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Corrigé Analyse À Priori 2
Corrigé Analyse À Priori 2
Exercice 1 :
1) Démontrer que a | b si et seulement si pour tout k de ℤ, a | (bka).
2) Déterminer les entiers relatifs a, tels que (a5) | (a 7).
Une solution :
1) a | a. Si a | b alors a divise toute combinaison linéaire de a et b, donc pour tout k ℤ , a | (bka).
Soit k ℤ si a | (bka) alors il existe q ℤ tel que bka qa d’où b (q k) a, donc a | b.
Par conséquent, a | b si et seulement si pour tout k de ℤ, a | (bka).
Une solution :
Si n 1 divise n3 alors n 1 divise ( n 1 ) n3 d’où n 1 divise 4,
donc n1 1 ou n1 2 ou n1 4
n 2 ou n 3 ou n 5.
Les entiers naturels n tels que : n 1 divise n3 sont : 2, 3 et 5.
Exercice 3 :
1) Résoudre dans IN2 l’équation : x2 y2 = 13.
2) Résoudre dans ℤ2 l’équation : 2x3 xy 11 0
Une solution :
1) x2 y2 = 13 (xy)(x y) 13
( (xy)(x y) 13, xy | 13 et x y | 13 )
Les diviseurs de 13 sont 1 , 13 et leurs opposés.
Par conséquent :
xy1 x y 13 x y -1 x y -13
x2 y2 = 13 x y 13 ou ou x y -13 ou x y -1
xy1
Dans ℕ2, le premier et les deux derniers systèmes n’ont pas de solutions
x7
x2 y2 = 13 y 6 S {(7, 6)}
2) 2x3 xy 11 0 x(2x2 y) 11 ( x(2x2 y) 11, x |11 et 2x2 y | 11 )
Les diviseurs de 11 sont 1, 11, et leurs opposés ;
Par conséquent :
x1 x 11 x -1 x -11
2x3 xy 11 0 2x2 y 11 ou 2x2 y = 1 ou 2x2 y -11 ou 2x2 y -1
Exercice 4 :
Montrer que ∀ n ℕ 25n 1 3n 3 est multiple de 29.
Une solution :
20 1 30 3 29 est un multiple de 29 ;
Supposons que 25n 1 3n 3 est multiple de 29 pour un entier naturel n ; c'est à dire que
25n 1 3n 3 29k, k ℤ.
Démontrons que 25(n 1)+1 3(n +1) 3 est un multiple de 29.
25(n 1)+1 3(n +1) 3 25n 125 3n 3 3 25n 125 3 (29k25n 1)
25n1( 32-3) 3 29k 29(25n1 3k) ;
d’où 2 5(n 1)+1
3 (n +1) 3
est un multiple de 29.
Par conséquent : ∀ n ℕ 25n 1 3n 3 est multiple de 29.
Exercice 5 :
On considère la fraction qn= n +19 ; n étant un entier naturel strictement supérieur à 7.
n- 7
1) Comment choisir n pour que qn soit simplifiable ?
2) Déterminer n pour que qn soit égale à un entier naturel.
Une solution :
26
1) qn= 1 , nℕ, n 7
n -7
Exercice 6 :
Soit n un entier naturel non nul. Déterminer le reste de la division euclidienne de :
1) n2 2n par n 1.
2) 7n 15 par 3n 2.
Une solution :
1) n2 2n n(n1) n avec 0 n n1. Quel que soit n ℕ* , 0 n n1,
donc n est le reste de la division euclidienne de n2 2n par n 1.
2) 7n 15 2(3n 2) n 11, avec 0 n 11 3n2
9
n 11 3n2 n ;
2
d’où si n 5 alors le reste de la division euclidienne de 7n 15 par 3n 2 est n 11.
Si 0 n 4 alors n 11 3n2 . On augmente le quotient d’une unité du diviseur :
7n 15 3(3n 2) n 113n2 3(3n 2)2n 9 avec 0 2n 9 3n2
Remarque : On pourrait pour 0 n 4 faire la division euclidienne de 7n 15 par 3n 2 en remplaçant n
respectivement par 1 ; 2 ; 3 et 4.
PGCD – PPCM
Exercice 1:
Calculer pour tout entier naturel n non nul :
1) PGCD (n, 2n1) et PPCM (n, 2n1) 2) PGCD (2n2,4n2) et ¨PPCM (2n2,4n2).
Une solution :
1) 2n 1(2n 1) 1. D’où n et 2n 1 sont premiers entre eux d’après le théorème de Bézout.
Par suite PGCD (n, 2n1) 1 et PPCM (n, 2n1) n(2n1).
Exercice 2 :
Déterminer le plus petit entier naturel dont les restes sont 5 ; 13 ; 17 lorsqu’on le divise respectivement
par 15 ; 23 ; 27.
Une solution :
Soit N cet entier naturel. Il existe des entiers relatifs q1, q2 et q3 tels que :
N 15q1 5, N 23 q2 13 et N 27q3 17 ;
d’où N 10 15(q1 1), N 10 23(q2 1) et N 10 27(q3 1).
Il en résulte que N 10 est multiple commun de 15, 23 et 27. N étant le plus petit de ces multiples alors
N 10 PPCM (15, 23, 27) = 27235 3105 ; d’où N 3105 10 3095.
Exercice 3:
Le nombre d’élèves d’une classe est inférieur à 40. Si on les regroupe par 9 ou par 12, il en reste 1 chaque
fois. Quel est ce nombre ?
Une solution :
Soit n ce nombre.
n 9 q1 1 et n 12 q2 1 ; d’où n1 est un multiple commun à 9 et 12, inférieur à 40.
Par conséquent : n1 36, d’où n 37.
Exercice 4 :
Une solution :
PGCD ( a, b) . Posons PGCD(x,y) .
Tout diviseur commun à a et b divise x et y qui sont des combinaisons linéaires de a et b.
Par conséquent, est diviseurs commun de x et y, d’où .
On déduit de x et y que a 2x 5y et b 5x13y.
Tout diviseur commun à x et y divise a et b qui sont des combinaisons linéaires de x et y ; d’où .
Par conséquent . Donc PGCD(x, y) .
Une solution :
11x 16y (1)
11x + 16y 0 11x 16y 16 | 11x (2)
Exercice 2 :
1) a) Montrer que l’équation 59x 68y = 1 admet une solution dans ℤ2.
b) Résoudre dans ℤ2 l’équation 59x 68y = 1.
2) Résoudre dans ℤ2 l’équation 59x 68y = 2.
Une solution :
1)a) PGCD(59, 68) 1, d’après le théorème de Bézout il existe deux entiers relatifs u et v tels que
59u 68v 1. D’où (u, v) est une solution de l’équation ; donc l’équation admet une solution.
a b q r
68 59 1 9 a = b 9, 9 ab
59 9 6 5 b 6(ab) 5 ; 5 7b -6a
9 5 1 4 ab -6a 7b 4 ; 4 7a -8b
5 4 1 1 7b -6a 7a -8b 1
On en déduit que -13a 15b 1 et que le couple (15,-13) est solution de l’équation.
59x 68y 1.
59x 68y 1 59(x15) 68(y 13) 0 59(x15) 68(y 13) (*)
59(x15) 68(y 13) 68| 59(x15)
2) Le couple (15,-13) est solution de l’équation 59x 68y 1. On en déduit que le couple (30, 26) est
solution de l’équation 59x 68y 2 (E).
Congruence
Exercice 1 :
1) Vérifier que 1000 1 [37] et en déduire que pour tout entier naturel n, on a 103n 1 [37].
2) En déduire le reste de la division euclidienne de 1 001 037 par 37.
Une solution :
1) 1000 2737 1 d’où 1000 1 [37].
1000 103 , 103 d’où pour tout entier naturel n (103)n 1n [37] donc 103n 1 [37].
Exercice 2 :
1) Montrer que 67891 est un multiple de 11.
2) Pour quelles valeurs de n entier naturel, 52n 5n 1 est un multiple de 3 ?
1) 67 611 1 d’où 67 1 [11] , 6789 189 [11] et 6789 1 [11] ; donc 6789 1 est un multiple de 11.
Exercice 3 :
Démontrer que le carré de tout entier naturel est de la forme 5n1 ou 5n ou 5n 1, n entier naturel.
Une solution :
Soit Nℕ. N 0 [5] ou N 1 ou N 2 [5] ou N 3 [5] ou N 4 [5].
Si N 0 [5] alors N2 0 [5]
Si N 1 [5] alors N2 1 [5]
Si N 2 [5] alors N2 4 [5] et 4 1 [5] d’ où N2 1 [5]
Si N 3 [5] alors N2 9 [5] et 9 1 [5] d’où N2 1 [5]
Si N 4 [5] alors N2 16 [5] et 16 1 [5] d’où N2 1 [5] ;
donc N2 0 [5] ou N2 1 [5] ou N2 1 [5]
Par conséquent il existe n entier naturel tel que N 5n ou N 5n 1 ou N 5n1, donc le carré de tout
entier naturel est de la forme 5n1 ou 5n ou 5n 1.
PRF DK / Arithmétique Avril 2008 prfdk.maths@yahoo.fr 5/10
Exercice 4 :
Résoudre dans ℤ : 1) 14x 3 [4] ; 2) 3x 1 [5]
5x 2 [7]
Une solution :
1) 14x 3 [4] 14x 4k 3, k ℤ.
2(7x 2k) 3
2 divise 3, ce qui est faux.
S;
2) 3x 1 [5] 3x 5k 1 , kℤ
5x 2 [7] 5x 7k’ 2, k’ℤ
3x 5k 1 (1)
Le couple (2,1) est uns solution de (1).
(1) 3(x2) 5(k1) 0 3(x2) 5(k1) et 5 | 3(x2)
5 | 3(x2) et PGCD (5, 3) 1, d’après le théorème de Gauss 5| x2.
5| x2 donc x 5q 2, qℤ.
Par conséquent 3x 1 [5] équivaut à x 5q 2, qℤ. ;
5x 7k’ 2 ( 2)
PGCD(5, 7) 1 d’où il existe u et v entiers relatifs tels 5u7v 1 (*)
Le couple (3,2) est solution de (*) ; d’où le couple (6, 4) est solution de (2).
(2) 5(x6) 7(k’4) 0 5(x6) 7(k’4) et 7 | 5(x6).
7 | 5(x6) et PGCD(5, 7) 1,d’après le théorème de Gauss 7 | x6.
7 | x6 donc x 7q’ 6, q’ ℤ. Par conséquent 5x 2 [7] équivaut à x 7q’ 6, q’ ℤ.
Par suite
3x 1 [5] x 5q 2, qℤ
5x 2 [7] x 7q’ 6, q’ ℤ
x 5q 2 et 5q 2 7q’ 6
5q 2 7q’ 6
5q 7q’ 4 (3).
Le couple (3, 2) est solution de l’équation 5q 7q’ 1 ; d’où le couple (12, 8) est solution de l’équation
5q 7q’ 4.
(3) 5(q12) 7(q’8) 0 5(q12) 7(q’8) et 7| 5(q12)
7| 5(q12) et PGCD (7, 5) 1, d’après le théorème de Gauss 7| q12.
7| q12 donc q 7k 12, kℤ
Par suite x 5(7k 12) 2 35k 62 ;
S {35k 62, kℤ }.
Exercices de synthèse :
Exercice 1 :
Soit n un entier naturel non nul. On considère deux nombres a et b définis par :
a = 2n+3 et b =5n-2.
Une solution :
1) a = 2n+3 et b =5n-2 ; n ℕ.
Tout diviseur commun à a et b divise toute combinaison linéaire de a et b ; d’où le PGCD (a, b) divise
5a2b 19.
Par suite PGCD (a, b) divise 19.
2) Si PGCD (a, b) 19 alors il existe deux entiers a’ et b’ premiers entre eux tels que : a 19a’ et b 19b’
5a2b 19 19( 5a’ 2b’) 19 5a’ 2b’1 (E)
Le couple (1, 2) est solution de (E).
(E) 5(a’1)2(b’2) 0 5(a’1) 2(b’2) et 5| 2(b’2).
5| 2(b’2) et PGCD (5, 2) 1, d’après le théorème de Gauss 5| b’2 ;
5| b’2 d’où b’ 5k 2, k ℕ.
On a: b 19b’d’où 5n 2 19(5k 2); n 19k 8;
donc PGCD (a, b) 19 si ; n 19k 8, kℕ.
Exercice 2 :
1) Trouver une solution particulière dans ℤ2 de l’équation (E1) : 15x 8y 1.
2) Résoudre dans ℤ2 l’équation (E2) : 15x 8y 1000 ;
3) De combien de façons peut-on obtenir exactement 1000 points en lançant des fléchettes sur la cible ci-
dessous ? (le nombre de fléchettes n’est pas limité et on suppose qu’elles atteignent toutes les cibles.)
8 points
Une solution :
1) Le couple (1, 2) est solution de l’équation (E1).
2) (1, 2) est solution de l’équation (E1), d’où le couple (1000, 2000) est une solution de l’équation (E2).
(E2) 15(x 1000) 8(y2000) 0 15(x 1000) 8(y2000) et 8| 15(x 1000)
8| 15(x 1000) et PGCD(8, 15) 1 alors d’après le théorème de Gauss 8| x 1000
D’où x 8k1000, kℤ et y 15k 2000, k ℤ.
S {(8k1000, 15k 2000), kℤ}
3) Soit x et y le nombre de flèches qui atteignent respectivement le disque et la couronne.
On déduit de 2) que : 15x 8y 1000 x 8k1000 et y 15k 2000, (x, y)ℕ2 ,kZ.
1000 2000
(8k1000 0 et 15k 2000 0, kℤ ) k d’où k[125, 133]ℕ ;
8 15
Le nombre de façons d’obtenir exactement 1000, correspond au nombre de façons de choisir le couple
(x, y) solution de l’équation.
A chaque valeur de k correspond un couple (x, y) ; k prend 9 valeurs possibles de125 à 133.
Par conséquent il y a 9 façons d’obtenir exactement 1000 points en lançant des fléchettes sur cette cible.
Exercice 3 :
On considère la suite (un ) d’entiers naturels définis par uo = 14 et un1 =5un 6 ; nℕ
1) Calculer u1, u2, u3, et u4. Quelle conjecture peut-on émettre concernant les deux derniers chiffres de un ?
Une solution :
1) uo = 14 et un1 =5un 6 ; nℕ
u1 64, u2 314, u3 1564, u4 7814.
Conjecture :
Si n est pair alors les deux derniers chiffres de un forment 14.
Si n est impair alors les deux derniers chiffres de un forment 64.
5) Soit d PGCD(un , un+1). De 4) on déduit que 2 est un diviseur commun de un et un+1 ; d’où d 2.
d divise toute combinaison linéaire de un et un+1 ;
On a : 5un un+1 6 ; donc d divise 6. Les diviseurs positifs de 6 distincts de 1 sont 2, 3 et 6 ;
donc les valeurs possibles de d sont : 2, 3 et 6.
On a pour tout nℕ 2un = 5n 2 35n25 3
5 2 [3] , 25 1 [3] et 3 0 [3] d’où 2un 2n [3]
2n 0, d’où 3 ne divise pas 2un. Puisque 3 et 2 sont premiers entre eux alors 3 ne divise pas un. (En effet
si 3 divise un alors 3 divise 2un, ce qui est faux.)
3|6 et 3 ne divise pas un, d’où 6 ne divise pas un.
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3 et 6 ne divisent pas un. Donc d est différent de 3 et de 6.
Par conséquent PGCD (un , un+1).2.
Exercice 4 :
Pour tout entier relatif x, on pose : f(x) =
2 x 1 et A = {xℤ / f(x) ℤ}.
3 3
1) Montrer que A n’est pas l’ensemble vide, puis le déterminer.
2) Déterminer : B = {x A / 4x29(f(x))2 est divisible par 7 }.
Une solution :
1) f(1) 1, 1ℤ d’où 1A. Donc A .
xA
2 x 1 k, xℤ, kℤ
3 3
2x 3k 1 (E), (x, k)ℤ2
Le couple (1, 1) est solution de (E).
(E) 2(x1) 3(y1) 0
2(x1) 3(y1) et 3| 2(x1)
3| 2(x1) et PGCD(2, 3) 1, d’après le théorème de Gauss 3| x1
Par suite x 3q1 , qℤ, donc A {3q1 , qℤ}.
Exercice 5 :
Un astronome a observé, au jour Jo, le corps céleste A, qui apparaît périodiquement tous les 105 jours.
6 jours plus tard (Jo 6), il observe le corps B, dont la période d’apparition est de 81 jours.
On appelle J1 le jour de la prochaine apparition simultanée des deux objets aux yeux de l’astronomie. Le
but de l’exercice est de déterminer la date de ce jour J1.
1) Soit u et v le nombre de périodes effectuées respectivement par A et B entre Jo et J1.
Montrer que le couple (u ;v) est solution de l’équation (E1) : 35x 27y = 2.
2)a)Donner un couple d’entiers relatifs (xo ;yo) solution particulière de (E2) : 35x 27y = 1.
b) En déduire une solution particulière (uo ;vo) de (E1)
c) Déterminer toutes les solutions de (E1).
d) Déterminer la solution (u ;v) permettant de donner J1.
3)a)Combien de jours s’écouleront entre Jo et J1 ?
b) Le jour Jo était le mardi 7 décembre 1999, quelle est la date exacte du jour J1 ? (L’année 2000 était
bissextile.)
c) Si l’astronome a manqué ce rendez-vous, combien de jours devra-t-il attendre jusqu’à la prochaine
conjonction des deux astres ?
Une solution :
1) les jours d’apparition de A sont définis par : Jo 105u
les jours d’apparition de A sont définis par : Jo 6 81v.
A la première apparition simultanée de A et B on a : Jo 105u Jo 6 81v ;
d’où 105u81v 6.
d) (u, v) est solution de (E1) d’où u 27k 20 et v 35k 26, kℕ*.
La solution (u, v) donnant J1 s’obtient pour k 1
Si k 1 u 7 et v 9.
La solution permettant de donner J1 est le couple (7, 9).
3a) Nombre de jours qui s’écouleront entre Jo et J1 est : N 1057 735
Remarque : N 6 981 6 729735.
b) 735 0 [7] d’où le jour J1 est un mardi.
Le jour Jo étant le mardi 7 décembre 1999 alors il reste 24 jours de la fin de l’année 1999.
735 24 711
En fin 1999 il reste 711 jours de J1. 711 366345 (366j de 2000 et 345j de 2001)
345 = 365 – 20 ; 31 – 20 = 11 ; d’où le jour J1 est le 11 décembre 2001.
La date correspondant à J1 est le mardi 11 décembre 2001.
c) Si l’Astronome rate ce rendez-vous, il attendra un nombre de jours égal à PPCM(81;105).
PPCM (81;105) 8135 2835. Il attendra donc 2835 jours.