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SECTEUR DE L'AGRICULTURE
3A.1
SECTEUR DE L'AGRICULTURE
GLOSSAIRE
DA Données sur les activités
(Partie) VAI (Partie) visée à l'annexe I
SGDA Système de gestion des déchets animaux
PP Propre aux pays
FE Facteur d'émission
BDFE Base de données sur les facteurs d'émission
EB Énergie brute
GES Gaz à effet de serre
IE Inclus ailleurs
GIEC Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du
climat
FCM Facteur de conversion du méthane
(Partie) NVAI (Partie) non visée à l'annexe I
NE Non estimé
NO Ne se produit pas
AQ/CQ Assurance de la qualité et contrôle de la qualité
SV Solides volatils
3A.2
CONTENU
PARTIE 2. SIMULATION DE
L'ÉTABLISSEMENT DES INVENTAIRES
3A.3
PARTIE 1
CONTENU DE L'APERÇU
DES LIGNES DIRECTRICES
Principes et définitions
Lignes directrices du GIEC pour les inventaires
nationaux de gaz à effet de serre – version révisée 1996
Recommandations du GIEC en matière de bonnes
pratiques et de gestion des incertitudes pour les
inventaires nationaux (2000)
Base de données sur les facteurs d'émission (BDFE)
Logiciel du GIEC
3A.4
Principes et
définitions
3A.5
PRINCIPES
Les inventaires nationaux de GES doivent être
précis et fiables
À cette fin, les inventaires nationaux de GES
doivent répondre aux besoins de :
De transparence
D'exactitude
D'exhaustivité
De cohérence
De comparabilité
3A.6
PRINCIPES
3A.7
PRINCIPES
Comparabilité : se dit d’estimations des quantités émises et des
quantités absorbées présentées par les Parties VAI qui sont
comparables d'une Partie à une autre (méthodes et cadres de
présentation arrêtés par la Conférence des Parties [CdP];
répartition des catégories de sources/puits conforme à celle des
lignes directrices révisées [1996] du GIEC)
3A.8
PRINCIPES
3A.9
CATÉGORIES DE SOURCE
Catégories de source seulement :
Liées à la production animale
Fermentation entérique (4A) : émissions de CH4 provenant des
ruminants et des non-ruminants
Gestion du fumier (4B1) : émissions de CH4 provenant du fumier géré
dans des conditions anaérobie
Gestion du fumier (4B2) : émissions de N2O provenant du fumier traité
dans différents systèmes de traitement
Liées aux systèmes de culture : Riziculture (4C) : émissions de CH4
provenant de la surface des sols gardés en conditions anaérobie pour
cultiver le riz
Liées aux terres agricoles : Sols cultivés (4D) : émissions de N2O
provenant des sols cultivés dues aux apports anthropiques de N; les
émissions directes (primaires) et indirectes (secondaires) sont considérées
Liées à l'utilisation du feu
Brûlage dirigé des savanes (4E) : émissions de gaz autres que le CO2
dues au brûlage de la biomasse des savanes
Brûlage des résidus de cultures (4F) : émissions de gaz autres que le
Fermentation entérique N1 N2
Gestion du fumier – CH4 N1 N2
Gestion du fumier – N2O N1
Riziculture N1
Sols cultivés N1a N1b
Brûlage des savanes N1
Brûlage des résidus de cultures N1
3A.11
TABLEAU-RÉSUMÉ : GAZ
FERMENTATION ENTÉRIQUE X
GESTION DU FUMIER X X
SOLS CULTIVÉS X1 X
1
Pas de méthode disponible
2
Rapporté, mais non considéré
3
Non considéré bien que présent
3A.12
DOCUMENTS DE BASE
Lignes directrices du GIEC pour les inventaires nationaux de
gaz à effet de serre – version révisée 1996
<http://www.ipcc-nggip.iges.or.jp/public/gl/french.htm>
3A.13
Lignes directrices du GIEC
pour les inventaires
nationaux de gaz à effet de
serre – version révisée 1996
Atelier de formation sur les inventaires
Secteur de l'agriculture
3A.14
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Les Parties NVAI doivent utiliser la version révisée en 1996 des
lignes directrices du GIEC pour estimer et présenter leurs
inventaires de GES
www.ipcc-nggip.iges.or.jp/public/gl/invs1.htm (lien vers le volume 2
traduit en français)
Structure
Volume 1 : GHG Inventory Reporting Instructions (en anglais seulement)
Volume 2 : Manuel simplifié pour l'inventaire des gaz à effet de serre
Volume 3 : GHG Inventory Reference Manual (en anglais seulement)
Ressources complémentaires
Logiciel du GIEC
BDFE
Les lignes directrices révisées (1996) du GIEC ont été
complétées par les recommandations du GIEC en matière de
bonnes pratiques (2000)
3A.15
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Remarques générales sur les lignes directrices
(agriculture)
Portée : émissions d'origine anthropique provenant de sources
agricoles de territoires nationaux
Qualité des données et échéancier : données de qualité
relativement pauvre comparativement à d'autres secteurs; par
conséquent, on préfère les valeurs annuelles des moyennes sur
3 ans
Méthode par défaut : Les lignes directrices du GIEC présentent
des méthodologies, hypothèses et données par défaut, mais les
hypothèses et les données nationales (propres aux pays) sont
toujours privilégiées
Incertitudes rapportées en tant qu'estimations ponctuelles
3A.16
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Principes de base des lignes directrices (1)
3A.17
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
3A.18
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Méthodologie et présentation (1)
Méthodes : fondées sur plusieurs niveaux
Le niveau 1 est la méthode par défaut
Les Parties NAI sont encouragées à utiliser les FE associés aux unités
3A.19
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Méthodologie et présentation (2)
Feuilles de calcul : fournies dans le volume 2. Au moyen du
logiciel du GIEC, les données des feuilles de calcul sont
automatiquement converties en tableaux sectoriels et
récapitulatifs.
Système de notation : Les Parties NAI sont encouragées à utiliser
un système de notation (NO, NE, NA, IE, C).
Tableau récapitulatif (8A) : à utiliser pour résumer l'évaluation de
l'exhaustivité (p. ex., estimation partielle, estimation complète, non
estimé) et de la qualité (bonne, moyenne, faible)
Exhaustivité des données : dans tous les tableaux, des notes de
bas de page doivent être ajoutées pour indiquer l'exhaustivité des
estimations
3A.20
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Méthodologie et présentation (3)
Degré d'incertitude : Les causes possibles et la manière de les
gérer sont expliquées dans l'annexe 1 du volume I
Documentation : Les rapports doivent comprendre :
L'information permettant de reconstituer l'inventaire
3A.21
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Catégories de puits/source – secteur de
l'agriculture (1)
Fermentation entérique (4A) : émissions de CH4 par
les ruminants et de certains non-ruminants
Information organisée par espèce animale
Méthode de niveau 1 fondée sur la multiplication du
nombre d'animaux de chaque catégorie par un FE
Méthode de niveau 2 (bovins seulement) = caractérisation
de second niveau du bétail, qui estime les quantités
d'aliments ingérés annuellement (paramètre utilisé pour
estimer des FE spécifiques)
3A.22
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Catégories de puits/source – secteur de l'agriculture (2)
Gestion du fumier (4B) : émissions de CH4 (4Ba) et de N2O
(4Bb) provenant de la décomposition du fumier stocké
Information organisée par groupes d'animaux et systèmes
3A.23
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Catégories de puits/sources – secteur de l'agriculture (3)
Riziculture (4C) : Émissions de CH provenant de la
4
décomposition anaérobie des matières organiques dans les rizières
inondées Toutes les émissions de N2O entrent dans la catégorie 4D
Une seule méthode fournie
DA : superficie récoltée par écosystème rizicole et par type de
régime de gestion de l'eau, utilisation d'engrais organiques
FE de base estimé pour les champs en inondation permanente
et sans usage d'engrais organiques
Échelle du FE de base pour tenir compte des pratiques de
culture, des récoltes multiples, du type d'écosystème, du régime
de gestion de l'eau, de l'ajout d'engrais organiques, du type de
sol
3A.24
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Catégories de puits/source – secteur de l'agriculture (4)
Sols cultivés (4D) : englobe les émissions de N2O seulement (pas de
méthodes fournies pour les émissions et absorptions de CH4 ou pour les
absorptions de N2O). Méthode de niveau 1 pour les émissions directes et
indirectes
Émissions directes de N O : requiert des DA (utilisation d'engrais et
2
de fumier, quantité de N fixée par les cultures, quantité de résidus de
cultures retournés au sol, cultures fixatrices de N, superficie d'histosols
cultivés) et 2 FE (un pour les apports de N dans le sol et un pour la
culture des sols organiques)
Émissions indirectes de N O : 3 sources : a) volatilisation et dépôt de
2
N dans les engrais/fumier; b) lixiviation et ruissellement des
engrais/fumier épandus; c) rejet des eaux usées domestiques dans les
cours d'eau et les estuaires
3A.25
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
3A.26
LIGNES DIRECTRICES RÉVISÉES
(1996) DU GIEC
Catégories de puits/source – secteur de l'agriculture (4)
Brûlage sur place des résidus de cultures (4F) : englobe les émissions
de N2O et de CH4 provenant du brûlage sur place des résidus de
cultures
Une méthode de niveau 1 semblable à celle pour le brûlage
dirigé des savanes est fournie
Les autres utilisations de résidus de cultures (brûlage hors-
site, épandage sur les sols ou fourrage) sont exclues
Sous-modules :
Céréales (blé, orge, avoine, seigle, riz, maïs)
Légumineuses (pois, lentilles, haricots, féveroles)
Tubercules et racines (pommes de terre, betteraves)
Canne à sucre
Autres (arbres fruitiers, arbres forestiers)
3A.27
Recommandations du
GIEC en matière de bonnes
pratiques et de gestion des
incertitudes pour les
inventaires nationaux
(2000)
Atelier de formation sur les inventaires
Secteur de l'agriculture
3A.28
RBP ET MESURE DU DEGRÉ
D’INCERTITUDE
Recommandations du GIEC en matière de bonnes pratiques
et de gestion des incertitudes pour les inventaires nationaux
(ci-après RBP2000 ou RBP)
Chapitre 1, Introduction
Chapitre 2, Énergie
Chapitre 3, Procédés industriels
Chapitre 4, Agriculture
Chapitre 5, Déchets
Chapitre 6, Quantification des incertitudes en pratique
Chapitre 7, Choix de méthode et recalcules
Chapitre 8, Assurance de la qualité et contrôle de la qualité
Plus les appendices et d'autres renseignements généraux
3A.29
RBP ET MESURE DU DEGRÉ
D’INCERTITUDE
Les RBP2000 complètent les lignes directrices
révisées (1996) du GIEC
3A.30
RBP ET MESURE DU DEGRÉ
D’INCERTITUDE
Les améliorations apportées par les RBP2000 sont
principalement liées :
À l'exhaustivité : on considère tous les puits/sources,
gaz, endroits géographiques
À l'exactitude :
on met l'accent sur la méthodologie (méthode, FE, DA) par
l'intermédiaire de diagrammes décisionnels propres à chaque
source
on mesure le degré d’incertitude à l'échelle des sources
les procédures d'AQ/CQ peuvent être générales ou s'appliquer
au niveau sectoriel
À la cohérence : élaboration de séries temporelles
À la transparence : présentation et documentation
3A.31
RBP ET MESURE DU DEGRÉ
D’INCERTITUDE
Document – associé principalement aux recommandations sur la
méthodologie visant l'élaboration exacte des inventaires du secteur de
l'agriculture
3A.32
RBP ET MESURE DU
DEGRÉ D’INCERTITUDE
Principales questions méthodologiques (liées aux
diagrammes décisionnels) :
Niveau (méthode, calcul)
FE
DA
Statistiques régulièrement recueillies (DA1)
Paramètres (coefficients de partage) mesurables mais
généralement non recueillis (DA2)
3A.33
RBP ET MESURE DU
DEGRÉ D’INCERTITUDE
Les bonnes pratiques consistent à :
utiliser des niveaux propres aux pays (PP) ainsi
que des FE PP pour mieux refléter les conditions
nationales
avoir un FE pour chaque unité environnementale
des Parties
utiliser systématiquement et régulièrement les
DA publiées (DA1) et les paramètres mesurés
lors d'expériences (DA2)
3A.34
RBP ET MESURE DU
DEGRÉ D’INCERTITUDE
FACTEURS D'ÉMISSION
3A.35
RBP ET MESURE DU DEGRÉ
D’INCERTITUDE
DONNÉES SUR LES ACTIVITÉS
3A.36
ÉTAPES ANTÉRIEURES
DÉFINITION DES SOURCES CLÉS (1)
Première étape dans la production d'un inventaire
national de GES : définition des sources clés
(teneurs, tendances) à l'échelle nationale
3A.37
ÉTAPES ANTÉRIEURES
DÉFINITION DES SOURCES CLÉS (2)
3A.38
ÉTAPES ANTÉRIEURES
DÉFINITION DES SOURCES CLÉS (3)
3A.39
ÉTAPES ANTÉRIEURES
DÉFINITION DES SOURCES CLÉS (4)
Sans données antérieures, l'équipe chargée des inventaires des Parties NAI
doit présumer :
que les émissions de CH imputables à la fermentation entérique et les
4
émissions directes de N2O provenant des sols cultivés sont probablement
des sources clés;
que les émissions indirectes de N O provenant des sols cultivés seront
2
probablement une source clé (les Parties déploieront les plus grands
efforts pour cette catégorie)
Toutefois, certaines catégories de source peuvent être pertinentes pour
certains groupes des Parties NAI :
brûlage des savanes dans les pays tropicaux ayant une saison sèche
3A.40
ÉTAPES ANTÉRIEURES
Bilans massiques pour éléments partagés (1)
3A.41
ÉTAPES ANTÉRIEURES
Bilans massiques pour éléments partagés (2)
Par conséquent :
Bilan massique des résidus de cultures
(fractionnement en fonction des différentes utilisations
finales)
Bilan massique du fumier (pâturage direct et
confinement, fumier confiné réparti par le SGDA)
3A.42
ÉTAPES ANTÉRIEURES
Estimation de l'importance des sous-sources (1)
Par conséquent :
Évaluation rapide (niveau 1) de l'importance :
des espèces animales – CH4 – fermentation entérique
des espèces animales – CH4 – gestion du fumier
des apports d'origine anthropique de N pour les sols
cultivés
Caractérisation unique du bétail en appliquant le niveau de
détail (de premier niveau, de second niveau) suggéré par
l'importance des espèces pour les catégories de source
3A.43
BILAN MASSIQUE DES RÉSIDUS DE
CULTURES
Résidus de
culture
Population
animale
Milieux clos
Champs libres
Dérivé vers
Utilisé comme
le SGDA
supplément
Fumier pour
alimentaire
Fumier utilisé autres utilisations Provenant
pour animaux
comme source (matériaux de des animaux
d'énergie Fumier épanduconstruction) élevés sur
sur les sols pâturages
Comptabilisé dans
4B. Gestion du
fumier
Comptabilisés dans
4.D. Sols
Comptabilisés dans
cultivés
1. Énergie
3A.45
CARACTÉRISATION UNIQUE
DU BÉTAIL
3A.46
DIAGRAMME
DÉCISIONNEL :
caractérisation
du bétail
Caprins,
chevaux,
mules/ânes,
Bovins, buffles, volailles, (ovins)
porcins, (ovins),
espèces
sans niveau/FE
3A.48
CARACTÉRISATION UNIQUE
DU BÉTAIL
3A.49
CARACTÉRISATION UNIQUE
DU BÉTAIL
Caractérisation de second niveau : en outre,
répartition des populations spécifiques en groupes
homogènes d'animaux (variations PP dans la structure des
âges et la performance des animaux)
population de bétail par espèce, catégorie et sous-catégorie
estimations de la quantité d'aliments ingérés d'un animal
typique de chaque sous-catégorie (utilisées dans la méthode
de niveau 2 appliquée aux émissions imputables à la
fermentation entérique chez les bovins, les buffles et les
ovins)
les estimations doivent être utilisées pour harmoniser les
taux d'excrétion de fumier et de N pour les émissions de CH4
et de N2O provenant de la gestion du fumier et pour les
émissions directes/indirectes de N2O provenant des sols
cultivés
3A.50
CARACTÉRISATION UNIQUE
DU BÉTAIL
Caractérisation de second niveau
Performances animales, utilisées pour estimer l'absorption
d'énergie brute (EB) : quantité d'énergie (MJ/jour) nécessaire à un
animal pour des activités telles que la croissance, la lactation et la
gravidité
Les bonnes pratiques consistent à estimer l'absorption d'EB
basée sur les donnée sur les performances animales
En l'absence de DA, une étude doit être réalisée pour déterminer
les tendances de la production régionale et les distributions
animales régionales
Si les ressources sont insuffisantes, les hypothèses peuvent être
basées sur des opinions d'experts
3A.51
CARACTÉRISATION UNIQUE
DU BÉTAIL
Caractérisation des animaux pour lesquels on ne
dispose pas de méthodes d'estimation des
émissions
3A.52
FERMENTATION ENTÉRIQUE
Émissions de CH4
3A.53
DIAGRAMME
DÉCISIONNEL :
émissions de CH4
Événement impossible imputables à la
fermentation
entérique
Exactitude des
estimations :
Encadré 2
>
Encadré 1
Buffles, ovins,
Pour les espèces caprins, chevaux,
importantes dans les mules/ânes,
cas où les DA volailles
Bovins,espèces dont sont insuffisantes
chaque individu
contribue beaucoup à Espèces ne
une source clé contribuant pas
beaucoup à une
source clé 3A.54
FERMENTATION ENTÉRIQUE
S'il n'y a pas production d'animaux domestiques, indiquer « ne se produit
pas » (NO)
S'il y a fermentation entérique mais qu'elle n'est pas la source clé,
l'approche recommandée pour toutes les espèces est :
caractérisation de premier niveau – niveau 1 – FE par défaut
toutefois, il est recommandé d'utiliser la caractérisation de second niveau et
une méthode de niveau 2 pour les bovins dans les cas où les Parties
disposent des données nécessaires
3A.55
FERMENTATION ENTÉRIQUE
Niveau 2, approche complexe, nécessite des données détaillées PP portant sur les
besoins en nutriments, la quantité d'aliments ingérées et les taux de conversion du
CH4 de types précis de nourriture en vue de l'élaboration de FE PP pour les
catégories de bétail définies par les pays
3A.56
GESTION DU FUMIER
Émissions de CH4
La caractérisation unique du bétail fournit des
données pour appuyer les estimations
Les FE par défaut ou PP (fondés sur les
caractéristiques du fumier [Bo, SV, FCM] et les SGF)
dépendent de l'importance de l'espèce
Le diagramme décisionnel définit les étapes que
doivent suivre les Parties pour obtenir des
estimations exactes (figure 4.3 des RBP du GIEC)
3A.57
Événement impossible
DIAGRAMME
DÉCISIONNEL :
émissions de
CH4 imputables à
la gestion du
fumier
Exactitude
des
estimations :
Encadré 3
Bovins, buffles, >
porcins, (ovins),
espèces sans Encadré 4
Si source clé et >
niveau/FE
contribution
individuelle élevée Encadré 2
>
Caprins, chevaux, Encadré 1
mules/ânes,
volaille, ovins
3A.58
GESTION DU FUMIER
3A.59
GESTION DU FUMIER
La méthode de niveau 1 requiert des données sur la population de
bétail par espèce animale, catégorie et région climatique (froide,
tempérée, chaude)
La méthode de niveau 2 requiert de l'information détaillée sur les
caractéristiques des animaux et la manière dont le fumier est géré; les
DA sont :
taux d'excrétion de solides volatils (SV); les valeurs sur les SV PP sont
fondées sur la quantité moyenne ingérée par jour, l'énergie digestible de
l'alimentation, la teneur en cendre du fumier
capacité maximale productrice de CH4 du fumier (Bo)
facteur de conversion du CH4 (FCM)
Le niveau dépend de la disponibilité des données et des circonstances
naturelles. Les Parties doivent dans la mesure du possible adopter le
niveau 2.
3A.60
QUELQUES ASTUCES
Pour le CH4 – fermentation entérique :
Caractérisation de second niveau et niveau 2 pour les
bovins (non laitiers et/ou laitiers)
Caractérisation unique et niveau 1 pour les autres
espèces animales
3A.62
QUELQUES ASTUCES :
Tableau - Résumé
FERMENTATION GESTION DU
NIVEAU DE
ESPÈCES ENTÉRIQUE FUMIER
CARACTÉRISATION
ANIMALES
méthane méthane
3A.63
GESTION DU FUMIER
Émissions de N2O
Pour les estimations des émissions, les données sur le
bétail doivent provenir d'une caractérisation unique du
bétail. On détermine ainsi :
le taux d'excrétion annuel moyen d'azote par tête (Nex)
pour chaque espèce/catégorie d'animal (T);
la fraction de l'excrétion annuelle totale pour chaque
espèce/catégorie d'animal qui est gérée dans chaque SGF
(MS);
les FE de N2O pour chaque SGF
3A.64
Événement impossible
DIAGRAMME
DÉCISIONNEL :
émissions de
N2O imputables à
la gestion du
fumier
Exactitude
des
Si source clé
estimations :
Encadré 3
>
Encadré 4
>
Encadré 2
>
Encadré 1
3A.65
GESTION DU FUMIER
3A.66
BRÛLAGE DIRIGÉ DES
SAVANES
Brûlage dirigé des savanes
3A.67
Événement impossible
DIAGRAMME
DÉCISIONNEL :
Si
émissions de
source clé GES imputables
au brûlage dirigé
des savanes
Si pas
source clé
Exactitude des
estimations :
Encadré 4
>
Encadré 3
>
Encadré 2
>
Encadré 1
3A.68
BRÛLAGE DIRIGÉ DES
SAVANES
Principales caractéristiques du diagramme
décisionnel (figure 4.5 des RBP du GIEC) :
3A.69
BRÛLAGE DIRIGÉ DES
SAVANES
La méthode du GIEC nécessite :
une valeur pour la fraction vivante de biomasse aérienne
une valeur pour la fraction morte de biomasse aérienne
une valeur pour la fraction oxydée après le brûlage
une valeur pour la fraction de carbone dans la biomasse vivante et morte
une valeur pour le rapport azote/carbone dans la biomasse
une valeur pour le rendement de combustion (rapport molaire entre les
concentrations de CO2 émis et la somme des concentrations de CO et de CO2
émis par les feux de savanes)
DA impossibles à recueillir (paramètres) : mesures sur le terrain, opinion
d'experts, valeurs par défaut
Les RBP du GIEC renvoient aux lignes directrices du GIEC pour cette
catégorie de source
D'autres renseignements sont fournis à l'annexe 4A.1 des RBP du GIEC
(l'annexe décrit certains détails d'une révision future possible de la
méthodologie)
3A.70
BRÛLAGE SUR PLACE DES
RÉSIDUS DE CULTURES
Une méthode pour estimer les émissions de gaz autres que le
CO2 imputables au brûlage des résidus de cultures
Quand cela est possible, on privilégie les DA et les FE PP
DA et FE par défaut disponibles dans les lignes directrices du
GIEC et la base de données de la FAO
La principale incertitude entourant l'estimation des émissions de
CH4 et de N2O imputables au brûlage des résidus de cultures
est la fraction de résidus brûlés sur place
On évite le double comptage des émissions dues au brûlage
des résidus hors site à des fins énergétiques et autres
Les RBP du GIEC renvoient aux lignes directrices du GIEC
pour cette catégorie de source; d'autres renseignements fournis
à l'annexe 4A.2 des RBP (révision future de la méthodologie)
3A.71
Événement impossible
DIAGRAMME
DÉCISIONNEL :
Si source clé
émissions de
GES imputables
au brûlage des
Si pas
Si pas de DA
PP résidus de
source clé
cultures
Exactitude des
estimations :
Encadré 4
>
Si pas de FE Si pas de FE Encadré 3
PP PP >
Encadré 2
>
Encadré 1
3A.72
BRÛLAGE SUR PLACE DES
RÉSIDUS DE CULTURES
Principales caractéristiques du diagramme décisionnel :
Si le brûlage des résidus de cultures n'est pas permis, indiquer
NO
S'il est permis mais n'est pas la source clé, les estimations
peuvent reposer sur l'encadré 1 (valeurs par défaut)
utilisation des FE PP (encadré 2) souhaitable
S'il est permis et qu'il est la source clé, les estimations peuvent
reposer sur l'encadré 4 (FE PP + DA PP)
utilisation de l'encadré 3 (FE PP + DA par défaut)
acceptée
3A.73
SOLS CULTIVÉS
Apports de N (provenant des émissions directes de
N2O) :
épandage d'engrais industriels (FEI)
épandage de fumier (FFUMIER)
utilisation de cultures fixatrices d'azote (FFA)
incorporation de résidus de cultures dans les sols (FRC)
minéralisation de N résultant de la culture de sols
organiques (FSO)
autres sources telles que les boues d'évacuation
L'équipe chargée des inventaires doit éviter le double
comptage des émissions provenant des engrais
industriels, du fumier et d'autres sources
3A.74
Événement
impossible
DIAGRAMME
Si pas
DÉCISIONNEL : source clé
émissions directes
de N2O provenant
des sols cultivés
Si
Exactitude des source clé
estimations :
FAMSS NFCCR
Encadré 5 Encadré 3
> >
Encadré 4 Encadré 2
> >
Encadré 1
3A.75
SOLS CULTIVÉS
Principales caractéristiques du diagramme décisionnel (figure 4.7 dans les RBP
du GIEC) :
S'il n'y a pas épandage de N sur les sols, indiquer NO
S'il y a épandage de N mais qu'il n'est pas la source clé, on peut estimer les
émissions à l'aide du niveau 1a et des données par défaut (DA, FE) pour chaque
apport de N (encadré 1)
S'il y a épandage de N et qu'il est la source clé, il faut fournir des DA PP pour les
apports importants de N
Pour FEI, FFUMIER et autres : il faut estimer les émissions à l'aide des niveaux 1a et
1b et des données PP (DA, FE) (encadré 5)
il est acceptable d'utiliser les paramètres et/ou les FE par défaut
(encadré 4)
Pour FRC, FFA, FSO: on peut estimer les émissions à l'aide des niveaux 1a et 1b et
des FE PP (encadré 3)
il est acceptable d'utiliser les FE par défaut (encadré 2)
3A.76
SOLS CULTIVÉS
Seulement un niveau pour cette source
Deux variations : 1a et 1b, en fonction de l'expansion des termes
des équations
L'utilisation des niveaux 1a ou 1b n'est pas liée à l'importance de
la source mais à la disponibilité des DA
Il faut privilégier les équations du niveau 1b, qui élargissent les
termes qu'elles contiennent
Pour les Parties n'ayant pas les données requises, les équations
plus simples du niveau 1a sont acceptables
L'estimation des émissions qui combine les équations des
niveaux 1a et 1b pour différents apports de N est également
acceptable
Pour certains apports de N, il n'existe pas d'équations de
niveau 1b
3A.77
SOLS CULTIVÉS
Grand volume de DA. Très peu probable qu'une Partie remplisse toutes les exigences
DA (possibles à recueillir, mesures sur le terrain) :
teneur en azote des substrats (fumier, résidus de cultures, boues d'évacuation)
engrais industriels : quantité d'azote épandue sur les sols
fumier :
quantité totale produite, divisée entre les enceintes fermées et l'élevage sur pâturages
destination : 1) fumier traité dans un système de gestion du fumier (émissions provenant de la
gestion du fumier); 2) fumier provenant des animaux élevés sur pâturages (émissions provenant
de la production animale); 3) fumier utilisé comme combustible; 4) fumier utilisé comme fourrage;
5) fumier épandu sur les sols
cultures fixatrices d'azote :
superficie des cultures fixatrices d'azote (légumineuses) et des cultures fourragères fixatrices
d'azote
rapports résidus/cultures
résidus de cultures :
superficie de cultures produisant des résidus
rapports résidus/cultures et pourcentage de résidus épandus sur les sols
histosols :
superficie d'histosols cultivés
boues d'évacuation :
quantité de boues d'évacuation épandues sur les sols
teneur en azote dans les boues d'évacuation
coefficients de partition : FRAC GAZ-ENGRAIS FRACGAZ-FUMIER FRACPR, FRACBOUES, FRACCOMBUSTIBLE-FUMIER,
FRACFOURRAGE-FUMIER, FRACCNST-AM, FRACFBCA, FRACMS, FRACCNFA, FRACBRÛLE, FRACCOMBUSTIBLE-RC
3A.78
SOLS CULTIVÉS
Émissions indirectes de N2O
dépôt atmosphérique sur les sols de NOX et de NH4+ associés à N
provenant de différents apports (méthode pour les engrais
industriels et le fumier)
lixiviation et écoulement de N résultant de l'épandage sur les sols
(méthode pour les engrais industriels et le fumier)
élimination du N présent dans les eaux usées (méthode pour le
rejet de N présent dans les eaux usées dans les cours d'eau et les
estuaires)
formation de N2O dans l'atmosphère à partir des émissions de NH3
provenant des activités humaines (pas de méthode disponible)
élimination des effluents industriels des centres de traitement
alimentaire et autres (pas de méthode disponible)
3A.79
DIAGRAMME Événement
impossible
DÉCISIONNEL : Si
source
émissions clé
indirectes de N2O
provenant des
sols cultivés
Exactitude des
estimations : Si pas
source
clé
Encadré 4
>
Encadré 3
>
Encadré 2
>
Encadré 1
3A.80
SOLS CULTIVÉS
Principales caractéristiques du diagramme décisionnel (figure
4.8 des RBP du GIEC) :
S'il n'y a pas épandage de N, indiquer NO
S'il y a épandage mais qu'il n'est pas la source clé, on peut
estimer les émissions à l'aide des DA et des FE par défaut
(encadré 1)
il est recommandé d'appliquer les DA et les FE PP
(encadré 2)
S'il y a épandage et qu'il est la source clé, il faut estimer les
émissions à l'aide des DA, des FE et des paramètres PP
(encadré 4)
il est accepté d'utiliser les FE par défaut (encadré 3)
3A.81
SOLS CULTIVÉS
DA (possibles à recueillir, prise de mesures sur le terrain) :
teneur en azote dans le fumier et les eaux usées
engrais industriels : quantité d'azote épandu comme engrais
fumier :
quantité totale de fumier animal produit
3A.82
SOLS CULTIVÉS
3A.83
SOLS CULTIVÉS
Les DA peuvent être issues des sols cultivés et de la gestion du
fumier :
données nécessaires pour estimer les émissions de N2O de chaque
SGDA utilisé par les Parties
fraction des populations animales gérées comme animaux sur
pâturages produisant des émissions directes, par espèce animale
taux d'excrétion d'azote par espèce animale
3A.84
RIZICULTURE
Le GIEC fournit une méthode pour estimer les émissions de CH4
imputables à la riziculture
La méthode utilise les superficies annuelles récoltées et des FE basés
sur des régions et intégrés par saison. Sous sa forme la plus simple,
elle peut être mise en œuvre avec les DA nationales (p. ex., superficie
récoltée totale nationale) et un seul FE
On peut modifier la méthode pour tenir compte de la variabilité des
conditions rizicoles en subdivisant la superficie récoltée totale
nationale en sous-catégories (superficies récoltées selon différents
régimes de gestion de l'eau, etc.) dans la mesure où des FE
spécifiques sont disponibles
Le diagramme décisionnel définit les étapes que doivent suivre les
Parties pour produire les estimations les plus exactes (figure 4.9 des
RBP du GIEC)
3A.85
Diagramme
Événement impossible décisionnel :
émissions de CH4
imputables à la
Si source clé riziculture
Si pas source clé
Exactitude
des
estimations :
Encadré 3
>
Encadré 2
>
Encadré 1
3A.86
RIZICULTURE
3A.87
RIZICULTURE
Les DA sur la production de riz et la superficie récoltée doivent
se trouver dans les statistiques nationales de la plupart des
Parties
Autres options :
Site Web de la FAO : http://faostat.fao.org/default.aspx?
alias=faostatclassic
Statistiques mondiales sur la riziculture de l'IIIR (p. ex., IRRI, 1995)
Comme les statistiques sur la superficie cultivée peuvent être
biaisées, les Parties sont encouragées à vérifier leurs
statistiques sur la superficie récoltée à l'aide de données de
télédétection
Les Parties sont encouragées à effectuer une étude sur les
pratiques culturales en vue d'obtenir des données sur le type et
la quantité d'engrais organiques à épandre
3A.88
Logiciel du GIEC
3A.89
Logiciel du GIEC
Conçu pour aider à préparer les inventaires de GES
Fondé sur les lignes directrices révisées (1996) du GIEC
Accessible à l'adresse suivante :
http://www.ipcc- nggip.iges.or.jp/public/gl
3A.90
Logiciel du GIEC
Structure : Le programme se divise en plusieurs classeurs, qui
correspondent au fichier « Overview » et aux fichiers des
6 modules sectoriels
3A.91
IPCC software
Classeur
« Overview »
Feuille contenant
les données de
base sur
l'inventaire
Feuilles avec
tableaux
Feuilles avec tableaux des rapports sectoriels récapitulatifs
Logiciel du GIEC
Classeur « Agriculture »
Pour ouvrir le classeur : cliquer sur « Sector », dans
la barre du menu, puis cliquer sur « Agriculture »
Contient 22 feuilles qui correspondent aux
différentes feuilles de calcul incluses dans le
volume 2 des lignes directrices du GIEC
Quand on remplit les feuilles de calcul des secteurs,
les données sont saisies automatiquement dans les
tableaux sectoriels et récapitulatifs du module
« Overview ».
3A.93
IPCC software
Classeur
Agriculture
1re feuille
Base de données
sur les facteurs
d'émission (BDFE)
Atelier de formation sur les inventaires
Secteur de l'agriculture
3A.95
Base de données sur les
facteurs d'émission (BDFE)
Généralités :
La qualité des inventaires nationaux de GES dépend de FE et de DA
fiables
Bien que les FE reflétant les conditions nationales soient
recommandés, leur élaboration est coûteuse et longue en plus de
nécessiter un grand degré d'expertise
Le processus dépasse la capacité de la plupart des Parties NAI
Les lignes directrices révisées (1996) du GIEC et les RBP fournissent
des FE par défaut pour presque toutes les sources et tous les puits :
certains sont propres aux régions ou aux pays. Toutefois, toutes les
régions et tous les pays ne sont pas couverts
3A.96
Base de données sur les
facteurs d'émission (BDFE)
Généralités
Le partage des données de recherche permet aux pays d'utiliser et
janvier 2002
Le prototype doit faire l'objet d'essais pilotes et d'améliorations par
3A.97
Base de données sur les
facteurs d'émission (BDFE)
Objectifs
3A.98
Base de données sur les
facteurs d'émission (BDFE)
Les chercheurs et les membres de la communauté
scientifique peuvent intégrer leurs résultats,
notamment leurs FE et d'autres paramètres
Pour ce faire, ils doivent communiquer avec le Bureau
du Groupe de travail de l'Unité de soutien technique
(UST), à l'adresse : ipcc-efdb@iges.or.jp
Les nouvelles données seront évaluées à des fins
d'approbation par le Comité éditorial de la BDFE
À terme, la responsabilité de l'utilisation appropriée
des données restera toujours celle des utilisateurs
3A.99
Base de données sur les
facteurs d'émission (BDFE)
Critères concernant l'inclusion des nouvelles données
solidité : la valeur est peu susceptible de changer, selon le
degré d'incertitude accepté, s'il y a eu répétition du
programme original de mesure ou de l'activité de modélisation
applicabilité : un FE est applicable uniquement si la source et
sa combinaison de technologies, les conditions fonctionnelles
et environnementales, et les technologies de réduction et de
contrôle sont claires et permettent à l'utilisateur de voir de
quelle manière il peut être appliqué
documentation : de l’information permettant d'accéder à la
référence technique originale est fournie en vue de
l’évaluation des notions de solidité et d’applicabilité décrites
ci-dessus
3A.100
Base de données sur les
facteurs
d'émission
Comité éditorial de la BDFE
(BDFE)
Sergio González
(Chili)
3A.101
Base de données sur les
facteurs d'émission (BDFE)
Données dans la BDFE
À l'heure actuelle, la BDFE contient seulement les données par
défaut du GIEC et les données de CORINAIR94
Pour le secteur de l'agriculture, les données proviennent
principalement du GIEC :
Total de 1 387 entrées
87,2 % consacrées au CH et au N O
4 2
De nouvelles données seront fournies par la communauté
3A.102
Base de données sur les
facteurs d'émission (BDFE)
Données dans la BDFE
3A.103
Base de données sur les
facteurs d'émission (BDFE)
Accès
ligne
Permettant aux fournisseurs de données de soumettre de
3A.104
BDFE locale –
application sur CD-ROM
3A.106
Application Web de la BDFE
3A.107
Application Web de la BDFE
3A.108
3A.109
3A.110
3A.111
3A.112
3A.113
3A.114
3A.115
3A.116