Organisation et fonction de

l’entreprise

Anne Flautre

Anne Flautre - sociologue - EMAC

5 changements qui ont fait
émerger l’entreprise moderne
 Révolution industrielle
 Liberté d’entreprendre
 Les changements techniques
 Le changement social
 La croissance de la demande

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La machine à vapeur

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Le chemin de fer

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Le métier à tisser

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Des changements communs à
l’Angleterre, Allemagne et la France
 Accumulation de capital
 Innovation
 Facteurs matériels
 Population
 Evolution de la pensée
 Expansion du marché

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Les 5 caractéristiques de l’entreprise
moderne selon R Aron
 L’entreprise radicalement séparée de la
famille
 L’entreprise industrielle introduit une division
du travail : division interne à l’entreprise
 Une entreprise industrielle suppose une
accumulation de capital
 Elle introduit le calcul économique différent
du calcul technique
 Concentration ouvrière et problème de la
propriété des moyens de production.

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 Qu’est-ce qu’une entreprise
 Un produit
 Un appareil pour le produire
 Une action collective pour en réguler les flux
 Flux d’hommes, d’objets techniques, de règles,
d’informations … orientés vers une finalité :
 REALISER UN PRODUIT
 LE VENDRE SUR UN MARCHE
 EN RETIRER UN PROFIT
 RECOMMENCER

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 Définition (1)

 L’entreprise est un agent économique qui

combine des matières premières, du
matériel, des moyens financiers, des
ressources humaines dans un but de
produire des biens ou des services.
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L’entreprise
Centre de décisions autonomes
On y fait des choix et on les met en
œuvre
Ces choix sont faits en fonction des
finalités
Economiques
Sociales
Politiques

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Diversité de termes pour
qualifier l’entreprise
Entreprise : terme économique
Société : terme juridique
Firme : terme anglo-saxon
Institution : référence aux organismes
officiels
Organisation: terme gestionnaire

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 Définition (2)
En terme d’organisation
 L’entreprise est un lieu où des hommes et des
femmes coopèrent entre eux, s’organisent pour
produire, inventent des règles et des façons de
faire et échangent en permanence avec la société
qui les entoure.

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L’entreprise et l’organisation
 Une organisation est :
 une division et une coordination des tâches
et des activités
 une formalisation des règles et des
procédures de fonctionnement
 une hiérarchie et un contrôle
 une stabilité relative.

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Cinq caractéristiques majeures

 L’entreprise produit et vend des biens ou des

services marchands.
 C’est un centre de comptabilité et de profit.
 Son activité est à la fois continue et fixe
 C’est le lieu d’un travail individuel ou collectif,
salarié ou rémunéré.
 C’est un centre autonome de décision.

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L’entreprise : un lieu de
transformation de matières premières

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L’entreprise : un groupement
humain

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L’entreprise et les facteurs qui
l’influencent ; le principe de
contingence

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 Diversité des entreprises

 Secteur privé
 Entreprises individuelles
 Entreprises sociétaires
 Secteur public
 Sociétés d’économies mixtes (Air France, France Télécoms)
 Entreprises nationales (EDF, SNCF)
 Établissements publics administratifs (Caisse des dépôts et
consignations
 Secteur de l’économie sociale
 Mutuelles (MAIF), banques mutualistes (Crédit mutuel),
coopératives (SCOP), associations.

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 Diversité des entreprises
 Par la taille : Recommandation européenne du 3 avril
1996, appliquée avec la loi de finance 2002.

 <10 personnes (micro entreprise)

 10 à 19 personnes (Très petite entreprise)
 20 à 49 personnes (Petite entreprise)
 50 à 249 personnes (Moyenne entreprise)
 >250 personnes (Grande entreprise)

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 Le cadre économique de
l’entreprise
 Divisé en secteur économique :
 Primaire, secondaire, tertiaire
 Productivité, Rentabilité, Profitabilité
 Valeur ajoutée
 Redistribution :
 Etat et collectivités territoriales,
 les salariés,
 les organismes financiers
 Les propriétaires et actionnaires de l’entreprise.

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Responsabilité de l’entreprise
 Rendre des comptes à la société
 Responsabilité des dirigeants sur les accidents
du travail
 Responsabilité face aux pratiques
délictueuses
 Condamnation des entreprises pour le non
respect des règles
 Responsabilité sociale

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Les modèles organisationnels

Les grands courants en théorie

des organisations

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 Les grands penseurs de
l’organisation
 Max Weber (1864-1920) : Penser la bureaucratie

 Elton Mayo (1880-1949) : Ecole des relations humaines

 Henri Fayol (1841-1925) : Diriger est un métier.

 Frédéric Taylor (1856-1915) : Organisation Scientifique du Travail (OST)

 Henri Ford (1863-1947) : Le fordisme

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Max WEBER (1864-1920)
 Les fondements de l’autorité et du
pouvoir dans les organisations.

 Autorité traditionnelle
 Autorité charismatique
 Autorité rationnelle ou légale

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La bureaucratie

 Le moyen le plus rationnel que l’on

connaisse pour exercer un contrôle
impératif sur les êtres humains

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La théorie de la bureaucratie
de Max Weber
 Division du travail fixée et officialisée
 Hiérarchie est une hiérarchie d’emplois, claire.
 Système de règles stables et explicites
 Un emploi est un système de compétences bien
définies
 Les candidats sont recrutés par rapport à leur
qualification
 L’employé n’est pas propriétaire de son emploi.
 Une carrière progressant en fonction de critères
objectifs (ancienneté)
 Les agents sont libres sur la base d’une relation
contractuelle
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Les caractéristiques de
l’organisation rationnelle tend vers :

 la spécialisation des tâches (division

systématique du travail)
 la standardisation des tâches (règles
explicites et stables)
 la formalisation des tâches (définition
officielle et écrite)
 la centralisation de l’autorité (pyramide
hiérarchique)
 L’impersonnalité des relations (internes et
externes).

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Taylor (1856-1915)
 « L’avancement, les salaires élevés et
parfois la réduction des horaires de
travail sont de légitimes ambitions d’un
ouvrier ; mais toute manœuvre qui a
pour but de limiter la production doit
être regardée comme un moyen
tendant, à la longue, à abaisser les
salaires »
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Taylor et l’Organisation Scientifique
du Travail (1856-1914)
 Les 5 principes élémentaires de Taylor
 Organisation du travail relève du dirigeant et non du
travailleur
 Avoir recours à des méthodes scientifiques pour
déterminer la méthode la plus efficace (règles)
 Choisir l’individu le mieux qualifié pour accomplir la tâche
ainsi conçue. (compétences)
 Former l’ouvrier à travailler de façon efficace (formation)
 Surveiller la performance du travailleur pour s’assurer qu’il
utilise les méthodes appropriées et que les résultats
souhaités s’ensuivent. (contrôle)

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 Etablir des lois scientifiques à l’organisation
du travail.
 Pour Taylor, le seul collectif, c’est l’usine
donc toute coalition ouvrière est le signe
d’une erreur de gestion
 Rendre l’être humain plus performant en
lui enseignant les gestes à faire et en
interdisant qu’il s’en écarte.

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4 comportements dans le
principe taylorien

 Les aptitudes :
« entre être humain et machine »
 La rapidité : « Etude des temps »
 Endurance : « étude de la fatigue »
 Les coûts : « le temps et l’argent »,
motiver par l’argent.

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H Ford et le fordisme
(1863-1947)
 Les 3 principes de Ford

 Le travail à la chaîne
 Standardisation des biens de production
 « Five dollars a day »

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 Elton Mayo (1880-1949)
 « Il faut comprendre l’organisation
comme un système social ; les
sentiments des travailleurs, leurs
motivations ne peuvent se comprendre
qu’à partir de l’ensemble des relations
qu’ils entretiennent avec les divers
groupes, et notamment, les techniciens
et les chefs »
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Les limites de l’école classique
des organisations
 Difficultés d’équilibrer la chaîne de production
 Rebus, gaspillage, malfaçon
 Différences techniques
 Conditions de travail se détériorent
 Routine, abrutissement, surmenage, accident
du travail
 Absentéisme élevé, taux de rotation du
personnel élevé.
 Développement de la sous-traitance et du
travail intérimaire.
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L’école des relations Humaines
 Inventeur du mot « relations humaines
»
 Il étudie :
 Les relations entre productivité et moral
des employés
 Les rapports personnels à l’intérieur et
entre les groupes
 Les différentes manières de diriger
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 L’école des relations Humaines:
les effets de la Hawthorne
 Expérience réalisée par E. Mayo entre 1927-1932 à
l’atelier Hawthorne de la Western Electric Compagny
(usine de fabrication de téléphone à Cicero, Chicago).

 Soumettre les ouvriers à différents changements dans leur

environnement de travail
 Etendre l’expérience en modifiant certains facteurs jugés
importants (rémunération, horaires de travail, pauses… )
 Réalisations d’entretiens (1600) afin de comprendre les
influences et les relations de travail
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 L’effet Hawthorne
 L’intérêt de la direction pour les ouvriers fait que la
productivité augmente.
 Les relations interpersonnelles entre les groupes sont
importants au sein d’un atelier de production.
 Les groupes produisent une norme et des règles
sociales informelles
 Lorsque l’on s’intéresse aux travailleurs, le travail
semble plus intéressant.
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 L’école des relations humaines
 Ne bouleverse pas les conceptions tayloriennes du travail et
les conflits sociaux.
 Mise en évidence de l’effet du groupe et des relations
interpersonnelles (affectives, émotions) sur le comportement
des ouvriers et leur productivité.
 L’usine est un lieu de croyances, d’idées, de valeurs
partagées qui s’expriment à travers des logiques d’action
différentes des logiques d’efficience.

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Trois effets principaux
 Effet de considération :
 les salariés travaillent mieux si on s’occupe d’eux
 Effet de groupe :
 le travail est une activité de groupe. Le salarié
travaille mieux en groupe que seul. Le groupe
exerce des pressions et un contrôle social marqué
sur les habitudes et les attitudes des travailleurs.
Il a une influence sur la motivation et l’acceptation
des changements d’habitudes.
 Effet d’affectivité :
 Les relations ont un contenu plus affectif que
fonctionnel. Le salarié réagit au climat social.

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 H Fayol (1841-1925)
les principes de gestion
 Les gestionnaires ont une fonction
essentielle dans l’entreprise

 Planifier
 Organiser
 Commander
 Coordonner
 Contrôler

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 Les grands principes de
gestion
 Division du travail
 Autorité et responsabilité : L’autorité du chef ne vaut rien sans une
responsabilité correspondante.
 Discipline dépend de la valeur du chef
 Unité de commandement et de direction : (Le chef est l’instrument
principal de coordination et d’intégration.)
 Subordination de l’intérêt particulier à l’intérêt général
 Rémunération équitable
 Stabilité du personnel : esprit de corps « l’union fait la force »

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L’entreprise : « une construction
sociale »

 Elle ne fabrique pas que des produits

commercialisables. Elle produit « de l’emploi,
de la créativité, de la culture, des solidarités,
des modes de vie ». (Renaud Sainsaulieu,
1987)
 Il faut donc la saisir comme un univers
complexe et composite.

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 « Une construction sociale »

ressources rétributions

ENVIRONNEMENT ORGANISATION INDIVIDUS

Produits/ contributions
services

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 « Un système social »
Un système composé de 4 sous-systèmes

OBJECTIFS

STRUCTURES
TECHNIQUES

CULTURE

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Structure et Organisation

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 Structure d’une organisation
Définition
 La structure d’une organisation est
l’ensemble des dispositifs par lesquels
une entreprise répartit, coordonne et
contrôle ses activités.

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La structure des entreprises
 Pourquoi structurer :
 Mieux cerner les tâches
 Faciliter le travail de chaque acteur
 Préciser le type de relation entre chaque
service
 Générer la motivation

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La coordination

 La coordination entre les membres de

l’entreprise est pour Mintzberg sa principale
caractéristique et son principe fonctionnel :
 Il identifie 5 modes de coordination:
 L’ajustement informel
 La supervision directe
 La standardisation des procédés
 La standardisation des résultats
 La standardisation des qualifications
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Les cinq parties de base de
l’organisation

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5 configurations d’une
organisation selon Mintzberg
 Organisation entrepreneuriale
 Organisation mécaniste
 Organisation professionnelle
 Organisation divisionnalisée
 Organisation innovatrice

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L’organisation entrepreneuriale

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L’organisation mécaniste

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L’organisation divisionnalisée

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Organisation professionnelle

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L’organisation innovatrice

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Le « pentagone » intégré des
forces et des formes

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Les structures organisationnelles

 Structures fonctionnelles
 Structures divisionnaires
 Structures matricielles
 Structures par projet

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Structure Fonctionnelle

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Structure divisionnaire

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Structure matricielle

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Structure par projet

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Pour conclure :
Les mutations actuelles
 De la conception de l’économie fondée sur la
rationalisation, la quantité, la standardisation
et la production matérielle à…

 une civilisation de l’innovation, de la qualité,

du sur-mesure et de l’immatériel

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De nouvelles interrogations à propos
de
Changement : comment peut-on adapter
l’organisation à une logique innovation?
Savoirs : comment conserver, capitaliser, faire circuler
les connaissances dans l’entreprise?
Faire ou faire-faire : est-il plus rentable d’intégrer le
maximum de facteurs de production, ou faut-il au
contraire sous-traiter certains services?
Nouveaux outils de gestion : comment mesurer le
capital intangible (compétences, marques, formation,
image de l’entreprise, ambiance de travail,
réactivité)qui pèse d’un poids croissant dans ce que
produisent les entreprises?
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Les théories classiques ne sont pas
obsolètes
 Les phénomènes humains explorés dépassent
la contingence économique et structurelle

 La coordination, le pouvoir, la culture,

l’apprentissage… existeront toujours

 Souvent, les méthodes managériales ne sont

que de « vieilles boissons dans de nouvelles
bouteilles » (Mintzberg)…

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