Vous êtes sur la page 1sur 4

Chapitre 4

LA G2OGRAPHIE URBAINE

I. Processus urbaine dans le monde.

XX
• Approche statistiques
Quels sont les critères de définitions qui peuvent être retenus ?
- Critère Numériques (toutes agglomérations qui se situe au dessus d’un seuil.)
Ensemble de bâtis qui ne sont pas espacé de plus de 200m
Ces critères varient selon les pays : en Egypte, les agglomérations sont prises en compte à partir
de 11 000 habitants. Contre 2 000 hab. au Danemark.

Agglomération :
« Cidade » : Tout chef lieu de municipe, rôle d’organisation.
Certaines agglomérations, vont être qualifiées de « ville » même si elles ont une envergure plus
minime.
Dans une forme de concentration humaine réduite, les concentrations actives s’occupent
essentiellement l’agriculture. Contrairement à une forte concentration H. où nous trouvons des
métiers plus varié et donc moins agricole.
On déclare ville, toutes agglomérations ayant un aspect urbain, et donc ayant des infrastructures
important (évacuation des eaux, etc. …).

Cela se traduit en termes statistiques :


Chiffre 1980-1995 : le « taux urbain » était en France de 73 % avec un rythme de croissance
urbaine de 0,5/an.
A quelques écarts près les pourcentages € se ressemblent : Forte concentration urbaines, et une
petite croissance urbaine (0,3/an = UK ; 0,6/an =Dan).

Raisons historiques :
Au XVIIIe S. :
 Révolution industrielle en € - Révolution Agricole
 Croissance démographique
 Forte Concentration urbaine
 Forte croissance urbaine

Aujourd’hui c’est la « Rurbanisation »


Dès 1990, il y a un repeuplement des campagnes :
Et les campagnes se développent en petites agglomérations.

En France, on a ainsi une croissance des populations dans


les campagnes. Il y aune continuité du bâti.
Communauté urbain :
C’est une agglomération comprenant la ville « centre ».

Ville

Agglomération

Aire Périurbain

Exemple du Burkina Faso :


La concentration urbaine est de 27%. Avec une croissance de 11% de croissance / an.
Ce sont les taux majeur de l’Afrique Nord : ¼ de la pop en ville et une croissance urbaine forte.
La population se « déverse » en ville, car motivé par la démographie. (Différent au Sud)

• Transition urbaine :

 Caractéristique des villes Européennes.


Vielles villes Monument historique
Vieux Quartier
Bâtiment et quartiers dégradés (parfois réhabilité)
Voirie étroites et sinueuse
Limite de la ville correspondant généralement à un boulevard circulaire
correspondant aux anciennes murailles.
Villes du XVIIIe S. Voirie large
Immeuble style bourgeois
(Hausman = afin d’assainir la ville ; Faciliter la circulation ; Préoccupation de la sécurité civile)
Quartier populaire (lors de l’industrialisation)
Banlieue Grands ensemble
Croissance urbaine dans la banlieue
Dernière extension Habitats individuels en lotissement
 Caractéristiques des villes Américaines.

Opposition de la ville « tertiaire » (bureaux de service) aux quartiers de


résidence.
Forme étendue de maisons individuelles
Forte présence de réseaux routier et fluide
Grands Buildings très élevés (rentabilité – Prestige)
Tendeuse à la dégradation

 Caractéristiques des villes du Maghreb – Afrique du nord.

Epoque précoloniale Médina


Minaret – Souk – Casbah – Mosquée.
Ville historique.
Remparts ou enceinte.
Rues étroites et habitats petit pour un foyer réduit.
 Entassement de la population lors de l’explosion démographique / dégradation des
conditions de vie / Todification du quartier
Ville Moderne - Bidon ville :
(postcoloniale) (terrains vaquant physiquement mais pas juridiquement - constructions illégales, de fortune avec des
matériaux de récupération ; très forte insuffisance des infrastructures)
- Ville industrielle (usines…)
Généralement Européenne
- Moderne banlieue extension
(car les métropoles étaient
majoritairement d’€) (cité HLM, grands ensembles
de type européen)

- constructions avec une « trame » d’infrastructure et plus ou moins aménagées.

 Caractéristiques des villes Africaines.

Création de la ville : Les villes sont très souvent nées d’un port
dû aux besoins de la colonie avec le Voix Ferrée

Les villes des cotes étaient transport maritime.


EXCLUSIVEMENT COLONIALES S’ajoute à cela une voie ferrée et V.Noire
une zone industrielle minime. Z.I
(les villes plus anciennes Il y a la ville Blanche et la ville Noire avec une zone. V. B.
étaient à l’intérieur des terres) de non-construction entre celles-ci.
 Villes du « Sahel »
nd
2 Extension et Il y a une poussée urbaine, avec l’urbanisation
transformation africaine causée par la monétarisation
de l’économie et des rapports sociaux.
Les autorités ont petit à petit
données des parcelles,
rectangulaire, où les familles
pouvaient construire leurs cases.
Et ainsi ils pouvaient aussi cultiver
un petit bout de terre autour.
ème
3 mutation. Ces mêmes cases, s’éttendent, et deviennent des taudis.
Et ne conviennent plus à un habitats désent pour une famille plus
grande.
 Caractéristiques des villes Latino-américaines

Vieille ville Urbanisme qui avait pour but de consolider les colonisations.
coloniale (espagnole): (une sorte de côtes d’urbanisme :
- loi précise de construire les villes.
Il fallait démarrer par une place, puis construire
autour les centres de décision, les places fortes
à influence régional ou national, lieux de pouvoir)
ex : Eglise, palais, caserne militaire… etc.
ère
1 Extension : - Autour se disposaient les Colons.
Aujourd’hui il y a une réhabilitation de ces anciens quartiers qui s’étaient petit
à petit dégradés. Les populations avaient tendance à s’écarter de la ville
(auréoles périphériques)

ème
2 Extension : - Création de bidonvilles.
(« alagados » bidonville sur pilotis ; la ville de Recife au Brésil)
Ces endroits appelés « quartiers d’invasion », où parfois des centaines ou des
milliers de personnes qui débarquent en peu de temps, et paralysent les
autorités.
(- Parfois lorsqu’il y a une possession illégale du terrain, il peut)
(y avoir une expulsion, sauf quand la population est trop)
(nombreuse pour expulser par la force)

(- Soit c’est accepter, l’on fait avec car ils ont besoin d’un toit,
et) (détruire un bidonville ne sert à rien puisqu’un autre se)
(construira un peu plus loin)

Ces populations des favelas sont intégrables, ils sont de revenus moyens, ils ne sont pas à la porte de la
mendicité. I l ne faut pas les considérer comme des marginaux. Au Brésil, les favélas sont considérées comme
des quartiers populaires. L’électricité et l’eau sont présentes dans toutes les favelas (généralement). Mais il faut
aussi une santé publique :
- Assainissement pour éviter les épidermes qui peuvent être contagieuses.
Dans les favélas, tout le monde peut être soumis à l’expulsion, donc personne n’ose investir dans l’amélioration
de leur habitude. Il y a un problème au logement, mais ils doivent donc payer un petit loyer (loyer quasi
symbolique).
Mais toutes les interventions de la ville restent du « Bricolage » pour améliorer les favelas. Il est difficile de
retourner la Favelas construite avec des moyens très réduits à la base.
La Favela est un lieu moins accessible. La favela est donc sujette à un narcotrafic.

Vous aimerez peut-être aussi