations. Les
chaînes peuvent être dites soit ouvertes ou en série dans les quelles tous les corps ont au plus
deux liaisons, ou bien arborescentes où au moins l’un des corps a plus de deux liaisons. Les
chaînes peuvent aussi être fermées dans les quelles l’organe terminal est relié à la base du
mécanisme par l’intermédiaire de plusieurs chaînes [8].
7
Chapitre I Généralités
I.4.1 Vocabulaire :
La base :
La base du manipulateur est fixée sur le lieu du travail. Ceci est le cas de la quasi-totalité
des robots industriels.
Le porteur :
Le porteur représente l’essentiel du système mécanique articulé, il à pour rôle d’amener
l’organe terminal dans une situation donnée imposée par la tache (la situation d’un corps peut
être définie comme la position et l’orientation d’un repère attaché à ce corps par rapport à un
repère de référence). Il est constitué de :
- Segment : corps solides rigides susceptibles d’être en mouvement par rapport à la base
du porteur, et les uns par rapport aux autres,
- Articulation : Une articulation lie deux corps successifs en limitant le nombre de degré
de liberté, de l'un par rapport à l'autre. Soit m le nombre de degré de liberté résultant,
encore appelé mobilité de l'articulation. La mobilité d’une articulation est telle que :
0m6 ( I.1)
Lorsque m = 1, ce qui est fréquemment le cas en robotique, l'articulation est dite
simple : soit rotoïde, soit prismatique.
- Articulation rotoïde : Il s'agit d'une articulation de type pivot, notée R, réduisant le
mouvement entre deux corps à une rotation autour d'un axe commun. La situation
relative entre les deux corps est donnée par l'angle autour de cet axe (voir la
figure I.4).
8
Chapitre I Généralités
L’actionneur :
Pour être animé, la structure mécanique articulée comporte des moteurs le plus souvent
associés à des transmissions (courroies crantées), l'ensemble constitue les actionneurs. Les
actionneurs utilisent fréquemment des moteurs électriques à aimant permanent, à courant
continu, à commande par l’induit. On trouve de plus en plus de moteurs à commutation
électronique (sans balais), ou, pour de petits robots, des moteurs pas à pas.
Pour les robots devant manipuler de très lourdes charges (par exemple, une pelle
mécanique), les actionneurs sont le plus souvent hydrauliques, agissant en translation (vérin
hydraulique) ou en rotation (moteur hydraulique).
Les actionneurs pneumatiques sont d'un usage général pour les manipulateurs à cycles
(robots tout ou rien). Un manipulateur à cycles est une structure mécanique articulée avec un
nombre limité de degrés de liberté permettant une succession de mouvements contrôlés
uniquement par des capteurs de fin de course réglables manuellement à la course désirée
(asservissement en position difficile dû à la compressibilité de l'air [9].
L’organe terminal :
On regroupe tout dispositif destiné à manipuler des objets (dispositifs de serrage,
dispositifs magnétiques, à dépression, …), ou à les transformer (outils, torche de soudage,
pistolet de peinture, …). En d'autres termes, il s'agit d'une interface permettant au robot
d'interagir avec son environnement. Un organe terminal peut être multifonctionnel, au sens où
il peut être équipé de plusieurs dispositifs ayant des fonctionnalités différentes. Il peut aussi
être monofonctionnel, mais interchangeable. Un robot, enfin, peut-être multi-bras, chacun des
bras portant un organe terminal différent. On utilisera indifféremment le terme organe
terminal, préhenseur, outil ou effecteur pour nommer le dispositif d'interaction fixé à
l'extrémité mobile de la structure mécanique [9].
9
Chapitre I Généralités
10
Chapitre I Généralités
La structure 3R (anthropomorphe) :
Permet d’amener un solide en un point de l’espace par trois rotations, généralement une à
axe vertical et deux à axes horizontaux et parallèles c’est le porteur « généraliste par
excellence, pouvant se programmer facilement pour différent types de taches et disposant
d’un volume de travail conséquent [7].
12
Chapitre I Généralités
I.7 Conclusion :
La structure mécanique d'un robot manipulateur est composée de plusieurs corps
connectés les uns aux autres par des liaisons appelées articulations, à un seul degré de liberté
de translation ou de rotation, cette structure mécanique peut constituer une chaîne cinématique
continue ouverte simple, une chaîne arborescente ou une chaîne complexe.
13
II
Chapitre II
Modélisation géométrique et
cinématique des robots manipulateurs
sériels
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
II.1 Introduction :
La conception et la commande des robots nécessitent le calcul de certains modèles
mathématiques, tels que :
– les modèles de transformation entre l'espace opérationnel (dans lequel est définie la
situation de l'organe terminal) et l'espace articulaire (dans lequel est définie la configuration
du robot). On distingue :
- les modèles géométriques direct et inverse qui expriment la situation de l'organe
terminal en fonction des variables articulaires du mécanisme et inversement.
- les modèles cinématiques direct et inverse qui expriment la vitesse de l'organe
terminal en fonction des vitesses articulaires et inversement.
On présente dans ce chapitre quelques méthodes permettant d'établir ces modèles. On se
limitera au cas des robots à structure ouverte simple.
articulations. Le corps C0 désigne la base du robot et le corps Cn le corps qui porte l'organe
14
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
- les corps sont supposés parfaitement rigides. Ils sont connectés par des articulations
considérées comme idéales (pas de jeu mécanique, pas d'élasticité), soit rotoïdes, soit
prismatiques ;
- le repère Fi est lié au corps Ci ;
- l'axe X i est porté par la perpendiculaire commune aux axes Z i et Z i 1 . Si les axes Z i et
Figure II.2 Paramètres géométriques dans le cas d'une structure ouverte simple. [12]
15
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
La variable articulaire q j associée à la i éme articulation est soit i , soit ri , selon que cette
articulation est de type rotoïde ou prismatique, ce qui se traduit par la relation [11] :
qi ii i ri (II.1)
Avec :
• i = 0 si l'articulation j est rotoïde ;
• i = 1i
(figure II.2) :
Ti i 1 Rot ( z,i )Trans(0,0, di ) Rot ( x, i )Trans(ai ,0,0) (II.2)
cos i - sin i 0 0 1 0 0 0 1 0 0 0 1 0 0 ai -1
sin cos 0 0 0 1 0 0 0 cos i -1 - sin i -1 0 0 1 0 0
=
i i
0 0 1 0 0 0 1 di 0 sin i -1 cos i -1 0 0 0 1 0
0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 1 0 0 0 1
Définition :
Le modèle géométrique direct (MGD) est l'ensemble des relations qui permettent
d'exprimer la situation de l'organe terminal, c'est-à-dire les coordonnées opérationnelles du
robot, en fonction de ses coordonnées articulaires. Dans le cas d'une chaîne ouverte simple, il
peut être représenté par la matrice de transformation Tn 0 [11] :
Le modèle géométrique direct du robot peut aussi être représenté par la relation :
X F (q ) (II.5)
q : Étant le vecteur des variables articulaires tel que:
q q1 q2 qn
T
(II.6)
16
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
X X1 X2 Xm
T
(II.7)
Enfin, si nous avons un référentiel outil, et un référentiel atelier, la pose du premier par
rapport au dernier est définie par l'équation suivante:
atelier
Toutil T0atelierTn0Toutil
n
(II.9)
17
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
nx ox ax px
n o a y p y
U0
y y
(II.11)
nz oz az pz
0 0 0 1
Pour trouver les solutions de l'équation (II.13), Paul à proposé une méthode qui
consiste à pré multiplier successivement les deux membres de l'équation (II.12) par les
matrices Ti i 1 pour i variant de 1 à n 1 , opérations qui permettent d'isoler et d'identifier l'une
Ui Tni Ti i 1 Ui -1 (II.14)
18
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
Li 1,i (i 1, , n) [13].
i 1
c
(II.16)
Remaque :
Il est très important de notée que l’écriture de l’équation (II.16) doit se faire dans le même
19
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
– en statique, on utilise le jacobien pour établir la relation liant les efforts exercés par
l'organe terminal sur l'environnement aux forces et couples des actionneurs ;
– elle facilite le calcul des singularités et de la dimension de l'espace opérationnel
accessible du robot.
Vn
J n q (II.20)
n
Cette équation peut être exprimée comme :
x
y
q1
z jl ,1 jl ,2 jl ,n q2
(II.21)
wx j A,1 j A,2 j A, n
wy
qn
wz
Ou x, y et z sont les dérivés par rapport au temps des coordonnées x, y et z de l'origine
l'articulation i à la vitesse angulaire de l'outil. C'est grâce à ces deux observations que nous
pourrons trouver des formules pour ces vecteurs. Cependant, nous devons considérer les
articulations rotoïde et prismatiques séparément.
20
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
Articulation prismatique :
Nous cherchons d'abord la contribution de l'articulation prismatique i la vitesse angulaire
de l'outil, soit j A,i di afin de trouver l'expression générique pour j A,i . Si toutes les articulations
0
j A,i 0 (II.22)
0
jL,i eiatelier
1 (II.23)
Ou eiatelier
1 est le vecteur unitaire le long de l’axe zi 1 , exprimé dans le référentiel Fatelier .
0
1 0 0 0
eiatelier atelier 0
0 1 0 0 Ti 1 (II.23)
1
1
0 0 1 0
0
Articulation rotoïde :
Nous cherchons maintenant la contribution de l'articulation rotoïde i à la vitesse
angulaire de l'outil, soit j A,ii , afin de trouver l'expression pour j A,i . Si toutes les articulations
restent immobiles, sauf l'articulation rotoïde i , l'outil du robot tournera autour de l'axe de cette
articulation, soit l’axe zi 1 . Ainsi, le vecteur de la vitesse angulaire de l'outil sera ei 1i et nous
aurons :
jA,i eiatelier
1 (II.24)
dans le même plan, tangent à la trajectoire circulaire et défini par l’expression eiatelier
1 1,outili ,
piatelier
ou piatelier
1,outil est le vecteur qui relie l'origine du référentiel Fi 1 avec l'origine du
21
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
jL,i eiatelier
1 piatelier
1,outil (II.25)
matrice Ti atelier
1
atelier
, alors que le deuxième est dans la quatrième colonne de la matrice Toutil . Ainsi,
J dans la suite pour simplifier les notations, correspond au nombre de degrés de liberté du
repère associé à l'organe terminal. Il définit la dimension de l'espace opérationnel accessible
dans cette configuration. On appelle nombre de degrés de liberté M de l'espace opérationnel
d'un robot, le rang maximal r max que prend la matrice jacobienne dans toutes les
configurations possibles. Deux cas sont à examiner [11] :
– si M est égal au nombre de degrés de liberté N du robot (égal à n dans le cas des
robots en chaîne simple ou à structure arborescente), le robot est non redondant : il possède
juste le nombre d'articulations lui permettant de donner le nombre M de degrés de liberté à
son organe terminal ;
– si N>M, le robot est redondant d'ordre (N–M). Il dispose de plus d'articulations qu'il
n'en faut pour donner le nombre M de degrés de liberté à son organe terminal.
II.4 Conclusion :
Pour modélisé un robot sériel à n articulations, il faut représenter le comportement du ce
robot sous la forme d'un modèle, une telle démarche s'appelle la modélisation, d'une manière
générale, on recherche toujours le modèle le plus simple qui permet d'expliquer, de manière
satisfaisante, le comportement du processus dans son domaine d'application; les modèles de
transformation entre l'espace opérationnel et l'espace articulaire. On distingue :
Les modèles géométriques qui expriment la situation de l'organe terminal en fonction
de la configuration du mécanisme.
22
Chapitre II Modélisation géométrique et cinématique des robots manipulateurs sériels
23
Chapitre III
III Application :
Chapitre III Application et étude de cas
III.1 Introduction :
Partant des fondements théoriques abordés dans le deuxième chapitre, qui consiste à la
modélisation en robotique, la modélisation des robots qui comportent le modèle géométrique
et cinématique pour décrire le comportement du robot dans une évolution connue.
Dans ce chapitre nous allons présenter la modélisation géométrique et cinématique d’un
robot sériel à cinq articulations rotoïde, et plus précisément du robot de la compagnie DENSO
Robotics.
Espace exploitable
définie par le point P
24
Chapitre III Application et étude de cas
Objet Spécifications
Gamme de mouvement
i 1 160, 2 120, 3 136, -128° 4 120, 5 360
Charge utile maximal m. 2,5 Kg
Vitesse maximal
Vmax 3900 mm/s
25
Chapitre III Application et étude de cas
26
Chapitre III Application et étude de cas
i i di ai i
1 1 d1 0 mm -90°
2 2 90 0 mm a2 0°
3 3 0 mm a3 0°
4 4 90 0 mm 0 mm -90°
5 5 d5 0 mm 0°
c1 0 -s1 0
s 0 c1 0
T1 1
0
(III.1)
0 -1 0 d1
0 0 0 1
s 2 c 2 0 a 2s 2
-c s 0 a 2c 2
2 2
(III.2)
0 0 1 0
0 0 0 1
c3 -s3 0 a3c3
s c3 0 a3s3
3 (III.3)
0 0 1 0
0 0 0 1
s4 0 c4 0
-c 0 s4 0
4 (III.4)
0 -1 0 0
0 0 0 1
27
Chapitre III Application et étude de cas
c5 -s5 0 0
s c5 0 0
5 (III.5)
0 0 1 d5
0 0 0 1
sin 1 s1
cos 2 c 2
sin 5 s5
cos(2 3 ) c23
cos(2 3 4 ) c234
sin(2 3 ) s23
sin(2 3 4 ) s234
28
Chapitre III Application et étude de cas
Calcule de 1 :
On pré-multiplier les deux cotées de l'équation matricielle (III.8) par (Tn0 )1 . Cette opération
référentiel F5 sur le plan x0 y0 du référentiel F0 . Il est facile de voir que, en général, ces deux
projections sont colinéaires (c'est à dire que le ratio ax : a y est égale au ratio px : p y ). Ceci veut
dire que les deux équations ci-dessus sont dépendantes et que nous ne pouvons pas les
considérer simultanément.
Si l'axe Z 5 pointe vers le haut (c'est à dire que ax a y 0 ), Notre équation aura la forme
solution pour la variable articulaire devra prendre en compte les deux équations :
29
Chapitre III Application et étude de cas
Calcul de 5 :
Une fois les valeurs de 1 obtenues, nous pouvons maintenant trouver 5 à partir des deux
Ainsi pour chaque solution de 1 , nous pouvons trouver une seule solution pour 5 :
30
Chapitre III Application et étude de cas
Calcul de 234 :
De façon similaire, nous pouvons trouver 234 (234 2 3 4 ) à partir des deux
Ainsi pour chaque solution de 1 , nous pouvons trouver une seule solution pour 234 :
Calcul de 3 :
Pour trouver 23 et 3 Nous allons post-multiplier les deux cotés de l’équation matricielle
(III.9) par la matrice (T54 )1 , pour nous débarrasser de 5 du coté gauche :
Ou : l1 ny s1 nx c1 , l2 oy s1 ox c1 , l3 ox s1 - oy c1 et l4 -nx s1 ny c1
Pour obtenir une équation en 3 seulement, nous allons mettre au carré les composantes
en position de l'équation matricielle (III.20) et prendre leur somme :
(a3 s23 a2 s2 )2 (a3c23 a2c2 )2 02
a32 s23
2
a22 s22 2a3a2 s23s2 a32c23
2
a22c22 2a3a2c23c2
d52 ax2 d52 ay2 d52az2 d12 px2 p 2y pz2 2d5ax px 2d5a y p y 2d5d1az 2d1 pz 2d5az pz .
Sachant que :
c22 s22 1
31
Chapitre III Application et étude de cas
2
c23 s23
2
1
On utilise les relations trigonométriques :
s23 s2c3 c2 s3
c23 c2c3 s2 s3
On peut tirer 3 :
Calcul de 2 :
Pour trouver 2 . On tire les deux équations suivantes de l'équation matricielle (III.20) :
a3 sin 23 a2 sin 2 d5ax cos 1 d5ay sin 1 px cos 1 py sin 1 (III.24)
alors :
(a3 cos3 a2 )sin 2 a3 sin 3 cos2 d5ax cos1 d5ay sin 1 px cos1 py sin 1
Donc :
a3 sin 3 sin 2 (a3 cos 3 a2 ) cos 2 = d1 d5az pz
2 a tan 2(a3r2 sin 3 a3r1 cos3 a1r1 , a3r2 cos3 a3r1 sin 3 a2 r2 ). (III.28)
Calcul de 4 :
4 234 2 3 . (III.29)
32
Chapitre III Application et étude de cas
s 2 c2 0
R1,2 -c2 s2 0 (III.31)
0 0 1
c3 -s3 0
R2,3 s3 c3 0 (III.32)
0 0 1
s 4 0 c4
R3,4 -c4 0 s 4 (III.33)
0 -1 0
c5 -s5 0
R4,5 s5 c5 0 (III.34)
0 0 1
0 0
c (2 /1) 0 0 (III.36)
w (2 /1) 0
B z ( x , y 2 2, z2 )
0 0
c (3 / 2) 0 0 (III.37)
w (3 / 2) 0
C z ( x , y , z 3 3 3)
0 0
c (4 / 3) 0 0 (III.38)
w (4 / 3) 0
C z ( x , y 4 4, z4 )
33
Chapitre III Application et étude de cas
0 0
c (5 / 4) 0 0 (III.39)
w (5 / 4) 0
D z ( x , y
5 5, z5 )
34
Chapitre III Application et étude de cas
0 0
c (1/ 0) 0 0
w (1/ 0) 0
A z ( x , y 0 0, z0 )
0 0
c (1/ 0) 0 0 + (1/ 0) AO
w (1/ 0)
O z
0 ( x0 , y0 , z0 )
0 0 wz (1/ 0)
(1/ 0) AO 0
0 0 d 0
Donc :
0 0
c (1/ 0) 0 0 (III.40)
w (1/ 0) 0
O z ( x , y
0 0, z0 )
0 0
c (2 /1) 0 0
w (2 /1) 0
B z ( x , y , z )
1 1 1
0 0
c (2 /1) 0 0 + (2 / 1) BA
w (2 /1)
A z
0 ( x1 , y1 , z1 )
0 0 wz (2 /1)
(2 /1) BA d1wz (2 /1) x1
0 d1 0
0 d1wz (2 /1)
c (2 /1) 0 0
w (2 /1)
A z ( x , y , z )
0
1 1 1
Changement de base de R1 ( x1 , y1 , z1 ) à R0 ( x0 , y0 , z0 ) :
35
Chapitre III Application et étude de cas
c1 0 s1 0 s1 wz (2 /1)
s1 0 c1 0 c1 wz (2 /1)
0 -1 0 wz (2 /1) 0
V (2 /1) R0,1 V (2 /1)
0 1
0 0
c (3 / 2) 0 0
w (3 / 2) 0
C z ( x , y
2 2, z2 )
0 0
c (3 / 2) 0 0 + (3 / 2) CB
w (3 / 2)
B z
0 ( x2 , y2 , z2 )
0 0 wz (3/ 2)
(3/ 2) CB a2 wz (3/ 2) y2
a2 0 0
36
Chapitre III Application et étude de cas
0 0
c (3 / 2) 0 a2 wz (3 / 2)
w (3 / 2)
B z ( x2 , y2 , z2 )
0
Changement de base de R2 ( x2 , y2 , z2 ) à R1 ( x1 , y1 , z1 ) :
s 2 c2 0 0 0
-c2 s2 0 0 0
0 0 1 wz (3 / 2) wz (3 / 2)
s 2 c2 0 0 a2c2 wz (3 / 2)
-c2 s2
0 a2 wz (3 / 2) a2s2 wz (3 / 2)
0 0 1 0
0
0 a2 c2 wz (3 / 2)
c (3 / 2) 0 a2s 2 wz (3 / 2)
w (3 / 2)
A z ( x , y , z )
0
1 1 1
0 a2c2 wz (3 / 2)
c (3 / 2) 0 a2s 2 wz (3 / 2) + (3 / 2) BA
w (3 / 2)
A z
0 ( x1 , y1 , z1 )
0 0 wz (3/ 2)
(3/ 2) BA d1wz (3/ 2) x1
0 d1 0
0 (a2 c2 d1 ) wz (3 / 2)
c (3 / 2) 0 a2s 2 wz (3 / 2)
w (3 / 2) 0
A z ( x , y , z )
1 1 1
Changement de base de R1 ( x1 , y1 , z1 ) à R0 ( x0 , y0 , z0 ) :
c1 0 s1 0 s1 wz (3 / 2)
s1 0 c1 0 c1 wz (3 / 2)
0 -1 0 wz (3 / 2) 0
V (3/ 2) R0,1 V (3/ 2)
0 2
37
Chapitre III Application et étude de cas
s1 wz (3 / 2) (a2c2 d1 ) c1 wz (3 / 2)
c (3 / 2) c1 wz (3 / 2) ( a2c2 d1 ) s1wz (3 / 2) + (3 / 2) AO
O
0 -a2s 2 wz (3 / 2) ( x0 , y0 , z0 )
s1 wz (3/ 2) c1 wz (3/ 2) 0
(3/ 2) AO d0 c1 wz (3/ 2) x0 d0 s1 wz (3/ 2) y0
0 0 d0
s1 wz (3 / 2) [(a2c2 d1 d0 ) c1 ]wz (3 / 2)
c (3 / 2) c1 wz (3 / 2) [( a2c2 d1 d0 ) s1 ]wz (3 / 2) (III.42)
O ( x , y
0 -a2s 2 wz (3 / 2)
0 0, z0 )
0 0
c (4 / 3) 0 0
w (4 / 3) 0
C z ( x , y , z
3 3 3)
0 0
c (4 / 3) 0 0 + (4 / 3) DC
w (4 / 3)
C z
0 ( x3 , y3 , z3 )
0 0 wz (4 / 3)
(4 / 3) DC a3 wz (4 / 3) y3
a3 0 0
0 0
c (4 / 3) 0 a3 wz (4 / 3)
w (4 / 3)
C z ( x , y , z
0
3 3 3)
Changement de base de R3 ( x3 , y3 , z3 ) à R2 ( x2 , y2 , z2 ) :
38
Chapitre III Application et étude de cas
c3 -s3 0 0 0
s3 c3 0 0 0
0 0 1 wz (4 / 3) wz (4 / 3)
c3 -s3 0 0 -a3 s3 wz (4 / 3)
s3 c3
0 a3 wz (4 / 3) a3 c3 wz (4 / 3)
0 0 1 0
0
0 -a3s3 wz (4 / 3)
c (4 / 3) 0 a3c3 wz (4 / 3)
w (4 / 3)
B z ( x , y
0
2 2, z2 )
0 -a3s 3 wz (4 / 3)
c (4 / 3) 0 a3c 3 wz (4 / 3) + (4 / 3) CB
w (4 / 3)
B z
0 ( x2 , y2 , z2 )
0 0 wz (4 / 3)
(4 / 3) CB a2 wz (4 / 3) y2
a2 0 0
0 a3 s3 wz (4 / 3)
c (4 / 3) 0 (a2 - a3 c3 ) wz (4 / 3)
w (4 / 3)
B z ( x , y
0
2 2 , z2 )
Changement de base de R2 ( x2 , y2 , z2 ) à R1 ( x1 , y1 , z1 ) :
s 2 c2 0 0 0
-c2 s2 0 0 0
0 0 1 wz (3 / 4) wz (3 / 4)
s 2 c2 0 a3 s3 wz (4 / 3)
-c2 s2 0 (a2 - a3 c3 ) wz (4 / 3)
0 0 1
0
[a3 s 2 s3 (a2 - a3 c3 )c2 ]wz (4 / 3)
[a3c2 s3 (a2 - a3 c3 )s 2 ]wz (4 / 3)
0
39
Chapitre III Application et étude de cas
0 [a3 s 2 s3 ( a2 - a3 c3 ) c 2 ]wz (4 / 3)
c (4 / 3) 0 [ a3c 2 s 3 ( a2 - a3 c3 )s 2 ]wz (4 / 3) + (4 / 3) BA
w (4 / 3)
A z
0 ( x1 , y1 , z1 )
0 0 wz (4 / 3)
(4 / 3) BA d1wz (4 / 3) x1
0 d1 0
Changement de base de R1 ( x1 , y1 , z1 ) à R0 ( x0 , y0 , z0 ) :
c1 0 s 1 0 s 1 wz (4 / 3)
s1 0 c 1 0 c 1 wz(4 / 3)
0 -1 0 wz (4 / 3) 0
V (4 / 3) R0,1 V (4 / 3)
0 1
40
Chapitre III Application et étude de cas
0 0
c (5 / 4) 0 0
w (5 / 4) 0
D z ( x , y
4 4, z4 )
0 0
c (5 / 4) 0 0 (5 / 4) ED
w (5 / 4)
D z
0 ( x4 , y4 , z4 )
0 0 wz (5 / 4)
(5 / 4) ED 0
0 0 d5
0 0
c (5 / 4) 0 0
w (4 / 3) 0
D z ( x , y 4 4, z4 )
Changement de base de R4 ( x4 , y4 , z4 ) à R3 ( x3 , y3 , z3 ) :
s 4 0 c4 0 c4 wz (5 / 4)
-c4 0 s4 0 s4 wz (5 / 4)
0 -1 0 wz (5 / 4) 0
V (5 / 4) R3,4 V (5 / 4)
C 3
s 4 0 c 4 0 0
-c4 0 s 4 0 0
0 -1 0 0 0
c4 wz (5 / 4) 0
c (5 / 4) s 4 wz (5 / 4) 0
0
C
0 (x , y , z
3 3 3)
41
Chapitre III Application et étude de cas
c4 wz (5 / 4) 0
c (5 / 4) s 4 wz (5 / 4) 0 + (5 / 4) DC
C
0 0 ( x3 , y3 , z3 )
c4 wz (5 / 4) s 4 wz (5 / 4) 0
(5 / 4) DC a3 s 4 wz (5 / 4) z3
a3 0 0
c4 wz (5 / 4) 0
c (5 / 4) s 4 wz (5 / 4) 0
0 a3 s 4 wz (5 / 4)
C ( x , y , z
3 3 3)
Changement de base de R3 ( x3 , y3 , z3 ) à R2 ( x2 , y2 , z2 ) :
c3 -s3 0 0 0
s3 c3
0 0 0
0 0 1 a3 s 4 wz (5 / 4) a3 s 4 wz (5 / 4)
c34 wz (5 / 4) 0
c (5 / 4) s34 wz (5 / 4) 0
0 a3 s 4 wz (5 / 4)
B ( x , y2 2, z2 )
c34 wz (5 / 4) 0
c (5 / 4) s34 wz (5 / 4) 0 (5 / 4) CB
0
B
a3 s 4 wz (5 / 4) ( x2 , y2 , z2 )
c34 wz (5 / 4) s34 wz (5 / 4) 0
(5 / 4) CB
-a2 0 0
a2 s34 wz (5 / 4) z2
c34 wz (5 / 4) 0
c (5 / 4) s34 wz (5 / 4) 0
0 (a3 s4 a2 s34 ) wz (5 / 4)
B ( x , y 2 2 , z2 )
Changement de base de R2 ( x2 , y2 , z2 ) à R1 ( x1 , y1 , z1 ) :
42
Chapitre III Application et étude de cas
s 2 c2 0 c34 wz (5 / 4)
-c2 s2 0 s34 wz (5 / 4)
0 0 1 0
[c34 s 2 s34 c 2 ]wz (5 / 4)
[ c34 c 2 s34 s 2 ]wz (5 / 4)
0
V (5 / 4) R0,1 V (5 / 4)
0 1
s2 c2 0 0
- c2 s2 0 0
0 0 1 (a3 s4 a2 s34 ) wz (5 / 4)
0
0
(a s a s ) w (5 / 4)
3 4 2 34 z
[c34 s 2 s34 c2 ]wz (5 / 4) 0
c (5 / 4) [c34 c2 s34 s 2 ]wz (5 / 4) 0
0
(a3 s4 a2 s34 ) wz (5 / 4)
A (x , y , z )
1 1 1
Changement de base de R1 ( x1 , y1 , z1 ) à R0 ( x0 , y0 , z0 ) :
43
Chapitre III Application et étude de cas
c1 0 s1 0
s1 0
c1 0
0 -1 0 d1[c34 s 2 s34 c 2 ]wz (5 / 4)
[c34 s2c1 s34c2c1 ]wz (5 / 4) [c34 s2 s1 s34c2 s1 ]wz (5 / 4) [c34 c2 s34 s 2 ]wz (5 / 4)
(5 / 4) AO
0 0 -d 0
-d0 [c34 s2 s1 s34c2 s1 ]wz (5 / 4) x0 d 0 [c34 s2c1 s34c2c1 ]wz (5 / 4) y0
0
c (5/ 0)R0
0 c (1/ 0)R 0 c (2 /1)R 0 c (3/ 2)R 0 c (4 / 3)R 0 c (5/ 4)R
0 0 0 0 0
44
Chapitre III Application et étude de cas
wx (5 / 0) wx (2 /1) wx (3 / 2) wx (4 / 3) wx (5 / 4)
w (5 / 0) w (1/ 0) w (2 /1) w (3 / 2) w (4 / 3) w (5 / 4)
y y y y y y
wz (5 / 0) wz (1/ 0)
Vx (5 / 0) Vx (2 /1) Vx (3 / 2) Vx (4 / 3) Vx (5 / 4)
Vy (5 / 0) Vy (2 /1) Vy (3 / 2) Vy (4 / 3) Vy (5 / 4)
Vz (5 / 0) Vz (3 / 2) Vz (4 / 3)
1 0 0 0
0 1 0 0
T0atelier Toutil
5
(III.46)
0 0 1 0
0 0 0 1
0
1 0 0 0
e0atelier
0 1 0 0 T0atelier 0
1
0 0 1 0
0
0
eatelier
0 0 (III.47)
1
0
1 0 0 0
e1atelier atelier 0 0
0 1 0 0 T0 T1
1
0 0 1 0
0
45
Chapitre III Application et étude de cas
s1
eatelier
1 c1 (III.48)
0
0
1 0 0 0 0
e2atelier 0 1 0 0 T0atelierT10T21
1
0 0 1 0
0
s1
e2atelier c1 (III.49)
0
0
1 0 0 0
e3atelier atelier 0 1 2 0
0 1 0 0 T0 T1 T2 T3
1
0 0 1 0
0
s1
eatelier
3 c1 (III.50)
0
0
1 0 0 0 0
e4atelier 0 1 0 0 T0atelierT10T21T32T43
1
0 0 1 0
0
c1s234
e4atelier s1s234 (III.51)
c234
e1atelier e2atelier e3atelier Puisque les axes z1 , z2 et z3 ont toujours la même direction.
Calcule de piatelier
1, outil :
Puisque toutes les cinq articulations du robot VP-5243 sont rotoïde, nous allons calculer
maintenant les vecteurs piatelier
1, outil (i= 1, 2, 3, 4,5) :
atelier
Toutil T50 (III.52)
0
1 0 0 0 0
p0,atelier 0 1 0 0 (Toutil
atelier
T0atelier )
outil
0
0 0 1 0
1
46
Chapitre III Application et étude de cas
0
1 0 0 0
p1,atelier atelier 0 0
0 1 0 0 (Toutil T0 T1 )
atelier
outil
0
0 0 1 0
1
c1 (d5 s234 a3 s23 a2 s2 )
p atelier
1,outil s1 (d5 s234 a3 s23 a2 s2 ) (III.54)
d5c234 a3c23 a2c2
0
1 0 0 0
p2,atelier atelier 0 1 0
0 1 0 0 (Toutil T0 T1 T2 )
atelier
outil
0
0 0 1 0
1
c1 (d5 s234 a3 s23 )
p atelier
2, outil s1 (d5 s234 a3 s23 ) (III.55)
d5c234 a3c23
0
1 0 0 0 c1d5 s234
p3,atelier atelier 0 1 2 0
0 1 0 0 (Toutil T0 T1 T2 T3 )
atelier
s1d5 s234 (III.56)
outil
0
0 0 1 0 d5c234
1
0
1 0 0 0 c1d5 s234
p4,atelier atelier 0 1 2 3 0
0 1 0 0 (Toutil T0 T1 T2 T3 T4 )
atelier
s d s (III.57)
outil
0 1 5 234
0 0 1 0 d5c234
1
(III.58)
47
Chapitre III Application et étude de cas
Etape 1 :
Il faut faire une sélection des moteurs qui fonctionnent durant le mouvement souhaités.
Notons bien que lors de ce déplacement seuls le moteur 2 et le moteur 3 fonctionnent, les
moteur 3, 4 et 5 ne fonctionnent plus à cause de la linéarité de la trajectoire.
48
Chapitre III Application et étude de cas
Etape 2 :
A cette étape on définie les caractéristiques du mouvement de chaque un des deux
moteurs (déplacement et vitesse) en fonction du temps:
Mouvement du Moteur 2 :
49
Chapitre III Application et étude de cas
Mouvement du Moteur 3 :
Pour prouver l’efficacité des modèles géométrique et cinématique nous présentons une
comparaison entre le déplacement et la vitesse trouvés par les modèles précédents (et
représentés par MATLAB) et le déplacement et la vitesse de la simulation avec SolidWorks.
SolidWorks MATLAB
50
Chapitre III Application et étude de cas
On constate que les courbe obtenue par simulation et celles obtenue à partir des modèles
élaborés ont la même allure. Ce qui prouve l’efficacité des modèles géométrique et
cinématique particulièrement pour le moteur 3.
En utilisant la même démarche on peut vérifier les équations du mouvement des autres
moteurs.
III.5 Conclusion
Dans ce chapitre la modélisation cinématique d’un robot à cinq axe a été faite par
l’obtention du les modèles géométriques direct et inverse qui expriment la situation de
l'organe terminal en fonction des variables articulaires du mécanisme et inversement, ainsi
de modèle cinématique direct qui exprime la vitesse de l'organe terminal en fonction des
vitesses articulaires, et le torseur cinématique équivalant qui définie le mouvement général de
l’organe terminal en fonction des mouvements élémentaires.
51
Conclusion générale
Conclusion général
Le travail que nous avons présenté porte sur la modélisation des robots industriel et plus
spécifiquement la modélisation cinématique d’un robot manipulateur à chaine continue
ouverte.
On abordait la modélisation en appliquant la convention de Denavit-Hartenberg pour le
calcul du modèle géométrique qu’a nous permis la localisation de l'effecteur à n'importe quel
point de l'espace de travail.
La modélisation cinématique directe ma permet de déterminer la vitesse de l'organe
terminal.
Le calcule du torseur cinématique équivalant ma aider de définie le mouvement général
de l’organe terminal en fonction des mouvements élémentaires.
De la trajectoire obtenue lors d’un déplacement linéaire de l’organe terminal par le
logiciel Solidworks, j’ai obtiens sur les graphes de l'évolution en fonction du temps des
positions et des vitesses. Le travail effectué ma permet d'étudier n'importe quels robots
industriels pour les différentes stations d'usinage dont le but d'augmenter la productivité de
n'importe quel atelier d'usinage.
Perspectives
En ce qui concerne ses améliorations ultérieures pour un même travail, il est recommandé
aux personnes devant pour suivre ce travail de : Faire une étude bien détaillée sur la
modélisation dynamique en tenant compte les caractéristiques dynamiques et les erreurs
statiques et dynamiques ainsi que la précision.
Il est à noter que le rapprochement entre l'université et l'industrie est seul et unique moyen
pour le développement industriel et avec le soutien de DIEU on peut résoudre les problèmes
existants dans cet univers ou dans la vie.
Bibliographie
IV Bibliographie
[1] M. Gouasmi, M. Ouali, B. Fernini, M. Meghatria, Kinematic Modelling and
Simulation of a 2-R Robot Using SolidWorks and Verification by MATLAB/Simulink.
Algeria Structural Mechanics Research Laboratory, Mechanical Engineering
Department, Blida University, Algeria, 2011
[8] A. Chrifa, Analyse Cinématique des Robots Parallèles. Thèse Docteur D’état. Université
Mentouri Constantine 2007/2008.
[14] J.W. Jeong, I.S. Kim, R.R. Chand, J.H. Lee, A study on Simulation model and
Kinematic Model of Welding Robot, Department of Mechanical Engineering, Mokpo
NationalUniversity,01novembre2012.
53
Résumé :
Le travail abordé dans ce mémoire comporte trois parties. L'objet de la première partie est de décrire les
constituants technologiques d'un système robotique et de définir les principaux termes du domaine. La seconde
donne au lecteur les outils de base qui lui permettront d'établir les modèles nécessaires pour simuler ou
commander les robots à chaîne ouverte simple : modèles géométriques, cinématiques (direct et inverse). Ces
modèles s'appuient sur une représentation unifiée des mécanismes. La troisième partie est consacrée à une
application dans le cas d'un robot réel. Il s'agit d'un robot sériel à cinq articulations rotoïde. A fin de valider les
modèles : géométrique et cinématique nous avons utilisé une simulation avec le logiciel SolidWorks.
Mots clés :
Robot-manipulateur sériel, Modélisation géométrique, Modélisation cinématique.
Abstract:
The work discussed in this paper has three parts. The purpose of the first part is to describe the
technological components of a robotic system and define the key terms in the field. The second gives the reader
the basic tools that will help to establish the necessary models to simulate or control robots to open chain simple
(forward and reverse) geometric patterns, scenes. These models are based on unified representation mechanisms.
The third part is devoted to an application in the case of a real robot. It is a serial five revolute joints robot. At
the end validate models: geometric and kinematic simulation we used the SolidWorks software.
Keywords:
Serial robot manipulator, Geometric modeling, kinematics modeling.
ملخص
الهدف من الفصل االول هو وصف المكونات االساسية،العمل المقدم في هذه المذكرة موزع على ثالثة فصول
الفصل الثاني يقدم للقارئ القواعد واألدوات االساسية الضرورية.للروبوت وتعريف المصطلحات االساسية في هذا المجال
. وهي النمذجة ألهندسية و النمذجة الحركية.إلقامة نماذج المحاكاة للسيطرة على الروبوتات ذات البنية المفتوحة
الفصل الثالث مكرس لتطبيق خاص بروبوت حقيقي متسلسل ذي خمسة مفاصل دورا نية خاص بشركة دنسو
.للروبوت
كلمات مفتاحية
. سوليدووركس، النمذجة ألهندسية النمذجة الحركية، روبوت مناور متسلسل