Célébration

de la vie de :

4 se
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196 mbre
29
fév
2
202 rier

4
« Ne te souviens pas des fautes de ma jeunesse ni de mes transgressions ;
souviens-toi de moi selon ta miséricorde, à cause de ta bonté, ô Eternel ! » Ps. 25, 7
 Célébration
de la vie de Yaoundé-Minlaba, 18-20 avril 2024

ANGÈLE MONA
ZOÉ 2

Faire - part
La Grande famille MVOG MAN ZE de Minlaba par Mengueme
La grande famille MVOG BELINGA de Melangue I par Biwong-Bané
La grande famille EVONDO d’Adzapsi par Akoéman
La grande famille MOMANFON NJI MOULIOM de Fontain et Malentouen
La famille OWONO Auguste de Minlaba Minlaba par Mengueme
La famille ZOE BIDZA Maurice de Melangue I par Biwong-Bané
La famille Hadja NGOUANKA Mariatou de Fontain
La famille OWONA Aloys d’Adzapsi par Akoéman
S.M. MBARGA ZAMBO Vincent, chef du groupement Bané-Ouest
S.M. PANCHA ALASSA, chef du groupement Fontain-Malentouen
S.M. AKOA Joseph Emmanuel, chef de 3e degré de Melangue I
M. OWONA MANY Gabriel Bernardin, patriarche Mvog NSONO
de Minlaba et Pont So’o
Le Prof. Auguste OWONO KOUMA, chef de 3e degré de Minlaba,
Directeur des Affaires Académiques et de la Coopération de l’Université de Yaoundé I
Mme KOUMA Marie Chantal épse GAMMA
Mme NGOMO Marie Chantal veuve EBEDE Engelbert
M. POUHE AMBASSA KOUMA Hubert
M. ZOE OWONO KOUMA Maurice
Mme KOUMA OWONO Marie-Claude
Mme EKOBO OWONO Carine
Mme NDZIE EBEDE Mélaine Victorine
M. KOUMA EBEDE Joseph
M. OWONO EBEDE Aloys Florent
M. NDZIE OWONO KOUMA Franck-Victor
Mlle ENGAMA ÉBÉDÉ Gilberte
Mme YENOU ZOÉ Delphine Marie, veuve YONKAM, et ses enfants
Mme AVEZO’O Florence, veuve NTONGA, et ses enfants
M. BILOA ZOÉ Célestin, son épouse et leurs enfants
M. FOCHIVE MANI ZOÉ Bienvenu, son épouse et leurs enfants
Mme Corine BRETZKE NCHOUT
ont la douleur d’annoncer à leurs parents, amis et relations le décès de leur belle-fille, fille, sœur,
épouse, mère et grand-mère, Madame Angèle MONA ZOE épse OWONO KOUMA, survenu des suites
de maladie, le jeudi 29 février 2024, à l’hôpital militaire de Yaoundé.

Il est des personnes qui restent
dans nos coeurs, même si
elles ne sont plus dans nos vies.
«Maman Angèle» comme on t’appelait
affectueusement, tu n’es plus
là où tu étais mais tu es partout
où nous sommes.
Célébration Yaoundé-Minlaba, 18-20 avril 2024
de la vie de
ANGÈLE MONA 3
ZOÉ
Eléments de Biographie
Que retenir de ta vie parmi nous ?
Née le 4 septembre 1962 à Sangmelima,
MONA ZOÉ Angèle était la fille de feu ZOÉ BIDZA Maurice et de Hadja
NGOUANKA Mariatou.
Très vite, dans sa quête du savoir, et après un cycle primaire validé dans
les écoles primaires de Nkolndongo et d’Ebakoa, elle arpentera son cursus
secondaire au collège Christ-Roi d’Obout avant que les portes de la for-
mation professionnelle en bureautique ne s’ouvrent à elle dans le cadre
de l’Institut Samba de Mvog-Ada.
Au plan religieux, et en sa qualité de chrétienne fidèle et engagée à
l’Eglise Catholique Romaine, Maman Angèle recevra les sacrements de
baptême, communion, confirmation et d’onction des malades.
Côté jardin, sa beauté et son charisme auront tapé dans l’œil de Monsieur
OWONO KOUMA qui fera d’elle son épouse le samedi 22 mars 1986
à Biwong-Bané.
Femme dynamique, vertueuse, calme et sociable, «Maman Angèle» tout
au long de sa vie, est restée accrochée à la vie associative comme membre
(fondatrice) de plusieurs associations féminines, entre autres :
Amicale Sans Frontières, Amies sincères, Femmes dynamiques,
Association des Femmes et Filles de Biwong-Bané pour le Développe-
ment (AFEBID), Cercle des Amies de Minlaba (CERAM) .
Maman Angèle s’en est allée vers la félicité éternelle quittant la scène
terrestre en toute humilité, en ce vendredi 29 février 2024 à l’hôpital mili-
taire de Yaoundé à l’âge de 62 ans. Elle laisse 4 enfants éplorés, un époux
inconsolable, des petits-enfants désarçonnés, en un mot, toute une famille
dans la tristesse et la consternation.
AUREVOIR, MAMAN ANGÈLE...
AUREVOIR, MAMAN ANGÈLE...
 Célébration Yaoundé-Minlaba, 18-20 avril 2024
de la vie de
Du 29 ANGÈLE MONA 4
février au ZOÉ
17 avril

Programme
2024

Veillées sans corps et prières tous

les jours à son domicile de Tropicana
(entrée CABTAL) de 18 h à 23 h

YAOUNDÉ
Jeudi, 18 avril 2024 :
13H00 : Levée de corps à l’hôpital militaire de Yaoundé
(CFTA, Ekounou)
15H00 : Messe à la cathédrale Notre-Dame des Victoires
de Yaoundé
19H00-24H00 : Veillée au domicile de la défunte sis à Tropicana
(entrée CABTAL).

MINLABA
Vendredi, 19 avril 2024 :
10H00 : Départ pour le village de Minlaba
par Mengueme (Mbalmayo) ;
Arrivée et installation de la dépouille
à la chefferie traditionnelle de Minlaba ;
20H00 : Messe ;
Grande veillée jusqu’à l’aube

Samedi, 20 avril 2024 :

9H00 : Début des cérémonies traditionnelles ;
- Esok ;
13H00 : Messe d’inhumation ;
- Collation ;
- Fin des cérémonies et départ des délégations

J’ai la conviction que je t’épouserai
encore dans l’autre monde.
Très chère maman Angèle,
Finalement, même les plus belles
aventures, à l’instar de celle de
nos amours, ont hélas une fin. Toi
et moi nous sommes rencontrés for-
tuitement par un bel après-midi
du mois de juillet de l’an de grâce
1980. Tu descendais du carrefour
«Tailleur Bar» (Nkolndongo) et al-
lais, m’avais-tu confié, chez ta cou-
sine ONGUENE MENGUE Hortense,
alias AFIDI. Moi, je montais du carre-
four «Mvog Mbi» pour rallier Nkoln-
dongo où vivait maman NDZIÉ, ma
mère. Le bachelier frais émoulu que
j’étais alors avait voulu se prouver
qu’il était aussi capable d’action en
entreprenant de conquérir ton cœur.
Depuis lors, nous ne nous sommes
jamais plus quittés jusqu’à ce jeudi
fatidique du 29 février 2024 au-
tour de 7 h 30. Nous sommes restés
«scotchés» l’un à l’autre pendant les
quarante et quatre (44) dernières
Célébration Yaoundé-Minlaba, 18-20 avril 2024
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ZOÉ
Témoignages
courtes années. Rien que de bons
souvenirs de notre compagnonnage
aussi bien dans ma chambre d’étu-
diant à Nkolndongo, chez ma mère
à Kondengui, à Mbalmayo où tu ve-
nais régulièrement me rendre visite
du temps où j’enseignais au collège
Saint-Cœur de Marie, à Tropicana
(Yaoundé) où nous nous sommes
établis depuis le 08 octobre 1988,
qu’ici à Minlaba où nous avons com-
mencé à nous installer en 2012 dans
la perspective de la mise à la re-
traite. Pas de brutalité entre nous.
Pas d’insultes entre nous. Pas d’his-
toires entre nous. Pas de congé dans
ta famille d’origine. Pas de conflits
avec nos belles-familles respectives.
Une seule parole à la fois : ou la
tienne ou la mienne, tout dépendant
de la pertinence du projet à mettre
en œuvre, et c’était généralement
la tienne étant donné que tu étais
dotée d’une intelligence pratique

remarquable. Que de qualités, ma-
man Angèle ! À peine arrivée chez
nous à l’âge de 18 ans (alors que
moi, j’en avais 20), tu as mis le pied
à l’étrier en aidant maman NDZIÉ à
élever ses enfants (Ebede, Chantal
et Ambassa). Quelle bonne épouse,
tu auras été ! Quelle rigueur dans la
gestion de ton mari ! Cette rigueur
m’a amené à te donner le petit nom
de «Ministre de l’inquiétude». Sans
avoir de formation dans le bâtiment,
tu auras été, de Kondengui (1982)
à Minlaba (2024) en passant par
Tropicana (1986), un ingénieur de
conception et un conducteur de tra-
vaux expérimenté. Quel sens en-
trepreneurial remarquable dans la
gestion de ton ménage ! Sans forcer
le trait, tu auras été à l’image de la
femme-maîtresse de maison dont le
portrait est campé dans le livre des
proverbes :
« [La maîtresse de maison], qui la
trouvera ? Elle a bien plus de prix que
les perles ! En elle se confie le cœur
de son mari, il ne manque pas d’en ti-
rer profit. Elle fait son bonheur et non
son malheur, tous les jours de sa vie.
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Elle cherche laine et lin, et travaille
d’une main allègre […] Il fait encore
nuit qu’elle se lève, distribuant à sa
maisonnée la pitance, et des ordres à
ses servantes […] Elle étend les mains
vers le pauvre, elle tend les bras aux
malheureux […] De sa maisonnée elle
surveille le va-et-vient, elle ne mange
pas le pain de l’oisiveté. Ses fils se lè-
vent pour la proclamer bienheureuse,
son mari pour faire son éloge. » (Pr
31, 10-13, 15, 20, 27-28)
Maman Angèle, j’ai été un mari com-
blé. Tu auras été le maillon essentiel
dans l’édification de notre vie. Tu vas
me manquer. Merci pour tout. Merci
pour les 44 ans de bonheur que tu
m’as offerts. Plusieurs années après
l’avènement du téléphone portable,
je t’avais demandé sous quel nom tu
m’avais enregistré dans ton répertoire.
Tu m’avais alors spontanément remis ton
téléphone, où j’ai pu lire avec émotion
: «Élu de mon cœur… »J’ai la convic-
tion que je t’épouserai encore dans
l’autre monde.
Va et repose en paix, très chère ma-
man Angèle !
OWONO KOUMA, ton mari
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Tu as beaucoup travaillé sur terre.

Maman Angèle,
Je t’écris ces quelques mots les larmes aux yeux. Ton départ brutal est trop dou-
loureux et pose la question « Pourquoi si tôt » ? Nous sommes tristes car la vie
sans toi sera difficile. Tu es et tu resteras notre rayon de soleil. Tu as beaucoup
travaillé sur terre. Tu as été une grande sœur et une belle-sœur magnifique. Que
le Bon Dieu t’accueille dans son royaume. Va et repose en paix. On t’aime. Amen.

KOUMA Chantal, ta belle-sœur

Tu m’as tout donné. Merci, Maman.

Maman,
Femme douce, chaleureuse, empathique, aimante et pleine de vie. Le Seigneur
a choisi de te reprendre auprès de Lui. Que pouvons-nous y faire ? Tu étais ma
LIONNE, mon soutien, ma complice, ma confidente. Te voir partir cause en moi le
plus grand chagrin. Tu m’as tout donné. Merci, Maman. Merci pour tout. Pardon
pour tous mes manquements. Je t’avais cru éternelle sur cette terre. Mais ton
éternité est dans mon cœur où tu vivras à jamais… Je t’aime, Maman. Repose en
paix. Veille sur nous de là haut.
ZOÉ OWONO KOUMA Maurice, ton fils

Tu étais exceptionnelle, à mes yeux.

Maman,
Je viens te témoigner de mon amour inconditionnel. Tu étais exceptionnelle, à mes
yeux et sans doute aussi aux yeux de quelques autres. Tu as supporté toutes les
épreuves difficiles que la vie t’a réservées. Une vie souvent d’embûches. Tout en sa-
chant que plus rien ne sera pareil, je voudrais te dire que je t’aime. Maman, tu me
manqueras. Mais ta mémoire vivra en moi, pour toujours. Je t’aime tellement, Maman,
que tu me manqueras plus qu’aucun mot ne peut l’exprimer.

NDZIÉ OWONO KOUMA Franck-Victor, ton fils


Ta présence nous manquera éternellement.
MONA ZOÉ Angèle épouse
OWONO KOUMA, ma petite ma-
man, que j’appelais affectueuse-
ment «Andje», parce que enfant,
je ne parvenais pas à prononcer
ton prénom. Tu es partie avant
nous, bien trop tôt, et tu nous rap-
pelles qu’ici bas, notre vie est peu
de chose. Ton départ survenu dans
des circonstances assez brusques et
incompréhensibles, à mon entende-
ment, laisse certes un grand vide
dans nos cœurs, toutefois, ton héri-
tage de bonté et de bienveillance
continuera à briller en mon fils et
EKOA Élise Bérenger Edwige, ta nièce
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ZOÉ
Maman Angèle
Femme dynamique,
Femme vertueuse,
Essingan Mbom ya Andock,
Va et repose en paix.
Mama Lili a yon wa.
ENYEGUE Florence, alias Lili
moi. Tu as été une personne géné-
reuse, affable, réservée, serviable,
accueillante, sympathique, franche,
courageuse, dynamique, douée de
bon sens, pour ne pas dire sage,
habile, entreprenante, charisma-
tique et que sais-je encore ? Je me
souviens de beaucoup d’anecdotes
qui pourraient montrer à tous à quel
point tu étais spéciale. Aussi, je veux
que tu saches que tu resteras à ja-
mais dans nos pensées et souvenirs.
Ta présence nous manquera éter-
nellement. Requiescat in pace.
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Je suis à vos côtés, de tout cœur...

Très respecté Professeur, chef Mvog Nsono et grand frère dans le clan,
En ces moments d’une profonde tristesse, il me semble difficile de trouver
les mots justes pour exprimer la tristesse qui m’étreint le cœur suite à la
disparition de votre chère épouse, compagne de plus de quatre décen-
nies, amie d’enfance et véritable pilier de votre vie.
Votre union était un exemple d’harmonie et d’amour véritable pour nous
tous, témoignant d’un lien indéfectible qui a su traverser les épreuves et
les bonheurs de la vie. Votre épouse, notre reine au grand cœur, incar-
nait la bonté et l’altruisme, accueillant chacun avec une chaleur et une
générosité inégalées. Son départ laisse un vide immense non seulement
dans votre vie, mais aussi dans celles de tous ceux qu’elle a touchés par
sa grâce et son humanité.
En ces moments douloureux, je me rappelle les paroles émouvantes de
ma mère [ENYEGUE Florence] qui, malgré la douleur et les larmes, a su
trouver la force de vous adresser des mots de réconfort et de soutien,
soulignant l’impact indélébile que votre épouse a laissé dans nos cœurs.
Comme ma mère l’a si justement exprimé, votre chère épouse était bien
plus qu’une conjointe ; elle était une sœur, une mère, et une figure de
proue dans notre communauté, incarnant les valeurs et la vertu de nos
ancêtres.
Permettez-moi de vous assurer de ma profonde sympathie et de mon
soutien inébranlable en ces temps éprouvants. Je suis à vos côtés, de tout
cœur, pour partager ce fardeau de chagrin et pour vous offrir toute
l’aide dont vous pourriez avoir besoin pour traverser cette épreuve.
Puisse la mémoire de votre épouse bien-aimée vous apporter réconfort
et sérénité dans ces moments difficiles, et puissent nos prières et nos pen-
sées vous soutenir. Que son âme repose en paix et que sa lumière conti-
nue de briller à travers les souvenirs précieux que vous avez partagés.
Avec toute ma compassion émue et mes plus sincères condoléances,

Dr MBARGA Boniface Derrick, Université de Grenoble (France)

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Ta générosité n’avait d’égale que ton humour.

Une grand-mère est une deuxième maman, comme l’atteste d’ailleurs
l’adage qui dit que : «L’amour qu’un grand parent ressent pour ses
petits enfants est plus intense que celui qu’il a pour ses propres enfants».
Mémé Angèle, nous savions que tu ne vivrais pas éternellement, mais
ton décès est un choc indescriptible pour nous parce que l’on a parado-
xalement souvent tendance à croire que les personnes qui nous aiment
et que nous aimons également ne nous quitteront jamais. Malheureuse-
ment, la conscience de la mortalité fait partie de la vie et nous oblige
à parler de toi: Mémé, tu nous as donné tellement d’amour en prenant
soin de nous, quelle beauté d’âme ! Quelle grandeur ! Ta générosité
n’avait d’égale que ton humour. Nous pensons à tous ces bons moments
passés en ta compagnie, les pseudonymes que tu n’hésitais pas à nous
attribuer :
«Dissou, mamba Dissou, Ministre, Jolijo, Joves, Emimi, Mimi, Anana,
Dudu...», sans oublier tes blagues : «wa dosé»
lorsque tu nous trouvais entrain de déguster avec appétit les plats cuisi-
nés par tes soins, en l’occurrence, l’okok et le poulet.
Mémé, te rendre hommage reviendrait à faire une liste de toutes les
qualités qui existent et ce serait interminable. Alors, en conclusion, nous
allons nous contenter de dire que la femme exceptionnelle que tu as été,
va nous manquer du plus profond de nos cœurs.
Mum, you did not die, you just went to the other side, where everything
is wonderful. You will live forever in our hearts. May you soul rest in
peace.

Your grand children.

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Tu es dans mon cœur pour toujours !

Perdre un enfant c’est un poignard dans le cœur, dans les

entrailles, le summum de la douleur ! Une douleur incom-
mensurable ! Indicible ! Ineffable ! Déchirante ! Coeur
déchiré, brisé, meurtri pour la vie, immense chagrin.
Larmes et sanglots, somme toute un tsunami dans la vie
et dans le cœur.
Angèle, ma fille chérie, MONA ZOÉ, ma petite maman
(car tu avais pour patronyme ma feue mère MONA Ali-
ma), je sais que tu ne peux m’entendre, ni me voir, mais
le devoir m’oblige à écrire ces quelques mots pour te
rendre hommage et pour que ton souvenir reste dans
nos mémoires.
En effet, ce fatidique jeudi 29 février 2024, le destin a
voulu que tu me précèdes dans l’au-delà. Loin de faire
un procès d’intention à Dieu qui t’a créée, je veux que
tu saches que j’ ai si mal, ta disparition est une souf-
france indicible, une grande déchirure dans mon cœur
de maman et dans ma vie. dans mes pensées jusqu’à la dernière seconde de ma
Tu étais un être au coeur tendre, bon, honnête, affec- vie, je penserai à toi.
tueux, généreux, en dépit de ta rigueur, de ton intran- J’ai bon espoir que nous nous reverrons dans un monde
sigeance. Ce qui m’amena à t’attribuer le pseudonyme meilleur, beau et harmonieux avec tous les êtres aimés.
de «nguo jamen» qui signifie l’allemande en langue ba- Nous verserons des larmes, mais elles seront de joie ! De
moun. Tu étais habile, dynamique, entreprenante, labo- bonheur !
rieuse, charismatique, franche nonobstant ton caractère Tu es dans mon cœur pour toujours ! Je t’aime ma fille
réservé et silencieux. Tu avais beaucoup de qualités. chérie, d’un amour éternel.
Mon enfant, tu es et resteras toujours dans mon cœur et
Mariatou NGOUANKA,
ta maman qui pleure dans le silence...
 Célébration
de la vie de
ANGÈLE MONA
ZOÉ
Nous restons immobiles,
consumées par le chagrin.
Nous restons immobiles, consumées par le chagrin. Le cha-
grin est arrivé avec des sourires voleurs. Nous sommes
réunies ici pour porter le deuil et pleurer. Nos questions
pointent vers le ciel bleu clair.
Angèle, pourquoi es-tu partie si tôt ? La vie sans toi est si
difficile à concevoir. Nos cœurs sont abîmés et sévèrement
marqués. Loin de nous de questionner Dieu(l’insondable),
nous voulons en guise d’ultime hommage te dire que : tu
étais certes notre cadette, cependant tes actions et œuvres
te faisaient passer pour notre aînée. Cela était sans doute
inhérent au fait que tu portais le nom de notre grand-mère
maternelle. Petite soeur, tu nous as aimées du fond du
cœur, peu importe combien nous nous sommes disputées,
nous ne pouvions pas être séparées. Tu étais une amie qui
nous a aidées à chaque moment tant heureux que dou-
loureux. Nous en voulons pour preuve : ta disponibilité et
YENOU ZOÉ Delphine Marie veuve YONKAM
et Florence AVEZO’O veuve NTONGA, tes sœurs aînées
Yaoundé-Minlaba, 18-20 avril 2024
12
dévouement inlassables à prendre soin de nos enfants et
petits enfants ; ton soutien indéfectible lors des obsèques
de nos époux respectifs; sans oublier tes mots réconfor-
tants qui valaient plus que des pièces de monnaie.
Tu as été une partenaire qui a rempli nos vies de rires et
de sourires. Angèle, tu étais une bénédiction qui a rempli
nos cœurs d’amour. Tu étais une compagne à qui nous pou-
vions exprimer nos sentiments. Avec toi, nous ne pouvions
avoir de rancune parce que tu étais suffisamment douce,
respectueuse, pondérée, nonobstant ta fermeté. Avoir une
cadette comme toi n’était pas seulement une tendance,
mais une assurance que nous pouvions toujours nous tour-
ner vers toi notre meilleure amie.
Maintenant, le temps est venu pour toi de te reposer. Alors
va en paix, cependant, saches que ton amour dans nos
cœurs, nous le garderons éternellement.
 Je ne suis pas morte,
je suis juste de l’autre
côté du chemin..
Continuez de prier
et de penser à moi.
Priez pour moi.
Je vous aime tous.
 Séquences de vie
Vie de jeune fille - Madame Owono Kouma

La petite Angèle L’adolescente toujours proche des siens Angèle et Auguste s’établissant à Tropicana en 1988

Angèle et Auguste, deux jeunes tourtereaux 22 mars 1986 : oui, nous nous marions Monsieur et Madame Owono Kouma à Mulhouse

Femme dynamique, sociable et aimable

28 janvier 2024, dernière apparition

AFEBID, plus qu’une association, une famille d’Angèle à Minlaba Employée de l’Institut Saint-Joseph-Mukasa (Yaoundé)
 La famille, un lien sacré et indestructible

Toujours présente aux grands rendez-vous familiaux En visite chez sa sœur à Freiburg im Breisgau (Allemagne) Agapes en famille, 24-25 décembre 2023 à Kondengui

En transit à Bruxelles

Mère et filles Mère et fille : la joie de se sentir aimée

Maman Angèle, «la Mémé» adorée

Au nom de l’amour, mère et fils

Fille et mère Maman Angèle fière d’être grand-mère

 Itinéraire
Célébration
de la vie de
ANGÈLE MONA
ZOÉ

Mission
Ebolowa catholique
de Minlaba

Ngoulemakong Chefferie
3ème degré
Limite MINLABA
Régions
Sud/Centre
ICI
Mfida

Mengueme Ngomedzap
Sa
ng
me
lim
a

Merci
pour tout, Maman Angèle.

© 699 51 80 76
ITINERAIRE
Yaoundé-Chefferie de Minlaba (100 km)
Etape 1 : Yaoundé-Mfida : 90 km (bitume)
Etape 2 : Mfida-Chefferie de Minlaba : 10 km (terre battue)