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LA G2OGRAPHIE URBAINE
XX
• Approche statistiques
Quels sont les critères de définitions qui peuvent être retenus ?
- Critère Numériques (toutes agglomérations qui se situe au dessus d’un seuil.)
Ensemble de bâtis qui ne sont pas espacé de plus de 200m
Ces critères varient selon les pays : en Egypte, les agglomérations sont prises en compte à partir
de 11 000 habitants. Contre 2 000 hab. au Danemark.
Agglomération :
« Cidade » : Tout chef lieu de municipe, rôle d’organisation.
Certaines agglomérations, vont être qualifiées de « ville » même si elles ont une envergure plus
minime.
Dans une forme de concentration humaine réduite, les concentrations actives s’occupent
essentiellement l’agriculture. Contrairement à une forte concentration H. où nous trouvons des
métiers plus varié et donc moins agricole.
On déclare ville, toutes agglomérations ayant un aspect urbain, et donc ayant des infrastructures
important (évacuation des eaux, etc. …).
Raisons historiques :
Au XVIIIe S. :
Révolution industrielle en € - Révolution Agricole
Croissance démographique
Forte Concentration urbaine
Forte croissance urbaine
Ville
Agglomération
Aire Périurbain
• Transition urbaine :
Création de la ville : Les villes sont très souvent nées d’un port
dû aux besoins de la colonie avec le Voix Ferrée
Vieille ville Urbanisme qui avait pour but de consolider les colonisations.
coloniale (espagnole): (une sorte de côtes d’urbanisme :
- loi précise de construire les villes.
Il fallait démarrer par une place, puis construire
autour les centres de décision, les places fortes
à influence régional ou national, lieux de pouvoir)
ex : Eglise, palais, caserne militaire… etc.
ère
1 Extension : - Autour se disposaient les Colons.
Aujourd’hui il y a une réhabilitation de ces anciens quartiers qui s’étaient petit
à petit dégradés. Les populations avaient tendance à s’écarter de la ville
(auréoles périphériques)
ème
2 Extension : - Création de bidonvilles.
(« alagados » bidonville sur pilotis ; la ville de Recife au Brésil)
Ces endroits appelés « quartiers d’invasion », où parfois des centaines ou des
milliers de personnes qui débarquent en peu de temps, et paralysent les
autorités.
(- Parfois lorsqu’il y a une possession illégale du terrain, il peut)
(y avoir une expulsion, sauf quand la population est trop)
(nombreuse pour expulser par la force)
(- Soit c’est accepter, l’on fait avec car ils ont besoin d’un toit,
et) (détruire un bidonville ne sert à rien puisqu’un autre se)
(construira un peu plus loin)
Ces populations des favelas sont intégrables, ils sont de revenus moyens, ils ne sont pas à la porte de la
mendicité. I l ne faut pas les considérer comme des marginaux. Au Brésil, les favélas sont considérées comme
des quartiers populaires. L’électricité et l’eau sont présentes dans toutes les favelas (généralement). Mais il faut
aussi une santé publique :
- Assainissement pour éviter les épidermes qui peuvent être contagieuses.
Dans les favélas, tout le monde peut être soumis à l’expulsion, donc personne n’ose investir dans l’amélioration
de leur habitude. Il y a un problème au logement, mais ils doivent donc payer un petit loyer (loyer quasi
symbolique).
Mais toutes les interventions de la ville restent du « Bricolage » pour améliorer les favelas. Il est difficile de
retourner la Favelas construite avec des moyens très réduits à la base.
La Favela est un lieu moins accessible. La favela est donc sujette à un narcotrafic.