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ExErcicE d’application lEs figurEs dE stylE

Identifiez les figures de style contenues dans les énoncés suivants :


1. Maintenant, tout est déjà rose, jaune, vert. C’est devenu une carte postale.
2. Le jardin dormait encore. C’est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes.
3. Je me suis glissée dans la campagne sans qu’elle s’en aperçoive.
4. Ah ! C’est du joli ! C’est du propre ! Toi la fille d’un roi !
5. Tu me traites comme une vieille bête.
6. Tu penses que toute la ville hurlante contre toi…C’est assez.
7. Allons ma vieille bonne pomme rouge.
8. Tu as toute la vie devant toi…Tu as ce trésor, toi, encore.
9. Écoute -moi. J’ai raison plus souvent que toi.
10. Ils nous prendront (les habitants de Thèbes) avec leurs milles bras, leurs milles visages et leurs
visages uniques.
11. Etéocle et Polynice, les deux frères ennemis qui se sont entretués pour la couronne.
12. Mon frère mort est maintenant entouré d’une garde exactement comme s’il avait réussi à se faire roi
13. Qu’est-ce que tu as ma petite colombe ?
14. Si le bruit court dans la ville, vous mourrez tous les trois.
15. Il faut pourtant qu’il y en ait qui mènent la barque.
16. On aurait dit une petite bête qui grattait.
17. Thèbes a droit maintenant à un prince sans histoire. (Les habitants de Thèbes).
18. Et tu risques la mort maintenant parce que j’ai refusé à ton frère ce passeport dérisoire.
19. Écoute -moi bien. J’ai le mauvais rôle, c’est entendu, et tu as le bon.
20. Vous serez trop, maintenant. Cela ne me fait même plus mal. Je n’ai plus de bras.
21. Et vous avec votre couronne, avec vos gardes, avec votre attirail, vous pouvez seulement me
22. Vous êtes là à boire mes paroles.
23. C’est vous qui êtes laids, même les plus beaux.
24. Tu l’as bien dit tout à l’heure, Créon, la cuisine. Vous avez des têtes de cuisiniers !
25. Tu as choisi la vie et moi la mort.
26. Il fallait y aller ce matin, à quatre pattes, dans La nuit. Il fallait aller gratter la terre avec tes ongles
pendant qu’ils étaient tout près et te faire empoigner par eux comme une voleuse.
27. Et tous les jours, depuis le matin jusqu’au soir, sans elle.
Et votre agitation, votre bavardage, votre vide, sans elle.
28. Cette grande force et ce courage, ce dieu géant qui m’enlevait dans ses bras et me sauvait
des monstres et des ombres, c’était toi ?
29. Créon est sorti comme un fou.
30. Alors Hémon le (Créon) regarde avec ses yeux d’enfant, lourds de mépris, et Créon ne peut
pas éviter ce regard comme la lame.

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