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LES TÉMOIGNAGES SUR WMB

IL Y A ICI UN HOMME QUI PEUT ALLUMER LA LUMIERE


JEFFERSONVILLE IN USA Dim 29.12.63M
28. Nous sommes très heureux d’avoir aussi frère Dauchassis parmi nous ici ce matin.
Pendant que vous cherchez… Vous savez, l’autre jour, à Shreveport, on ne pensait pas qu’il
survivrait; mais il a réellement la foi. Absolument! Il s’en sort carrément, le Seigneur le bénit.
Je ne… Voyez, frère Dauch a quatre-vingt-onze ans et il a eu une défaillance totale du coeur
et, en plus, une crise cardiaque. Et même le médecin a dit qu’il ne voyait pas comment il
pourrait survivre. Mais frère Dauch est en vie et le médecin est mort. Voyez, juste… Voyez-
vous? Voilà frère Dauch assis là.
29. Et alors un–un homme de quatre-vingt-onze ans qui a eu une défaillance du coeur et
une crise cardiaque... Et tandis que je montais là-bas, je l’ai vu qui descendait la rue à pied. Je
l’ai vu dans l’église. Et je suis allé et je lui ai dit alors qu’il était sous une tente à oxygène :
«Au Nom du Seigneur, je vous serrerai la main à la… je vous reverrai à l’église et je vous
serrerai la main dans la rue…» Et à la prochaine réunion, il était là, assis juste là derrière dans
l’église. Et je suis allé à Louisville (où nous prenons un repas au Blue Boar) pour manger et
juste quand je suis descendu de ma voiture et que je me suis mis à remonter la rue, voilà que
frère Dauch la descendait. C’était là, tout aussi parfait. Et combien le Seigneur l’a béni !

L’ANGE TRANSPORTE L’ENFANT D’UNE VILLE VERS VILLE

NOTRE ESPOIR REPOSE EN DIEU NEW YORK NY USA Sam 29.09.51


33. Juste un instant, je vais commencer la ligne de prière. Hier soir, quand nous sommes
arrivés à la maison, nous avons reçu un message très triste. Ma femme est assise ici devant
moi avec l’enfant. Nous avons une petite enfant d’environ six mois à la maison, et vous ne
savez combien c’est pénible de quitter cette petite enfant là. Elle a eu une petite nodosité à la
tête ; elle l’a déposée sur moi comme ceci l’autre jour, et j’ai simplement eu l’impression que
le fin fond de mon coeur me quittait. Je L’aime de tout mon coeur.

Hier soir, nous avons reçu une lettre d’une... de la secrétaire, qui disait : « L’enfant est
malade. » Evidemment, la maman, vous savez comment elle s’est sentie. Elle s’est mise
pratiquement dans tous ses états. Et–et l’enfant reste avec la grand-mère qui habite à une
certaine distance du téléphone. J’ai dit : « Eh bien, il est presque minuit ; n’appelez pas ce
soir, appelez le matin. »

34. Nous nous sommes endormis là juste quelques instants. Je n’arrivais pas à dormir. J’ai
entendu ma femme, son souffle devenir alors lent, normal. Alors, je me suis doucement levé,
je suis allé dans l’autre pièce et je me suis agenouillé. Je me suis mis à prier. Vers trois heures
ce matin, j’ai regardé dans la pièce, j’ai vu Quelqu’un venir vers moi portant mon enfant. Elle
étouffait, son petit visage était devenu rouge ; ses petits yeux étaient fixes. Elle étouffait, elle
n’arrivait pas respirer, et tout le monde était paniqué. On m’a tendu l’enfant, je l’ai placée
dans mes bras et j’ai dit : « Ô Dieu, ne laisse pas mon enfant mourir. Epargne sa vie, s’Il Te
plaît, Seigneur. »

Vers ce moment-là, je l’ai entendue reprendre le souffle. Elle m’a regardé, et elle était alors
bien portante. Je l’ai remise, et l’Ange du Seigneur a parlé dans la pièce, disant : « Le matin,
tu recevras des nouvelles que ton enfant a été malade, que tout va bien maintenant. » J’ai
attendu juste un peu, je suis allé dormir. Je me suis réveillé le matin vers neuf heures ; ma
femme est entrée dans une pièce et elle a dit : « Je vais aller téléphoner le… Je vais téléphoner
maintenant pour voir ce qu’il en est de l’enfant. »

J’ai dit : « Chérie, tu n’auras pas à téléphoner, mais voici ce que sera le message que tu vas
recevoir, quand cette dame ira se renseigner, la dame va dire : ‘L’enfant a été terriblement
malade, mais tout va bien maintenant ; Dieu l’a guérie hier soir.’ »

35. Et alors, elle a téléphoné. Mon petit garçon, Billy Paul, eux tous se sont rassemblés au
téléphone. J’ai dit : « Observe ces paroles, mot à mot. » Elle a donc téléphoné, elle a eu la
dame, et elle a dit : « Traverse le champ, demande à la grand-mère des nouvelles de l’enfant.
»

Elle a dit : « L’enfant a été terriblement malade, mais tout va bien ce matin. »

Exactement mot à mot. Ô amis, cela prendrait des heures à révéler ; je ne peux pas le faire ;
c’est illimité, ce qu’Il fait. Qu’est-ce ? Cela montre que Jésus-Christ est le même hier,
aujourd’hui et éternellement. Celui qui était autrefois avec Elie, Celui qui était sur le Fils de
Dieu, Jésus-Christ, Celui qui est dans l’église ce soir, le Saint-Esprit connaît le secret de
chaque cœur, et Il connaît exactement ce qui arrivera. Croyez-vous cela ? Inclinons la tête.

JE SUIS PARTI POUR UNE HEURE ET DEMIE OU DEUX HEURES. JE RESTE


ASSIS, TOUT À FAIT IMMOBILE, SANS AUCUN SOUFFLE

IL EN SERA COMME IL M’A ÉTÉ DIT CLEVELAND OH USA Ven 18.08.50


24. Maintenant, venons-en vite à une vision. (Je vous avais dit que je vous la raconterais
ce soir. Je vais juste prendre environ quinze minutes de plus, si possible.) Cela est arrivé il y a
deux ans. J’étais dans ma chambre, juste après une grande réunion. J’ai vu une région
montagneuse, rocheuse, tout aussi naturelle.

Ce n’est pas ce que vous avez eu au… Eh bien, ce n’est pas un songe, ami. Un songe est un
songe. Une vision est quelque chose que vous regardez, comme je vous vois maintenant
même, ou comme vous me voyez.

Parfois, je me tiens juste comme ceci ; je peux être assis dans ma chambre, assis dans ma
chambre en train de parler à ma famille, puis je m’éloigne complètement, je suis parti pour
une heure et demie ou deux heures. Je reste assis, tout à fait immobile, sans aucun souffle.
C’est ce que la médecine n’arrive pas à comprendre. Quand il n’y a même aucun souffle.
Vous pouvez placer un… un appareil aussi efficace que vous aimeriez placer à mon nez,
aucun souffle, me dit-on. Mais ma respiration, mon cœur bat tout bonnement, mais ils ne
comprennent pas cela.

Je suis parti dans une autre région, un autre monde… Et une fois revenu à vous, vous avez
exactement ce que Dieu avait dit. Et cela n’a jamais failli. Cela ne peut pas faillir ; c’est Dieu.

UN DRÔLE DE PERSONNAGE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 14.06.64S

93. Lors d’une partie de chasse là… Le jeune homme avait perdu ses chevaux des mois
auparavant, on n’arrivait pas à les retrouver. Et le guide le réprimandait, disant : « Oscar, tu
savais mieux faire que de laisser ces chevaux comme cela. Les ours, il y a beaucoup de
grizzlis, doivent les avoir dévorés en ce temps-ci. »
Et il a continué à s’accrocher à moi, et un soir il a dit–il a dit : « Puis-je vous demander
quelque chose ? »
J’ai dit : « Oui. » Il a dit : « Frère Branham, priez Dieu. Que Dieu me restitue mes chevaux.»
J’ai dit : « Bud disait que l’ours les a dévorés. »
Il a dit : « Frère Branham, demandez à Dieu. Que Dieu restitue à Oscar ses chevaux. »
J’ai demandé : « Crois-tu cela, Oscar ? »
Il a dit : « Je le crois. Dieu a rétabli ma mère. Dieu vous a indiqué où se trouvait l’ours, où se
trouvait le gibier. Ce Dieu-là qui sait où se trouve le gibier, sait où se trouvent mes chevaux. »
Voyez ?
94. Il y a un an pendant qu’on était là avec Fred Sothmann, qui est ici ce soir, et Billy
Paul, mon fils, le Saint-Esprit est descendu. J’ai dit : « Oscar, tu retrouveras tes chevaux. Ils
seront sur la neige. » La lettre qu’il m’avait écrite la semaine passée se trouve là, et je l’ai
reçue le vendredi, de retour ici. Elle est là même dans mon classeur maintenant : « Frère
Branham, Oscar retrouve ses chevaux sur la neige. »

95. Comment ont-ils vécu ? Personne ne le sait. Là, ce jeune homme… En cette période de
l’année, en juin, il y a beaucoup de neige là, il y a toujours 20 ou 30 pieds [6 ou 9 m] de neige
là. Comment ont-ils pu rester là pendant l’hiver dans ce canyon ? Oscar peut aller auprès
d’eux en raquettes de neige, mais évidemment, il ne peut pas faire porter des raquettes de
neige à son cheval. Mais il les a retrouvés, selon la Parole du Seigneur. Cela peut paraître
cinglé. Croyez-le juste une fois. Cela dépend de vos filières.
UN DROLE DE PERSONNAGE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 14.06.64S
89. J’ai reçu une lettre qui est arrivée avant-hier, et elle est là dans le classeur. L’automne
dernier, pendant qu’on était dans une partie de chasse… ou plutôt le printemps dernier, il y a
de cela un an, un jeune garçon indien du nom d’Oscar, avec qui nous avons chassé là, sur
l’autoroute, c’est là que l’Ange du Seigneur (je vous en avais parlé ici) a fait venir ce caribou,
et–et ce grizzly argenté. Vous vous en souvenez tous. Alors, ce jeune garçon, quand je suis
entré dans… Il est entré dans la tente, le printemps dernier. Et quand Bud m’a demandé de
solliciter une bénédiction (il a enlevé ses gants, il chevauchait.), il avait porté ces gants et il
était sur le point de sortir. C’était un catholique. Il n’avait rien à faire avec la chose.

UN DROLE DE PERSONNAGE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 14.06.64S


90. L’automne dernier, quand cela a été possible pour lui, pendant qu’il se tenait à mes
côtés… Alors que sa mère était là derrière, se mourant d’une crise cardiaque, il a dit : « Ne
voudriez-vous pas revenir prier pour elle ? » Je suis allé derrière, dans une petite hutte des
Indiens là. Et là, ils s’étaient tous assemblés autour de cette mère qui se mourait, elle ne
parlait pas un seul mot anglais. Alors, le Saint-Esprit est descendu et a dit à cette mère, par un
interprète, sa fille, ce qui était arrivé, ce qu’il y avait. Il l’a même appelée par son nom et Il lui
a dit ce qu’elle était, de quelle tribu elle venait, et comment cela arriverait. Et la maman a été
instantanément guérie.

UN DROLE DE PERSONNAGE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 14.06.64S


91. Et le lendemain matin, quand je suis rentré les voir, alors que je sortais à cheval pour
effectuer 40 miles [64 km] à la recherche des moutons, ils étaient tous assis là, elle était tout...
Elle était montée sur un cheval pour aller faire sécher la viande du caribou. Et j’ai dit : « Hier
soir, pendant que je priais, j’ai dit : ‘Notre Père qui es aux cieux.’ » J’ai dit : « Louise, je–je…
C’était une prière catholique. Vous avez tous commencé, et alors, évidemment, je n’ai pas
continué avec vous. » Et j’ai dit : « Maintenant, je vais simplement rendre grâces à Dieu.
Nous ne récitons pas des prières ; nous prions. »
UN ABSOLU PHOENIX AZ USA Dim 27.01.63
17. Ainsi, sa fille et ses petits-enfants devinrent des chanteurs très très célèbres. Et ils–ils
faisaient partie des Frères Unis. La fille a épousé un prédicateur, ou plutôt le fils d’un
prédicateur des Frères Unis. Et ce garçon, un gars très bien, était un opérateur au chantier
naval. Et cette jeune fille essayait de vivre pour Christ. La pression devint trop grande sur elle.
C’étaient des enfants qui étaient vraiment des génies. L’une d’elles, à dix-sept ans, enseignait
la musique. Elle s’était spécialisée et c’était une fille très douée. Et ainsi, cette petite n’a pas
pu supporter la pression des taquineries. On disait d’elle qu’elle était vieux jeu et tout. Et au
bout d’un moment, l’enfant a fait une dépression nerveuse.
On–on l’a amenée à ce qu’on appelle Notre Dame de la Paix, un hôpital psychiatrique
catholique de Louisville, pour un traitement de choc, et on lui a donné… Bien sûr, c’est tenter
le coup. S’il y a un médecin ici, j’espère que je ne vous offense pas en disant cela ; mais, des
fois, ça rend les gens plus malades qu’avant. Et ainsi, on lui a donné un traitement de choc, et
cela–cela a rendu l’enfant plus malade. Ils l’ont donc renvoyée à la maison. Ils devaient la
ramener quelques semaines plus tard, et elle était dans un état vraiment terrible à ce moment-
là. Ils l’ont donc gardée, et ils ont essayé de la soigner là pendant un bon moment, et sa
condition devint pire.

UN ABSOLU PHOENIX AZ USA Dim 27.01.63


18. Et ainsi, deux jours après, ils allaient l’amener à Madison. C’est l’asile des fous où ils
sont…on les met désormais dans une cellule matelassée. Alors la mère a dit : « Nous ne
sommes pas vaincus. » Et elle a dit : « Nous allons voir si nous pouvons faire venir frère
Branham pour qu’il prie pour elle, s’il est chez lui. »
Ils ont donc téléphoné et il s’est fait que je me trouvais à la maison. Il est donc venu me voir,
il a dit : « Frère Branham, voudriez-vous venir prier pour elle ? »
J’ai dit : « Certainement. »
Il a donc téléphoné au médecin. Le médecin a dit : « Qui est-ce qui vient ? » Il lui a donc dit
que c’était moi, et il a dit : « Eh bien, je vais vous dire quoi. Attendez. » Il a dit : « Nous
allons–nous allons… Je… Rappelez-moi cet après-midi. »
Eh bien, il a téléphoné, et ça a continué jusqu’à une heure du matin. Et son épouse ne cessait
de dire : « Il n’est pas là. » Le lendemain matin, il a téléphoné. « Il n’est pas là. » Et le
troisième jour, on allait transférer l’enfant. Ainsi… Je–je déteste dire ceci, mais j’ai un moyen
par lequel je connais les choses ; le médecin évitait tout simplement le problème. Voyez-
vous ? Ainsi donc, le père était très nerveux, et moi, je devais quitter–quitter le lendemain. Ce
jour-là était le seul qui nous restait.
Alors la mère, le père ainsi que les deux autres soeurs sont venus en pleurant, ils ont dit : « Il–
il s’esquive. »
J’ai dit : « C’est sûr. Mais je vais vous dire quoi. Ne dites pas que je suis un prédicateur.
Laissez-moi y aller comme un ami qui vous accompagne tout simplement. »
UN ABSOLU PHOENIX AZ USA Dim 27.01.63
19. Nous sommes donc allés à l’asile. Vous savez, on referme les portes derrière vous, on
vous fait monter dans l’ascenseur, et puis on ferme l’ascenseur. Ainsi… Et cette soeur nous
faisait monter, et nous sommes arrivés dans la chambre, et nous nous sommes assis sur le
bord du lit. Et là, cette très jolie jeune fille d’environ seize ans était assise là, complètement
partie. Vous… Elle avait le regard fixe. Vous pouviez agiter les mains, et elle ne le remarquait
même pas.
Et je lui ai dit : « Ruthie, te souviens-tu de moi ? » J’ai dit : « Je–je–je suis frère Branham. »
J’ai dit : « Tu avais l’habitude de m’appeler Budder Bill. » J’ai dit : « Je–je t’ai présentée à
Christ alors que tu étais au berceau. Ne te souviens-tu pas de moi ? » Elle se tenait tout
simplement là et regardait. Oh ! une jolie fille… Et les trois formaient un trio, trois soeurs. Et
j’ai essayé d’attirer son attention, et je–je n’y suis pas arrivé. Son regard était fixe. Elle était
simplement partie.

UN ABSOLU PHOENIX AZ USA Dim 27.01.63


20. Et j’étais assis là. Et je… En ces endroits-là, les lits étaient dépourvus de colonnes,
vous savez; en effet, c’était pour empêcher qu’on se fasse mal. Et j’étais assis de l’autre côté
du pied du lit ; la mère était assise de l’autre côté du petit lit, de ce petit lit pour une personne
que contenait cette petite chambre. Et la fille était assise sur un petit, comme un petit siège
encastré dans le mur. Et la soeur était debout, et le père était debout à côté de la fille. Et la
mère se tenait là, les larmes coulant sur ses joues.
Elle a dit : « Tu vois, Billy ? Que–que pouvons-nous faire ? »
J’ai dit : « Eh bien, écoute, Norma. Christ est toujours Christ. » Voyez-vous ?
Elle a dit : « C’était notre dernière chance. » Elle a dit : « Si on l’amène là-bas, tu sais ce qui
va arriver. » Elle a dit : « Je pense que nous ne la reverrons plus jamais. Et–et si nous la
revoyons, tu sais comment ils… le traitement qu’ils reçoivent là-bas. »
Et j’ai dit : « Eh bien, Norma, ne soyons pas agités. » J’ai dit : « Attendons juste–juste
quelques minutes. » Et cela…Et à peine avais-je dit cela que la fille se tenait là devant moi
dans une vision, normale, en train de sourire. Et elle regardait en direction d’un jeune homme.
Et j’ai regardé le jeune homme ; j’ai regardé en arrière. La vision m’a quitté. J’ai dit : «
Norma, a-t-elle un petit ami plutôt grand de taille et aux cheveux noirs ? »
« Oui. »
Et j’ai dit : « Ne fait-il pas quelque chose avec elle en rapport avec le chant ? »
Elle a dit : « Si, c’est exact. »
J’ai dit : « Ne t’inquiète pas. J’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Elle va s’en tirer. »
Norma a étendu ses mains et m’a saisi par le genou, elle a levé les yeux vers son mari et a dit :
« Chéri, ce n’est jamais faux. » Elle a dit : « Ce n’est jamais faux. »

UN ABSOLU PHOENIX AZ USA Dim 27.01.63


21. Il n’y eut pas le moindre changement chez la fille. J’ai dit : « Très bien, Norma. Tu
sais que je ne vous aurais donc pas dit cela si je n’avais pas vu cela, et Dieu ne peut pas
mentir. » Voyez-vous ? Je suis sorti de l’hôpital et je suis monté dans ma voiture. Ils sont
restés.
Et environ deux heures après, le téléphone sonna alors que je revenais de chez monsieur
Wood, en bas. Et c’était son père. C’était lui au téléphone. Il a dit: « Frère Branham, j’ai
quelque chose à vous dire. » Il a dit : « Il ne s’est pas passé vingt minutes après votre départ
qu’elle était revenue à elle, normale. Et elle a été examinée par toute l’équipe des médecins.
Nous la ramenons à la maison le matin. » Et maintenant… Voyez-vous ? Maintenant, elle
chante donc au tabernacle. Eh bien, il y a ici des hommes et des femmes venant de–venant de
là, de Jeffersonville, qui savent que c’est une histoire vraie. Si vous êtes ici cet après-midi,
levez la main. Combien connaissent cette histoire ? Oui. Voyez-vous, partout, des gens qui
savent que c’est vrai, que c’est absolument vrai.
Maintenant, qu’était-ce ? Cette petite dame s’est servie de cette vision comme un... comme
son absolu, sa référence finale. Voyez-vous, vous devez… Pour toute chose, il vous faut avoir
un point auquel vous pouvez vous attacher. Et moi, je me suis toujours servi de la Parole de
Dieu, parce que je ne connais pas un autre poteau d’attache qui soit aussi grand que ça ; en
effet, les cieux et la terre passeront, a dit Jésus, mais Ma Parole ne faillira jamais. » Quel
poteau d’attache !
APPELER JÉSUS SUR LA SCÈNE DENHAM SPRINGS LA USA Jeu 19.03.64
15. Je me rappelle un soir à Vandalia, dans l’Illinois. Je suis allé à la réunion, et je n’ai pas
fait plus de cinq minutes dans la réunion et il n’y a plus eu une personne faible sur le lieu,
nulle part. Les fauteuils roulants ont été poussés dehors et on les a empilés, les aveugles ont
vu, et les sourds et les muets ont parlé, et–et simplement cela, c’est... L’Esprit du Seigneur
était présent, et Il a simplement guéri tout le groupe. Eh bien, c’est alors que vous pouvez
faire quelque chose, quand le réveil est en cours.
Mais que ce feu de réveil s’éteigne, alors vous pouvez difficilement... On est toujours
chrétien, mais on ne connaît pas réveil en Esprit, cette grande atmosphère qui fait quelque
chose. C’est juste comme dans une forge chez un forgeron, vous devez chauffer le fer avant
de le battre sur l’enclume. Si vous ne le faites pas, vous ne le redresserez jamais. C’est ce
qu’il faut pour avoir un réveil, que tout le monde soit sous la chaleur du Saint-Esprit qui fait
descendre les puissances de Dieu dans un mouvement de réveil. Alors, il y a tout le temps des
réunions de prière jour et nuit, à chaque instant, partout. Eh bien, les gens ne voudraient
même pas quitter ce lieu.
TEMOIGNAGE CLEVELAND OH USA Mer 23.08.50
11. Eh bien, pendant que je parlais avec lui, tout d’un coup, Quelque Chose est
directement descendu sur moi, et je me suis rendu compte que j’étais dans une autre région de
la ville. Je–je savais. Je pouvais entendre monsieur Bowman parler, mais je–je savais que je
n’étais pas avec lui, que j’étais quelque part ailleurs.
Alors, j’ai regardé : Là, dans un coin, se trouvait une dame qui tenait deux petites jumelles, ou
plutôt une paire de petites jumelles. Et elles étaient… elles avaient des cheveux tressés dans le
dos. Elle les tenait en mains.
Alors, j’ai commencé à revenir à moi-même, et j’étais toujours en train de marcher avec les
prédicateurs. Deux ou trois d’entre eux étaient en train de marcher ensemble, avec la femme
de l’un des prédicateurs. Et alors, nous avons avancé de quelques petits pas. Et juste au
moment où je me mettais à lui parler de cela, Cela est encore descendu sur moi.

TEMOIGNAGE CLEVELAND OH USA Mer 23.08.50


12. J’étais en ce moment-là en train de marcher le long de la rue, mais roulant à bord d’un
véhicule, tout aussi naturel que si j’étais dans ma chambre et j’étais changé ici même. Voyez ?
Et j’ai vu trois jeunes filles portant une espèce de–de costume, comme si elles étaient… elles
avaient été à un mariage, ou quelque chose comme cela, marchant dans les rues dans cette
direction-ci. Je n’ai pas exactement su ce que c’était. Elles traversaient dans cette direction.
Et il a dit… Puis, je suis revenu à moi-même. J’ai annoncé aux frères ce qui allait arriver. Et
quand nous sommes entrés dans le véhicule et que nous avons démarré, nous étions censés
aller vers le sud sur une route à sens unique. Mais ce prédicateur, je suppose, a grandi ici, a
directement pris le sens inverse, il est allé dans le sens contraire de la rue.

TEMOIGNAGE CLEVELAND OH USA Mer 23.08.50


13. Et, oh ! la la ! il y avait là un gros policier monté sur un cheval, là, il a agi comme s’il
allait nous tailler en pièces. Il était… Oh ! la la ! Il débitait simplement tout. Alors, je me suis
posé des questions. Il nous a retenus quelques instants là, juste assez longtemps pour que les
trois jeunes filles en costume viennent passer à côté de nous.
J’ai dit–j’ai dit : « En voilà la raison, frère, ne les voyez-vous pas là ? »
Oh ! la la ! Eux tous se sont alors écriés : « Gloire au Seigneur ! »
Le policier a dit : « Allez-vous-en », sans–sans nous coller une contravention. Voyez, ça
arrive simplement ainsi, frères. Cela est infaillible, c’est parfait. Il n’y a rien d’imité. C’est
réel.

TEMOIGNAGE CLEVELAND OH USA Mer 23.08.50


14. Eh bien, ces choses arrivent plusieurs fois. Souvent, on entre dans une ville…
Souvent, dans une réunion, je me tiens ici et je vois l’une après l’autre. Là, c’est dans la
réunion. Je ne prends pas du temps. J’ai pris beaucoup de temps à parler d’une autre chose.
Sans doute qu’ils sont guéris. La bénédiction leur revient. Maintenant, je vois des fois, dans
des réunions, diverses personnes qui vont être guéries ; je vois différents désirs et tout
concernant les gens.
Eh bien, je vous assure… Eh bien, ce soir, dans la ligne de prière, Dieu va accorder une
grande bénédiction aussi certainement que n’importe quoi. Eh bien, si je–je ne vois pas cela
ici, ça sera dans la ligne de prière, car je sais que c’est pour ce soir. Et je… Voyez ?

TÉMOIGNAGE CLEVELAND OH USA Mer 23.08.50


15. Et, remarquez, on voit cela juste–juste en marchant le long de la rue. Souvent cela est
arrivé. Vous ne savez pas quand cela va arriver, ni ce qui va arriver. Vous êtes simplement
transformé. Et vous, évidemment, vous êtes simplement emporté quelque part ailleurs, et on
vous montre simplement ce qui va arriver. Ensuite, vous redescendez droit par terre. Et puis,
vous savez juste ce que…
Parfois, je suis assis dans une pièce. Je peux être simplement assis dans une chambre chez
moi, juste assis là, attendant. Et on dirait juste que Quelque Chose a simplement changé, et on
est quelque part ailleurs, on voit exactement ce qui va arriver, on voit comment cela se
déroule. Et alors après, on se retrouve dans sa chambre. Et puis, quand cela s’accomplit, on le
voit.
Il n’y a rien que je fais. Je ne fais que répéter un acte d’une représentation. Voyez ? Je ne fais
que répéter ce qu’Il m’a déjà dit de faire. Ça n’exige pas la foi. Il s’agit juste de répéter ce
qu’Il m’a dit de faire. Voyez ?
UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62
196. Je pense à cette petite femme mexicaine cette nuit-là là-bas à Mexico, qui avait ce petit
bébé mort. Vous avez entendu l’histoire ; c’était avec les Hommes d’Affaires. Je me tenais là
en train de prêcher, essayant… la deuxième soirée. Billy est venu vers moi, il a dit : « Papa,
j’ai plus de six cents huissiers qui se tiennent juste là. Ils n’arrivent pas à maîtriser une petite
femme. Son bébé est mort ce matin à neuf heures, une petite femme mexicaine… » C’était à
Mexico. Et il a dit… Il avait plu toute la journée, et les gens se tenaient juste là, par milliers,
s’appuyant les uns contre les autres, n’ayant point de place pour s’asseoir ; ils étaient debout.

UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62


197. Et le frère qui avait distribué les cartes était très lent. Je l’appelais « Mañana », au
Mexique cela veut dire demain. Il était toujours très en retard. Il est venu me chercher à neuf
heures. Et je suis arrivé là.
UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62
198. Et Billy a dit : « Cette femme a ce bébé mort là-bas, papa. Et je… Nous n’arrivons pas
à la contenir. » Et il a dit : « Mañana a déjà distribué toutes les cartes. » Il a dit : « Je–je ne
peux pas la faire entrer dans cette ligne de prière sans une carte de prière, cela poussera
certains parmi les autres… »

UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62


199. J’ai dit : « Bien… » J’ai dit : « Frère Moore… » Combien connaissent frère Jack
Moore ? Beaucoup d’entre vous ici. J’ai dit : « Frère Moore, allez prier pour ce bébé. Elle ne
me connaît pas de toute façon. » On me faisait descendre un mur à l’aide d’une échelle pour
parvenir à l’estrade. J’ai dit : « Elle ne me connaît pas », c’était là à la grande arène.

UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62


200. Frère Espinosa, le connaissez-vous ici à la côte ouest ? Frère Espinosa, quelqu’un
d’entre vous connaît-il frère Espinosa, le Mexicain ? Oui, certainement. Assurément. Il se
tenait juste là, interprétant pour moi.

UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62


201. Et j’ai commencé. J’ai dit : « Comme je disais : ‘La foi est une ferme assurance des
choses…’ » Et j’ai regardé, et juste devant moi se tenait ce petit bébé mexicain. Il n’avait pas
de dents. Il souriait. Et je me suis tourné, et j’ai vu frère Moore qui allait pour prier pour la–la
dame. Elle passait sous les jambes des huissiers, elle les dérangeait, elle leur passait par-
dessus les épaules avec ce bébé mort enveloppé dans une couverture. J’ai donc vu cela ; j’ai
dit : « Une minute, frère Moore, dites aux huissiers de s’écarter et de laisser monter la dame. »
Je ne savais pas que c’était le bébé en question ; j’ai simplement vu… J’ai posé ma main sur
la couverture trempée.

UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62


202. Elle est montée d’abord en courant, et elle a saisi l’un de ces chapelets, et elle s’est
mise à crier : « Padre (Père, vous savez). »
Et j’ai dit : « Ne fais pas ça. »

UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62


203. J’ai donc simplement prié pour le bébé ; j’ai dit : « Seigneur Jésus, j’ai eu une vision
d’un petit bébé. Je ne sais pas s’il s’agit de ce bébé. » J’ai dit : « Je pose mes mains sur cette
couverture trempée. » Et il s’est mis à gigoter et à crier. Il est revenu à la vie.

UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62


204. J’ai dit : « Frère Espinosa, vérifiez cela. Ne–ne dites pas cela jusqu’à ce que les
médecins auront signé la déclaration selon laquelle ce bébé était mort. »

UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62


205. Il a vérifié cela. Le bébé était mort ce matin-là à neuf heures ; et il était onze heures du
soir quand il est revenu à la vie. Puis les journaux sont apparus et tout.

UN SUPER SIGNE GRASS VALLEY CA USA Dim 08.07.62


206. Alors l’Eglise catholique m’a accordé une interview, et ils m’ont posé la question de
savoir si leurs saints pouvaient faire la même chose. J’ai dit : « S’ils sont vivants. »
Il a dit : « Eh bien, ils ne peuvent être des saints avant qu’ils soient morts. »
J’ai dit : « Eh bien, trouvez-moi cela dans les Ecritures. »
APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61
44. Maintenant, prenez le chapitre 4 du Livre de l’Apocalypse et arrêtez l’horloge.
[Un homme dit : «Frère Bill?»–N.D.E.] Oui? [«Puis-je parler?»] Oui, frère. [Le frère donne
un témoignage. Espace vide sur la bande–N.D.E.] Certainement, je crois cela. Absolument, je
crois cela.
Ecoutez, frère Welch Evans, je pense c’est lui qui est assis juste là derrière. Que je... Pendant
que nous allons dans Apocalypse 4.

APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61


45. Il n’y a pas longtemps, ici, vous en avez tous entendu parler, et vous avez lu dans les
journaux concernant cette bande de Louisville qui vole des voitures, et qui les amène très vite
quelque part dans le Kentucky. Et dans le Kentucky, il ne vous faut même pas avoir un titre
de propriété; on vous en fait un dans le Kentucky. Ainsi, simplement vous... L’unique chose
que vous devez faire, c’est de l’amener là-bas et de la vendre. Ils prennent donc ces voitures et
ils les font entrer là, ils les font repeindre, les font sortir et les vendent. Et tout ce qu’il vous
faut avoir c’est votre adresse, et vous–et on va vous établir un titre de propriété. Ainsi, ils
retirent tout simplement la voiture de la circulation et la font disparaître très rapidement, et ils
l’amènent quelque part dans un atelier, ils changent complètement le tout (Voyez?), et–ils font
repeindre cela et tout, ils font sortir la voiture et la vendent. On en fait un trafic, qui couvre
spécialement l’ensemble des Etats-Unis, et la grande–la grande partie de ce trafic s’effectue
dans le Kentucky. J’ai lu ici un article dans le journal à ce sujet, il n’y a pas longtemps.

APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61


46. Eh bien, le précieux frère Evans, un frère qui a un gros et bon coeur, ainsi que sa
famille, ils font tous les dimanches le trajet en voiture depuis Macon, en Géorgie, jusqu’ici
pour entendre l’Evangile. Et, oh, quels amis loyaux, et quels vrais amis. Ensuite, il va là à la
cafétéria Miller où...

APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61


47. Je ne fais pas de la publicité pour «la cafétéria» Miller, mais je pense vraiment qu’ils
ont la meilleure nourriture du Kentucky : en tout cas de Louisville, dans le Kentucky. Pour
autant que... Bon, je ne parle pas de vos foyers respectifs où j’ai mangé, eh bien, je parle de…
vous savez, de l’extérieur. Moi aussi je mange là. Je peux nourrir ma famille là à meilleur
marché que je ne le ferais chez moi. C’est vrai.

APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61


48. Ainsi donc, je m’y suis rendu. Et frère Evans s’y est rendu aussi, et il s’est procuré à
manger, et il avait parqué sa voiture à l’extérieur. Lorsqu’il est sorti, (et tous ses habits, et
ceux des membres de sa famille, donc de tout le monde) il n’a trouvé ni voiture, ni rien. Tout
était parti.

APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61


49. Eh bien, le pauvre ami, frère Evans est un homme comme chacun de nous, il a une
petite affaire là, et il travaille sur les voitures, il achète des voitures accidentées et les répare.
C’est un homme pauvre, et il dépense son argent pour venir ici pour–parce qu’il croit dans ce
type d’Evangile. Je prie que Dieu leur envoie un messager quelque part là pour les aider là
dans cette région.

APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61


50. Eh bien, frère Evans est venu, ainsi il ne savait que faire. Il a prévenu la police, mais
celle-ci n’a pas pu la retrouver. Ainsi, il est venu chez moi; lui, frère Fred et les autres, nous
nous sommes assis dans une pièce, et nous en avons parlé. J’ai dit... Eh bien, c’est ainsi que
nous procédons; nous nous mettons dans une pièce, nous cherchons à savoir ce qui se passe,
et ensuite nous allons auprès de Dieu. Ainsi, lorsque nous avons demandé au Seigneur de
ramener cet homme qui avait la voiture, de lui faire faire demi-tour et de le ramener, quel que
soit le lieu où il était...
Généralement, ils amènent ces voitures vers Bowling Green ou ailleurs, ils le font sortir de
cette zone dangereuse, ici, vous voyez, pour pouvoir... jusqu’à ce qu’ils les aient fait repeindre
et qu’on les ait arrangées. C’était une belle voiture, je pense que c’était un break. C’était ça,
frère Evans? C’était un–un break.
Peu importe ce qui est arrivé. Nous nous sommes mis à genoux et nous avons prié. Et le
Seigneur nous a témoigné que tout était parfaitement en ordre, tout était bien. Ainsi donc, la
puissance du Seigneur est descendue parmi nous. Frère Evans est sorti et il s’est mis en route,
il a été conduit à aller dans une certaine direction.

APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61


51. Il est directement revenu ici à Jeffersonville. La voiture avait été volée à Louisville, et
voilà, sa voiture était garée là avec juste assez d’essence pour qu’elle soit ramenée de là; il
l’avait amenée jusque tout près de Bowling Green et a fait demi-tour. Ils sont sortis de la
voiture, l’ont garée, ils ont laissé le contact à l’intérieur, ils s’en sont tout simplement éloignés
et l’ont laissée là, ici même à Jeffersonville où il pouvait la retrouver : non pas à Louisville,
juste ici à Jeff., ils l’ont ramenée de là jusqu’ici.

APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61


52. Vous savez, le Seigneur peut amener les oiseaux à Lui obéir. Il peut amener les
hommes à Lui obéir. Il peut amener Son ennemi à Lui obéir. Il peut... Oui oui. Il est Dieu. Sa
voiture était bien là intacte, seulement le réservoir d’essence était presque à moitié vide, à
cause de ce que cet homme avait consommé pour rouler jusque tout près de Bowling Green.
Et le Saint-Esprit a dû dire : «Fais demi-tour. Retourne là-bas et ramène cette voiture à
Jeffersonville. Laisse-la juste ici dans la rue, et gare-la juste ici, parce que Je vais l’envoyer
juste dans ces parages, et Je le laisserai passer pour qu’il la retrouve par ici.» Est-ce vrai, frère
Welch? C’est vrai.

APOCALYPSE CHAPITRE 4, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Dim 08.01.61


53. Il est Dieu. Il exauce la prière, frère Roy. Juste, Il... Voilà frère Slaughter; c’était
exactement la même chose. Il a guéri votre petit chiot. Et je sais qu’Il guérit; Il exauce la
prière; Il accomplit toujours des miracles; Il est toujours Dieu. Il a toujours été Dieu; Il sera
toujours Dieu.
Il–Il est Dieu sur le toit, (Qui est ce frère qui chante ici à l’église?)
Dieu à la cuisine, Dieu à la ferme, Dieu dans l’auto, Il est Dieu partout,
Il est Dieu. De tout en tout, Dieu.
Oh, comme c’est merveilleux! Nous pourrions nous mettre à prêcher au bout de quelques
temps et ne jamais aborder cette leçon. Très bien, inclinons la tête juste un instant pour la
prière.
Bienveillant Père céleste, nous aimons tellement Ta Sainte Parole que nos coeurs brûlent tout
simplement au-dedans de nous, quand nous savons que Ton Esprit descend au milieu de nous
et nous parle là, et nos coeurs s’élèvent pour saisir Cela. Quant à nous, nous nous sentons
vraiment bien à cause de Cela, Seigneur.
LA COMMUNION PAR LA RÉDEMPTION JEFFERSONVILLE IN USA Dim 03.04.55

13. Parmi nous, chez les Hommes d’Affaires Chrétiens, il y a quelques jours, à Los Angeles, où
aussi ils... Dieu oeuvre de façon si merveilleuse parmi les chrétiens. Un petit frère que nous
connaissons tous très bien, ou qui est un des nôtres ici, frère Shakarian, un frère vraiment
merveilleux, le Seigneur l’a utilisé pour une invention. Simplement pour vous montrer comment Dieu
révèle cela. C’est un petit machin qu’il porte sur son ventre comme ceci, qu’il tient comme ceci, et
qui Lui permet de détecter du pétrole. Il a découvert un puits jaillissant de pétrole au Colorado, pour
lequel il faut des installations de vingt-cinq millions de dollars, je crois, rien que pour un seul puits
jaillissant. Il utilise tout ce qu’il gagne pour envoyer des missionnaires à l’étranger. Amen.

C’est ce que frère Fandler est en train de faire avec son invention. Cela rapportera des millions de
dollars par an.

Et en plus de cela, il a juste… oh! ce frère a inventé un appareil pour prélever le sang, alors qu’on
avait seulement la possibilité de le conserver très longtemps.

Eh bien, ce sont des hommes remplis du Saint-Esprit. Savez-vous quoi? À la Maison Blanche,
quarante pour cent de nos fonctionnaires sont pentecôtistes (amen!) ou sont de souche
pentecôtiste. Oh! la la! Les nations se disloquent; Israël se réveille.

Et ils peuvent... Ces frères ont découvert une formule qui déshydrate le sang pour le conserver
indéfiniment. Et ils viennent de construire un laboratoire d’un million de dollars. Oh, combien le
Seigneur est en train de bénir, partout!

Voyez-vous ce qui va arriver? Il se hâte d’envoyer maintenant ces messagers remplis du Saint-Esprit
dans toutes les parties du monde, car le temps est proche. Nous sommes là, pas pour distribuer des
traités, lesquels sont toujours très utiles, mais pour apporter le Message de la délivrance divine à ces
captifs qui sont assis dans les ténèbres. Nous L’aimons. Très bien.

Maintenant, sans tarder, nous allons passer à la lecture de l’Ecriture. Et rappelez-vous maintenant,
dimanche prochain, Dieu voulant… Souvenez-vous, ce soir, c’est le soir de la communion, je crois que
c’est ce qu’il a dit. Et mercredi soir, c’est la réunion de prière du milieu de la semaine. Tout le monde
est invité à toutes ces réunions. Dimanche prochain, au matin, ce sera de 5 h à 6 h, au lever du soleil,
et à 9 h ce sera le début de nos services pour… ou plutôt à 9 h 30' pour le service du dimanche matin.
Et ensuite suivront le service de guérison et le service de baptême. Maintenant, allons dans le vieux
Livre béni.

LA FOI EST UNE FERME ASSURANCE OAKLAND CA USA Sam 12.04.47


28. Et, à propos, un homme qui gisait à la morgue, déclaré mort par trois médecins au
moment où je suis entré là où il se trouvait, il conduit ce soir une locomotive en Pennsylvanie,
et les gens ne croient toujours pas. C’est vrai. C’est vrai. Ils ne veulent pas croire.
L’heure est arrivée où les yeux des gens sont tellement aveuglés par les soucis du monde et
d’autres soucis qu’ils ne voient même pas Dieu. Il est juste au milieu d’eux et ils passent à
côté, comme il en était au temps de Christ, ils ont manqué de Le reconnaître.
L’ANGE DE DIEU PHOENIX AZ USA Jeu 04.03.48

13. Les médecins savaient qu’il était mort. Je suis allé présenter mes condoléances à la
famille. Et quand je sortais de la maison, on dirait, la femme pleurait l’homme. Et alors que je
m’engageais à la porte, une main humaine, on dirait, m’a touché par le bras. Et je l’ai sentie
me saisir. Et alors que je cherchais à avancer, je n’ai pas pu bouger. Quand je me suis
retourné, la main m’a lâché.

Je me suis dirigé vers le chevet du lit et j’ai baissé le regard vers l’homme. Il y avait dans la
pièce la femme d’un prédicateur méthodiste et une autre soeur. Et je me suis mis à prier.
Quand je suis revenu à moi-même, j’étais étendu sur le corps de cet homme, l’homme mort ;
on avait placé un drap sur son visage pendant au moins une demi-heure. Mon visage était posé
juste contre le sien, et je lançais un appel dans le monde de l’esprit : « Frère Elie. » Son nom
était Elie. « Frère Elie. » Je lançais un appel dans ce monde à son esprit, ne sachant pas ce que
je faisais…

Quelques instants après, je me suis tenu tranquille, appelant. J’ai senti cette main d’homme
s’approcher de mes oreilles. Cet homme travaille ce soir sur le chemin de fer de Pennsylvanie,
il est en vie.

L’ANGE DE DIEU PHOENIX AZ USA Dim 02.11.47

7. Je me demande s’il y a ici des amis canadiens. Y a-t-il ici quelqu’un de Canada ?
Voudriez-vous simplement lever la main, quelqu’un du Canada ? Oui, j’en vois un. De quelle
partie du Canada, soeur ? Québec ? Winnipeg. Etiez-vous à la réunion de Winnipeg ? Vous
n’y étiez pas.

Il y a eu aussi à Winnipeg un homme avec un membre plus court que l’autre d’environ deux
ou trois pouces [5 ou 7,5 cm] ; il portait un soulier relevé, l’un de ces gros souliers à semelles
compensées. Et il s’était acheté une nouvelle paire de souliers qu’il avait amenés à la réunion
afin de les porter. Et Dieu a… ne décevra jamais quelqu’un qui a ce genre de foi. Il s’en est
allé, portant ses nouveaux souliers, il a laissé ses vieux souliers sur l’estrade. Il était rétabli,
guéri.
Il est merveilleux, n’est-ce pas ? Bon, nous n’avons pas beaucoup de temps chaque soir, mais
nous avons beaucoup de soirées pour… ou plutôt beaucoup d’après-midi pour prier pour les
malades. Et j’aimerais que vous, les bien-aimés, si vous le voulez, et vous tous qui connaissez
Jésus comme votre Sauveur, ou votre Guérisseur, j’aimerais que, cette semaine qui vient, vous
vous mettiez à prier de tout votre coeur.

LA FOI DE MARIE BEAUMONT TX USA Sam 21.01.61

18. Vous savez, je voudrais arrêter mon message ici un instant pour dire les choses les
plus glorieuses que j’aie jamais vues arriver quand quelque chose est oint. Oh! j’aurais aimé
rester toujours à cet endroit-là.

Vous avez lu dans le livre que l’autre soir, quand le maniaque est venu là sur l’estrade en
courant pour me tuer à–à… Où était… ? Portland. Vous étiez là, Frère Jack, ou c’était… Frère
Brown était là, quand ce maniaque s’est avancé en courant pour me tuer, et a menacé de le
faire. Un type costaud et énorme. Et au lieu de haïr cet homme, je l’ai aimé. Il n’aurait pas
voulu faire cela. C’était probablement un père de famille, comme moi, et il n’aurait pas voulu
faire cela. C’est le diable qui était sur lui qui faisait cela. Et quand je l’ai aimé, alors je n’ai
pas eu peur de lui. L’amour bannit la crainte. C’est quand vous arrivez à aimer…

Vous avez entendu parler de l’histoire de la pauvre mère opossum qui est venue à la maison.
L’amour, il faut l’amour pour vaincre. Le jour où le taureau voulait me tuer là dans les
champs… Il s’était carrément rué sur moi. Et ce n’est pas que je l’ai haï. J’étais garde-chasse.
J’ai cherché à prendre une arme ; je l’avais laissée dans ma voiture. J’en fus content par la
suite. Il fonça, et je me dis : «Eh bien, s’il me faut mourir, après tout, je ferais bien de mourir
en l’affrontant. Je ne peux pas l’éviter. Il n’y a rien… pour l’éviter.» Et juste à ce moment-là,
je me suis dit : «Eh bien, s’il faut m’en aller, j’aimerais le faire en le regardant.» Et alors, il
fonça vers moi, en effet, il m’aurait attrapé de toute façon. Et il avait une chaîne suspendue à
son nez. Il venait de tuer un homme de couleur quelques semaines auparavant. J’avais oublié
qu’il était dans ce champ. Je partais prier pour un malade. Il a plié le genou comme ceci et
s’est aplati au sol, il a mugi et il s’est avancé.

LA FOI DE MARIE BEAUMONT TX USA Sam 21.01.61

19. Et je ne sais pourquoi, mais quelque chose s’est produit. A tout moment qu’une
guérison ou quoi que ce soit d’autre se produit, quelque chose arrive. L’amour intervient,
cela… et cela ôte simplement du chemin toute autre chose. Oh! je vous le dis, frères, vous
pouvez posséder toute la théologie que vous voulez, mais moi, donnez-moi toujours l’amour.
«Depuis que j’ai vu par la foi, le flot de Tes blessures, l’amour rédempteur a été mon thème et
il le sera jusqu’à ma mort.» L’amour. Oh! si seulement je pouvais constamment vivre dans
cette atmosphère!

Et lorsque cela me frappa, je dis : «Créature de Dieu, je suis serviteur de Dieu, je suis en route
pour aller prier pour l’un de Ses enfants malades. Maintenant, je suis sur ton territoire, je suis
ici sur ton domaine. Je n’avais pas l’intention de te déranger. Mais au Nom de Jésus-Christ,
retourne te coucher. Je ne te dérangerai pas.» Et il sembla venir sur moi. Le voilà venir de
toutes ses forces. Je suis resté simplement calme, je n’avais pas plus peur que je n’en ai
maintenant. Et quand il arriva à environ trois pieds [91,44 cm–N.D.T.] de moi, il s’arrêta. Il
me regarda. Il paraissait vraiment épuisé, il pivota dans une direction et puis dans une autre,
fit un saut et se coucha. Je suis passé à deux pieds [60,96 cm–N.D.T.] de lui, je suis passé
juste à côté de lui. L’amour triomphe. Quelque chose arrive, quelque chose se produit.

LA FOI DE MARIE BEAUMONT TX USA Sam 21.01.61

20. L’autre soir, je vous parlais de ce qui est arrivé à Mexico, quand frère Jack était là. Un
vieux Mexicain était monté sur l’estrade. Il était totalement aveugle, le pauvre vieil homme,
son… Leur économie est très mal équilibrée, et les gens manquent à manger. Ce vieil homme
ne portait pas des chaussures, et il avait un vieux chapeau à la main, cousu avec des ficelles, et
il portait une vieille veste en lambeaux et un pantalon qui lui arrivait presqu’aux genoux, et
qui était tout couvert de poussière. Il a traversé l’estrade tenant à la main un petit chapelet, un
tas de petits grains. Et il s’est approché de moi, disant quelque chose. Quelqu’un le conduisait.
Et j’étais debout et je l’ai regardé. Je vous assure, frère, vous ne pourriez aider personne à
moins que vous ne compreniez ce qu’il ressent. C’est vrai. C’est la raison pour laquelle Dieu a
tant aimé le monde ; Il en a eu pitié.

Je l’ai donc regardé. Je me suis dit : «Le voilà. Il a probablement quelque part une ribambelle
de petits enfants travaillant pour gagner quelques pesos par jour. Et maintenant après tout
ceci, il se peut qu’un autre… n’a jamais pris un bon repas de sa vie. Et le voici dans cette
condition. Eh bien, il a été vraiment défavorisé par la nature, ou plutôt c’est le destin qui l’a
rendu aveugle.» Et il était…
J’ai mis mon pied à côté de lui. Je me suis dit : «Voici que je porte un beau costume et des
souliers, de beaux souliers ; je ne sais pas si lui a déjà porté des souliers… sa vie.» Je me suis
dit : «Ce n’est pas juste. J’ai une paire à la maison. J’ai un autre costume à la maison. Cet
homme a autant que moi droit à cela.» J’ai mis mon pied à côté du sien, et j’ai pensé lui
donner mes chaussures avant que je ne dise quoi que ce soit. Eh bien, son pied était beaucoup
plus grand, et, et ses épaules beaucoup plus larges ; ma veste ne pouvait pas lui convenir. Je
me suis dit : « O Dieu, que puis-je faire pour lui ?» Si mon vieux Papa avait vécu, il aurait à
peu près son âge.

LA FOI DE MARIE BEAUMONT TX USA Sam 21.01.61

21. Qu’était-ce ? Se mettre dans la peau. Tout à coup quelque chose est arrivé. J’ai
commencé à sentir cette présence de l’amour, de la compassion, à l’égard de ce vieil homme.
Il a brusquement tiré les petits grains et a commencé à crier : «Je vous salue, Marie, mère de
Dieu, bénissez…»

J’ai dit : «Ce n’est pas nécessaire. Mettez simplement cela de côté.»

Et il a dit à frère Espinosa : «Où est le guérisseur ? Je voudrais le contacter.»

Et, et j’ai dit : «Dites-lui simplement d’incliner la tête.» J’ai pris ce vieil ami dans mes mains.
Je me suis mis… J’ai dit : « Seigneur Jésus, ce pauvre vieil homme, je ne peux pas lui donner
mes chaussures, il ne saura pas les porter. Je ne sais pas lui donner ma veste. Mais, Seigneur
Dieu, Tu es le Seul qui peut l’aider maintenant. Tu peux lui donner quelque chose qui le
sauvera ; c’est la vue. C’est de cela qu’il a grand besoin.»

Et je n’avais pas dit plus que cela, que j’entendis quelqu’un crier : «Gloria a Dios ! [Gloire à
Dieu !–N.D.T.] Et le voilà ; il voyait aussi bien que moi, et il courut sur l’estrade aussi vite
que possible.

Et la soirée suivante, il y eut un tas d’habits, de vielles écharpes, des nappes, de vieilles
vestes, des chiffons et des chapeaux, entassés à cet endroit-là, deux ou trois fois plus vaste que
cet endroit-ci, et à peu près cette hauteur. Comment je… comment ont-ils eu ce qu’il fallait, je
l’ignore. Mais quoi ? Ils avaient vu quelque chose. Oh! quand quelque chose arrive, quelque
chose se passe.

LA FOI DE MARIE PHOENIX AZ USA Ven 11.03.60


32. Il y a quelques années, j’étais en Floride, et nous tenions une grande reunion sous tente
là-bas au cynodrome Flagler, ou plutôt par là, sur l’avenue Flagler. Et il y avait là un petit
garçon, un petit prédicateur, David, qui avait… là-bas dans la tente. Et il m’avait demandé de
venir l’aider, il avait un petit problème. Et je suis allé voir si je pouvais aider le petit ami. Et il
y avait tellement de gens à l’intérieur que je ne pouvais entrer et sortir sans trois ou quatre
personnes autour de moi pour m’aider à me frayer un passage. Et les malades étaient
couchés…

C’est là que frère Bosworth est entré dans ce ministère. Il a dit : « Voilà ce pour quoi j’ai prié
depuis que j’étais jeune. »

Quand il a vu le Saint-Esprit entrer dans l’auditoire et dire : « Vous qui êtes assis là
(L’homme avait été projeté du dessus d’un cheval quelques années avant et son bras s’était
fracturé.)… » Il a dit : « Vous étiez à dos de cheval un dimanche après-midi, faisant la course.
Vous avez renversé un marché aux fruits ici. Le cheval vous a projeté, et depuis, vous n’avez
plus jamais bougé votre bras. »

Et il a dit : « C’est juste. »

Il a dit : « Redressez votre bras, Jésus-Christ vous guérit. » Et voilà son bras s’est redressé. Le
vieux frère Bosworth a accouru là et a dit : « Voilà ce que j’attendais ! Oh ! a-t-il dit, j’ai
veillé sur les Ecritures pour cela ! » Certainement.

Alors, à cette réunion, quelqu’un a dit : « Frère Branham, la duchesse désire vous voir. »

J’ai dit : « La quoi ? »

Il a dit : « La duchesse. »

J’ai dit : « Je – je ne sais pas de quoi vous parlez. »

Et il a dit : « Eh bien, c’est une femme importante ; c’est une duchesse. » Et il a dit : « Elle est
juste ici derrière la tente. »

J’ai dit : « Eh bien, pourquoi la voir, elle ? Et tous ces malades qui sont étendus ici ? »

Et elle… Il a dit : « Oh ! mais c’est elle la propriétaire de tout cet endroit-ci. »

J’ai dit : « Eh bien, c’est mon Père qui est propriétaire de tout ce qu’il y a par ici. Voyez-
vous ? » J’ai dit : « Pourquoi – pourquoi la voir, elle ? »
J’ai dit : « Ce sont Ses enfants qui sont étendus là, malades, et Il m’a envoyé ici prier pour
eux. Si je peux voir quelqu’un, ce sont eux que je vais voir. »

LA FOI DE MARIE LOS ANGELES CA USA Jeu 09.04.59

30. Récemment, en Afrique du Sud, un homme qui n’avait jamais de sa vie porté une paire
de chaussures aux pieds, était là au fin fond dans les jungles en tant qu’un... il était né là, il y a
des années, de parents missionnaires... Il était né avec des pieds déformés. Lorsqu’il s’est
avancé là, boitant, tenant sous le bras un carton de chaussures, quelqu’un lui a demandé : «
Qu’avez-vous là ? » Il a répondu : « Une paire de chaussures. » Cet homme a dit : « Vous
vous attendez à faire quoi avec ? Est-ce que les... ces chaussures appartiennent-elles à votre
père ? » Il a répondu : « Je vais les porter. » Et à la fin du service, il les a portées, parcourant
ce terrain de toutes ses forces, louant Dieu. Qu’avait-il fait ? Il avait pris Dieu au Mot. C’est
ce qu’il avait dit, quand la question lui a été posé, il a dit : « J’ai vu les autres infirmes venir et
être guéris. Et j’ai vu ceux qui étaient aveugles recouvrer la vue, et Dieu ne pouvait pas me
rejeter. » C’est comme ça qu’il faut croire. « Dieu ne me rejettera pas. »

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