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La signification de la panthère est très puissante et est liée à la valeur de la protection.

C'est aussi un
animal considéré comme un gardien. C'est, en outre, un symbole de courage, de bravoure et de
pouvoir. On l'a aussi associé au soleil, particulièrement dans les cultures sud-américaines.

Les personnes qui s'identifient à cet animal sont des êtres qui possèdent une grande compréhension
du champ spirituel. Ces personnes sont souvent particulièrement intuitives et attirées par les aspects
artistiques.

De toutes les sortes de panthère qui existent, la panthère noire est une des espèces qui abrite le plus
grand mysticisme. C'est un symbole lié à la maternité, à la lune, à l'obscurité et au pouvoir de la nuit.
La panthère noire nous encourage à comprendre les pouvoirs obscurs et à supprimer nos peurs,
comme par exemple la peur du noir. Il peut s'agir d'un avertissement qui nous montre que nous
sommes sur le point d'entrer dans une nouvelle phase de notre vie, une phase dans laquelle nous
pourrons découvrir ce que nous désirons et vivre nos rêves.

https://www.lefrontal.com/symbolique-de-la-panthere

La panthère est un archétype dont la présence dans les rêves n’est pas liée à la connaissance de cet
animal mais aux qualités symboliques que lui prête l’inconscient collectif.

L’archétype de la panthère

Dans la réalité, mis à part au zoo, on ne voit jamais de panthère. Et pourtant, ce symbole très régulier
dans les rêves existe dans l’inconscient de chacun et sa signification découle des caractéristiques de
cet animal.

Comme le chat, la panthère est un félin. La panthère noire en est l’un des plus puissant. Sa souplesse
et son agilité sont des caractéristiques connues de tous.

Et ce n’est pas un hasard si, dans "Le livre de la jungle", c’est une panthère qui recueille le petit
d’homme, Mowgli. La panthère noire saura le défendre et le guider pour retrouver ses origines.

Symbolique de la panthère

Définition Wikipédia : "L’agilité est l’habileté de changer la position de son corps". Autrement dit,
l’habileté à se transformer.

Ainsi, la panthère est un animal qui permet à l’inconscient de montrer une transformation, non pas
physique mais intérieure. C’est pourquoi il n’est pas rare de se transformer en panthère durant un
songe. Se transformer ou se voir en félin c’est retrouver son caractère instinctif. Pour une femme, la
panthère est le symbole de sa féminité dissimulée derrière un comportement bridé par une
éducation et des activités trop rationnelles. Cette féminité puissante et sauvage fait partie de l’ombre
de la rêveuse, de sa personnalité cachée. Elle s’exprime en rêve non pas pour expulser des pulsions
réprimées mais à l’inverse pour montrer toute la réalité de cet aspect de sa personnalité.

La panthère peut aussi être un guide que le rêveur suit dans son rêve, comme Mowgli suit Bagheera.
La féminité de la panthère, à la fois douce et capable de protéger sa progéniture, d’apporter de la
sécurité, est l’expression de l’instinct maternel.

Un rêve de panthère noire est publié sur ce site et vous pouvez de la même façon écrire votre rêve,
le partager et en obtenir une interprétation.

Exemple d’interprétation d’un rêve de panthère

J’ai fait un rêve dans lequel je me promenais sur un marché et, à la fin du marché, il y avait un stand
un peu bizarre de peinture (je pense) il y avait des toiles et posters affichés, c’était un tout petit stand
et il y avait un jeune homme (très charmant) qui tenait ce stand.

Et à coté de lui une panthère noire immense. J’ai câliné la panthère et, après, elle a rugit sur moi (très
fort), et le jeune homme m’a dit que je lui avait manqué et qu’elle était vexée que je ne sois pas
venue la voir.

Après m’être excusée auprès de la panthère. Je lui fais des câlins qu’elle n’arrête pas de réclamer.

Ensuite je me vois dans une autre scène face à une poêle dans laquelle il y a un morceaux de steak et
au lieu de le passer à mon amie qui et près de moi je le passe à la panthère.

Vous retrouvez la panthère, vous excusez, et la nourrissez.

Ce qui me semble essentiel, ce sont ces excuses : vous reconnaissez avoir abandonné cette panthère.
Indépendamment de ce qu’elle représente, on comprend que vous redécouvrez une partie de vous,
que vous l’acceptez, et que par ces excuses vous l’intégrez.

Maintenant, quelle est cette partie ? Ce serait très intéressant d’échanger sur ce sujet, mais ce site a
ses limites...
A noter que nourrir, comme manger, faire passer par la bouche, comme au stade oral, est une image
pour dire l’intégration. En nourrissant la panthère vous reconnaissez son existence en vous et
apportez de l’énergie à cette partie.

Egalement, le jeune homme charmant associé à la panthère, à votre féminité cachée dans votre
ombre, est assurément une image de votre animus, de votre part masculine (à lire dans notre dossier
sur les bases de l’interprétation).

Autre exemple d’un rêve de panthère

J’ai besoin de vos lumières pour un rêve qui m’a particulièrement marqué.

J’étais dans le hall d’un bâtiment en Afrique, j’étais entourée de quelques personnes. Une caisse
posée à terre dans laquelle plusieurs félins vivants y étaient.

Dont une magnifique panthère noire avec une petite blessure ensanglantée. Un homme voulait
l’acheter pour la tuer afin d’en faire une amulette. Je n’étais pas effrayée par le félin tout en ayant
conscience que c’était un animal sauvage et imprévisible.

J’ai fait sortir la panthère afin qu’elle puisse s’échapper, grâce à cela elle est partie.

Pour information, je suis une femme.

Vous êtes une femme, et dans ce rêve une panthère ! Vous dévoilez là votre nature profonde, votre
énergie de vie, puissante, "sauvage et imprévisible". Grâce à vous la panthère est partie, et je
comprends qu’elle est "partie de vous", une partie blessée par un homme semble-t-il, mais
maintenant libre.

https://signification-reves.fr/Panthere

ean-Claude DANA > Mes livres > Le juif albinos > Extrait : Le symbolisme de la panthère noire

Le juif albinos (2000)

Extrait : Le symbolisme de la panthère noire

La panthère noire est différente de ses congénères que Dame Nature a fort obligeamment parées
d’une robe tachetée couleur de sous-bois. Cette tenue de camouflage reprise, dans la forme et dans
l’esprit, par nombre de troupes de combat, lui sert à se dissimuler afin de pouvoir attaquer par
surprise.

Grâce à son pelage, la panthère normale, tachetée, peut se mettre à l’affût en toute sérénité et
chasser de manière efficace.

La panthère noire, quant à elle, est le résultat d’une mutation mélanique : elle est albinos.

A cause de sa couleur, peu répandue dans la nature, elle ne peut se camoufler, et doit, pour chasser,
déployer des trésors de ruse et de rapidité.

De plus, n’étant pas... conforme à la norme, ses rapports sociaux avec les panthères tachetées ne
s’avèrent pas de tout repos !

Dans les ouvrages de zoologie, il est fréquent de lire que la panthère noire est plus sournoise et plus
cruelle que la panthère tachetée…

Nos doctes savants préjugent ainsi du comportement pernicieux de celui qui est… différent.

La panthère noire n’hérite pas génétiquement de facultés de discernement supérieures à celles de la


panthère tachetée.

Mais l’affûtage de certaines facultés est pour la panthère albinos une nécessité vitale, en raison de sa
couleur noire.

Le sens aigu de la survie a constitué, et constitue encore, la composante essentielle de ces albinos de
l’espèce humaine qu’il est convenu d’appeler le peuple juif.

Cependant, à l’instar des poupées gigognes, un phénomène de mutation peut se produire à


l’intérieur de ce groupe, donnant lieu à la naissance de… Juifs non conformes à la norme, les Juifs
albinos !
Etre albinos pour un Juif, c’est ne vouloir être ni un Juif intégriste, ni un Juif orthodoxe, ni un Juif
religieux, ni un Juif libéral, ni un Juif agnostique ou athée, ni même un Juif laïque, c’est se vouloir à
part entière - et non entièrement à part - un membre de l’Humanité, un Homme Libre, en somme un
Homme, tout simplement.

Etre albinos pour un Juif c’est, au nom du respect de la nature humaine et de son prochain, ne
vouloir s’affirmer ni fier, ni honteux d’être juif.

Etre albinos pour un Juif, c’est ne revendiquer son identité juive que si on la lui dénie. C’est aussi la
défendre, jusqu’au bout de ses forces et au péril de sa vie, si la haine vient s’ajouter au déni !

Nous héritons tous sur terre d’un certain nombre de traditions et de racines.

S’intéresser à ses traditions ? Oui, mais attention : toutes les traditions ne sont pas respectables,
uniquement parce qu’elles sont des traditions…

S’intéresser à ses racines, les étudier ? Oui, mais attention : vouloir spécifiquement s’y attacher, s’y
aggriper même, revient à exclure l’autre, pourtant notre frère.

L’arbre doit rester solidaire de ses racines fixées dans le sol. De ce fait, il est immobile.

L’homme, lui, est fait pour le mouvement.

L’arbre n’a pas de cerveau.

L’homme en a un, capable de s’ouvrir sur toutes les traditions, sur toutes les racines, sur toute la
mémoire de l’humanité, et aussi sur toutes les conceptions nouvelles, sur le progrès.

La richesse de l’homme réside en sa mobilité intellectuelle et physique.


L’homme a le pouvoir de cheminer tout au long de son existence, d’aller partout où le vent le porte,
sur la terre, sur la mer et dans les airs.

Tout au fond de sa poche, l’homme se doit de conserver ses racines. Mais celles-ci ne sauraient en
aucun cas se substituer à l’oriflamme de l’Humanisme Universel qu’il devra se targuer de brandir en
toutes circonstances.

« L’homme, » disait Thomas Hobbes, « est un loup pour l’homme »… « et réciproquement. », a-t-il
omis d’ajouter !

Depuis la nuit des temps, le loup représente pour l’homme le symbole de la Cruauté.

Quant au pigeon blanc, poétiquement appelé colombe, il est universellement reconnu pour être le
symbole de la Paix.

Or, les pigeons se comportent entre eux avec la plus grande cruauté, éliminant les plus faibles, se
battant à plusieurs contre un, allant jusqu’à s’entre-tuer pour défendre leur territoire ou leur pitance.

Quand le loup doit se battre pour une femelle, pour un territoire ou pour être le chef du clan, il ne
met jamais à mort son adversaire.

Le duel atteint son terme quand le battu, rarement blessé de manière sérieuse, accepte de s’en aller,
tête basse en signe de soumission.

Le loup a donc en société une attitude basée sur un rituel comportant des règles de respect mutuel,
ce qui n’est pas du tout le cas du pigeon.

L’homme a, par le détour d’un curieux paradoxe, attribué symboliquement la noblesse à la colombe,
devenu symbole de paix, et la vilenie au loup, devenu symbole de cruauté.

Mais connaissant l’homme… comme vous et moi le connaissons, cet apparent paradoxe n’est-il
réellement que le fruit du hasard
http://jean.claude.dana.free.fr/livres-lejuifalbinos-extrait1.php

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