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La nature limite l’art

“Une vie de plaisir fait reculer des océans de


dédains ”

Récit d’une raison crée par les mots pour la


parole.

Des poèmes libres, des phrases qui se sont


libérées de leur esclavage, comme les larmes
qui se libèrent des yeux.
La poétique

Vie sereine
Poésie illuminant nos yeux
Calme et chaleur
Dans ce monde ouvert
Ouvert aux étoiles
La nuit se penche
L’astre nait
Pour vivre et bruler
Jusqu’a l’infini
Emotion perdue

L’être au regard musical


Lève contre son Cœur
Un florilège de sentiments
Raison unique
Oublie des sens
Dans une émotion éternelle
Ou l’âme s’abreuve de l’universel

L’orfèvre de la plénitude
Cristal d’amour dans le vase de nos Cœurs
Temple de larmes aux couleurs du beau
Soleil amer et tendresses oubliées
Le sage calme nos errances, nos tempêtes
avouées
Etrange immobilité du futur incontournable
Ciel émeraude dans le reflet de tes yeux
La chance respirant le bleu de nos baisers
Orfèvres de nos sentiments
Sel ondes anges

Par anneaux d'Iron nie du méta fort inter rieur


je voyais le seul œil briller
Très haut comme une étoile cirée
larme sur le sol
et les gens tendus
mon esprit clamait de la douce heure
et de l'âme : ours des nuits
Le gardien de mes larmes est d'une autre frontière

Le silence de nos cœurs


Perles de vie et de couleurs
L’astre précité de notre conquête
Livre de visions et de fêtes
Ou Dieu lui même écrit au crayon du soleil
En Sol majeur
La sagesse de nos instants
A toujours

Clair couché de lune sur mon Cœur


Ma vie embrasse l’amour courageux
Une note de vie
Un sentiment infini
La mémoire de mes larmes coule
Océan de poésie au printemps de tes baisers
Je regrette de t’avoir blessée
Cher partie de moi-même
A jamais fiancée à mes sentiments
Je regarde tes yeux enfin
Ouvrir la belle fenêtre d’un bonheur retrouvé
La shoah

Anormale volupté
Mensonge du songe
L’œil ouvert a l’autre
La hanche subite, le poing ferme
Le son aérien d’une irritation débordant de l’océan
Tu as fait un truc en trop
J’ai fais un truc en moins
Nous allons partir en guerre
Pour ma veine
Pour la tienne
Pour le sang qui coule et recoule
Tu es allé trop loin
Je suis revenu
Il est tard
Apaise tes yeux de la colère
Le pardon est ce qu’il reste
Reste de brouillard dans la nuit
Voyage au bout de cette nuit
Qui finira je suis sur : au bal des trahisons imaginaires

O poète que tes mots sont confortables

Doux son du ruisseau endormi


Loin des vagues
Loin du feu des volcans
Loin des brumes
Ta douce lyre m'attire
M’envoute
Calme mes plaies
Mais serais-tu le "David" de ce temps?
Serais-tu l'harmonie de mon sort
O poète aux sentiments si précieux
Écris-moi encore le mot " Patient !"
Le Gange déchu

Le fleuve vivant de tes rêves


Chute dans les horizons
Il est remplit du passé des peuples
Et chante les cœurs solubles
Sa voie est vaine et tranquille
Comme un dessin fragile
Il est le commencement du monde
Et la fin des tourments
Le Gange déchu déploie ses ailes d’eau
Sur la rive céleste de nos yeux
Dipolaire

Du sentiment a l’émotion nouvelle


Le regard propre et le geste sur
Une armée de gens civilises
Qui digèrent la pilule bleue azur
Sensations aux antipodes
Tranquille
Sur la chaise solide du bien-être
La santé, la vie, les cellules
Un cerveau : objet de toutes les économies
Pour un monde supportable
Pour un monde acceptable
A la multitude

Rêverie ensemble
Sur un regard d’oublie
Poésie muette
Science de la tragédie
Las des mots
Lac de roseaux
Pour sentir l’aube crier
Orion

Etoile poussiéreuse
Dans l’âge de la raison
Clair splendide
Dans l’absolu
Dans la force
Dans le destin
Ma vie est une spirale
Dont la trajectoire frôle le néant
Le mariage de l’idée et de la pensée

Vent d’âme dans les yeux


La vie regarde son voyage
Calmer la pensée du temps
Idée folle mariée à une parabole
Dans l’histoire lyrique d’une émotion libérée
Monde
Amour
Noblesse
L’argent honore cette idée pensive
Les mots n’existent pas

Invention des hommes par politique de vie


Les mots n’existent que sur nos lèvres
Pensée
Idée
Le code général de la compréhension
Divague
Les mots sont morts
Le donneur de feu

Messie des lacs


Dans le brouillard des peuples
Le donneur de feu expulse
Foudroie les mauvais artistes de tout temps
Claire vie
Soleils et prairies
La rédemption est une couleur universelle
Que quiconque verra

Et Le septième jour...

Mon être pris son repos


A ne rien faire?
Certes
Pour la paix mondiale
Je dormis
Longuement
Une cigarette a la main
Je me réveillais
En songeant ...volontiers

L’astre des saisons

Les cœurs oubliés des cendres


Pour une paix subite
Rêverie dans l’ensemble
Un je t’aime dans l’astre
Comme une absolue terminaison
Sur les lèvres de l’abandon
Souhait
Suis-je un génie ? Qui se lève ?
Je suis le cœur sinueux de l’espoir
Le destin dans les yeux

La sphère

Musique rare des horizons


L’aube chante
Un refrain lointain
Un chemin
Immense
Le bleu du brouillard
Réclame l’essence de la terre
Sphère scintillante
La naissance du monde
L’instant
Et son éclosion

Le soleil de mes regards

Dans la lumière simple


Le regard éclaire
Mon cœur semble perdu
Mais les silences sont parlants
Ils murmurent ma vie
Mon amour
Mon rêve
Ma solitude s’assied
A jamais dans l’espoir
Mélange de ciel et d’âme
L’existence révèle la pluie souriante
Le sentiment azur

Nuit offerte au temps


Les brouillards de l’eau invoque
Agite les pensée
L’air fragile dépose son haleine dans les livres
Au sentiment azur et amoureux
D’une vie
Simple
Et silencieuse
Paix

Dans les conquêtes


L’usure guette
Sa majesté ordonne
Moi je tonne
Ce refrain : «
Ma mémoire est lasse de la guerre
Car mon âme passe comme le tonnerre «
Lumière terrible
Les nations pénibles
Retracent le même schéma :
On signera des contrats
Sur les ruines du combat
Triste constat
Moi je vie pour la paix
Pour la justice et ses attraits
Car l’harmonie épouse nos yeux

L’âge du cristal

La science nouvelle
Aux sens lumineux
Les ordinateurs puissants
Envahissent les mots
Les phrases, les images
Le calcul limpide de milles dimensions
Pour un résultat mirobolant
Le cristal a la face angulaire
Choisi l’arrondi de la poesie
Pour transcender l’onde de sa lumière
L’astre des saisons

Les cœurs oubliés des cendres


Pour une paix subite
Rêverie dans l’ensemble
Un je t’aime dans l’astre
Comme une absolue terminaison
Sur les lèvres de l’abandon
Souhait
Suis-je un génie ? Qui se lève ?
Je suis le cœur sinueux de l’espoir
Le destin dans les yeux
Land escape

By the ways
By the weal
My smile still
Simple
Like a mirror
Like a star in the harmony
Win the chance
Win the few moment of the waiting
Win the secret of light
And love me like never in the time

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