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Mon but est de réaliser une machine simple démontrant que le soit disant mouvement
perpétuel est bien impossible ; afin de permettre à tout citoyen lambda de comprendre
facilement et ne plus devoir admettre sans démonstration.
Pour cela j’ai imaginé le concept d’un mécanisme en déséquilibre autonome permanent. De
sorte que pour l’équilibrer il faut l’apport d’une force extérieure, analogue à la gravité qui
nécessite toujours une opposition pour l’équilibrer.
Toutefois, je ne peux lever l’ambiguïté d’une théorie qui si elle n’est pas démontrée fausse,
n’en est pas plus démontrée vraie tant que l’expérience ne l’a pas corroboré.
Bien sûr l’aspect philosophique latent risque de faire surgir d’autres questions.
L’esprit est-il la matrice du possible ?
L’impossible serait-il irrémédiablement temporaire ?
L’idée n’est qu’une étape qui doit être suivie, d’une expertise, de l’élaboration d’une
expérience, d’étude de marché et de la conception d’un prototype.
Je souhaite franchir ces étapes grâce à la participation de personnes voulant bien estimer mon
raisonnement et assumer éventuellement la réalisation d’un prototype.
En fonction du résultat, cette machine trouverait son application dans la démonstration des
phénomènes physiques ou en remplacement de toutes les formes d’énergies actuelles
J’espère avoir réussi dans ce document le compromis du détail associé à l’explication concise.
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PHENOMENES PHYSIQUES CONNUS INTEGRES AU RAISONNEMENT
Des forces équilibrées au sein d’une masse, laissent cette masse équilibrée.
Conséquences : La masse peut être alors déplacée sans que ces forces influencent la force de déplacement.
Ressort comprimé
Les points d’appui des extrémités du ressort
F F’ permettant le maintient de F et F’ sont déplacés en
même temps que la masse.
Force de déplacement Cela est également valable pour une masse libre au
tour d’un axe.
Cas de deux forces indépendantes équilibrées au sein d’une masse libre autour d’un axe.
Données : F=1N, F’=3N, d=20 cm, d’=10 cm
Le couple est une force liée à un mouvement circulaire, il se compose
de 2 valeurs : 1 force F et un bras de levier R, par rapport à l’axe.
F’ d’ Nous avons deux couples antagonistes, Cf = F*(d+d’) et Cf’= F’*d’
Cf’ - Cf = (3*0,1) – [1*(0.1+0.2)] = 0,3-0,3 = O Nm
d La masse équilibrée peut être alors mise en rotation autour de l’axe sans
que F et F’ influencent la force de déplacement ; Si les points d’appui
F permettant le maintient de F et F’ sont déplacés dans les mêmes
proportions que la masse par rapport à l’axe.
Je me sers de cette conséquence compréhensible car déjà appréhendée en partie dans différents cas en physique,
pour imaginer un assemblage mécanique simple en recherche autonome et permanente d’équilibre.
Le principe de l’étude peut se schématiser théoriquement par des croquis. Nous avons un ensemble de ressorts
comprimés à l’assemblage et de forces qui s'expriment en partie sur la pièce primaire, créent des couples
antagonistes qui se compensent sur la dite pièce. Celle-ci alors en équilibre peut être déplacée sans que les
couples antagonistes influencent la force de déplacement, si les conditions de déplacement des points d’appui
énoncées précédemment sont respectées.
A l’aide d’une pièce secondaire et de ressorts Rm, j’utilise la(les) force(s) à l’autre extrémité du(des) ressort(s)
pour la(les) diriger sur la pièce d’appui primaire. Les pertes sont inférieures à x.
Ressorts Rm montés
Action non comprimés à Réaction
x l’assemblage x
Tentatives :
Du ressort, de se détendre, de la pièce secondaire de se déplacer dans le sens de la force x.
En réaction, les ressorts Rm, de se comprimer et pousser la pièce primaire dans le sens de la force x.
L’ensemble, de se déplacer dans le sens de la force x, car les pertes sont inférieures à x.
Une recherche d’équilibre se manifeste constamment, même si la force d’action est égale à la réaction,
l’ensemble n’est pas équilibré, car la réaction n’est pas opposée à l’action, mais s’y ajoute.
L’ensemble est en équilibre quand une force égale et opposée à x est appliquée sur la pièce secondaire.
3
FAISABILITÉ : Détails de l’assemblage mécanique
Axe L
Fe Plus une roue E
0.08
Rm R L’axe O est monté sur roulements à billes
montés sur paliers et supports (non représentés).
m F
Roue E
4
Plus une pièce Pc un pivot et deux ressorts Rp.
Pc
La pièce de compensation Pc libre sur l’axe L,
0.02 reçoit sur son bras court Fe’ qui s’oppose à F’
Fe Fe’ sur son bras long dont l’extrémité est aussi en
contact avec le ressort Rm.
F’ et Fe’ créent des couples antagonistes qui se
compensent par Pc.
Cf’ - Cfe’ = 0
0.2
Pc en équilibre peut être déplacée sans que ces
couples influencent la force de déplacement ;
Si les points d’appui permettant le maintient de
F et F’ sont déplacés dans les mêmes
Bras long de Pc proportions en référentielles par rapport à la
roue E et aux axes L et O.
F’ F
(F’ résiduelle) = F’ – m’ = 30 – 10 = 20 N
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Axe L
Appui de Pc
du ressort Re
de valeur Fe’
Plan de roue
partiellement
Appui de E
représenté
du ressort Re
de valeur Fe
Fe Fe’
HYPOTHESE :
C impose une giration de E d’axe O. Si le mouvement perpétuel était possible :
• E entraînerait l’axe L dans un mouvement circulaire. La rotation laisserait la pièce Pc dans sa position
initiale par rapport à la roue E, car, les points d’appui des ressorts de la roue E, l’axe L et les ressorts
Re, R, Rm, Rp, se déplaceraient aussi du même angle alpha.
Les pertes des deux roulements à billes des paliers de l’axe O et éventuellement celui de l’axe L, du Pivot et
glissières, sont en mécanique classique inférieure à 1%. Le couple mécanique C est supérieur à ces pertes. Elles
ne peuvent donc pas bloquer la recherche d’équilibre de C.
Les ressorts R et Re, malgré leurs tentatives de détentes ne trouveront jamais leur position de repos et resteront
chargés d’énergie potentielle quelle que soit la position de la roue E.
Sans opposition extérieur au couple C, il n’y a pas de point d’équilibre et l’ensemble ne tournera pas pour rester
en conformité avec le dogme scientifique.
CONCLUSION :
L’ensemble resterait inerte bien qu’il soit déséquilibré quelle que soit la position de la roue E, aurais-je
réussi avec une machine simple à prouver l’impossibilité du mouvement perpétuel ?
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Détaille des forces en présence sur E et sur Pc
Dans l’exemple de ce
document R est trois fois
plus fort que Rm.
Les résultantes peuvent
être évaluées par calculs
mentaux.
Résultante x sur E = 20N
7
ANNEXE, dans l’hypothèse d’une rotation possible
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