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Francophonie roumaine

Influence française
La culture roumaine a une double vocation : celle de garder ses traditions et celle
orientée vers la nouveauté venue d’ailleurs. De ce point de vue, elle représente un
«modèle particulier de bifurcation»(Monica Spiridon, p.19) N.Crainic, Emil Cioran,
M.Eliade Iorga(Byzance après Byzance) affirme que la culture roumaine est unespqce de
confluence paradigmatique féconde et d’un europénisme mi-occidental, mi-oriental sui-
generis, apud M.Spiridon, p.23 Perceval «La nécessité de chaque culture de dialoguer
avec soi-même» ibidem, p.84, L’autre est en grande partie une projection du soi.
À la moitié du XIXe siècle, les Roumains sont en quête d’eux-même. L’apport de
la Roumanie à la francophonie est le fruit de ce phénomène de mimetisme culturel basé
sur une «consanguité frappante» et une «gémélité» qui a suscité tout au long du temps un
vif inérêt… Fr. Claudon, p.76 Occident et Orient-Les deux formes d’ethos civilisationnel
qui sont la rationnalité et l’imaginaire. Sa francophonie «greffée sur une latinité
ancienne»-le rationnalisme voire le cartésianisme, mais l’enracinement dans un fond
historique pré-chrétien «tamisé d’orienalisme turc»-capital de rêves, de symboles, de
mythes. Cet «entrecroisemnt original» confère à la Roumanie «une double face archaïque
et moderne», de progrès et d’anhistoricisme qui constitue un patrmoine unique.
J.J.Wunenberger,p.203
En comparant les diverses influences subies par (grecque, turque), on peut
affirmer sans ombre de doute que le français a pénétre en tant que langue de la culture.
Les voies de pénétration ont été l’enseignement –l’instruction et la culture.
Selon les témoignages des voyageurs étrangers, le phénomène de la francophonie
apparaît chez les Roumains, au XVIIIe siècle, mais il acquiert de l’importance après
1800. Au début du XVIIIe siècle, sous la domination ottomane, les voïvodes autochtones
sont remplacés par des princes grecs appelés Phanariotes, d’après le nom du quartier
aristocratique qu’il habitaient à Constantinople.
Les princes phanariotes connaissaient le français. Ainsi, Nicolae Mavrocordat, le
premier prince phanariote, était connu à l’Ambassade de France pour « l’inclination qu’il
a toujours témoigné pour les Français» Iorga, p.51
L’ambassade de France à Constantinople leur envoie des secrétaires chargés de la
correspondance diplomatique européene. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, «
l’usage d’employer des secrétaires français pour toues le relations avec l’étranger »
devient général à la Cour. Iorga, .55 Ceux-ci deviennent bientôt les précepteurs des
enfants des princes, le maître de français étant « le seul précepteur que l’Orient Chrétien
voulait engager et entretenir» Iorga, p.58 . Les professeurs grecs ont prépare la
pénétration des idées illuministes fançaises. C’est ainsi que la France commence à
acquérir une influence notable dans la société et dans la culture.
C’est à cette époque où l’influence orientale était encore très importante, que se
produit la symbiose des deux modèles culturels si différents et a lieu le croisement des
cultures occidentale et orientale.
Au XIXe siècle, la modernisation et l’occidentalisation de la société roumaine «
atteint son apogée au milieu du siècle et au début de sa deuxième moitié, au moment de
l’Union des Principautés Roumaines(Valachie et Moldavie), en 1859 » et modifie «
l’aspect et l’esprit de la culture roumaine, jusq’alors de facture orientale et orthodoxe »,

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principalement au niveau des elites, puis, petit à petit à tous les niveaux de la société.
Après une époque de cohabitation des deux styles, oriental et occidental, le dernier prend
le dessus et ce qui se passe avec l’alphabet cyrillique, qui est définitivement remplacé par
l’alphabet latin, avec les habits à l’oriental qui sont remplacés par les habits à
l’européenne, se manifeste à travers toute la société- « l’habit de la culture» change, il
s’insère dans « l’espace de la civilisation occidentale, retrouvant ainsi les anciennes
racins latines», ce qui représene un changement radical, une vraie revolution culturelle et
mentale» Luc.Boia, p1-2
En mars 1906, le grand historien Nicolae Iorga, l’un des propagateurs assidus de
la culture française dans l’espace roumain, est à la tête d’une manifestation estudiantine
qui s’élevait contre l’influence française jugée excessive, susceptible d’offrir aux jeunes
des exemples négatifs. La manifestation était générée par les representations théatrales en
français. En réalité, cette tendance s’opposait au traditionnalisme préché par Iorga, par
Semanatorul, la revue qui avait engendré le courant appelé « semanatorisme» Le
mouvement contestataire est resté sans consequence pour le moment, mais pendant la
période d’entre deux guerres la dispute entre les partisans de l’autochtonisme a pris
Toutefois, le français a continué de rester la langue de l’élite culturelle roumaine et même
Iorga fonda à Paris une école pour les jeunes étudiants roumains, l’Ecole de Fontenay-
aux-Roses, fondée en 1920 et inaugurée en 1922.

Les femmes au service de la francophonie


La francophonie et la francophilie des femmes et des jeunes « ont troublé la paix
patriarcale d’un grand nombre de foyers, expression d’un vrai conflit entre les
générations»S.Craia, p.13 Les hommes-plus conservateurs. Les femmes-plus ouvertes à
la nouveauté, elles ont eu une contribution importante à l’assimilation des formes
modernes de la civilization. P.18 Alecsandri ridiculise dans ses pièces le phénomène des
intérferences franco-roumaines au niveau du langage, ibidem, p.14
Les relations entre la littérature française et la « jeune » littérature roumaine
deviennent de plus en plus étroites
La francophonie et la francophilie est apparue grace aux femmes et aux
jeunes. Ils ont représenté «l’avant-garde» de la francophonie: les femmes, par leur
intérêt pour la mode, les jeunes par la curiosité et l’esprit novateur.
La littérature était, à ses débuts, dépendante des traductions. 1821 –premières
traductions réalisées par Gh.Asachi-Lamartine, Bernardin de Saint-Pierre.
« Les traductions ne font pas une littérature»Kogalniceanu Les Roumains ont
commencé à écrire en français ou à traduire leurs texts en français. La littérature
roumaine réussit à trouver sa propre identité. Le phénomène du bilinguisme, des écrivains
qui jouissent d’une double reconnaissance.. 1841 –parution , à Iasi du périodique Le
Glaneur moldo-valaque. La presse francopone.
Elena Dunka-Schiau(née en 1843-la date de la mort inconnue) a fait ses études à
Vienne et à Paris où elle a fait publier, en 1862, un roman; Elena, en français. La
princesse Aurelia Ghica, la duchesse de Carai, Maria Dem.Ghica-mme.Edmond de Hertz,
Irène Câmpeanu, la reine Elisabeth(Carmen Sylva) Les pensées d’une reine, la reine
Marie

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La vogue des écrits en français, qui commence vers le milieu du XIXe siècle,
connait l’apogée vers la fin du siècle et des prolongements au XXe siècle, coincide avec
le romantisme et le symbolisme européen. Les premiers écrivains bilingues roumains
sont, en fait, des écrivaines. Iulia Hasdeu, Elena Vacarescu, Dora d’Istria, Martha
Bibescu, Anne de Noailles. Elles ont représenté « ce qui se fait de mieux en matière de
littérature feminine, française de surcroît» Dminique Carlat, Gherasim Luca, p.62

L’enseignment des filles


Dès le début il faut souligner l’importance de l’enseignement dans la
cristallisation du modèle culturel français en Roumanie. Plusieurs étapes: XIXe siècle le
français devient la seconde langue de culture. La seconde moitié-l’apogée de cette
influence dans presque tous les domains de la vie sociale et culturelle. L’instruction est
bien un facteur d‘émancipation
Les institutions d’enseignement ont servi pleinement la cause de la francophonie
dans les Principautés danubiennes. S.Craia, p.20 La pénétration de la francophonie a été
facilitée par la tradition des précepteurs et des gouvernantes étrangers pour les familles
des boyards. Dans la prmière moitié du XIXe siècle l’instruction, mais aussi l’éducation,
ont ressenti l’influence des idées illuministes et le besoin de « syncronisation » avec
l’espace occidental et en même temps l’éveil de la conscience nationale, le changement
des mentalités. Les rapports entre les Roumains et la France sont si étroits que, d’après
l’historien Neagu Djuvara, nulle part en Europe l’influence française n’a été si profonde
que dans les Pays Roumains.N.Djuvara, p.336
Jusqu’à 1800, les boyards les plus aisés envoyaient leurs filles chez les Ursulines
de Sibiu, à Lunberg, en Pologne où les demoiselles étudiaient les langues étrangères: le
français, l’allemand, le clavier, les bonnes manières etc Petit à petit les boyards ont
commencé à emmener dans leurs maisons des professeurs étrangers, surtout des
Français, pour s’ocupper de l’éducation de leurs enfants. Le rôle de cette éducation en
famille était de faire des filles une sorte de poupée destinée aux salons Iorga, Femeile…
p.146
Les princes phanariotes ont eu une … Ils ont soutenu les Académies princières de
langue grecque, fondées à Bucarest(1680) et à Iassi(1707), qui seront fermées après la
Révolutin de T.Vladimirescu.
Les professeurs ont fondé leurs propres écoles
En 1801, l’abbé Jean-Pierre l’Hommé devient le percepteur chargé de l’éducatin
de Mihail Sturza, fils de Grigorescu Sturza et futur prince régnant «en ouvrant de la sorte
la mode des professeurs français privés dans les Principautés Roumaines» Beaucoup
d’autres français enseignaient à l’Académie princière Mihaileana. Ces Français ont
ouvert leurs propres écoles et pensions jusqu’à la fin de leurs études secondaires, ensuite,
ils allaient à Vienne, Paris, Berlin.
1813-la création, à Iassi, du premier pensionnat pour les jeunes filles, le
pensionnat Germont, fondé par les époux Germont D’autres: Mouton, Cuénim, Lincourt,
Jordan et Françoise Garet.
Les pensionnats: celui de Victor Cuénim, les cours de J.A.Vaillant, l’Ecole de
Sf.Sava, l’Institut Français de Miroslava, près de Iasi. Le nombre de pensionats devenant

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très grand, cela a etrainé une baisse du nombre des professeurs et de gouvernantes dans
les familles riches. Les autres écoles qui fonctionnaient en dehors des pensionnats avaient
des résultats insatisfaisantes.
Le Règlement Organique(1830) impose le contrôle de l’État sur les écoles
privées, la réorganisation de l’enseignement public et l’organistion de l’enseignement
rural Toutefois, l’absence des écoles publiques fait que l’enseignement soit
discriminatoire.
1831 à l’époque de Kiseleff, le premier Pasteur luthéran qui s’est établi à
Bucarest, A.Sarai, a créé un pensionnat pour les garçons et les flles. À la section filles on
enseignait des langues étrangères: le grec, le turc, le français et des connaissances
scientifiques nécessaires pour le goût esthétique et les les règles de conduite des filles.
Comme une conséquence de l’activité de l’Eforie ont été fondé aussi quelques
écoles élementaires privées et une École Centrale, c‘est-à-dire un pensionat de filles de 5
ans. La langue d’étude était le français.
Le pensionnat des époux Vaillant de Bucarest avait aussi un groupe de filles
pauvres. Le pensionnat des époux Burada de Iassi.
Entre 1835 et 1847, l’Académie Mihaileana c’est la première institution
d’enseignement supérieur où on étudie l’histoire, la philosophie, le droit, la théologie, la
chimie, les mathématiques, l’architecture. La méthode lancastérienne Vlad Georgecu,
p.124
1838 l’Ecole privée située rue Icoanei, a eu premièrement comme langue
d’enseignement le grec. Les autres écoles pour les filles des quartiers Lucaci, Biserica
Enei, Cismigiu, Sf.Stéphan utilisait le roumain
«Tant que vos filles ne seront que demoiselles dédiées au luxe, aux plaisirs
ruinatoare?, elles détruiront le matin ce que vous avez construit la veille. Envoyez les
jeunes filles à l’étranger, surtout en Suisse, elles y prendront le goût des habitudes
domestiques et, revenues dans leur pays, appelées à être épouses et mères, elles feront
entrer dans leurs foyers les vertus dmestiques et sociales». Émile Kohly Guggsberg? La
Philodace ». Aperçu sur l’éducation chez les Roumains, suivi de quelques remarques
relatives à la prospérité des Principautés, Iassi, Au bureau de la feuille communale, 1841
Après la chute du gouvernement provisoire, l’Etat ne possedait que les écoles
suivantes: l’Institut pour l’enseignement des filles ou l’Ecole Centrale de Iassi, fondée en
1834, l’Instutut Lazaro-Otetelesanu, de Craiova(1835), quelques écoles élementaires
publiques(Slatina, Cerneti, Ploisti). L’Etat entretenait 4 boursières à l’Ecole
Centrale(Moldavie) et 12 boursières à l’Instutut Lazaro-Otetelesanu. En plus, l’Eforie
s’intéressait au sort des filles pauvres-une école pour les jeunes filles pauvres, dirigée par
Elisabeta Stirbei, même si les écoles centrales fonctionnaient avec des fonds privés. Par
conservatorisme Les autorités auraient voulu un enseignement entièrement roumain.
1847 Dimitrie Bibescu Voda avait promu une loi d’organisation pour les écoles
communales à la campagne et avait créé un pensionnat fonctionnant avec les revenues du
monastère Sf.Spiridon-le future pensionnat Blaremberg.
1848 nr/14 des 36 principes énoncés par les révolutionnaires-l’instruction égale
pour toutes le catégories sociales-Moldavie, et nr.22, Valachie
Après 1848, des mesures pour commencer une instruction égale pour les filles et
les garçons. En dehors de l’école de Mme Stirbei, on a fondé 4 autres écoles-Bucarest et
dans les autres villes principales des Principautés. Les monastères sont invités à créer des

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places, le ministère s’engage à offrir les programmes et le budget des dépenses. Après la
Convention de Balta-Liman, 1849, Barbu Stirbei-Valachie et Grigore Ghica-Moldavie on
a pris des mesures fermes pour l’avenir de l’enseignement roumain. Eforia a proposé la
titulature suivante: écoles communales-à a campagne, écoles normales-dans les capitales
du département, écoles centrales de Bucareste, Iassi, Craiova, les cours complémentaires.
Dans la première moitié du XIXe siècle, les influences orientales(grecques,
turques) sont remplacéees par celles qui viennent de l’Occident.(SC, p.12), ce qui fait
qu’un «vrai exode» de jeunes se dirige vers les villes occidentales, pour des études. «Une
classe politique francophone» SC, p.30 Les jeunes qui allaient occuper des positions
importantes dans l’Etat se formaient à Paris. Jusq’à la fin de leurs études secondaires,
après, ils continuaient les etudes supérieures à Vienne, Berlin, Paris. C’est le cas des
hommes de letters et politiques: M.Kogalniceanu, V.Alecsandri, Sturza, Ghica, Bratianu.
Prince Ghica, marié à une française-pensions français. Un secrétare français, Grenier, un
conseiller français, dr.Bassereau. L’Académie princière deviant Collège français.
Des princes qui avaient fait des etudes en France: Barbu Stirbei, Gheorghe
Bibescu, Gh, Ghica. Leur penchant pour le français entrait en conflit avec les dispositions
de l’Epitropie qui soutenait l’obligativité de l’enseignement en roumain et l’existence
d’un prêtre orhodoxe comme professeur
L’éducation des filles n’exstait pas, même après le Réglement Organique :
Moldavie-1932, Valachie-1931. Ceux qui ont lutté pour introduire ces principes ont été
Gheorghe Asachi- Moldavie et Barbu Stirbei- Valachie
La Révolution de 1848 met en doute plusieurs principes de la vie sociale,
politique: le rôle de la femme la nécessité
1830En Moldavie-liste publiée par la revue Neculce : le pensionnat Chambinaud
et Paré(Iassi), l’école de Mme Bourguillon(Barlad), l’école de Mme Moser(Bacau), de
Mme Sophie(Galati)
1840-Mihail Sturza decide de fonder une école publique pour l’enseignement des
filles et Petrache Poenaru essaie e prendre des mesues contre la croissance incessante
dunombre des pensionnats. Menacé par le cosmopolitisme, Epitropia invatatorilor a
decide d’imposeraux nouveaux pensinnats quelques règles: l’enseinemet en roumain, le
respect pur la foi orthodoxe, que les professeurs et les pedagogues soient des mod’les de
moralité, qu’ils possèdent des conaissances solides. L’Etat ne pouvait pas encore
controler ces pensionnats.
1840 école de fille sous la forme d’une foundation lancastérienne. On apprend la
lecture, l’écriture, l’arithmétique, le cathéchisme, le travail de la main-la broderie. A coté-
une école privée de Mm Stirbei
Après le Règlement Organique, le progamme analytique est conçu par l’Epitropie
et les filles doivent passer un examen devant un délégué de l’Epitropie
1842Le pensionnat de Ion Frantuzu(Iassi)
Alexandru Ioan Cuza introduit l’étude du français dans toutes les écoles
secondaires et à l’université. Pendant la deuxième moitié du XIXe siècle, les pensionats
français se multiplient- une dizaine à Iasi. Marina Muresanu Ionescu, p.217-227
1887-les premières diplômées S. Balcescu, licence en droit
Antoine Vaillant, fondateur du college interne de Bucarest et del’Ecole gratuite es
filles, il était également professeur de literature à l’Ecole Nationale de Sf.Sava.

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1902-Elvira Zamfirescu, première Roumaine qui soutient une these de doctorat
en France, à Sorbonne sous la direction du professeu Ferdinand Brunet
1922-L’inauguration oficielle de l’Ecole Roumaine de Paris-fondée en 1920,
dirigée par N.Iorga
Les matières étudiés
Les écoles centales fonctionnaient avec des fonds privés
Petit à petit, à mesure que le écoles d’état ont commené à devenir une réalité, elles
ont entré en concurrence avec les pensionnats qui deviennent bientot une menace pour les
défenseurs de la langue et de la culture roumaine.
L’importnce de Vaillant. J.A. Vaillant «un Français plein d’énergie et d’initiative,
avec une intelligence vive, qui avait été amené comme précepteur en 1829, le boyard
Iordache Filipescu. En 1835, Vaillant propose l’enseignement de la rhétorique française.
Tirbei répond qu’il ne peut pas créer une telle chaire, parce que l’enseignement de
rhétorique doit se faire en lange roumaine. Vaillant essaie de créer une école de
concurrencepour le Collège Sf. Sava. Il a été sommé d’entrer dans le programme
commun. Finalement il se consacre à l’école des filles de son épouse. Iorga p.122
1847-plan de reorganization de l’enseignement
1859-1898 courant d’étatisare
Art.261 de l’ancien statut : « l’instruction dans les pensionnats sera conforme et
ressemblant avec celui des écoles publiques»
1866-1966 écoles à la campgne
Après 1864 l’école privée est dirigée par les roumains-programme roumain et
langue d’enseignement roumain

En dépit des mesures prises, la culture des filles était incomplète et superficielle.
Si une fille réussissait à s’imposer dans un monde d’hommes, cela était le résultat des
circonstances favorisantes, les impondérables du destin, un professeur
exceptionnellement doué. Le rôle de la famille a été aussi essential. Les etudes faites à
l’étranger. La plupart ont eu des dons exceptinnels, exploités par leurs familles ou par
leurs professeurs. Exemples: elles ot réussi à briller dsur le firmament des lettres

La littérature
Bibliographie
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ştiinţei de carte a femeii în societatea românescă, Forum, nr.7-8, p.99-105, nr.9-10, p.103-
109
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Berindei, Dan, La Roumanie et la France au Carrefour de leur modernité, Études
danubiennes, Paris, XVIII, nr.1-2
Claudon, Francis, L’apport de la Roumanie à la pensée française et francophone
du XIXe siècle, en
Iorga, Nicolae, Istoria învăţământului românesc,
Popa, Mircea, Contribuţii privind relaţiile româno-franceze, 1901-1914, în Sudii,
Revistă de istorie, nr.1, Bucureti, 1969
Puaux, Gabriel, Les débuts de l’amitié franco-roumaine, Conférence donnée sous
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6
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Les oeuvres françaises des auteurs roumains, Les oevres françaises relatives à Roumanie,
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Noailles, Marthe Bibescu, Hélèn Vacarescu
Vârgolici, Th., Interferenţe literare romnâo-franceze, 1977
Vodă Căpuşan, Maria, Mureşanu, Ionescu, Marina, Maliţa, Liviu(coordinator),
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Zagăr, Rodica, Relations entre la Roumanie et la France au long des siècles à
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Zub, Alexandru, Ivănescu, Dumitru, Franţa, model cultural şi politic, Iaşi, 2003
*** Mélanges de philologie et relations culturelle frnco-roumaines, Bucarest,1987

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