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ETUDE HYDROGEOLOGIQUE
SYNTHESE DES OBSERVATIONS
Les essais d'injection pratiqués sur les deux sondages D9 et DIO, équipés
en conséquence conduisent à des perméabilités du Houiller et du Trias comprises
entre 3,2 et l,2.10~7 m/s ; il s'agit d'une valeur faible mais non négligeable et
qui conduit à une estimation d'exhaure en fond de fosse de l'ordre de 200 m3/h à
la cote 0. Cette valeur, très supérieure à l'exhaure des anciens travaux souter-
rains doit être considérée comme par excès.
Il apparaît cependant que malgré des débits instantanés très forts en re-
lation avec les précipitations intenses (averses ^ 2 0 0 mm/24 h) la part d'exhaure
en provenance des eaux souterraines sera la plus importante par rapport aux eaux
de ruissellement.
Les mesures de niveaux effectuées dans les forages lors des diagraphies
ou lors de tournées de contrôle ont permis d'établir une carte piézométrique qui
indique un fort gradient (50 %) au voisinage immédiat des anciens travaux avec
une cote de l'eau peu différente de la cote de sortie de la galerie d'exhaure
(107,5 NGF) . Il ne semble pas que cette influence s'étende très loin et vers
l'Est on a des niveaux perchés d'une centaine de mètres au-dessus de l'exhaure.
Le sondage D40 dans le Houiller a montré d'importantes venues d'eau (60 m3/h)
incompatibles avec la perméabilité du Houiller, et conduit à faire jouer un rôle
de drain à la faille située au niveau du parement Est de la fosse. Cette faille
serait également à l'origine des sources captées de La Gaillarde. Un pompage d'es-
sai sur le D40 ou dans le secteur est préconisé pour préciser le rôle hydraulique
de cette faille qui pourrait être un facteur d'instabilité du parement Est.
pages
RESUME
1 - INTRODUCTION 1
5 - PREVISIONS D'EXHAURE 8
5.1 - Eaux de ruissellement 8
5.2 - Eaux souterraines 8
5.2.1 - Eaux en provenance des vieux travaux 8
5.2.2 - Eaux en provenance du terrain 9
7 - CONCLUSION 18
ANNEXE 2 : Projet général dans ses diverses phases - Echelle 1/5 000
Coupes lithostratigraphiques
1 - INTRODUCTION
Le projet dan» son ensemble intéresse une superficie de 171 hectares dont
116 sur la commune de Laval-Pradel ( à l'Ouest) et 55 sur la commune de Saint-
Julien-les-Rosiers (à l'Est). La RN.1O6, dont le tracé sera modifié, constitue
actuellement la limite entre ces deux communes.
- Bassin du Gard
- Bassin de la Cèze
Le projet prévoit deux phases à court et moyen terme et une troisième phase
éventuelle i long terme.
.Première phase
.Deuxième phase
.Troisième phase
La fosse des Cabasses doit être limitée par des fronts et gradins formant
un talus à 40/45° sauf dans la partie Nord où la pente doit être à 27°. Dans les
évaluations des débits d'exhaure c'est cette fosse qui sera prise en considération
car elle est bien définie morphologiquement, sera ouverte presque exclusivement
dans des terrains du Houiller et sera en relation avec les vieux travaux de Laval
par son parement Est. En ce qui concerne les superficies, on retiendra les valeurs
de 100 ha pour l'ouverture totale et 28 ha pour l'ouverture de la partie située en-
dessous de la cote 200 NGF. C'est à la cote 200 NGF que doit être réalisé le fossé
de ceinture permettant l'évacuation gravitaire des eaux d'exhaure (eaux de ruissel-
lement sur les parements, eaux en provenance de vieux travaux, eaux en provenance
du terrain).
- 4 -
Sur l'extrait de carte à 1/25 OOO de l'annexe 1 nous avons indiqué en super-
position le projet dans ses différentes phases et les différents sous-bassins inté-
ressés. Sauf pour le ruisseau de Bellières dont toute la partie amont est dans
l'emprise de la découverte, les incidences sur les écoulements d'eau superficielle
dans les sous-bassins de l'Auzonnet et du Rabieux seront négligeables.
.8 février 1982 :
Nous donnons ci-après un résultat d'analyse pratiqué par les HBC sur un
échantillon d'eau prélevé le 11/05/1983 sur la galerie d'exhaure des vieux travaux.
- 6 -
II s'agit d'une eau de dureté totale très élevée encroûtante, riche en fer
(non dosé) et ne convenant pas comme eau de boisson. Compte tenu du débit modeste
le rejet de cette eau au milieu naturel ne présente actuellement aucun inconvénient.
On a estimé que les vieux travaux (5 645 000 m3), compte tenu d'un coefficient de
vide de 0,39, renfermaient 2 200 000 m3 d'eau. Il s'agit là d'un volume important
qui en principe ne sera vidangé que progressivement au fur et à mesure de l'appro-
fondissement de la découverte mais susceptible de donner lieu à des exhaures temp-
raires plus importants suite à des vidanges instantanées de galeries ou de tronçons
de galeries non dénoyés et restés en position perchée par rapport au fond de la
fosse. Cette eau, à laquelle s'ajoutera l'eau souterraine en provenance des parements
Nord, Est et Sud de la fosse, sera obligatoirement rejetée au Gardon par l'intermé-
diaire du ruisseau de Bellières.
5 - PREVISIONS D'EXHAURE
Sur la base d'un épisode pluvieux de 200 mm/24 h, que l'ont peut admettre
comme de fréquence triennale, le volume devant être évacué sera de 200 x100 x 1 0 000 m3
1000
soit 200 000 m3. Pour être éliminé en 24 heures, ce volume correspond à un
débit d'exhaure de 2,3 m3/s. Le volume recueilli par le fossé de ceinture à la
cote 200 NGF est de < 10 ° ' 2*> * g g * 10 ° ° 0 m 3 soit 144 000 m3 ou 1,7 m3/s.
Sous réserve d'un calibrage suffisant du fossé de ceinture, l'évacuation de cette
eau ne doit pas présenter de difficultés. En ce qui concerne l'eau tombant dans la
partie inférieure de la fosse, le volume recueilli sera de 56 000 m3 et demandera
un dispositif d'exhaure pouvant assurer 0,6 m3/s pour être évacué en 24 heures.
Lorsque les conditions ont permis une observation des niveaux étalée
dans le temps, nous avons résumé les résultats sous forme de graphique (cf. an-
nexes 6 et 7).
.D4 : Houiller
Le niveau sensiblement constant (16 à 18 m/sol), mesuré jusqu'en octobre
1982, ne semble pas très représentatif : deux mesures en avril et mai 1983 indi-
quent une profondeur de l'eau du même ordre (16 et 12 m ) .
Les précipitations se manifestent par des remontées rapides mais non ins-
tantanées comme ce serait le cas si le forage se remplissait par ruissellement.
Ces remontées sont suivies de décrues très progressives (en particulier la période
de mai à septembre 1982 montre une décrue très régulière à allure exponentielle.
Les fluctuations sont de l'ordre de 4 m : le niveau se maintient entre 214 et
218 NGF à une cote supérieure à celle de la galerie d'exhaure des vieux travaux
(207,5 NGF). L'allure de la courbe de décrue de mai à septembre 1983 traduit un
régime transitoire et on peut penser que les vieux travaux seront sans influence
pour les secteurs de la découverte qui ne sont pas directement dans leur zone d'em-
prise : ceci indique une faible perméabilité des formations du Houiller. Le forage
est équipé en tube plein de 120 mm jusqu'à 64 m, de façon à isoler les terrains du
Trias, il a été utilisé pour un test d'injection.
.D12 : Houiller
A signaler une venue d'eau entre 40 et 43 m dans des schistes noirs et
des grès psammitiques. Un niveau d'eau à 14,60 m le 22/07/82, donc très perché
(315 NGF) ; par suite, forage remblayé et détruit.
- 12 -
.D13 : Trias
Les graviers de quartz rencontrés entre 19 et 22 m auraient montré quel-
ques venues d'eau. Il n'y a plus eu de remontée de cuttings à partir de 31 m. Les
mesures pratiquées par les HBC, entre juillet novembre 1982, indiquent un niveau
constant à 73 m (fond du trou).
.D31 : Houiller
Les mesures effectuées à diffentes périodes indiquent un niveau d'eau va-
riant entre 46 et 62 m de profondeur (niveau perché entre 313 et 330 NGF).
.D32 : Houiller
Apparition d'eau à 148 m de profondeur dans des grès et microconglomérats.
Pas de mesures de niveau.
.D34 : Houiller
Une seule indication de niveau (30 m ) .
.D38 : Houiller
Le 03/05/83, niveau d'eau à 56,90 m/sol (321,20 NGF)
.D39 : Houiller
On dispose d'un niveau d'eau à 40 m/sol (334,80 NGF). Ce niveau, mesuré
après injection d'eau, n'a pas baissé de façon sensible en 3 heures.
A noter l'augmentation rapide du gradient à l'Ouest de cette "crête" avec un axe dé-
primé à la cote NGF arrondie 210 qui pourrait correspondre à un drainage par les vieux
travaux (la cote d'exhaure de ces vieux travaux est à 207,5 NGF). Le sondage D2 est à
proximité d'une taille, les sondages D47 et D44 sont peu éloignés d'une galerie de re-
connaissance. On notera que vers l'Est la topographie et le plongement des couches en-
traînent un approfondissement rapide des travaux en souterrain par rapport à la sur-
face et l'influence de ces derniers n'apparaît pas. A noter également la "bosse piézo-
métrique" cOté Est centrée sur le D40 qui a donné un débit remarquablement élevé lors
de la foration (estimé à 60 m3/h). Il conviendrait de pratiquer sur ce forage ou sur
un forage voisin, équipé en conséquence, un pompage d'essai pour déterminer l'origine
de cette eau (alimentation continue, régime transitoire ou vidange). Nous pensons que
ce débit peut être en relation avec la faille bordiere jouant le role de drain par
rapport à un réservoir contenu dans l'Hettangien du Cauvel. La présence d'une faille
- 14 -
Les résultats des mesures sont présentés sous forme de tableaux donnant
la profondeur de l'eau en fonction du temps. On peut, pendant un intervalle de
temps t' - t", calculer le débit
h' - h"
S.f - t"
Les essais ont été réalisés le 27/05/83 avec injections dans chaque forage
de 100 litres d'eau. Le S10 a présenté quelques difficultés de mesures (forage sec
avant l'essai, difficultés a descendre la sonde), l'essai a cependant été réalisé.
Les trous étant forés en 6", la section a été prise égale à 0,01824 m 2 .
1Og
* " ¿h.2îtH 0
avec k : perméabilité en m/s
0 : diamètre de la lanterne en mètres
H : hauteur de la lanterne
Ah : surcharge
1.7.10"H 600
on a log
* 2 ÏTx 300 0,152
Ces sources alimentent par gravité toute l'année les hameaux de Laval,
Cassagne, Cassagnette, Malbosc, Le Mazel, et pendant 8 à 9 mois l'hiver et par
pompage, le Mas Dieu, le Crès, Arbousset.
Ces sources ont été décrites de façon détaillée dans les rapports anté-
rieurs. Il s'agit de sources de débordement au contact desdolomies de l'Hettangien
a l'Est et au Nord et des grès et marnes du Trias supérieur à l'Ouest. Les eaux
infiltrées dans l'Hettangien sont arrêtées dans leur cheminement vertical par les
formations peu perméables du Trias et s'écoulent vers l'Est en suivant le pendage.
7 - CONCLUSION
Cette valeur de 200 m3/h doit être considérée comme une valeur par excès,
les forages sur lesquels ont été pratiquées les injections sont équipés de tubages
non cimentés au terrain et les valeurs de k obtenues peuvent être des valeurs par
excès. De même le gradient, qui est du mÊme ordre de grandeur que la pente topogra-
phique , pourrait correspondre à la base de la frange d'altération (une épais-
seur d'altération de 15 à 30 m n'est pas impossible).
L'exhaure relatif aux précipitations est caractérisé par des valeurs ins-
tantanées importantes mais qui, pour un bilan annuel, représentent en définitive
moins du 1/4 de l'exhaure relatif aux venues d'eau en provenance du terrain.
Une anomalie piézométrique en rapport avec les fortes venues d'eau constatées
- 19 -
sur le D40 amènent à considérer que la faille bordiere située à l'Est de la future
fosse joue le role de drain pour des eaux en provenance du massif du Cauvel. La
présence d'une faille avec charge hydraulique étant de nature à compromettre la
stabilité du parement Est, un certain nombre d'intervention sont proposées (pom-
page sur le D40, sondage dans le panneau Est) pour déterminer le rôle exact de
cette faille et l'hydrogéologie de ce secteur.
SUD Annexe
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AOUT SEPTEMBRE OCTOBRE NOVEMBRE DECEMBRE JANVIER FEVRIER MARS AVRIL MAI JUIN JUILLET AOUT 5EPTEMBRE OCTOBRE NOVEMBRE DECEMBRE JANVIER.
Temps h moyenne
Profondeur
Heure depuis la fin
de l'eau
h' - h" A h Q = S-^-en 1/s
de l'injection 2
10 h 45 0'30 32,96
1' 33,63 33,295 0,67 0,204
1 '30 33,90 33,765 0,27 0,164
2' 34,12 34,010 0,22 0,134
2'30 34,29 34,205 0,17 0,103
3' 34,39 34,34 0,10 0,061
3 '30 34,48 34,435 0,09 0,055
4' 34,53 34,505 0,05 0,030
4'30 34,58 34,555 0,05 0,030
51 34,62 34,60 0,04 0,024
6' 34,665 34,6375 0,035 0,014
7' 34,70 34,6825 0,035 0,011
8' 34,72 34,71 0,02 0,0061
9' 34,74 34,73 0,02 0,0061
10' 34,75 34,745 0,01 0,0030
111 34,76 34,755 0,01 0,0030
12' 34,77 34,765 0,01 0,0030
14' 34,78 34,775 0,01 0,0015
16' 34,79 34,785 0,005 0,00076
18' 34,795 34,793 0,005 0,00076
20' 34,80 34,797 0,005 0,00076
22' 34,805 34,802 0,005 0,00076
25" 34,81
29' 34,815
33' 34,82
38' 34,825
44' 34,83
50' 34,834
58' 34,837
64' 34,84
70' 34,842
76' 34,844
84' 34,848
94' 34,85
105' 34,852
12 h 45 120' 34,855
c. -TTx 0,15242
Section S = — £ = 0,01824
EXTENSION SUD DE LA
DECOUVERTE DE
MEÍICOIROL (Gard)
COURBE Ah = f(iogt)
ESSAI D'ABSORPTION SUR. S3 (HOUILLEU)
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33,7
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33,8
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33,9
34,0
34.1
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34.2 •
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34,5
34,6
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34,7
34,8
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Temps h moyenne
Profondeur
Heure depuis la fin h' - h" A h O = S-^-en 1/s
de 1'eau
de l'injection 2
15 h 45 1' 55,90
2' 61,50
3' 77,80
Arrêt des mesures, la sonde ne descendant plus dans le tubage
8 "30 91,06
10" 91,12 91,09 0,06 0,012
11' 91,135 91,1275 0,015 0,0045
13' 91,16 91,1475 0,025 0,0038
16' 91,18 91,17 0,02 0,0020
20' 91,20 91,19 0,02 0,0015
24" 91,22 91,21 0,02 0,0015
29' 91,23 91,225 0,01 0,000 6
33" 91,235 91,2325 0,005 0,0004
41' 91,245 91,24 0,005 0,00019
48' 91,25
57' 91,252
65' 91 ,255
72' 91,255
80' 91,255
17 h 15 90' 91,255
e _ ffx 0,1524'
Section s - 4 = 0,01824
EXTENSION SUD DE LA DÉCOUVERTE.
DE: MERC0IROL(Gar<l)
C O U R B E A h - f ( io91 )
ESSAI D'ABSORPTION SUR Ô10 (TRIAS)
«Vin
¡
metres
-d
905-
nivea
#
•
* • •
du
• • • •
Profondeur
"*"
1
r»
Oo
91,10
91,15
in
91,20-
S
"-ó
91,25
NS
91,30
0,05 0,10 , 0,15
3 3
Debiten 1 O " m / s
àk SGN 051 LRO