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Hier soir, nous avons reçu une lettre d’une... de la secrétaire, qui disait : « L’enfant est
malade. » Evidemment, la maman, vous savez comment elle s’est sentie. Elle s’est mise
pratiquement dans tous ses états. Et–et l’enfant reste avec la grand-mère qui habite à une
certaine distance du téléphone. J’ai dit : « Eh bien, il est presque minuit ; n’appelez pas ce
soir, appelez le matin. »
34. Nous nous sommes endormis là juste quelques instants. Je n’arrivais pas à dormir. J’ai
entendu ma femme, son souffle devenir alors lent, normal. Alors, je me suis doucement levé,
je suis allé dans l’autre pièce et je me suis agenouillé. Je me suis mis à prier. Vers trois heures
ce matin, j’ai regardé dans la pièce, j’ai vu Quelqu’un venir vers moi portant mon enfant. Elle
étouffait, son petit visage était devenu rouge ; ses petits yeux étaient fixes. Elle étouffait, elle
n’arrivait pas respirer, et tout le monde était paniqué. On m’a tendu l’enfant, je l’ai placée
dans mes bras et j’ai dit : « Ô Dieu, ne laisse pas mon enfant mourir. Epargne sa vie, s’Il Te
plaît, Seigneur. »
Vers ce moment-là, je l’ai entendue reprendre le souffle. Elle m’a regardé, et elle était alors
bien portante. Je l’ai remise, et l’Ange du Seigneur a parlé dans la pièce, disant : « Le matin,
tu recevras des nouvelles que ton enfant a été malade, que tout va bien maintenant. » J’ai
attendu juste un peu, je suis allé dormir. Je me suis réveillé le matin vers neuf heures ; ma
femme est entrée dans une pièce et elle a dit : « Je vais aller téléphoner le… Je vais téléphoner
maintenant pour voir ce qu’il en est de l’enfant. »
J’ai dit : « Chérie, tu n’auras pas à téléphoner, mais voici ce que sera le message que tu vas
recevoir, quand cette dame ira se renseigner, la dame va dire : ‘L’enfant a été terriblement
malade, mais tout va bien maintenant ; Dieu l’a guérie hier soir.’ »
35. Et alors, elle a téléphoné. Mon petit garçon, Billy Paul, eux tous se sont rassemblés au
téléphone. J’ai dit : « Observe ces paroles, mot à mot. » Elle a donc téléphoné, elle a eu la
dame, et elle a dit : « Traverse le champ, demande à la grand-mère des nouvelles de l’enfant.
»
Elle a dit : « L’enfant a été terriblement malade, mais tout va bien ce matin. »
Exactement mot à mot. Ô amis, cela prendrait des heures à révéler ; je ne peux pas le faire ;
c’est illimité, ce qu’Il fait. Qu’est-ce ? Cela montre que Jésus-Christ est le même hier,
aujourd’hui et éternellement. Celui qui était autrefois avec Elie, Celui qui était sur le Fils de
Dieu, Jésus-Christ, Celui qui est dans l’église ce soir, le Saint-Esprit connaît le secret de
chaque cœur, et Il connaît exactement ce qui arrivera. Croyez-vous cela ? Inclinons la tête.
Ce n’est pas ce que vous avez eu au… Eh bien, ce n’est pas un songe, ami. Un songe est un
songe. Une vision est quelque chose que vous regardez, comme je vous vois maintenant
même, ou comme vous me voyez.
Parfois, je me tiens juste comme ceci ; je peux être assis dans ma chambre, assis dans ma
chambre en train de parler à ma famille, puis je m’éloigne complètement, je suis parti pour
une heure et demie ou deux heures. Je reste assis, tout à fait immobile, sans aucun souffle.
C’est ce que la médecine n’arrive pas à comprendre. Quand il n’y a même aucun souffle.
Vous pouvez placer un… un appareil aussi efficace que vous aimeriez placer à mon nez,
aucun souffle, me dit-on. Mais ma respiration, mon cœur bat tout bonnement, mais ils ne
comprennent pas cela.
Je suis parti dans une autre région, un autre monde… Et une fois revenu à vous, vous avez
exactement ce que Dieu avait dit. Et cela n’a jamais failli. Cela ne peut pas faillir ; c’est Dieu.
93. Lors d’une partie de chasse là… Le jeune homme avait perdu ses chevaux des mois
auparavant, on n’arrivait pas à les retrouver. Et le guide le réprimandait, disant : « Oscar, tu
savais mieux faire que de laisser ces chevaux comme cela. Les ours, il y a beaucoup de
grizzlis, doivent les avoir dévorés en ce temps-ci. »
Et il a continué à s’accrocher à moi, et un soir il a dit–il a dit : « Puis-je vous demander
quelque chose ? »
J’ai dit : « Oui. » Il a dit : « Frère Branham, priez Dieu. Que Dieu me restitue mes chevaux.»
J’ai dit : « Bud disait que l’ours les a dévorés. »
Il a dit : « Frère Branham, demandez à Dieu. Que Dieu restitue à Oscar ses chevaux. »
J’ai demandé : « Crois-tu cela, Oscar ? »
Il a dit : « Je le crois. Dieu a rétabli ma mère. Dieu vous a indiqué où se trouvait l’ours, où se
trouvait le gibier. Ce Dieu-là qui sait où se trouve le gibier, sait où se trouvent mes chevaux. »
Voyez ?
94. Il y a un an pendant qu’on était là avec Fred Sothmann, qui est ici ce soir, et Billy
Paul, mon fils, le Saint-Esprit est descendu. J’ai dit : « Oscar, tu retrouveras tes chevaux. Ils
seront sur la neige. » La lettre qu’il m’avait écrite la semaine passée se trouve là, et je l’ai
reçue le vendredi, de retour ici. Elle est là même dans mon classeur maintenant : « Frère
Branham, Oscar retrouve ses chevaux sur la neige. »
95. Comment ont-ils vécu ? Personne ne le sait. Là, ce jeune homme… En cette période de
l’année, en juin, il y a beaucoup de neige là, il y a toujours 20 ou 30 pieds [6 ou 9 m] de neige
là. Comment ont-ils pu rester là pendant l’hiver dans ce canyon ? Oscar peut aller auprès
d’eux en raquettes de neige, mais évidemment, il ne peut pas faire porter des raquettes de
neige à son cheval. Mais il les a retrouvés, selon la Parole du Seigneur. Cela peut paraître
cinglé. Croyez-le juste une fois. Cela dépend de vos filières.
UN DROLE DE PERSONNAGE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 14.06.64S
89. J’ai reçu une lettre qui est arrivée avant-hier, et elle est là dans le classeur. L’automne
dernier, pendant qu’on était dans une partie de chasse… ou plutôt le printemps dernier, il y a
de cela un an, un jeune garçon indien du nom d’Oscar, avec qui nous avons chassé là, sur
l’autoroute, c’est là que l’Ange du Seigneur (je vous en avais parlé ici) a fait venir ce caribou,
et–et ce grizzly argenté. Vous vous en souvenez tous. Alors, ce jeune garçon, quand je suis
entré dans… Il est entré dans la tente, le printemps dernier. Et quand Bud m’a demandé de
solliciter une bénédiction (il a enlevé ses gants, il chevauchait.), il avait porté ces gants et il
était sur le point de sortir. C’était un catholique. Il n’avait rien à faire avec la chose.
13. Parmi nous, chez les Hommes d’Affaires Chrétiens, il y a quelques jours, à Los Angeles, où
aussi ils... Dieu oeuvre de façon si merveilleuse parmi les chrétiens. Un petit frère que nous
connaissons tous très bien, ou qui est un des nôtres ici, frère Shakarian, un frère vraiment
merveilleux, le Seigneur l’a utilisé pour une invention. Simplement pour vous montrer comment Dieu
révèle cela. C’est un petit machin qu’il porte sur son ventre comme ceci, qu’il tient comme ceci, et
qui Lui permet de détecter du pétrole. Il a découvert un puits jaillissant de pétrole au Colorado, pour
lequel il faut des installations de vingt-cinq millions de dollars, je crois, rien que pour un seul puits
jaillissant. Il utilise tout ce qu’il gagne pour envoyer des missionnaires à l’étranger. Amen.
C’est ce que frère Fandler est en train de faire avec son invention. Cela rapportera des millions de
dollars par an.
Et en plus de cela, il a juste… oh! ce frère a inventé un appareil pour prélever le sang, alors qu’on
avait seulement la possibilité de le conserver très longtemps.
Eh bien, ce sont des hommes remplis du Saint-Esprit. Savez-vous quoi? À la Maison Blanche,
quarante pour cent de nos fonctionnaires sont pentecôtistes (amen!) ou sont de souche
pentecôtiste. Oh! la la! Les nations se disloquent; Israël se réveille.
Et ils peuvent... Ces frères ont découvert une formule qui déshydrate le sang pour le conserver
indéfiniment. Et ils viennent de construire un laboratoire d’un million de dollars. Oh, combien le
Seigneur est en train de bénir, partout!
Voyez-vous ce qui va arriver? Il se hâte d’envoyer maintenant ces messagers remplis du Saint-Esprit
dans toutes les parties du monde, car le temps est proche. Nous sommes là, pas pour distribuer des
traités, lesquels sont toujours très utiles, mais pour apporter le Message de la délivrance divine à ces
captifs qui sont assis dans les ténèbres. Nous L’aimons. Très bien.
Maintenant, sans tarder, nous allons passer à la lecture de l’Ecriture. Et rappelez-vous maintenant,
dimanche prochain, Dieu voulant… Souvenez-vous, ce soir, c’est le soir de la communion, je crois que
c’est ce qu’il a dit. Et mercredi soir, c’est la réunion de prière du milieu de la semaine. Tout le monde
est invité à toutes ces réunions. Dimanche prochain, au matin, ce sera de 5 h à 6 h, au lever du soleil,
et à 9 h ce sera le début de nos services pour… ou plutôt à 9 h 30' pour le service du dimanche matin.
Et ensuite suivront le service de guérison et le service de baptême. Maintenant, allons dans le vieux
Livre béni.
13. Les médecins savaient qu’il était mort. Je suis allé présenter mes condoléances à la
famille. Et quand je sortais de la maison, on dirait, la femme pleurait l’homme. Et alors que je
m’engageais à la porte, une main humaine, on dirait, m’a touché par le bras. Et je l’ai sentie
me saisir. Et alors que je cherchais à avancer, je n’ai pas pu bouger. Quand je me suis
retourné, la main m’a lâché.
Je me suis dirigé vers le chevet du lit et j’ai baissé le regard vers l’homme. Il y avait dans la
pièce la femme d’un prédicateur méthodiste et une autre soeur. Et je me suis mis à prier.
Quand je suis revenu à moi-même, j’étais étendu sur le corps de cet homme, l’homme mort ;
on avait placé un drap sur son visage pendant au moins une demi-heure. Mon visage était posé
juste contre le sien, et je lançais un appel dans le monde de l’esprit : « Frère Elie. » Son nom
était Elie. « Frère Elie. » Je lançais un appel dans ce monde à son esprit, ne sachant pas ce que
je faisais…
Quelques instants après, je me suis tenu tranquille, appelant. J’ai senti cette main d’homme
s’approcher de mes oreilles. Cet homme travaille ce soir sur le chemin de fer de Pennsylvanie,
il est en vie.
7. Je me demande s’il y a ici des amis canadiens. Y a-t-il ici quelqu’un de Canada ?
Voudriez-vous simplement lever la main, quelqu’un du Canada ? Oui, j’en vois un. De quelle
partie du Canada, soeur ? Québec ? Winnipeg. Etiez-vous à la réunion de Winnipeg ? Vous
n’y étiez pas.
Il y a eu aussi à Winnipeg un homme avec un membre plus court que l’autre d’environ deux
ou trois pouces [5 ou 7,5 cm] ; il portait un soulier relevé, l’un de ces gros souliers à semelles
compensées. Et il s’était acheté une nouvelle paire de souliers qu’il avait amenés à la réunion
afin de les porter. Et Dieu a… ne décevra jamais quelqu’un qui a ce genre de foi. Il s’en est
allé, portant ses nouveaux souliers, il a laissé ses vieux souliers sur l’estrade. Il était rétabli,
guéri.
Il est merveilleux, n’est-ce pas ? Bon, nous n’avons pas beaucoup de temps chaque soir, mais
nous avons beaucoup de soirées pour… ou plutôt beaucoup d’après-midi pour prier pour les
malades. Et j’aimerais que vous, les bien-aimés, si vous le voulez, et vous tous qui connaissez
Jésus comme votre Sauveur, ou votre Guérisseur, j’aimerais que, cette semaine qui vient, vous
vous mettiez à prier de tout votre coeur.
18. Vous savez, je voudrais arrêter mon message ici un instant pour dire les choses les
plus glorieuses que j’aie jamais vues arriver quand quelque chose est oint. Oh! j’aurais aimé
rester toujours à cet endroit-là.
Vous avez lu dans le livre que l’autre soir, quand le maniaque est venu là sur l’estrade en
courant pour me tuer à–à… Où était… ? Portland. Vous étiez là, Frère Jack, ou c’était… Frère
Brown était là, quand ce maniaque s’est avancé en courant pour me tuer, et a menacé de le
faire. Un type costaud et énorme. Et au lieu de haïr cet homme, je l’ai aimé. Il n’aurait pas
voulu faire cela. C’était probablement un père de famille, comme moi, et il n’aurait pas voulu
faire cela. C’est le diable qui était sur lui qui faisait cela. Et quand je l’ai aimé, alors je n’ai
pas eu peur de lui. L’amour bannit la crainte. C’est quand vous arrivez à aimer…
Vous avez entendu parler de l’histoire de la pauvre mère opossum qui est venue à la maison.
L’amour, il faut l’amour pour vaincre. Le jour où le taureau voulait me tuer là dans les
champs… Il s’était carrément rué sur moi. Et ce n’est pas que je l’ai haï. J’étais garde-chasse.
J’ai cherché à prendre une arme ; je l’avais laissée dans ma voiture. J’en fus content par la
suite. Il fonça, et je me dis : «Eh bien, s’il me faut mourir, après tout, je ferais bien de mourir
en l’affrontant. Je ne peux pas l’éviter. Il n’y a rien… pour l’éviter.» Et juste à ce moment-là,
je me suis dit : «Eh bien, s’il faut m’en aller, j’aimerais le faire en le regardant.» Et alors, il
fonça vers moi, en effet, il m’aurait attrapé de toute façon. Et il avait une chaîne suspendue à
son nez. Il venait de tuer un homme de couleur quelques semaines auparavant. J’avais oublié
qu’il était dans ce champ. Je partais prier pour un malade. Il a plié le genou comme ceci et
s’est aplati au sol, il a mugi et il s’est avancé.
19. Et je ne sais pourquoi, mais quelque chose s’est produit. A tout moment qu’une
guérison ou quoi que ce soit d’autre se produit, quelque chose arrive. L’amour intervient,
cela… et cela ôte simplement du chemin toute autre chose. Oh! je vous le dis, frères, vous
pouvez posséder toute la théologie que vous voulez, mais moi, donnez-moi toujours l’amour.
«Depuis que j’ai vu par la foi, le flot de Tes blessures, l’amour rédempteur a été mon thème et
il le sera jusqu’à ma mort.» L’amour. Oh! si seulement je pouvais constamment vivre dans
cette atmosphère!
Et lorsque cela me frappa, je dis : «Créature de Dieu, je suis serviteur de Dieu, je suis en route
pour aller prier pour l’un de Ses enfants malades. Maintenant, je suis sur ton territoire, je suis
ici sur ton domaine. Je n’avais pas l’intention de te déranger. Mais au Nom de Jésus-Christ,
retourne te coucher. Je ne te dérangerai pas.» Et il sembla venir sur moi. Le voilà venir de
toutes ses forces. Je suis resté simplement calme, je n’avais pas plus peur que je n’en ai
maintenant. Et quand il arriva à environ trois pieds [91,44 cm–N.D.T.] de moi, il s’arrêta. Il
me regarda. Il paraissait vraiment épuisé, il pivota dans une direction et puis dans une autre,
fit un saut et se coucha. Je suis passé à deux pieds [60,96 cm–N.D.T.] de lui, je suis passé
juste à côté de lui. L’amour triomphe. Quelque chose arrive, quelque chose se produit.
20. L’autre soir, je vous parlais de ce qui est arrivé à Mexico, quand frère Jack était là. Un
vieux Mexicain était monté sur l’estrade. Il était totalement aveugle, le pauvre vieil homme,
son… Leur économie est très mal équilibrée, et les gens manquent à manger. Ce vieil homme
ne portait pas des chaussures, et il avait un vieux chapeau à la main, cousu avec des ficelles, et
il portait une vieille veste en lambeaux et un pantalon qui lui arrivait presqu’aux genoux, et
qui était tout couvert de poussière. Il a traversé l’estrade tenant à la main un petit chapelet, un
tas de petits grains. Et il s’est approché de moi, disant quelque chose. Quelqu’un le conduisait.
Et j’étais debout et je l’ai regardé. Je vous assure, frère, vous ne pourriez aider personne à
moins que vous ne compreniez ce qu’il ressent. C’est vrai. C’est la raison pour laquelle Dieu a
tant aimé le monde ; Il en a eu pitié.
Je l’ai donc regardé. Je me suis dit : «Le voilà. Il a probablement quelque part une ribambelle
de petits enfants travaillant pour gagner quelques pesos par jour. Et maintenant après tout
ceci, il se peut qu’un autre… n’a jamais pris un bon repas de sa vie. Et le voici dans cette
condition. Eh bien, il a été vraiment défavorisé par la nature, ou plutôt c’est le destin qui l’a
rendu aveugle.» Et il était…
J’ai mis mon pied à côté de lui. Je me suis dit : «Voici que je porte un beau costume et des
souliers, de beaux souliers ; je ne sais pas si lui a déjà porté des souliers… sa vie.» Je me suis
dit : «Ce n’est pas juste. J’ai une paire à la maison. J’ai un autre costume à la maison. Cet
homme a autant que moi droit à cela.» J’ai mis mon pied à côté du sien, et j’ai pensé lui
donner mes chaussures avant que je ne dise quoi que ce soit. Eh bien, son pied était beaucoup
plus grand, et, et ses épaules beaucoup plus larges ; ma veste ne pouvait pas lui convenir. Je
me suis dit : « O Dieu, que puis-je faire pour lui ?» Si mon vieux Papa avait vécu, il aurait à
peu près son âge.
21. Qu’était-ce ? Se mettre dans la peau. Tout à coup quelque chose est arrivé. J’ai
commencé à sentir cette présence de l’amour, de la compassion, à l’égard de ce vieil homme.
Il a brusquement tiré les petits grains et a commencé à crier : «Je vous salue, Marie, mère de
Dieu, bénissez…»
J’ai dit : «Ce n’est pas nécessaire. Mettez simplement cela de côté.»
Et, et j’ai dit : «Dites-lui simplement d’incliner la tête.» J’ai pris ce vieil ami dans mes mains.
Je me suis mis… J’ai dit : « Seigneur Jésus, ce pauvre vieil homme, je ne peux pas lui donner
mes chaussures, il ne saura pas les porter. Je ne sais pas lui donner ma veste. Mais, Seigneur
Dieu, Tu es le Seul qui peut l’aider maintenant. Tu peux lui donner quelque chose qui le
sauvera ; c’est la vue. C’est de cela qu’il a grand besoin.»
Et je n’avais pas dit plus que cela, que j’entendis quelqu’un crier : «Gloria a Dios ! [Gloire à
Dieu !–N.D.T.] Et le voilà ; il voyait aussi bien que moi, et il courut sur l’estrade aussi vite
que possible.
Et la soirée suivante, il y eut un tas d’habits, de vielles écharpes, des nappes, de vieilles
vestes, des chiffons et des chapeaux, entassés à cet endroit-là, deux ou trois fois plus vaste que
cet endroit-ci, et à peu près cette hauteur. Comment je… comment ont-ils eu ce qu’il fallait, je
l’ignore. Mais quoi ? Ils avaient vu quelque chose. Oh! quand quelque chose arrive, quelque
chose se passe.
C’est là que frère Bosworth est entré dans ce ministère. Il a dit : « Voilà ce pour quoi j’ai prié
depuis que j’étais jeune. »
Quand il a vu le Saint-Esprit entrer dans l’auditoire et dire : « Vous qui êtes assis là
(L’homme avait été projeté du dessus d’un cheval quelques années avant et son bras s’était
fracturé.)… » Il a dit : « Vous étiez à dos de cheval un dimanche après-midi, faisant la course.
Vous avez renversé un marché aux fruits ici. Le cheval vous a projeté, et depuis, vous n’avez
plus jamais bougé votre bras. »
Il a dit : « Redressez votre bras, Jésus-Christ vous guérit. » Et voilà son bras s’est redressé. Le
vieux frère Bosworth a accouru là et a dit : « Voilà ce que j’attendais ! Oh ! a-t-il dit, j’ai
veillé sur les Ecritures pour cela ! » Certainement.
Alors, à cette réunion, quelqu’un a dit : « Frère Branham, la duchesse désire vous voir. »
Il a dit : « La duchesse. »
Et il a dit : « Eh bien, c’est une femme importante ; c’est une duchesse. » Et il a dit : « Elle est
juste ici derrière la tente. »
J’ai dit : « Eh bien, pourquoi la voir, elle ? Et tous ces malades qui sont étendus ici ? »
J’ai dit : « Eh bien, c’est mon Père qui est propriétaire de tout ce qu’il y a par ici. Voyez-
vous ? » J’ai dit : « Pourquoi – pourquoi la voir, elle ? »
J’ai dit : « Ce sont Ses enfants qui sont étendus là, malades, et Il m’a envoyé ici prier pour
eux. Si je peux voir quelqu’un, ce sont eux que je vais voir. »
30. Récemment, en Afrique du Sud, un homme qui n’avait jamais de sa vie porté une paire
de chaussures aux pieds, était là au fin fond dans les jungles en tant qu’un... il était né là, il y a
des années, de parents missionnaires... Il était né avec des pieds déformés. Lorsqu’il s’est
avancé là, boitant, tenant sous le bras un carton de chaussures, quelqu’un lui a demandé : «
Qu’avez-vous là ? » Il a répondu : « Une paire de chaussures. » Cet homme a dit : « Vous
vous attendez à faire quoi avec ? Est-ce que les... ces chaussures appartiennent-elles à votre
père ? » Il a répondu : « Je vais les porter. » Et à la fin du service, il les a portées, parcourant
ce terrain de toutes ses forces, louant Dieu. Qu’avait-il fait ? Il avait pris Dieu au Mot. C’est
ce qu’il avait dit, quand la question lui a été posé, il a dit : « J’ai vu les autres infirmes venir et
être guéris. Et j’ai vu ceux qui étaient aveugles recouvrer la vue, et Dieu ne pouvait pas me
rejeter. » C’est comme ça qu’il faut croire. « Dieu ne me rejettera pas. »