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Vieux saint

L’EGLISE ET SA CONDITION JEFFERSONVILLE IN USA Dim 05.08.56


104. Il y a quelque temps, en Afrique, je parlais à un–un vieux saint. Il a dit : « Frère
Branham, je sais que vous croyez au surnaturel. »
J’ai dit : « Certainement, mon frère. »
L’EGLISE ET SA CONDITION JEFFERSONVILLE IN USA Dim 05.08.56
105. Il a dit : « Il y a des années, je croyais être quelqu’un. » Il a dit : « Je pensais être
vraiment un chrétien. » Et il a dit : « Alors là, dans notre église… Je devais gravir une colline,
après avoir garé ma petite voiture. » Il a dit : « Je devais gravir une colline, oh! sur environ
deux ou trois cents mètres, et contourner des buissons et tout, pour y arriver. » Et il a dit : «
Nous avions une réunion de prière là-haut. » Il a dit : « Je pensais être vraiment un chrétien. »
Il a dit : « Je connaissais toute la Bible. J’ai étudié tout l’hébreu. J’ai étudié toutes les
prononciations exactes des mots. » Et il a dit : « Si quelqu’un m’abordait pour parler de la
Bible, je lui répondais du tac au tac. [Frère Branham fait claquer ses doigts.–N.D.E.] Je savais
de quoi je parlais. » Il a dit : « Un soir, je montais à l’église. Il y avait eu beaucoup de conflits
dans notre église. »Il a dit : « Il y avait de petits clans montés les uns contre les autres; vous
savez comment cela surgit. »
J’ai dit : « Oui, certainement. »
L’EGLISE ET SA CONDITION JEFFERSONVILLE IN USA Dim 05.08.56
106. Il a dit : « Sur ma route, en gravissant la colline, j’ai réalisé soudain que quelqu’un me
suivait. » Et il a dit : « J’ai pensé attendre un petit peu pour permettre à cette personne de me
rejoindre, afin que je lui parle un peu, en montant le chemin. » Vous savez, c’est une bonne
chose, vous attendez juste un petit moment. Et il a dit : « Comme je gravissais la colline, a-t-il
dit, arrivé là-haut, je vis un homme qui montait ; il portait sur le dos un baluchon qui était
beaucoup plus gros que lui. Cet homme était à bout de souffle, il haletait, il souffrait, il
avançait à petits pas, essayant de monter. Et je lui ai dit : ‘Mon ami, puis-je vous aider à
porter cette charge jusque sur la colline ?’ Il répondit : ‘Non, c’est à moi de la porter.’ J’ai
simplement regardé. Alors, dit-il, je sus que c’était une vision. Il avait des cicatrices aux
mains. Alors, je suis tombé par terre et j’ai dit : ‘Seigneur, portes-Tu les péchés du monde
dans ce sac ?’ Il répondit : ‘Non, seulement les tiens. J’essaye simplement de t’aider à gravir la
colline afin que tu puisses y arriver.’ »
L’EGLISE ET SA CONDITION JEFFERSONVILLE IN USA Dim 05.08.56
107. Il en est ainsi. Si nous regardions simplement autour de nous, nous découvririons qu’Il
est en train de porter les nôtres. Cela ne fait-il pas que vous vous sentiez petit ? Notre coeur
méchant et cruel, juste parce que nous pouvons le faire !
HEBREUX CHAPITRE 2, 1 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 25.08.57M
82. Il y a quelque temps, environ quarante ans, quand les religions du monde se réunirent
et que diverses personnes se levèrent et prirent la Parole, les mahométans parlèrent pour la
religion de Mahomet, les Jaïns parlèrent pour les Jaïns, et les bouddhistes pour Bouddha. Et
le petit docteur... Je ne me rappelle pas son nom de famille pour le moment. Je connaissais
bien son nom, mais je l’ai oublié. Il parla au nom du Christianisme, et il raconta l’histoire de
Lady Maccabee d’Oklahoma en Amérique. Elle était si intraitable et si vile que même lorsque
les gens sont allés pour la tuer, ils ne voulaient même pas poser leurs mains sur elle,
tellement elle était vulgaire et vile. Ils l’ont fait arrêter parce qu’elle était accusée d’avoir
fumé un cigare, d’avoir conduit une diligence et d’avoir transgressé les lois, les lois
d’Oklahoma, quand elle circulait dans la rue, conduisant une diligence à quatre chevaux. Et
elle était si vile et si souillée que la société ne voulait même pas s’approcher de l’endroit où
elle était, cela au point que quand les bourreaux sont allés pour l’exécuter, ils ne voulaient
même pas la pendre. Ils ont juste versé du goudron et des plumes sur elle pour la tuer. Et ce
petit prédicateur raconta son histoire d’une façon telle que les gens étaient assis tout au bord
de leur siège, pour en entendre la suite. Et quand il en arriva à démontrer cet état si vil, si
souillé et si vulgaire que même la–la police ne voulait rien avoir à faire avec elle... elle était si
vulgaire que le diable même en enfer rejetterait presque une telle personne, à entendre son
histoire! Il dit ensuite: «Messieurs, de toutes les religions du monde, est-ce que votre religion
a quelque chose qui pourrait nettoyer les mains de Lady Maccabee?»
HEBREUX CHAPITRE 2, 1 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 25.08.57M
83. Tout le monde resta calme. Alors il frappa ses mains, il sauta en l’air et il dit : «Gloire à
Dieu! Le Sang de Jésus-Christ ne nettoiera pas seulement ses mains, mais Il nettoiera son
coeur et fera d’elle une nouvelle créature.»
Ecoutez :
Grâce étonnante, ô quel doux son,
Qui sauva un vil comme moi;
Jadis perdu, maintenant je suis sauvé,
J’étais aveugle mais maintenant je vois.
C’est la grâce qui a appris la crainte à mon coeur
C’est la grâce qui a ôté mes peurs;
Combien précieuse parut cette grâce au début de ma foi!
L’AMOUR DIVIN JEFFERSONVILLE IN USA Dim 26.08.56
34. Tout récemment, je venais de Dallas, au Texas. Je voyageais en avion, en rentrant chez
moi. Nous avons eu une série de réunions là-bas, et en revenant, nous sommes entrés dans
une tempête, et l’avion était forcé d’atterrir à Memphis. Et pendant que j’étais à Memphis,
on m’a logé là à cet hôtel Peabody, oh ! un hôtel très luxueux. J’avais plutôt le sentiment que
je n’étais pas à ma place. J’étais là-haut ce soir-là, et j’y suis resté toute la nuit.
On m’a appelé le lendemain matin, et on m’a dit : « Révérend Branham ? »
J’ai dit : « Oui. »
On m’a dit : « La limousine va donc vous prendre à sept heures pile. L’avion décolle à sept
heures trente. »
J’ai dit : « Merci, monsieur. » J’ai raccroché. Je me suis levé, j’ai prié, et je me suis dit : « Eh
bien, j’ai peut-être le temps de courir jusqu’à la poste. J’ai sur moi du courrier, des réponses
que j’ai rédigées hier soir. » Je me suis levé et j’ai commencé à descendre la rue, je
descendais la rue en chantant :Il y a presque partout des gens dont les coeurs sont tout
enflammésPar le feu qui est descendu à la Pentecôte, Qui les a purifiés et les a nettoyés ;Oh !
il brûle maintenant dans mon coeur, Toute la gloire à Son Nom !Je suis si heureux de dire que
je suis l’un d’entre eux.
L’AMOUR DIVIN JEFFERSONVILLE IN USA Dim 26.08.56
35. Descendant la rue avec un tas de lettres en main, je me dirigeais vers la poste quand
j’ai senti quelque chose d’étrange. Vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas ? C’est juste
comme si tout se calmait… Oh ! quelle sensation ! Je me suis dit : « Oh ! la la ! n’est-ce pas si
merveilleux ? »
Eh bien, Doc autrefois chantait un petit cantique : « Laisse-moi marcher avec la Colombe
céleste, remplis chaque jour mon chemin d’amour. » Je pensais à cela, et cet amour a
commencé à se déverser, davantage d’amour. Nous avons l’amour, mais nous avons besoin
d’un amour en abondance, d’un amour qui déborde. Vous direz : « Eh bien, j’aime les
pécheurs. » Mais, oh ! frère, soeur, les aimez-vous suffisamment pour aller leur parler et les
attirer à Christ ? Voyez-vous ce que je veux dire ?
Vous direz : « J’aime le Seigneur, mais pouvez-vous Lui faire confiance même si le médecin
secoue la tête [en signe de désespoir] ? Pouvez-vous Lui faire confiance lorsque toute autre
chose est perdue ? Vous avez besoin d’un baptême d’amour qui déborde, de l’amour divin.
Lorsque vous avez l’impression qu’après avoir prié, votre prière n’a pas été exaucée,
L’aimerez-vous toujours ? Y a-t-il quelque chose qui continue de vous épurer ? C’est la grâce
souveraine de Dieu qui doit intervenir. Il le faut. C’est la nature de Dieu. Dieu ne peut que
faire cela.

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