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P. P. / P. B
5580 Rochefort
B .C 43/ 49
Mars – Avril 2009-
N° 29
Bimestriel
de
L’AMICALE LIBERALE DES PENSIONNES
de
ROCHEFORT
Editeur responsable
Contact : Oscar Crispin
Avenue de Forest n° 8 5580 Rochefort
TEL 084/211161
Le site Web de l’Amicale des Pensionnés, ouvert sur le www.rochefortinteractif.be site gratuit de la
commune, met à la disposition de tous ses membres en règle de cotisation, la possibilité de faire
paraître des petites annonces, quelque soit le contexte ou un petit chat à donner ou une voiture à
vendre
Table des Matières
Mobilité Rochefortoise
Appel au Bénévolat
Chers amies & Chers amis Pensionnés
Cet appel s’adresse
s’adresse à tous les membres de L’Amicale, féminins et masculins et
leurs amis qui seraient candidats comme bénévoles pour conduire la voiture de
l’ASBL Mobilité Rochefortoise,Un jour par semaine, car nous voudrions recruter
une réserve de chauffeurs effectifs
effectifs et suppléants Afin de soulager l’équipe
actuelle. Pour les informations complémentaires, n’hésitez pas à contacter ℡
le 0472 / 492270 Mme Noêlle Demoulin Ainsi que le 084 /211161 -0496790161
0496790161 de
Monsieur Crispin Oscar, Amicale libérale des Pensionnés de Rochefort
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Voici une nouvelle année de commencée nous sommes déjà en
mars, nous espérons que le monde va changer, tout le fait
espérer : Nouveau Président aux USA et la fin de la guerre à
Gaza on nous la promet ? Nous vous souhaitons un guai
printemps bien fleuri..
En projet pour 2009 Voici, comme promis, les dates des activités prévues en 2009 à Rochefort :
Décès :.Nous avons le grand regret de vous faire part du Décès de Madame Mariette Pochet- Renard
dans sa /88 ème année, maman de notre cher Eugène : Ingénieur en Informatique bénévole pour notre
Amicale.
Nous avons appris le décès de Madame Zébière de Wavreille, Maman de Monsieur Albert Leroy
Le Président et le comité de l’Amicale « les Rêves en bleu « partagent votre peine et s’associent par la
pensée aux familles.
Avec le soutien de la Communauté Française, En collaboration avec la Ligue Libérale des Pensionnés
a s b l, la Fédération Libérale des Pensionnés de la Province de Namur a s b l et la Mutualité Libérale
Hainaut-Namur.
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« la Résidence Préhyr »
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Nouvel An à « La Résidence Préhyr »
Le Mardi 6 janvier à l’occasion du Nouvel An 2009
Le Docteur Henrotin, Président, la Directrice Madame G.Clément, les membres du
Conseil d’Administration de la « Résidence Prehyr ont reçu les membres du personnel, les
bénévoles et les personnes dévouées, le Député Bourgmestre François Bellot et les
membres du conseil Echevinal rehaussaient de leur présence cette assemblée. Un verre de
l’amitié et un goûter leurs ont été servis, une convivialité de bon alois régnait sur cette
réunion et laissait entrevoir une institution bien gérée.
Le Président nous Parle :
DISCOURS DU MARDI 06 JANVIER 2009 A LA RESIDENCE PREHYR.
L’année 2008 tant attendue parce que l’aboutissement d’un grand projet voulu par la Ville de Rochefort
mais surtout par moi, cette année 2008 se terminait en beauté et dans le calme.
La fin d’une année c’est le moment de faire le bilan de l’année écoulée et les projets pour l’année future.
Je peux affirmer que le bilan est très positif si on considère que l’on est parti de presque rien en avril et
qu’en fin d’année nous avons, grâce à vous tous, un établissement où les résidents se plaisent et sont très
heureux. Pour moi, c’est un critère très important.
Rappelez-vous en avril, nous avons déménagé du home Fabri 23 résidents, nous sommes à 85.
Bien sûr, au début, il y a eu quelques difficultés ; un excès de fatigue car les résidents étaient dispersés dans
les 4 ailes du bâtiment aussi parce que les couloirs sont très longs et parce qu’au début vous étiez en nombre
insuffisant.
Au fil du temps et après quelques moments de grogne, nous avons atteint certainement un équilibre. Le
travail accompli par chacun de vous a été difficile au début, chacun à tous les niveaux devant trouver ses
marques.
Mais vous avez réussi, BRAVO !
La Directrice avait un challenge énorme, il n’y avait rien, elle a dû tout construire : faire les examens,
organiser l’engagement du personnel, parfois prendre des décisions mal comprises, faire les dossiers
INAMI, Région Wallonne, Centre de Jour, Lits cour séjour, lits MRS, veiller à ce que tout fonctionne bien
et elle a réussi ce challenge et a atteint les objectifs.
Toutefois si elle n’a pas toujours été présente près de vous, à votre écoute, c’est uniquement à cause de la
surcharge de travail.
L’organisation telle qu’elle va être, Madame la Directrice pourra être présente et écouter surtout les
membres du personnel et aussi les résidents.
Vous devez savoir qu’elle est toujours disponible pour vous rencontrer si vous avez des remarques ou
besoin de conseils ou d’aide.
Je peux aussi au besoin vous rencontrer quand vous le souhaitez et nous allons veiller dans l’avenir à
améliorer les relations humaines.
Grâce à votre travail, à votre persévérance à tous membres de l’équipe des soins, du nursing, de la cuisine,
de l’administration, le technicien ont atteint notre objectif premier, le bien-être des résidents. Un grand
merci à tous.
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L’autre objectif est le plan financier.
Là nous sommes peut-être un petit peu en déficit, c’est normal car nous avons dû acheter beaucoup
d’équipements manquants et non prévus au départ.
Je ne voudrais pas terminer sans remercier chaleureusement les membres actifs du Comité de Direction ; ces
valeureux bénévoles je parle de Monsieur GILSON, Monsieur LAMBREMONT sans oublier le Président
du CPAS, Monsieur HENIN m’ont été d’une aide merveilleuse et sans eux je pense que je n’y serais jamais
arrivé.
Un grand merci à eux.
Il me reste à vous présenter mes meilleurs vœux pour 2009, je vous souhaite beaucoup de bonheur dans
votre vie familiale, dans vos projets et dans votre vie professionnelle.
Je souhaite aussi que vous poursuiviez votre œuvre avec le même esprit positif pour le bien-être des
résidents. Merci de votre attention.
À V OT R E D I S P OS I T I O N P O U R T O U T R E N S E I GN E M E N T S E T D E V I S PE R S ON N A L I S É S
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Une exposition pas comme les autres
Sissi, Du 21/12/ 08 au 4/01/09
En marge :
Une Exposition historique :
Sissi Elisabeth d’Autriche, Impératrice de tragédie.
Documents uniques, photographies, archives, objets,…Centre Culturel des Roches à Rochefort
Du dimanche 21 décembre 2008 au dimanche 4 janvier 2009
Cinéma : « Sissi Impératrice »
Le vendredi 26 décembre 2008 à 16h :
Concert de Nouvel An : « Offenbach-Strauss: la rencontre de l’humour et du roi de la musique
légère ! » Le samedi 27 décembre 2008 à 20h Avec le soutien de la Loterie Nationale.
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Le continent Européen : Les quinze premiers
L’ Italie
Quand la nature est protégée Bien manger, mieux boire Vivent
les spaghettis, la pizza, les tomates, l'huile d'olive, le café express et le cappuccino! C'est tout ce qu'il y a
comme cuisine italienne me direz-vous? Non bien sûr. L'Italie a mille plats différents, des centaines de
spécialités gastronomiques, une infinité de produits typiques savoureux car elle dispose d'un système agro
industriel moderne et avancé mais qui veille à conserver les saveurs et les valeurs (mêmes diététiques)
traditionnelles. La qualité et la fraîcheur sont à la base de toutes les spécialités gastronomiques italiennes
dans leurs nombreuses variantes: de la fondue piémontaise à la "caponata" sicilienne, du risotto à la milanaise
à la mozzarella campanienne, des "risi e bisi" de la Vénétie à la "porchetta" romaine, des "trenette al pesto" de
la Ligurie à la côte de bœuf florentine, en passant par les lasagnes émiliennes ou les spaghettis à la "chitarra"
des Abruzzes.
Un autre raison de venir en Italie pourrait justement être (et c'est souvent le cas) l'envie de connaître et de
goûter sa cuisine. Il n'y a que l'embarras du choix: celle des restaurants les plus renommés des villes célèbres
pour leur gastronomie, celle des innombrables trattorias que l'on trouve dans chaque village et le long de
chaque route d'Italie ou encore la cuisine des tavernes et des bistrots situés dans les coins les plus
caractéristiques des cités. Ces derniers ont la spécialité de personnaliser des plats traditionnels ou de
redécouvrir et utiliser des produits agricoles typiques (épeautre, orge, maïs, légumes, huile d'olive, etc.) pour
une cuisine savoureuse bien que sobre sur le plan diététique.
Quant au vin, l'Italie a désormais récupéré depuis longtemps le retard séculaire par rapport aux pays qui ont
une culture œnologique plus ancienne. De nos jours, les vins italiens ne craignent plus aucune comparaison. Il
y en a pour tous les goûts et ils sont excellents: blancs, rouges, rosés, vins de paille,
"muffati" (qui ont pris un parfum caractéristique de moisi ou autre), mousseux, etc. En
Italie, on mange et on boit peut-être comme nulle part ailleurs!
En Italie, les animaux, mais également les plantes (arbres, fleurs, etc.), les minéraux,
l'eau et même l'air sont donc "intouchables" dans un Parc ou dans une Réserve italienne.
L'Italie compte 23 Parcs nationaux, 89 Parcs régionaux, 270 Réserves régionales, 142 Réserves nationales, 47
Zones humides, 7 Réserves marines. Ces zones protégées sont gérées par l'état, par les Régions, par les
Provinces et par les Communes ou par des Associations écologistes, telles que Italia Nostra, WWF, Lega
Ambiente, Greenpeace, LIPU, Touring Club, etc. Voici la liste des Parcs Nationaux: Abruzzo (le premier
ouvert en Italie en septembre 1922), Grand-Paradis (ouvert quelques mois après le Parc Abruzzo), Circé,
Stelvio, Calabria, Pollino, Monts Sibyllins, Archipel Toscan, Forêts de Casentino, Dolomites de Belluno,
Aspromonte, Cilento-Vallée de Diano, Gargano, Gran Sasso-Laga, Maiella, Val Grande, Vésuve,
Gennargentu-Asinara-Golfe d'Orosei, Alta Murgia, Appennino Tosco-Emiliano, Arcipelago La Maddalena,
Cinqueterre, Foreste Casentinesi, Monte Falterona, Campigna. Nous avons voulu tous les citer pour prouver à
quel point L'Italie aime et protège la Nature, au Nord comme au Sud.
Léonard de Vinci, Michel-Ange, Masaccio, Botticelli, Piero della Francesca, Mantegna, Donatello, Raphaël,
Antonello da Messina, Bramante, le Corrège, le Tintoret, Giorgione: tous ces artistes (sculpteurs, peintres,
architectes) sont entrés dans la légende et sont connus dans le monde entier comme étant les plus grandes
expressions du génie artistique de tous les temps. Leurs œuvres attirent constamment des visiteurs qui restent
émerveillés et stupéfaits, des étudiants et des chercheurs désireux de comprendre (et d'arracher) les secrets de
cet art sublime et inaccessible dans ses plus hautes expressions.
C'est l'art de la Renaissance, le grand mouvement culturel né en Italie au XVe siècle et qui a profondément
influencé l'histoire de la culture et de la civilisation italienne et européenne. La Renaissance a replacé
l'homme, qui était resté en marge par rapport aux desseins divins durant les siècles difficiles du Moyen Age,
et le monde laïc au centre de l'univers. Des philosophes comme Giordano Bruno et Tommaso Campanella, des
savants comme Copernic et Galilée, des chercheurs comme Machiavel, des poètes comme l'Arioste, des
musiciens comme Palestrina et Monteverdi sont les grands hommes de la Renaissance.
Grâce à une vision "moderne" du monde et de la société partagée et soutenue par une bourgeoisie riche et
entreprenante, ils ont changé radicalement la façon de penser, d'agir et de créer dominante de l'époque. Pour
les arts et l'architecture, la Renaissance est synonyme de chef-d'œuvre, de génie inventif et créatif. La grande
saison artistique de la Renaissance a laissé de magnifiques traces partout en Italie, non seulement dans les
grandes villes comme Florence, Rome, Venise, Milan et Naples, mais également dans beaucoup d'autres
centres de nombreuses régions italiennes. Les tableaux, les statues, les églises, les palais et les fontaines sont
une série ininterrompue et impressionnante de signes à travers lesquels le visiteur peut reconstruire par la
pensée une civilisation qui a vraiment changé le monde.
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C r a c o v i e ( suiteCopernic étudie à Cracovie. En 1505, le « Balthasar Behem Codex », du nom du
chancelier de Cracovie, décrit et règlemente les statuts des corporations des citoyens de langue allemande
dans la ville. En 1520, Johann Behem ordonne la production de la cloche Sigismund qui est aujourd'hui
encore la plus grosse cloche de Pologne. À cette époque, Hans Dürer, le plus jeune frère de Albrecht Dürer,
est peintre à la cour de Sigismond Ier Jagellon. Hans von Kulmbach termine l’autel de l’église Saint-Jean. La
mort de Sigismond II de Pologne en 1572 met fin à la dynastie Jagellon.
En 1596, le roi Sigismond III Vasa transfère la résidence royale à Varsovie qui a
été annexée par la Pologne (elle faisait partie auparavant du duché de Mazovie).
Cracovie voit son influence diminuer et perd de son importance d'autant plus
qu'elle est affaiblie par les pillages lors des invasions suédoises et par la peste
qui fait 20 000 victimes.
XVIIe au XIXe siècle La Pologne doit faire face aux envies de puissance de ses
pays voisins, la Prusse et la Russie ayant des vues sur ce territoire. Tadeusz
Kościuszko lance un dernier mouvement d'insurrection à partir de Cracovie
pour tenter de maintenir l'indépendance de la Pologne mais cela se termine par
un échec et en 1795, le pays est partagé entre la Prusse, la Russie et l'empire
autrichien qui hérita de Cracovie (incorporée à la province de Galicie).
L'année 1809 apporte la libération à Cracovie qui est intégrée au Grand Duché de Varsovie. Entre 1815 et
1846, elle est même une « ville libre » (Ville libre de Cracovie). En 1846, après une nouvelle tentative de
rébellion, Cracovie repasse sous le contrôle de l'empire autrichien. Après la guerre austro-prussienne de 1866,
l'Autriche accorde l'autonomie à la province galicienne en échange de la loyauté polonaise. Cracovie est de
nouveau un symbole national. Les Autrichiens étant moins durs que les Russes ou les Prussiens, Cracovie
peut s'épanouir et redevenir le centre culturel et artistique de la Pologne. De célèbres peintres, écrivains et
poètes y viennent travailler : Jan Matejko, Stanisław Wyspiański, Stanisław Ignacy Witkiewicz, Stanislaw
Przybyszewski, Jan Kasprowicz, Juliusz Kossak et Wojciech Kossak. Cracovie devient le principal centre du
modernisme polonais dont les plus grands représentants sont Wyspianski et Przybyszewski..À Cracovie et
Varsovie, des mouvements de libération nationale sont actifs malgré l'occupation et les mesures coercitives et
décourageantes prises par les puissances occupantes (usage du polonais banni dans de nombreuses régions...).
XXe siècle Lors de la Première Guerre mondiale, les troupes de Cracovie combattent au côté des Empires
centraux avec l'Allemagne et l'Autriche afin d'obtenir une certaine autonomie, suite à une promesse faite
conjointement le 5 novembre 1916. En 1917, les Allemands et les Austro-Hongrois installent un Conseil
d’État provisoire. En 1918, Woodrow Wilson prend parti pour l'indépendance de la Pologne, et Cracovie et la
Galicie font partie de la Pologne, tandis que les troupes de Józef Piłsudski désarment l'armée austro-hongroise
présente dans la région
En septembre 1939, Cracovie tombe aux mains de la Wehrmacht à la suite du reste de la Pologne. Elle devient
la capitale des territoires occupés polonais. Le gouverneur Hans Frank aménage des camps de concentration
dans. Bien que les occupants aient fait quelques dégâts, Cracovie a été globalement préservée des
bombardements et de destructions massives mais elle a souffert de la perte de nombreux habitants : juifs et
savants ont été déportés. Ainsi, plus de 150 professeurs et scientifiques de l'Université jagellonne de Cracovie,
réunis pour un sommet, y ont été arrêtés et déportés au camp de concentration de Sachsenhausen où la plupart
périrent.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'URSS essaye de diminuer l'influence des cercles artistiques et
intellectuels de Cracovie afin de faciliter le passage de la Pologne à un État socialiste. Une nouvelle ville
voisine Nowa Huta est créée où fut construite la plus grande usine de production d'acier au monde à l'époque
(dont les émissions gazeuses ont endommagé le centre historique). Le but était d'attirer des travailleurs
« socialistes » pour contrebalancer le poids des intellectuels « capitalistes »
.Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la population de Cracovie a quadruplé et la ville est redevenue
le centre culturel de la Pologne. En 1978, l'Unesco a inscrit Cracovie sur la liste du patrimoine mondial.
Il y a trois siècles, Cracovie obtenait le titre honorifique de « totius Poloniae urbs celeberrima » qui reflète le
caractère unique et exceptionnel de cette ville, ancienne capitale de la Pologne, ville de l'astronome Nicolas
Copernic et du pape Jean Paul ii. Cracovie juive : Plusieurs siècles de présence -La synagogue Remuh
(2006) A l’instar de plusieurs grandes villes de Pologne, l’histoire de Cracovie est fortement marquée par la
présence
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D’une importante communauté juive dont les premières traces remontent au XIIIe siècle. Bénéficiant d’une
relative protection de la part des autorités locales, les juifs contribuèrent à la prospérité économique de la ville
et à son enrichissement social au fil des générations. Ils participèrent également à la vie politique jusqu'aux
plus hautes fonctions, comme le maire de 1933 à 1939, Mieczysław Kaplicki (né Maurycy Kapellner, 1875-
1959), ou le rabbin Ozjasz Thon (1870-1936), député au Sejm de 1919 à
1935.La population juive passa de 25.870 en 1900 à 56.800 en 1931. Avant
la seconde guerre mondiale, on estime que près d’un quart des habitants de
Cracovie étaient israélites, soit une population juive de 60 000 personnes sur
un total de 250 000 habitants environ
Une vie culturelle remarquable
Les juifs de Cracovie résidaient principalement dans le quartier de
Kazimierz dans lequel se trouvaient en nombre synagogues, écoles et
institutions israélites ainsi que commerces et lieux communautaires. La rue Szeroka, la synagogue Remuh et
son cimetière du XVIe siècle, les synagogues Stara, Wysoka, Isaac et Kupa ou encore la Place Nouvelle
constituent les derniers vestiges de ce qui fut, il y a quelques dizaines d’années encore, l’un des plus éminents
lieu de la culture yiddish en Europe centrale L'ancienne mairie (Ratusz) de Cracovie sur le Rynek
Główny Le souffle destructeur de la Shoah 90% des juifs de Cracovie furent assassinés par les nazis
allemands entre 1939 et 1945. L’holocauste a vidé la ville de ses habitants israélites qui furent déportés, avec
une rare cruauté, dans les camps de concentration et d’extermination voisins. 20 000 d’entre eux furent
temporairement enfermés dans le ghetto du quartier de Podgórze situé de l’autre côté
de la Vistule.Les rares survivants se heurtèrent par la suite à un vif antisémitisme de la
communauté chrétienne comme en témoigne le pogrom qui eu lieu le 11 août 1945
dans la ville. Ils furent également victimes de manipulations par le régime de
Władysław Gomułka qui tenta de leur faire porter la responsabilité de ses échecs dans
les années 1960 et organisa des procès politiques iniques. Il resterait aujourd'hui à
Cracovie environ 200 Juifs, pour la plupart des personnes âgées. La vieille mairie de
Kazimierz : Vers une renaissance ? Totalement laissé à l’abandon durant les
cinquante dernières années, le quartier de Kazimierz connaît actuellement un fort
renouveau touristique, principalement en raison du succès rencontré par le film de
Steven Spielberg, « La Liste de Schindler », réalisé sur place. L’œuvre du cinéaste met
en lumière le rôle d’un industriel allemand qui sauva des centaines de vies en faisant travailler dans son usine
des juifs promis à une mort certaine. Avec le pharmacien du ghetto, Tadeusz Pankiewicz, il reçut le titre de
« juste parmi les nations » du Mémorial de Yad Vashem de Jérusalem.Des visiteurs se rendent à présent sur
les lieux du tournage et y découvrent des restaurants, cafés et librairies puisant dans le passé juif de la ville
une thématique originale (voir par exemple le site Cracovie juive). Le festival de la culture juive a Cracovie
est le plus grand événement de ce genre au monde. Si ces initiatives semblent annoncer une forme de
réhabilitation matérielle des lieux, elles n’en posent pas moins la question du respect de la mémoire des
victimes de la barbarie national-socialiste. Le martyr du peuple juif demeure incommensurable en Pologne
sous l'occupation allemande et Cracovie fut l’un de ses plus tragiques théâtres
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Un sujet Passionnant Faire sa Généalogie
Seules les années divisibles par quatre sont bissextiles, sauf les années multiples de cent ne sont pas
divisibles.
Pour rattraper le retard de dix jours accumulés depuis quinze siècles, il fût décidé à Rome que le 4
octobre 1582 serait suivi du 15 octobre. Le changement n’intervint en France qu’en décembre, le 20
décembre 1582 grégorien succédant au 10 décembre 1582 julien. L’application de ce calendrier
rencontra des résistances dans les pays non catholiques et certains ont même tardé à l’adopter,
comme par exemple la Russie, qui ne l’adopta qu’en 1923.
Le calendrier républicain.
La Révolution entraîna un changement de calendrier en 1793. La Convention institua le calendrier
républicain le 24 octobre 1793 et fixa le début de l’année au 22 septembre, qui correspond à l’équinoxe
d’automne. La date d’origine du calendrier fût fixée au 22 septembre 1792, date de l’établissement de la
République.
L’année était composée de douze mois, chacun divisé en trois décades. La semaine de sept jours était donc
remplacée par la semaine de 10 jours. On ajoutait à ce découpage cinq jours à la fin de l’année pour célébrer
les fêtes républicaines. Les mois ont été renommés par le poète Fabre d’Eglantine, qui évoque dans ces
noms les phénomènes naturels et les activités
Calendrier républicain Phénomène évoqué Calendrier grégorien
Vendémiaire Vendanges Septembre
Brumaire Brumes Octobre
Frimaire Froid Novembre
Nivôse Neiges Décembre
Pluviôse Pluies Janvier
Ventôse Vents Février
Germinal Germination Mars
Floréal Fleurs Avril
Prairial Prairies Mai
Messidor Moissons Juin
Thermidor Chaleurs Juillet
Fructidor Fruits Août
Les semaines étaient composées de dix jours, qui furent renommés de la manière suivante : primidi, duodi,
tridi, quartidi, quintidi, sextidi, septidi, octidi, nonidi et décadi. D’autre part, les noms de saints, qui
composaient le calendrier grégorien, ont été remplacés par des noms de plantes, d’outils ou d’animaux.
Ce calendrier a été utilisé pendant seize ans et a été remplacé par le calendrier grégorien le 1e janvier 1806.
Pour pourvoir transcrire des dates du calendrier républicain en date du calendrier grégorien, vous aurez
besoin d’une table de concordance . Il est conseillé d'en avoir toujours une avec vous lors de vos recherches
généalogiques, et de transcrire systématiquement les dates du calendrier républicain en dates du calendrier
grégorien. La principale raison qui pousse de très nombreuses personnes à élaborer leur arbre généalogique
est une recherche identitaire. Nos parents, grands-parents, arrière-grands-parents, etc., ont contribué à faire
de nous ce que nous sommes. Si on ne les a pas choisis, nous pouvons toujours mieux les connaître et ainsi
apprendre sur nous-mêmes. Dans un monde où le présent est tumultueux et l’avenir incertain, retrouver son
passé peut apporter une certaine stabilité.
La simple date de naissance d’Ange Albert détermine bien que, à l'époque, la Belgique était sous occupation
française, car sans ça, pourquoi l'exprimer en fonction du calendrier révolutionnaire français.
En fait, les provinces "belges" sont sous domination française depuis les victoires des troupes
révolutionnaires, "La France est en danger", de Jemmapes (nov. 1792) et surtout Fleurus ( Juin 1794).
La France occupe Bruges, Anvers, Maastricht, Liège, Luxembourg, et tout ce qui est en dessous de ces
villes. Cette occupation est certainement très importante dans l'histoire de la Belgique car, évidemment, on y
retrouve autant de pour que de contre, autant de francophile que de francophobe.
Et il faut noter que en 1815, lors de la bataille de Waterloo (je sais, c'est une ville qui n'existe pas
tout comme 12
Alésia), il y avait certainement autant de "belges" dans les troupes napoléoniennes que du coté des
"coalisés".
Après cette "victoire/défaite", ce sont les puissances vainqueurs qui définirent les nouvelles frontières d'un
état tampon entre elles et la France au congrès de Vienne (toute ressemblance avec des faits postérieurs vers
1918 ou 1945 est totalement fortuite), et est créé le Grand Duché, possession personnelle de Guillaume 1er.
Pour la suite, c'est toute l'histoire de la Belgique actuelle qui se dessine.
Je dirais que pour nous, généalogistes et historiens "amateurs", cette division est surtout une source d'ennuis
et de tracas car nos ancêtres du XVIII et avant ne connaissaient que la Flandre et le Hainaut et n'avait que
faire de la France ou de la Belgique (pardon à Jules César), et je dirais donc "Vive Clovis" et au royaume
franc qui avait sa capitale à Tournai et regroupait certainement mieux nos ancêtres que nos départements
actuels.
Extrait d’un courrier :
Je viens de recevoir un courrier de la ville de Boezinge en Belgique qui me dit que mon ascendant Ange
Albert Geldof était né le 5 germinal de l'an VII (25 mars 1799 je crois).
Ma question est : Etait il français ou belge, sachant qu’à cette époque, la ville de Boezinge faisait partie de
la république française.
Cela voudrait il dire que mes ancêtres étaient français. Je voudrais savoir si quelqu'un aurait des
renseignements sur cette période de l'histoire locale car je me pose pas mal de questions
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Exemple de FICHE INDIVIDUELLE
Nom………………………………………………………… n°……………………….
Prénom(s)………………………………………………….
Né(e) le………………………… à……………………….
Fils/fille de………………………………………………….
et de……………………………………………….
Baptisé(e) le……………………. à……………………….
Décédé(e) le……………………. à……………………….
Inhumé(e) à……………………..
Mariage :
Le………………………………... à la mairie de…………
Le………………………………... à l’église de…………..
Nom……………………………... Prénom(s)…………….
Né(e) le…………………………. à……………………….
Décédé(e) le……………………. à……………………….
Inhumé(e) à………………………………………………..
Divorce prononcé le…………….à……………………….
Remariage :
Le………………………………… à la mairie de…………
Le………………………………… à l’église de…………..
Nom……………………………… Prénom(s) ……………
Né(e) le………………………….. à……………………….
Décédé(e) le……………………. à……………………….
Inhumé(e) à……………………...
Divorce prononcé le…………….à……………………….
Remariage avec………………………………………….
Domicile(s) :………………………………………………
………………………………………………………………
Enfant(s) :
Nom……………………..Prénom(s)………………………..Né(e) le……………………….
Nom……………………. Prénom (s)………………………..Né(e) le……………………….
Nom……………………..Prénom(s)………………………..Né(e) le……………………….
Nom……………………..Prénom(s)………………………..Né(e) le……………………….
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Notes :…………………………………………………………………………………………..
: LE CHATEAU FORT : MEMOIRE DU PASSE ( suite)
Certains châteaux sont transformés et adaptés aux nouvelles conditions de vie des nobles, mais beaucoup sont
tout simplement abandonnés par leurs propriétaires qui préfèrent tout bonnement construire une nouvelle
demeure répondant à leurs désirs. Le château n’est plus un enjeu stratégique lors d’une bataille, en revanche,
en raison du déploiement des conflits aux frontières des Etats, les villes acquièrent un rôle essentiel dans la
guerre. Devant les batailles rangées, qui prennent de l’importance, les canons supplantent peu à peu la charge
de cavalerie. Le rôle jusque-là primordial de la chevalerie s’efface lui aussi, devant la puissance de l’artillerie
Plan du château de Chambord Illustration de la page de garde du Dictionnaire raisonné de l'architecture
française du XIe au XVIe siècle, par Eugène Viollet-le-Duc,
1856 Plan du château de Chambord , le dernier des châteaux forts ?
En 1519, débute la construction du château de Chambord, symbole de la
Renaissance ; le plan du château repose sur un corps central, appelé le donjon,
même s'il n'a jamais eu aucune vocation à la défense, centré sur l'escalier à
double révolution. Il faut dire que les rêves du jeune François Ier sont nourris
des récits chevaleresques dont toute la noblesse de son temps se délecte. Le
château de Chambord reprend donc les plans du château médiéval typique, avec
enceinte, tours d’angle, tourelles d’escaliers et douves en eau. Pourtant, à
l’époque de la construction de Chambord, les formes traditionnelles de
l’architecture médiévale sont depuis longtemps caduques ; aussi, il convient de ne pas considérer les éléments
médiévaux de Chambord comme les témoins d’un abandon progressif des formes militaires et défensives du
Moyen âge. Au contraire, le donjon de Chambord, ses tours d’angle, son enceinte et ses douves évoquent une
puissance militaire symbolique ; ces éléments sont en réalité une évocation nostalgique du monde mourant de
la chevalerie et de ses héros légendaires
UN SYMBOLE QUI INQUIETE : DOMESTIQUER LA NOBLESSE
LORSQUE S’OUVRE LE XVIIEME SIECLE, LES HEURES DE GLOIRE DES CHATEAUX FORTS
APPARTIENNENT DEFINITIVEMENT AU PASSE. LES FAMILLES PRINCIERES VIVENT A LA COUR ROYALE,
LES HOTELS PARTICULIERS DES VILLES ONT REMPLACE L’INCONFORT DES HAUTES TOURS, ET DE
VASTES CITADELLES, CONSTRUITES AUX FRONTIERES, ABRITENT DESORMAIS LES GARNISONS DU
ROYAUME. DEVENUES INUTILES, LES FORTERESSES SONT ABANDONNEES, A L’EXCEPTION DE
QUELQUES RARES EXEMPLES, ASSEZ VASTES POUR SERVIR DE CASERNES OU DE PRISONS.
Mais, les châteaux forts inquiètent encore les souverains à la recherche de pouvoir absolu : Louis XIII et son
ministre Richelieu exigent le démantèlement des places fortes capables de résister à la puissance royale. Rares
sont les grands châteaux qui échappent à la destruction.
Versailles : château ou palais ?
À la mort de Mazarin, en 1661, le jeune Louis XIV décide de se passer de premier ministre. C'est le début de
la phase absolutiste de son long règne personnel.
Le château de Versailles est l'expression architecturale de l'absolutisme louis-quatorzien. Le roi soleil voulait
d'abord construire un palais d'une ampleur inégalée, qui, par ses dimensions et sa décoration, représenterait sa
puissance incontestée. Il engagea les meilleurs artistes de son époque (Le Vaux, Le Brun, Le Nôtre) afin
d'édifier un ensemble classique, emprunt d'ordre et de grandeur. Les jardins, quant à eux, devaient refléter la
domination de la nature. Surtout, Versailles constitua une véritable prison dorée pour la haute noblesse
française. Tous les Grands du royaume se devaient d'être présents dans la
vie quotidienne de Louis XIV. Celui-ci parvint donc à domestiquer cette
noblesse qui l’avait autrefois trahie (la Fronde) en distribuant des pensions
et en organisant des spectacles fastueux. Pour obtenir l'attention du roi, les
aristocrates devaient respecter l'étiquette et multiplier les dépenses
somptuaires. Nombre d'entre eux finirent en disgrâce ou ruinés. Échappant
au contrôle physique du peuple parisien, le souverain prit le contrôle de
l'aristocratie, mais vida les caisses de l'état. Le château de Versailles servit
enfin de modèle à de nombreux autres princes européens. En février 1641, Nicolas Fouquet, maître des
requêtes, acquiert la seigneurie de Vaux et son château. A la tête d'une fortune considérable, il confie à
l'architecte Louis Le Vau et à l'entrepreneur Michel Villedo la construction d'un nouveau château. Le 12
juillet 1661, Fouquet donne une fête en l'honneur de la Reine d'Angleterre et, le 17 août, une autre
en l'honneur de Louis XIV. Cette fête fut d'une splendeur inouïe : des spectacles utilisant les 14
dernières techniques du moment, des représentations de pièces de théâtre, des feux d'artifices
éblouirent les invités... et rendirent Louis XIV extrêmement jaloux. Ce dernier décida alors la disgrâce de
Fouquet. Le 5 septembre, le Roi ordonne son arrestation et Fouquet restera en prison jusqu'à sa mort, en 1680.
Moralité : avec ou sans donjon ou hautes murailles, un château reste un symbole de pouvoir dont il faut
disposer avec subtilité. ..Château et jardins de Vaux-le-Vicomte,
Gravure, auteur inconnu FAIRE REVIVRE UN PASSE DISPARU…
En France, la Révolution s’en prend violemment aux témoins de l’époque féodale, et les châteaux tombent
encore car ils restent le symbole de la noblesse. Mais c’est surtout au début du
XIXème siècle que les vieux murs des forteresses, transformés en carrières, sont
entaillés par les pics et les pioches. Il faut attendre 1837 et la création de la
commission des Monuments historiques, pour voir cesser cette exploitation.
Commence alors une grande campagne de sauvegarde et de restauration des
monuments jugés d’intérêt national sous l’œil vigilant de Prosper Mérimée,
écrivain, historien et archéologue français, farouche défenseur des traces du
passé. Les romantiques, tel Victor Hugo, se passionnent pour les châteaux et les
cathédrales ; ce sont eux qui créent en 1835 le terme « château fort » et le
mettent à la mode. Durant la seconde moitié du XIXème siècle, des constructions spectaculaires de châteaux
se feront à l’instigation de souverains : en France, l’exemple en est la reconstruction par Viollet-le-Duc pour
l’empereur Napoléon III du château de Pierrefonds, construit au début du XVème siècle par le duc d’Orléans
et tombé en ruine. En Autriche, Louis II de Bavière se lance dans la construction d’une série de châteaux
délirants, d’inspiration moyenâgeuse qui font, de nos jours, la joie des touristes A droite:
Description du château de Pierrefonds une fois restauré, par Eugène- Emmanuel Viollet-le-Duc, 1857
Dans la seconde moitié du XXème siècle, à la suite des bombardements de la Seconde guerre mondiale, les
archéologues se penchent sur le passé enfoui dans le sous-sol des villes. Les fouilles urbaines permettent de
découvrir les fondations d’antiques châteaux de bois du Xème siècle, ou, à Paris,
de dégager, lors de l’immense chantier du Louvre, les bases du donjon de Philippe
Auguste et les remparts élevés par Charles V ; intégrées au musée du Louvre, ces
formidables murailles sont parfaitement visibles aujourd’hui.A gauche:
Description des ruines du château de Pierrefonds, par Eugène- Emmanuel Viollet-
le-Duc, 1857 A droite: Description du château de Pierrefonds une fois restauré,
par Eugène- Emmanuel Viollet-le-Duc, 1857 Guédelon : un château fort au
XXIème siècleLe chantier de Guédelon est un projet qui vise à bâtir un château
comme ceux qui pouvaient exister au XIIIème siècle, avec les méthodes
qu'utilisaient autrefois les "oeuvriers" médiévaux lors de chantiers
architecturaux. Afin d'être le plus exact possible, un comité scientifique réunissant archéologues, historiens et
architectes a été institué afin de mettre en pratique l'ensemble des éléments théoriques nécessaire à la
fabrication de ce château et recueillir les résultats du travail fournit par les ouvriers et les bénévoles qui
viennent sur le chantier. Depuis que la première pierre a été posée en 1997, 45 "oeuvriers" travaillent à
temps plein sur ce chantier installé dans une forêt proche d'Auxerre. Des carriers, tailleurs de pierre,
maçons, forgerons, bûcherons, charpentiers, potiers, teinturières ou herboristes s'attèlent à donner forme à ce
projet. Tout est fabriqué sur place avec les matières premières mises à disposition par l'environnement qui
entoure ce chantier. Cela va bien sûr des murs du château au potager qui sert à nourrir les hommes et les
animaux présents sur le site. Le projet est ouvert et adapté aux visites scolaires et de groupe APRES
L’HISTOIRE, LE MYTHE Cinq siècles après la fin du Moyen âge, la silhouette du château, ses créneaux, son
pont-levis, ses douves occupent toujours une place de choix dans notre imaginaire.
C'est aux XVIIIème et XIXème siècles que naissent la plupart des mythes
populaires autour du château fort : ils découlent d'une incompréhension de la
société médiévale et de ses constructions monumentales, devenues obsolètes et
inexplicables, et de l'influence des récits chevaleresques. Le monde médiéval
devient un univers fantastique peuplé de guerriers héroïques, de félons, d'armes
magiques ou encore de dragons et de géants... Les romantiques imposent des
visions dramatiques et romanesques du château fort et donnent naissance à des
mythes populaires toujours au goût du jour : les souterrains ou les châteaux
souterrains, le donjon comme ultime refuge ou lieu de séquestration de la
demoiselle en détresse, les oubliettes, l'huile bouillante jetée des créneaux, etc.Le
Château enchanté :Illustration par Gustave Doré pour La Belle au Bois dormant.
Lavis, plume et encre brune, crayon, estompe et rehauts de gouache blanche sur papier beige (42,5 x 15
33 cm) Strasbourg, musée d'Art moderne et contemporain
LE RIRE ET LE
FOU RIRE
C'est un blanc qui se promène sur un marché en Afrique dans le quartier cannibale,
quand tout à coup il bloque sur un vendeur :
- Quoi ? 5.000 Euro le kilo de cervelle!! C'est horriblement cher..
- C'est de la cervelle d'homme, bwana, précise le vendeur.
- Oui mais tout de même, répond le blanc, 5.000 Euro...
- Attendez bwana, si vous voulez, vous avez là de la cervelle à 10.000 Euro le kilo !
- HEIN ?? C'est pas possible, mais qu'est-ce que c'est ???
- C'est de la cervelle de blonde !
- Vous plaisantez ? Vous n'allez pas me dire qu'une cervelle de blonde à plus de valeur qu'une cervelle
d'homme... - Vous savez combien de blondes il faut tuer pour en avoir un kilo ?
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Le 25 avril 1994*Un fermier trouve son cheval malade.
Il fait venir le vétérinaire.
Ce dernier lui dit que le cheval est infecté par un virus et qu'il va prescrire un remède.
Si le remède n'a pas agi dans les trois jours, il faudra abattre le cheval pour éviter d'infecter les autres
animaux.
Le cochon de la ferme, qui a tout entendu, va trouver le cheval et lui dit:« Fais un effort, lève-toi ». Mais le
cheval est trop malade.
Le deuxième jour, même chose, le cochon dit au cheval :« Fais un effort, lève-toi ». Mais le cheval est encore
trop malade.
Le troisième jour, le cochon dit :« Fais un effort, lève-toi, sinon ils vont t'abattre aujourd'hui. »
Le remède n'a toujours pas fait d'effet, mais dans un dernier sursaut, grâce aux conseils du cochon, le cheval
arrive à se lever devant le fermier et le vétérinaire.
Le fermier, tout content, dit :« Pour fêter l'événement, on va tuer le cochon ».*
*Moralité :* *Ne te mêle jamais de ce qui ne te regarde pas... *
.
Remarque. Comme dans toute autre publication vendue dans le commerce, les publicités des
annonceurs qui paraissent dans le bulletin, n’engage en rien la responsabilité de l’Amicale Libérale
des pensionnés » Les rêves en bleu
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SEJOUR THERMAL A BOURBONNE-LES-BAINS
Du 16 au 24 mai 2009 à l’Hôtel d’Orfeuil **
Sa proximité (5h00 de Bruxelles), l’accueil familial de l’hôtel, la qualité des eaux de Bourbonne (composition
proche du sérum humain, favorise la reconstruction osseuse,…), la qualité des soins et le personnel compétent
fait de Bourbonne une des stations thermales de France les plus prisées.
Les soins
• Visite médicale à Bourbonne le 17 mai (à payer sur place)
• Soins thermaux déterminés par le médecin
• Soins donnés chaque matinée du 17 au 23 mai
L’hôtel
• Situé à 80 mètres des thermes, membres des Logis de France.
• Chambres équipées de douche, toilettes, lavabo et sèche-cheveux, télévision
câblée, téléphone.
• Restauration soignée, salon bibliothèque et jardin de repos.
• Pension complète à partir du samedi 16 au soir jusqu’au samedi 23 au soir
Excursions (comprises dans le prix et sous réserve de modification)
Bourbonne-les-Bains : ballade découverte du village
Montcourt : miellerie, pain d’épice et hydromel. Visite passionnante : Philippe Leyour vous fera découvrir
sa mieillerie. Vous dégusterez du miel de fleurs d’acacias, de tilleuls ou de montagne, ainsi que du pain
d’épice « maison » et de l’hydromel. Tout sur les abeilles, leurs produits et leurs ruches n’auront plus de
secret pour vous.
Chaumont : une ville au caractère féodal. Visite guidée de la ville, le donjon, la Tour d’Arse, la Chapelle
des Jésuites, la Basilique St Jean Baptiste, les remparts. Temps libre et shopping.
Passavent la Rochère : l’une des plus anciennes cristalleries du monde. Vous visiterez librement la plus
ancienne verrerie-cristallerie de France fondée en 1475, où les verriers travaillent devant vous : le maître-
verrier cueille, souffle et façonne pour transformer une masse de verre en fusion en un objet magnifique avec
les outils d’antan : canne, mailloche … Le magasin d’exposition-vente, l’exposition sur l’histoire du verre de
l’Antiquité à nos jours et le parc d’agrément complèteront votre visite.
Prix : sur base de 30 participants 815 € (par personne en chambre double) - Supplément
single : 135 €Il comprend le transfert en autocar depuis Bruxelles aller/retour, la pension complète, les
soins thermaux (avant-midi), les excursions (en après-midi), l’assurance annulation et les services d’une
accompagnatrice. N’est pas inclus dans ce prix : la visite médicale, les boissons à table et les dépenses
personnelles.
Inscription :
En renvoyant au plus vite le bulletin d’inscription ci-joint et en versant un acompte de 248 € par personne au
compte 310-0005165-13 de la Ligue Libérale des Pensionnés a.s.b.l. avec la mention « acompte Bourbonne
mai 2009 ».
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21
Le cours de cuisine cours de PS. 83 pour vos enfants Relations intergénérationnelles
23
Le coin des
Gastronomes
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cuisson au four environ 30 mn. Pendant ce temps, dans la même poêle, faire dorer les échalotes à feu doux.
Déglacer avec le porto et laisser réduire de moitié. Ajouter ensuite le bouillon et laisser réduire à nouveau.
Dans un mélangeur, pulvériser les noisettes et mélanger les à la crème et au fromage jusqu'à consistance
homogène.
Incorporer ce mélange au bouillon de bœuf et de porto et remuer doucement.
Laisser cuire encore quelques minutes.
Retirer les filets de porc du four déglacer le plat de cuisson de la viande avec un peu de bouillon et l’ ajouter
à la sauce, couper les en tranches fines et napper de sauce fumante..
Ingrédients :
Noix de Saint-Jacques panées aux amandes et noisettes pour 4 personnes :
16 noix de Saint-Jacques,50 g de poudre d'amandes,50 g de poudre de noisette
2 cuillères à soupe d'huile d'olive, Sel, poivre , 80 g de beurre 1/2sel
SAUCE:
50 g de beurre 1/2 sel ,jus d'1/2 citron jaune ,1 cuillère à soupe d'amandes
effilées grillées
1 cuillère à soupe de noisettes concassées grillées ,poivre du moulin
Préparation:
1- Badigeonnez les noix de Saint-Jacques d'huile d'olive, salez et poivrez.
2- Roulez les noix de Saint-Jacques dans le mélange de poudre d'amandes et noisettes
3- Poêlez les noix de Saint-Jacques avec 1 cuillère à soupe d'huile d'olive et le beurre, 30 secondes de
chaque côté.
4- Réservez au chaud.
5- Faire fondre le beurre pour la sauce et ajoutez le reste des ingrédients (attention ceci doit être un beurre
fondu et non un beurre roux).
6- Servez les noix de Saint-Jacques avec cette préparation.
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Dîner annuel des Menu. 30€
« Rêves en bleu «
Apéritif maison
Amicale Libérale Terrine de canard à l’orange
Et ses confits
des Pensionnés de Ou
Rochefort
Scampis au curry léger et
tombée de tomates
Au
le cuissot de marcassin
Restaurant façon grand veneur—Poires aux
Le Buffalo Lunch
airelles— Champignons des Bois
P. croquettes.
Le Dimanche
Duo de bavarois et ses coulis
22 février
café
À 12h Boissons
non
comprisen